Le Conseil d'Etat vaudois bascule à droite. La socialiste sortante Cesla Amarelle n'a pas été réélue dimanche lors du deuxième tour.
Après l'élection de la PLR sortante Christelle Luisier au premier tour, les socialistes sortantes Nuria Gorrite (91 690) et Rebecca Ruiz (90 556) ont terminé en tête dimanche devant les deux conseillers nationaux PLR Isabelle Moret (87 646 voix) et Frédéric Borloz (87 372 ).Arrivé en cinquième position, le Vert Vassilis Venizelos, relativement discret pendant la campagne, a réussi à redresser la barre par rapport au premier tour. La centriste Valérie Dittli a créé une énorme surprise en accédant dimanche au Conseil d'Etat. La socialiste sortante Cesla Amarelle reste sur la touche de même que le candidat UDC.Trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste composent désormais le gouvernement vaudois. La centriste Valérie Dittli créé la surprise
Nach der Auszählung von rund der Hälfte der Wahllokale hat die bürgerliche Allianz im zweiten Wahlgang der Waadtländer Staatsratswahlen die Nase vorn.
Die bisherige FDP-Staatsrätin Christelle Luisier hatte als Einzige bereits in der erste Runde am 20. Für die Linke ist das eine historische Niederlage: Die bisherige SP-Bildungsdirektorin Cesla Amarelle wurde deutlich abgewählt. Die Wahlbeteiligung liegt bei schätzungsweise 39 Prozent. Sie ist damit im Vergleich zum ersten Wahlgang um 5 Prozentpunkte gestiegen.
Die bürgerliche Alliance Vaudoise hat die rotgrüne Mehrheit im Waadtländer Staatsrat gesprengt – konnte aber selbst keine Mehrheit realisieren.
Die Bürgerlichen haben damit neu eine Mehrheit im Staatsrat. Abgewählt wurde SP-Bildungsdirektorin Cesla Amarelle. Sie erhielt nur 46,2 Prozent der Stimmen. Aussen vor bleibt SVP-Mann Michaël Buffat. Er machte rund 44,6 Prozent der Stimmen. (wap) Die bürgerliche Alliance Vaudoise hat die Mehrheit im neuen Waadtländer Regierungsrat. SP-Bildungsdirektorin Cesla Amarelle wurde abgewählt.
Les candidatures au 2e tour ; Isabelle Moret. PLR ; Frédéric Borloz. PLR ; Nuria Gorrite · PS ; Rebecca Ruiz · PS ; Michaël Buffat. UDC.
Frédéric Borloz et Cesla Amarelle se sont affrontés sur le devenir de l’école. Enfin, j'observe un soupçon de décalage chez les socialistes, entre les préoccupations du peuple de gauche -des travailleurs et des travailleuses- et leurs représentants.» La deuxième ville du canton n'a pas changé d'opinion entre les deux tours. Si l'alliance rose-verte reste en tête et si la participation augmente d'un peu plus de 3%, l'ordre des candidats ne change pas. Manque la deuxième ville du canton, celle de Cesla Amarelle justement Au stamm de la gauche, les bouquets de fleurs, les bouquets font grise mine. La Ministre socialiste de l'enseignement et de la culture conserve, elle, un retard de 4'200 suffrages, qui semble difficile à combler. Les deux natifs de la place, Vassilis Venizelos et Cesla Amarelle arrivent, seulement, respectivement 3e et 4e. Avec Lutry, l'écart se creuse encore pour Cesla Amarelle, qui retarde de 4'400 suffrages sur Valérie Dittli. Ne manques plus que Morges: la socialiste va bel et bien quitter le gouvernement. Au stamm de la gauche, c'est le choc. Amarelle Cesla (PS) Les électeurs de Morges ont encore plus distancé Cesla Amarelle, qui arrive 6e dans la Coquette
La socialiste sortante Cesla Amarelle reste sur la touche de même que le candidat UDC Michaël Buffat. - Trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste composent désormais le gouvernement. Après l'élection de la PLR sortante Christelle Luisier au ...
Avec 81'509 voix, il sauve le siège que son parti occupe depuis 28 ans au Conseil d'Etat. - Trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste composent désormais le gouvernement. - Le gouvernement vaudois bascule à droite.
Valérie Dittli et Cesla Amarelle sont à la lutte pour la dernière place au Conseil d'Etat vaudois. Alors qu'il reste peu de communes à dépouiller, ...
