Si Ségolène Royal assure voter Emmanuel Macron au deuxième tour, elle en profite pour faire passer un message. "Je regrette profondément pour la France et pour ...
Sérieusement, si on veut sortir de tout ça, comment on peut accepter l'idée - on peut ne pas aimer le Rassemblement National - qu'ils aient moins de 10 députés sur 577 ?" Ce à quoi répond Ségolène Royal : "À eux de faire campagne pour gagner des circonscriptions." Ségolène Royal s'agace des divisions au sein de la gauche. "Je regrette profondément pour la France et pour le reste du monde" que Marine Le Pen soit à nouveau face au président-sortant. Pour l'ancienne finaliste à l'élection présidentielle, "cette situation pouvait être parfaitement évitée."
L'ancienne ministre de l'Environnement a des mots durs pour les candidats de la gauche en ce lundi matin. « Ils pouvaient faire barrage à Marine Le Pen par ...
Elle tacle ensuite les candidats de gauche, Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (Parti communiste) et Anne Hidalgo (PS). « (Ils sont) en dessous des 5 % appellent au barrage à Marine Le Pen? Ils pouvaient le faire par l’union en se retirant. « Leurs frais de campagne ne seront même pas remboursés. Aujourd'hui ils se seraient retirés, on aurait Jean-Luc Mélenchon au second tour », affirme-t-elle. Honte à eux, à leur égo ».
Invitée à réagir aux résultats de l'élection présidentielle, à l'antenne de "BFMTV", ce lundi 11 avril, Ségolène Royal n'a pas hésité de nommer les ...
à cause de leur égo, de leur manque de perspicacité, à cause du calcul de la troisième manche", commence Ségolène Royal. Une gauche divisée qui va avoir de lourdes conséquences financières. En dessous de 5% des votes, les candidats sont dans l'obligation de rembourser leurs frais de campagne. Le président sortant, Emmanuel Macron, va affronter, pour la seconde fois, Marine Le Pen, au second tour de l'élection présidentielle. Il y a cinq ans, les Français avaient tranché et décidé d'envoyer le candidat de LREM à l'Élysée. Le même schéma va-t-il se reproduire le 24 avril prochain ? En attendant, l'heure est au bilan pour les partis politiques perdants.
Ils se seraient retirés, on aurait Jean-Luc Mélenchon au second tour», a déploré l'ancienne ministre sur BFM-TV.
« Ce qui est dramatique c'est que ces candidats sont en dessous de 5%, alors qu'on sentait une attente de l'électorat à une union des gauches », a déploré Ségolène Royal. Elle dénonce le « manque de perspicacité » des trois candidats. « Ils se seraient retirés, on aurait Jean-Luc Mélenchon au second tour », affirme l'ancienne ministre de l'Environnement. Il ne manquait au candidat insoumis qu'un peu plus de 500 000 voix pour passer devant Marine Le Pen et ainsi accéder au second tour. Invitée de BFMTV ce lundi 11 avril, l'ex-candidate socialiste a fustigé les « egos » de Yannick Jadot, Fabien Roussel et Anne Hidalgo, qui ont respectivement recueilli 4,63%, 2,28% et 1,75% des voix au premier tour de la présidentielle dimanche soir.
L'ancienne ministre de l'Écologie n'a pas mâché ses mots contre les trois candidats de gauche, qui ont recueilli moins de 5% des voix.
La France (aurait pu) bénéficier d'un vrai débat de fond", estime l'ancienne socialiste. Ce n'est pas l'histoire qui est au service de votre petit égo", dénonce-t-elle. "Ce qui est dramatique, c'est qu'aujourd'hui des candidats qui sont en dessous de 5% (...) n'ont pas été capable (...) à cause de leurs égos ou de leur manque de perspicacité" de retirer leurs candidatures, a pointé Ségolène Royal, chez nos confrères de BFMTV. "Quand on est candidat à l'élection présidentielle pour un courant politique, on est au service de cette histoire.
Ce dimanche se déroulait le premier tour de l'élection présidentielle française, qu'Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont remporté. Jean-Luc Mélenchon est, ...
La candidate socialiste à la présidentielle de 2007 avait publiquement soutenu le candidat LFI Jean-Luc Mélenchon en février, provoquant la colère d'Anne ...
Ségolène Royal avait estimé en février que "le vote utile à gauche, c'est le vote Mélenchon". "C'est lui qui fait la meilleure campagne. C'est lui le plus solide", avait-t-elle assuré sur BFMTV. "Si la gauche veut être au second tour, il faut que les responsables se réunissent, en regardant ce qui nous rassemble et non ce qui nous divise, et le vote utile à gauche c'est Jean-Luc Mélenchon", a ajouté Ségolène Royal. Il y a une aspiration profonde à changer de modèle et la gauche n'a pas été capable de s'unir."
Ce lundi 11 avril, au lendemain du premier tour, Ségolène Royal était invitée sur le plateau de BFMTV pour réagir à la défaite du candidat de La Fr...
C’est-à-dire de bien comprendre que lorsqu’on est candidat à une élection présidentielle pour un courant politique, on est au service de cette histoire, ce n’est pas l’histoire qui est au service de votre petit égo !” Et de conclure, tranchante : “ Ils se seraient retirés, on aurait eu Jean-Luc Mélenchon au second tour, c’est-à-dire que la France aurait pu bénéficier d’un vrai débat de fond, de choix, de valeurs et de stratégies par rapport à l’attente du pays. Invitée sur le plateau de BFMTV, lundi 11 avril, Ségolène Royal a pourtant assuré que ce schéma aurait pu être évité si la gauche avait joué davantage en collectif : “Ils n’ont pas été capables à cause de leurs égos, à cause de leur manque de perspicacité…” Selon elle, celui-ci aurait pu se hisser à la seconde place si la gauche n’avait pas été aussi fragmentée…