D'autres multinationales de l'agroalimentaire, comme Danone ou le néerlandais Unilever, restent, elles aussi, pour l'instant en Russie. A une moindre échelle, ...
La Russie a été la source de 1,7 milliard de francs suisses de revenus en 2021 (environ 1,6 milliard d’euros) , 2 % de son chiffre d’affaires. Nestlé y emploie 7 000 personnes. Si Nestlé a annoncé, il y a deux semaines, suspendre les livraisons de certains de ses produits-phares en Russie, comme les capsules de café Nespresso ou l’eau minérale San Pellegrino, il n’a pas l’intention de fermer ses sept usines locales. Nestlé est ainsi devenu « Naztlé » et son logo monochrome (des oisillons dans leur nid, nourris par leur mère) a été détourné et taché de rouge sang.
Le géant de l'alimentaire Nestlé, qui poursuit certaines activités en Russie, faisait l'objet d'appels au boycott vendredi sur les réseaux sociaux.
A la Bourse, les investisseurs semblaient relativement indifférents à ces controverses. Les dommages à long terme pour la réputation de l’entreprise sont proportionnels à l’ampleur des crimes de guerre russes en Ukraine (énorme).» «Cela nous attristerait beaucoup si nos collègues étaient sous la dépendance d’autres. Cela explique notre décision.»
Le premier ministre ukrainien a exhorté le géant de l'agroalimentaire à cesser l'ensemble de ses activités en Russi.
Plus récemment, en mai 2018, et après plusieurs semaines de boycott des produits de ses produits, le groupe veveysan avait conclu un accord avec six détaillants européens, dont Coop, sur les prix d’achat futurs. En 2010, l’ONG Greenpeace avait mené une campagne soutenue pour dénoncer l’utilisation par le groupe d’huile de palme issue de la destruction de forêts tropicales. Le groupe veveysan a également souligné sa responsabilité vis-à-vis de ses 7000 collaborateurs en Russie. Les dommages à long terme pour la réputation de l’entreprise sont proportionnels à l’ampleur des crimes de guerre russes en Ukraine (énorme). Il n’est pas trop tard pour changer d’avis Nestlé.» «La Russie a été la source de 1,7 milliard de francs de revenus l’année dernière, soit environ 2% du total de Nestlé», détaille Bloomberg. Une situation loin d’être inédite pour le groupe.
Pointée du doigt par Kiev – Nestlé fait le dos rond face aux appels à fuir la Russie. Le gouvernement ukrainien dénonce le maintien d'activités en Russie par la multinationale de Vevey. Son concurrent Danone est aussi sous pression.
Die ukrainische Regierung attackiert in den sozialen Netzwerken den Nahrungsmittelkonzern Nestlé. Dieser steht mit der Fortführung von Teilen seines ...
Kinderfotos aus der Nestlé-Werbung werden mit schrecklichen Bildern von kriegsverletzten Kindern in der Ukraine kombiniert. Die ukrainische Regierung hat damit begonnen, den Schweizer Nahrungsmittelkonzern Nestlé an den Pranger zu stellen.
Kiev accuse la multinationale de contribuer à financer Moscou et donc la guerre, mais l'entreprise explique avoir réduit ses activités aux biens de première ...
Il y aune semaine, Nestlé avait annoncé suspendre la livraison de biens de consommation courants vers la Russie, comme ses capsules de café, mais continue à le faire pour des aliments de première nécessité comme les aliments pour bébés, les céréales ou les aliments thérapeutiques pour les animaux. Puis le ministre des Affaires étrangères Dmytro Kuleba pris le relais: «En refusant d’arrêter les activités commerciales en Russie, Nestlé permet à la guerre d’agression de la Russie en Europe de se poursuivre. Le premier ministre et le ministre des Affaires étrangères ukrainiens s’en sont pris directement à Nestlé hier.
Der Schweizer Nahrungsmittelkonzern hat den Zorn von Ukraines Präsident Wolodimir Selenski auf sich gezogen. Nestlé sollte jetzt nachholen, was es längst ...
