L'ex-procureur, conseiller d'Etat, conseiller aux Etats (PLR/Tessin) et rapporteur du Conseil de l'Europe, serait menacé de mort par des éléments radicaux des ...
Dans ce contexte, le Ministère public de la Confédération, Fedpol et les autres autorités partenaires ont mis en place un vaste dispositif de mesures." "Cela signifie que le Procureur de le Confédération ne se rendra pas en Serbie et qu’il ne déposera pas une demande d’assistance judiciaire et que Berne renonce à une action diplomatique. Dominique de Buman, ancien conseiller national et ex-vice-président du PDC, estime qu’il y a un risque que la situation s’enlise. "Une personne comme Dick Marty ne peut pas être laissée en plan. La Suisse craint-t-elle d’envenimer ses relations avec la Serbie alors que Berne est candidate à un siège au Conseil de sécurité de l'ONU? Le DFAE craint-il de provoquer une crise entre Pristina et Belgrade? Mise au Point a demandé au DFAE si des considérations politiques expliquaient l’absence d’action diplomatique. On ne peut pas tolérer ça et moi il me semble qu'on est en train de le faire." Tout cela malgré l'existence d'indices concrets d’un projet d'assassinat d'un ancien rapporteur du Conseil de l'Europe et sénateur suisse par les services de renseignement d'un pays étranger et des tueurs professionnels!" L'assassinat de Dick Marty aurait été confié à des hommes serbes qui exécutent depuis longtemps de telles missions pour les services secrets serbes et qui ont été formés par ces derniers. Il ne s’agit pas uniquement de ma personne. Il ne s’agit pas uniquement de ma personne. "Fin 2020, il m’a envoyé un message crypté me demandant de ne plus entrer en contact avec lui", confirme Franco Cavalli, ancien conseiller national socialiste qui est également son ami. Ça n’a jamais existé en Suisse que quelqu’un reste aussi longtemps à un tel degré de danger." Mais les mesures de protection sont toujours aussi importantes.
Der Ex-Ständerat, der Kriegsverbrechen in Kosovo untersuchte, wird rund um die Uhr bewacht – zeitweise von der Armee. Die Bundesanwaltschaft ermittelt.
L'ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) vit sous très haute protection policière depuis décembre 2020 en raison d'une menace jugée sérieuse .
En raison du "contexte transnational présumé", le cas présente également une composante politique, ajoute-t-il sans s'exprimer de manière plus concrète. A côté des aspects pénaux, il s'agit de garantir la protection des personnes. Aujourd’hui, les policiers en civil ne sont plus à demeure.
Der Ex-Sonderermittler und ehemalige FDP-Ständerat Dick Marty steht seit Dezember 2020 unter verstärkten Personenschutz. Der Grund: Eine «ernstzunehmende ...
Über die Festtage 2020 sei Marty nach einem bundesrätlichen Eilentscheid kurzfristig sogar von Elitesoldaten der Schweizer Armee bewacht worden, hiess es im Zeitungsbericht vom Samstag weiter. Zu diesem Aspekt äusserte sich die Bundesanwaltschaft auf Anfrage nicht. Die Anschuldigungen Martys wies der ehemalige Rebellenführer zurück. Er verzichtete aber auf eine angekündigte Klage gegen Marty.
Viereinhalb Monate lang hätten er und seine Frau «bis an die Zähne bewaffnete Polizisten» im Haus beherbergt. Auch heute seien die Schutzmassnahmen noch ...
Bei seinen seltenen Reisen trage er eine kugelsichere Weste. Sein Auto sei gepanzert und er werde von Autos begleitet, in denen zivil gekleidete Polizisten sitzen. Zudem sei das Haus mit einem «safe room» ausgestattet, in den er notfalls flüchten könne. In der Umgebung seien Polizisten in Zivil postiert. Marty sagte gegenüber dem Westschweizer Fernsehen, er sei all den Menschen, die seinen Schutz gewährleisteten, sehr dankbar. Marty war 2010 zum Schluss gekommen, dass Teile der Führung der kosovarischen Befreiungsarmee UCK während des Kosovo-Krieges von 1998 bis 1999 Kriegsverbrechen begangen hatten. Sein Wohnhaus sei mit Kameras und Alarmanlagen gespickt. Konkreter äussert sie sich nicht.
Cet arsenal de mesures comprend notamment la sécurisation de l'environnement immédiat de l'ancien rapporteur du Conseil de l'Europe, a indiqué samedi soir ...
Bundesanwaltschaft – Wegen einer "ernstzunehmenden Bedrohungssituation" steht der ehemalige Tessiner FDP-Ständerat und Sonderermittler Dick Marty seit ...
Bei seinen seltenen Reisen trage er eine kugelsichere Weste. Sein Auto sei gepanzert und er werde von Autos begleitet, in denen zivil gekleidete Polizisten sitzen. Zudem sei das Haus mit einem "safe room" ausgestattet, in den er notfalls flüchten könne. In der Umgebung seien Polizisten in zivil postiert. Marty sagte gegenüber dem Westschweizer Fernsehen, er sei all den Menschen, die seinen Schutz gewährleisteten, sehr dankbar. Zu diesem Aspekt äusserte sich die Bundesanwaltschaft auf Anfrage nicht. "Aber es ist klar, dass es nicht endlos so weitergehen kann." Marty war 2010 zum Schluss gekommen, dass Teile der Führung der kosovarischen Befreiungsarmee UCK während des Kosovo-Krieges von 1998 bis 1999 Kriegsverbrechen begangen hatten.
