Les ZSC Lions ont battu Zoug mercredi soir au Hallenstadion lors de l'acte II de la finale des play-off de National League. Ils mènent 2-0 dans la série.
Ils ont d’ailleurs profité de leur deuxième supériorité numérique pour égaliser grâce à leur top scorer Sven Andrighetto, à la conclusion d’un magnifique jeu à trois avec Denis Malgin – encore lui – et Maxim Noreau dans les rôles des passeurs. De quoi conserver l’avantage de la glace dans cette finale des play-off avant un acte III – prévu samedi à 20h – de tous les dangers pour le champion de Suisse en titre. Deux jours après avoir conquis un premier point de manière inespérée à la Bossard Arena, la formation de Rikard Grönborg a une nouvelle fois attendu les dernières minutes de la rencontre pour prendre la mesure de Zoug (2-1) mercredi soir devant son public.
Les Lions de Zurich ont pris une première option sur le titre de National League. Les Zurichois ont remporté 2-1 le 2e match de la finale contre Zoug et ...
Après avoir débordé sur la gauche, Hollenstein est parvenu à glisser habilement le palet à Malgin. Le meilleur attaquant suisse de National League a parfaitement levé le puck pour battre Genoni (57e). Yannick Zehnder avait donc logiquement ouvert le score en déviant une passe en profondeur de Sven Senteler (23e). Mais sur une des rares supériorités numériques, Sven Andrighetto ne laissait pas passer sa chance sur un service de Maxim Noreau (30e). Le réalisme était clairement zurichois après 2 périodes. Cette 2e rencontre a donc ressemblé à la 1re, à l'image de la domination zougoise en 2e période. Les joueurs de Dan Tangnes ont pilonné la cage de Jakub Kovar (16 tirs à 9) pour se retrouver à égalité (1-1) après 40 minutes.
Par Rédacteurs : Zoug - ZSC Lions (finale suisse 2022, match 1) - Toute l'info Hockey sur glace : Suisse.
Yannick Zehnder (attaquant de Zoug) : « C’était vraiment un bon match de notre part, Nous avons fait un départ solide et nous avons mérité de mener au score, Nous n’avons pas laissé grand-chose à 5 contre 5, C’est toujours un match qui peut basculer de chaque côté. Nous restons à ce qui fait notre force. Plus encore, la décision de Dan Tangnes de faire usage de son coach challenge à ce moment-là du match et pour une action qui apparaissait (au premier abord) assez peu litigieuse apparaît presque incompréhensible. Il y avait en fait eu deux motifs : Zoug était certain que le palet avait touché le filet noir de protection une vingtaine de secondes avant l’égalisation, mais le staff doutait que les images à disposition permettent de le voir. Zoug n’est pas réellement mis en danger lors de cette infériorité si ce n’est pas un solo de Yannick Weber conclu par un tir dans le plastron de Genoni. Pourtant loin de baisser les bras, les Zurichois ne cesseront de lancer en direction de la cage (17 fois, autant que lors des deux premières périodes confondues). Hollenstein prend de la vitesse, déshabille Claudio Cadonau et teste les réflexes de Genoni du revers. Lancé par Jan Kovář, Simion prend de vitesse la défense de Zurich, il repique vers le centre, mais alors que tout le monde s’attend à un tir, il effectue une passe en retrait à Hoffman qui a bien suivi l’action. L’attaquant vedette de Zoug ne se pose pas de question et loge le palet entre les jambes de Jakub Kovář (1-0). Moins de trois minutes plus tard, sur un 2 contre 4, après un duel gagné par Reto Suri, Yannick Zehnder récupère un palet transmis par Dominik Schlumpf. Il remonte le long de la bande, prend de vitesse Phil Baltisberger qui renonce à le charger dans le coin et poursuit son action en faisant le tour de la cage. EV Zoug – ZSC Lions 2-3 (0-0, 2-0, 0-3) Lundi 18 avril 2022 à 20h00 à la Bossard Arena (Zoug). 