Nestlé sollte jetzt nachholen, was es längst hätte tun sollen: In Russland nur noch Grundnahrungsmittel verkaufen. Aber dass Nestlé mit entbehrlichen Produkten wie Schokolade und Glace in Russland auch drei Wochen nach Kriegsbeginn weiter Umsatz macht, ist unverständlich. Schon in normalen Zeiten machen es sich die Konzerne damit zu einfach.
Westliche Unternehmen, die weiterhin in Russland tätig sind, geraten immer stärker unter Druck. Nestlé finanziere jedes Jahr 500 Panzer, ...
«Firmen, die jetzt noch in Russland sind, finanzieren die Armee und den Beschuss ukrainischer Städte.» Für solche Forderungen hat Nestlé kein Gehör. Die Massnahmen in Russland seien bekannt, teilt Sprecher Christoph Meier auf Anfrage lediglich mit. «Darum glauben wir, dass diese halbherzigen Massnahmen nicht ausreichen.» Nestlé verkaufe in 186 Ländern seine Waren: «Machen Sie 185 daraus.» Kitkat-Verkauf und Krieg – das passt für den Lebensmittelkonzern weiterhin gut zusammen. Russland sei für Zerstörung, den Tod von Tausenden und humanitäre Katastrophen verantwortlich. Firmen wie Nestlé, die weiterhin in Russland tätig seien, sorgten dort für Steuereinnahmen. «Sie müssen verstehen, dass Wladimir Putin mit diesem Geld Granaten kauft, um unsere Kinder zu töten», wird Oleksij Danilow, der Sekretär des Nationalen Sicherheits- und Verteidigungsrates, zitiert. Der Effekt dieser Massnahmen ist aber bescheiden, denn 90 Prozent der in Russland verkauften Produkte werden lokal produziert und die Rohstoffe grösstenteils vor Ort bezogen. Eine unabhängige Verifizierung der Zahlen ist allerdings nicht möglich. Sie scheinen deutlich zu hoch gegriffen zu sein. Wolodimir Selenskyj hat kein Verständnis für westliche Firmen, die in Russland tätig sind. «Das ist kein Geheimnis: Nestlé, Mondelez und weitere grosse Lebensmittelfirmen», zählt Selenskyj auf. Davon könne sich Russland über 500 Panzer kaufen, heisst es. Noch mehr Steuereinnahmen hätten nur wenige westliche Firmen abgeliefert – allen voran die Tabakriesen Philip Morris (4.8 Milliarden US-Dollar) und Japan Tobacco (3.6 Milliarden US-Dollar). Ebenfalls für nennenswerte Steuereinnahmen hätten die Lebensmittelkonzerne Pepsico (810 Millionen US-Dollar) und Mars (445 Millionen US-Dollar) gesorgt.
Der Schweizer Lebensmittelkonzern Nestlé liefert seit kurzem nur noch Grundnahrungsmittel nach Russland. Das ist dem Präsidenten der Ukraine nicht genug.
«Grosse Unternehmen finanzieren noch immer die russische Kriegsmaschinerie, obwohl sie sich schon längst aus Russland hätten zurückziehen sollen.» Die Namen würden alle kennen. Zudem gewähren wir den ukrainischen Flüchtlingen in vielen Ländern Unterstützung», sagt ein Sprecher zu Blick. (mrl/pbe) Nestlé hat in Russland 7000 Angestellte.
Der ukrainische Präsident sagt: Wer weiterhin in Russland Geschäfte macht, finanziert den Krieg. Nestlé gibt sich unbeeindruckt.
Wolodimir Selenski hat kein Verständnis für westliche Firmen, die in Russland tätig sind. Westliche Unternehmen, die weiterhin in Russland tätig sind, geraten immer stärker unter Druck. Nestlé finanziere jedes Jahr 500 Panzer, wirft ein ukrainisches Medium dem Konzern vor. Exklusiv für Abonnenten