L'ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) vit sous très haute protection policière depuis décembre 2020 en raison d'une menace jugée 'sérieuse'.
A côté des aspects pénaux, il s'agit de garantir la protection des personnes. Des policiers en civil sont postés aux alentours. Aujourd’hui, les policiers en civil ne sont plus à demeure.
L'ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) vit sous très haute protection policière depuis décembre 2020 en raison d'une menace jugée "sérieuse".
En raison du "contexte transnational présumé", le cas présente également une composante politique, ajoute-t-il sans s'exprimer de manière plus concrète. Cité sur le site de la RTS, Dick Marty est plus précis. Lui et sa femme ont accueilli chez eux des policiers "armés jusqu’aux dents", pendant quatre mois et demi. Aujourd’hui, les policiers en civil ne sont plus à demeure.
L'ancien procureur serait la cible de la pègre serbe, qui voudrait l'éliminer après qu'il a révélé les exactions de l'armée de libération du Kosovo.
Pourquoi l’ancien conseiller aux Etats (PLR/Tessin) qui a aussi été à l’Exécutif cantonal, serait visé par de telles menaces? «Dick Marty doit être assassiné sur ordre des services secrets serbes. L’ancien procureur serait la cible de la pègre serbe, qui voudrait l’éliminer après qu’il a révélé les exactions de l’armée de libération du Kosovo. Une information de «Mise au point».
Le Ministère public de la Confédération a indiqué samedi soir qu'un large dispositif de mesures est en place depuis 2020 pour l'ancien conseiller aux États.
En raison du «contexte transnational présumé», le cas présente également une composante politique, ajoute-t-il sans s’exprimer de manière plus concrète. Cité sur le site de la RTS, Dick Marty est plus précis. Lui et sa femme ont accueilli chez eux des policiers «armés jusqu’aux dents», pendant quatre mois et demi. Le MPC confirme que la situation a été jugée «sérieuse» en décembre 2020.
Un ex-procureur suisse réputé pour ses enquêtes internationales, y compris sur le trafic d'organes au Kosovo, a révélé être menacé de mort par des « milieux ...
» Fin 2020, le tribunal spécial pour le Kosovo, instance de droit kosovar installée à La Haye par souci de protection des témoins et chargée d’enquêter sur les crimes présumés commis par l’UCK pendant et après le conflit de 1998-99, a inculpé de crimes de guerre l’ancien chef de l’UCK Hashim Thaçi, devenu président du Kosovo, et ce dernier a dû démissionner de son poste. Ancien rapporteur du Conseil de l’Europe, M. Marty a enquêté sur les centres de détention secrets de la CIA en Europe et sur des crimes présumés commis par l’ancienne guérilla kosovare de l’UCK dont un trafic d’organes prélevé sur des prisonniers essentiellement serbes à la fin des années 90.
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto samedi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher le 4, 12, 15, 21, 32 et 33.
Selon un document du MPC que la RTS a pu se procurer, une source confidentielle aurait indiqué en 2020 aux services de renseignement suisses: "Dick Marty doit être assassiné sur ordre des services secrets serbes", et "afin de profiter de l'attention de la presse liée à l'inculpation de Hashim Thaci, le meurtre devrait être présenté comme étant imputable au gouvernement kosovar/albanais (ex-UCK) afin de le discréditer au niveau international." Le danger était alors qualifié de degré 5, le maximum. Le Ministère public de la Confédération (MPC) a confirmé l'existence d'une "menace sérieuse" à l'encontre de l'ancien procureur général du canton du Tessin depuis fin 2020, et la mise en place d'"un vaste dispositif de mesures".
L' ex-procureur suisse réputé pour ses enquêtes internationales, y compris sur le trafic d'organes au Kosovo, a révélé être menacé de mort par des «milieux ...
Une automobiliste de 55 ans s'est retrouvée dans une position inconfortable vendredi après-midi après une sortie de route entre Remigen et Mönthal.
Pour les hôpitaux, c'est un signal d'alarme", résume la scientifique. L'équipe de scientifiques a donc confronté certaines données météorologiques et les cas de grippe enregistrés quotidiennement durant trois années au CHUV, selon cette étude publiée dans le Journal of the Royal Statistical Society. Concrètement, le modèle indique le nombre de cas positifs qui pourrait être dépassé avec une probabilité de 1%, 5% ou 10%. Il donne aussi la valeur maximale du nombre de cas positifs qui pourrait être observée à un horizon de 10 ou 30 jours.
Protection » L'émission Mise au point de la RTS a révélé que l'ex-procureur Dick Marty, 77 ans, ancien conseiller aux Etats (plr, TI), réputé pour ses ...
Trafic d'organes : Dick Marty s'explique Trafic d'organes : le Conseil de l'Europe adopte le rapport de Dick Marty.
Depuis décembre 2020, Dick Marty est placé sous très haute protection policière, chez lui, en Suisse. L’ancien procureur suisse, ancien conseiller d’État, conseiller aux États (PLR/Tessin) et rapporteur du Conseil de l’Europe, serait menacé de mort par certains éléments des services de renseignement serbes. Dick Marty, l’ancien rapporteur du Conseil de l’Europe qui a révélé les crimes de guerre imputés à l’UÇK, serait menacé de mort par les services de renseignement serbes, qui voudraient faire porter au Kosovo la responsabilité de son élimination. Les révélations de la RTS. Crimes de guerre au Kosovo : les services secrets serbes veulent-ils la peau de Dick Marty ?