Avec 81 509 voix, il sauve le siège que son parti occupe depuis 28 ans au Conseil d'Etat. Tout s'est joué ensuite entre la nouvelle venue, Valérie Dittli, et la socialiste sortante Cesla Amarelle. L'Alliance de droite a placé Valérie Dittli, 29 ans (80 431 voix) , quasi inconnue avant le scrutin et qui n'a jamais occupé de mandat électoral. La présidente du micro-parti du Centre (ex-PDC), a été préférée à son colistier UDC, Michaël Buffat, arrivé en huitième et dernière position (73'374). Trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste composent désormais le gouvernement vaudois.
La gauche ne sera plus majoritaire au gouvernement vaudois pour la législature 2022-2027. La sortante socialiste Cesla Amarelle n'a pas été réélue, ...
Les deux PLR Isabelle Moret (53,4%) et Frédéric Borloz (53,33%) suivent. A Vevey, c'est un vote compact pour le ticket de gauche qui est sorti en tête. Nuria Gorrite, Rebecca Ruiz, Vassilis Venizelos et Cesla Amarelle se retrouvent aux quatre premières places. Huit candidats sont en lice pour ravir un siège lors de ce deuxième tour. Il s'agit déjà de savoir si la gauche va parvenir à conserver la majorité, après un premier tour plutôt favorable à l'alliance PLR-Centre-UDC. Autre enjeu: celui de la participation. On devrait connaître la composition du gouvernement de la législature 2022-2027 en milieu d'après-midi. C'est toujours le PLR Frédéric Borloz qui domine la course avec 56,90% des voix. Le contenu de 47% des enveloppes est déjà connu. Les socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz restent en tête avec plus de 55% des voix. Michaël Buffat, le candidat UDC, complète les six premières places avec 48,2% des suffrages. Avec la seule commune restante, les résultats ne devraient plus évoluer. Les deux PLR Frédéric Borloz (56,25%) et Isabelle Moret (56,17%) sont toujours en tête. Les deux socialistes remontent, notamment grâce au vote des villes : Nuria Gorrite (53,4%) et Rebecca Ruiz (52,7%). Vassilis Venizelos remonte (49,28%), Valérie Dittli baisse (49%). Celsa Amarelle reste encore hors des places élective (46%) et c'est désormais l'UDC Michaël Buffat qui clôt le classement (44,7%).
Après onze ans de pouvoir, la gauche perd la majorité au gouvernement vaudois.
Elle paie aussi la crise du covid, qui a fâché de nombreux parents qui ne comprenaient pas les décisions prises dans les écoles. Son grand défi sera de réussir à trouver sa place au sein du nouveau gouvernement et de pouvoir s’imposer face aux chefs de service expérimentés. Après onze ans de pouvoir, la gauche perd la majorité au gouvernement vaudois.
L'Alliance de Gauche avait largement les moyens de conserver la majorité ce dimanche dans le canton de Vaud. Mais son électorat s'est détourné d'une de ses ...
Mais son électorat s’est détourné d’une de ses élues d’une manière incompréhensible. Cette situation relève d’un sabordage, qui laissera des traces dans les esprits. C’est bien davantage que Christelle Luisier (PLR) élue au premier tour avec 50%. L’écologiste Vassilis Venizelos, qui n’était de loin pas le favori des bookmakers, a réussi à revenir dans la course en passant de la 9e à la 6e place. L’appel a été lancé de voter compact à gauche, comme à droite.
L'outsider Valérie Dittli plutôt que la sortante Cesla Amarelle: le pari est réussi. Minoritaire depuis 2011, la droite vaudoise, tractée par le PLR, ...
Après le dépouillement de plus de 95% des bulletins, dont ceux de la ville de Lausanne, la socialiste Nuria Gorrite est en tête de l'élection vaudoise, ...
Avec 81'509 voix, il sauve le siège que son parti occupe depuis 28 ans au Conseil d'Etat. - Trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste composent désormais le gouvernement. - Le gouvernement vaudois bascule à droite.
Valérie Dittli et Cesla Amarelle sont à la lutte pour la dernière place au Conseil d'Etat vaudois. Alors qu'il reste peu de communes à dépouiller, ...
Cesla Amarelle ne cachait pas sa tristesse après sa non-réélection, estimant payer le prix fort d'un département très exposé, notamment durant la pandémie. Les deux plaintes pénales, déposées contre elle avant le 1er tour, ont certainement aussi joué un rôle dans son score, estime-t-elle. Présidente du micro parti vaudois du Centre (ex-PDC), elle n'a jamais occupé de mandat électoral. Tout s'est finalement joué entre la nouvelle venue, Valérie Dittli, et Cesla Amarelle, au Conseil d'Etat depuis 2017. Après onze ans de majorité de gauche, le Château cantonal repasse à droite, mais cela se fera sans l'UDC, qui subit une nouvelle déconvenue électorale. Valérie Dittli "peinait à réaliser" dimanche ce qui lui arrive. Il sauve le siège écologiste que son parti occupe sans interruption depuis 28 ans.
Les Vaudoises et les Vaudois élisent leur nouveau gouvernement en ce dimanche 10 avril. Ils doivent encore attribuer six sièges du Conseil d'Etat, ...
Les deux PLR Isabelle Moret (53,4%) et Frédéric Borloz (53,33%) suivent. A Vevey, c'est un vote compact pour le ticket de gauche qui est sorti en tête. Nuria Gorrite, Rebecca Ruiz, Vassilis Venizelos et Cesla Amarelle se retrouvent aux quatre premières places. Huit candidats sont en lice pour ravir un siège lors de ce deuxième tour. Il s'agit déjà de savoir si la gauche va parvenir à conserver la majorité, après un premier tour plutôt favorable à l'alliance PLR-Centre-UDC. Autre enjeu: celui de la participation. On devrait connaître la composition du gouvernement de la législature 2022-2027 en milieu d'après-midi. C'est toujours le PLR Frédéric Borloz qui domine la course avec 56,90% des voix. Le contenu de 47% des enveloppes est déjà connu. Les socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz restent en tête avec plus de 55% des voix. Michaël Buffat, le candidat UDC, complète les six premières places avec 48,2% des suffrages. Avec la seule commune restante, les résultats ne devraient plus évoluer. Les deux PLR Frédéric Borloz (56,25%) et Isabelle Moret (56,17%) sont toujours en tête. Les deux socialistes remontent, notamment grâce au vote des villes : Nuria Gorrite (53,4%) et Rebecca Ruiz (52,7%). Vassilis Venizelos remonte (49,28%), Valérie Dittli baisse (49%). Celsa Amarelle reste encore hors des places élective (46%) et c'est désormais l'UDC Michaël Buffat qui clôt le classement (44,7%).
Ejectée du Conseil d'Etat, la socialiste sortante fait les frais de la grogne du monde enseignant.
Il s’agit de mon premier échec électoral. J’avais toujours été élue du premier coup, à la députation, au Conseil national, au Conseil d’Etat. Là, c’est un coup d’arrêt. Mais, ce lundi, je serai à mon bureau. Je pense qu’il y a une combinaison d’éléments différents. Il y a eu la gestion de la pandémie, avec certaines mesures comme le port du masque pour les enfants qui ont suscité l’incompréhension des parents. Il souhaite un changement à la tête du Département de la formation, en mains socialistes depuis 1994. Enfin, il y a eu une récupération politique de deux plaintes pénales déposées contre moi. Ce fut une campagne fébrile, pour le parti, mais surtout autour de ma personne. Ce chiffre de 3000, c’est également le nombre de fois où j’ai été biffée sur des listes de gauche.
Avec ses colistiers, la ministre sortante est allée saluer les militants. Digne, elle reconnaît que l'école est probablement la cause de son échec.
Les paroles choisies, celles de sa défaite et de la perte de la majorité au Conseil d’État. Élections cantonalesUn après-midi lourd et rempli d’émotion pour Cesla Amarelle Élections cantonales - Un après-midi lourd et rempli d’émotion pour Cesla Amarelle
Le gouvernement vaudois bascule à droite. La centriste Valérie Dittli a créé une énorme surprise en accédant dimanche au Conseil d'Etat.
Cesla Amarelle ne cachait pas sa tristesse après sa non-réélection, estimant payer le prix fort d'un département très exposé, notamment durant la pandémie. Les deux plaintes pénales, déposées contre elle avant le 1er tour, ont certainement aussi joué un rôle dans son score, estime-t-elle. Tout s'est finalement joué entre la nouvelle venue, Valérie Dittli, et Cesla Amarelle, au Conseil d'Etat depuis 2017. Présidente du micro parti vaudois du Centre (ex-PDC), elle n'a jamais occupé de mandat électoral. Après onze ans de majorité de gauche, le Château cantonal repasse à droite, mais cela se fera sans l'UDC, qui subit une nouvelle déconvenue électorale. Il sauve le siège écologiste que son parti occupe sans interruption depuis 28 ans. Le gouvernement vaudois bascule à droite.
L'Alliance Vaudoise place quatre de ses cinq candidats au château cantonal: Valérie Dittli (Le Centre) entre au détriment de son allié Michaël Buffat (UDC) ...
Les listes du POP et d'Ensemble à Gauche faisaient plus de 6215 bulletins au premier tour, un réservoir sur lequel le camp rose-vert a compté, et a courtisé. La hausse de la participation et le report des voix du premier tour n'a pas été bénéfique pour tout le monde. Frédéric Borloz connaît les personnes et problématiques de cette région. Et il amène aussi une forme d’équilibre: il est à la tête d’une PME, il a mis les mains dans le cambouis. Je crois que le message de la population est qu’il faut des changements dans ce domaine.» Maintenant, c'est à la droite de prendre ses responsabilités.» La participation plus importante que prévu témoigne de l’intérêt que le scrutin a rencontré au près de la population vaudoise et de l’intérêt qu’a suscité l’Alliance des trois partis. «C’est une porte d’entrée pour les acteurs de la région, note le syndic de Leysin. Ces dernières années, nous avons été entendus, mais il a fallu travailler pour construire une relation. Si Frédéric Borloz permet au Chablais de faire un retour dans le gouvernement vaudois, 26 ans après la démission de Jacques Martin, le Conseiller national PLR est également le 5e natif d’Aigle à accéder à cette échelon de la politique cantonale. Le PLR salue l’enthousiasme et l’engagement de ses militants et militantes aux quatre coins du canton tout au long de cette campagne à suspense. Elle estime que Cesla Amarelle a été "ciblée" Le Parti vert’libéral souhaite plein succès aux Conseillères et Conseillers d’Etat élus pour la prochaine législature» À l’époque, celui-ci en compte même deux: le Bellerin Pierre-François Veillon et le Gryonnais Jacques Martin.
La socialiste n'a de loin pas fait le plein de suffrages dans son propre camp. Elle est devancée d'un peu plus de 4000 voix par la centriste Valérie Dittli.
Le gouvernement vaudois bascule à droite. La centriste Valérie Dittli, 29 ans, a créé une énorme surprise en accédant dimanche au Conseil d'Etat.
Cesla Amarelle ne cachait pas sa tristesse après sa non-réélection, estimant payer le prix fort d'un département très exposé, notamment durant la pandémie. Les deux plaintes pénales, déposées contre elle avant le 1er tour, ont certainement aussi joué un rôle dans son score, estime-t-elle. Tout s'est finalement joué entre la nouvelle venue, Valérie Dittli, et Cesla Amarelle, au Conseil d'Etat depuis 2017. Présidente du micro parti vaudois du Centre (ex-PDC), elle n'a jamais occupé de mandat électoral. Après onze ans de majorité de gauche, le Château cantonal repasse à droite, mais cela se fera sans l'UDC, qui subit une nouvelle déconvenue électorale. Il sauve le siège écologiste que son parti occupe sans interruption depuis 28 ans. Le gouvernement vaudois bascule à droite.
A la surprise générale, la droite vaudoise reprend la majorité à l'exécutif lors des élections cantonales. La victoire de Valérie Dittli (Centre) et ...
La majorité féminine, une des plus élevées de Suisse – 5 femmes sur 7 ministres – est maintenue. A la surprise générale, la droite vaudoise reprend la majorité à l’exécutif lors des élections cantonales. Elections>> Après dix ans de minorité, la droite vaudoise reprend la main au Conseil d’Etat vaudois.
Après dix ans de minorité, la droite vaudoise reprend la main au Conseil d'Etat vaudois. Lors du deuxième tour dimanche, la socialiste Cesla Amarelle n'a ...
Après dix ans de minorité, la droite vaudoise reprend la main au Conseil d’Etat vaudois. C’est comme si une parenthèse de gauche se refermait, co...
Entre la sensation Valérie Dittli et la non-réélection de Cesla Amarelle, la presse revient lundi sur les élections vaudoises. Des élections qui ont abouti ...
Selon le quotidien zurichois, le PS s'est contenté de "défendre ses acquis" sans apporter de nouveaux arguments aux électeurs. Il reproche aussi aux socialistes de ne pas avoir assez soutenu Cesla Amarelle dans sa gestion de l'école vaudoise, et d'avoir considéré les Verts comme un simple "partenaire junior." "Durant des années, les candidats UDC ont fait les porteurs d'eau pour les élus PLR. Cette fois, l'UDC fait encore mieux, elle permet l'accession au Conseil d'Etat d'une candidate (la centriste Valérie Dittli) qui n'a pas de socle électoral dans le canton de Vaud. La pilule est dure à avaler", remarque 24 heures. Pour La Région, les 15'000 voix qui séparent Cesla Amarelle de ses colistières socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz sont "un gouffre qui ressemble à une sanction." Les journaux reviennent surtout sur l'éviction de Cesla Amarelle, qui a fait les frais d'un département très exposé, celui de la formation. Entre la sensation Valérie Dittli et la non-réélection de Cesla Amarelle, la presse revient lundi sur les élections vaudoises. "Beaucoup d'observateurs lui reprochent un manque d'humilité, pour ne pas parler d'arrogance. Il faut aussi reconnaître qu'onze ans de pouvoir, cela use", écrit le journal.