7200 spectateurs. Sven Andrighetto (attaquant de Zurich) : « Les deux équipes ont bien démarré, c’était très équilibré. Nous aurions pu empêcher les buts encaissés si nous avions été concentrés. Je savais que ça ne durerait pas longtemps mais je ne savais exactement combien de temps il me restait. Les attaques du ZSC sont pour la plupart repoussées, et quand les Zurichois parviennent à prendre le dessus, notamment par la ligne Hollenstein – Malgin – Andrighetto (qui doit jouer pas loin d’une présence sur deux en fin de match), Genoni rassure les siens. Ce faisant, Zehnder attire Noreau à lui et repère Herzog qui vient plonger au filet entre Bodenmann et Krüger pour convertir l’offrande (2-0). Implacable de réalisme, Zoug aura su capitaliser un moment fort et rentre aux vestiaires avec une avance de deux unités. Même de retour à 5 contre 5 au deuxième tiers, Zoug continue de subir la pression et Bodenmann s’offre une chance de marquer en contournant la cage. Bousculés par les Tessinois lors de la première rencontre (remportée 2-1 par l’EVZ en prolongation) puis lors du début du match 2 (où Lugano a mené 2 à 0 avant de s’incliner 5 à 2), les hommes du coach norvégien Dan Tangnes auront ensuite fait parler la poudre, notamment en power-play (10 buts en 24 tentatives !) pour boucler cette ronde 4 victoires à 0. Pour Zurich, le parcours jusqu’en finale les a d’abord amenés à rencontrer Bienne en quart de finale. En Suisse centrale; on rêve d’un doublé, alors que sur les bords de la Limmat on cherche à reconquérir un trophée qui échappe depuis 2018.
Die ZSC Lions überwinden den «Mythos Genoni» zum zweiten Mal, besiegen Zug 2:1 und führen in der Playoff-Final-Serie 2:0. Und EVZ-Trainer Dan Tangnes steht ...
Im ersten Spiel kassierte der Titelverteidiger das 2:3 nach einer 2:0-Führung erst 2,2 Sekunden vor Schluss. Da blieb keine Zeit mehr zum Aufholen. Und am Mittwoch war die erste Führung der Zürcher zum 2:1 auch gleich die Entscheidung. Zugs Dan Tangnes, der als der grösste Psychologe unter den Hockey-Trainern gilt, steht vor seiner bisher grössten Herausforderung. Die Zuger haben die unglückliche Drama-Niederlage im ersten Final (2:3) zwar weggesteckt. Der tschechische Torhüter der ZSC Lions, der Bruder von Zugs Topskorer Jan Kovar, war auch in dieser zweiten Finalpartie mindestens so gut wie Leonardo Genoni. Oder sogar eine Spur besser. Ein Mann, der bisher in jedem Final, den er bestritten hat, am Ende besser war als die treffsichersten gegnerischen Stürmer. Ein Mann, der noch nie einen Playoff-Final verloren hat. Nun liegt es in der Natur des Eishockeys, dass es ein Mannschaftsspiel ist. Die ZSC Lions sind ihrer Favoritenrolle auch im zweiten Finalspiel gerecht geworden.
Während bei Zug Grégory Hofmann abgetaucht ist, sind beim ZSC die Stars mit NHL-Vergangenheit Unterschied-Spieler.
«Sie liefern schon die ganze Saison ab», betont Grönborg. «Deshalb sind sie hier. Sie übernehmen Verantwortung, ohne mit dem Kopf durch die Wand gehen zu wollen. Aber ich hätte auch daneben schiessen können, oder?», sagt Malgin und lacht.
Denn nachdem Biel die ZSC Lions gekitzelt hatte, in der Viertelfinal-Serie der Playoffs erst mit 2:0 und dann 3:2 vorlegte, reagierten die Zürcher heftig: Von ...
Geduld beweisen musste Malgin schon in der mit 4:3 gewonnenen Viertelfinalserie gegen Biel, als er in Spiel 3 nach einem Check von Noah Schneeberger verletzt ausgefallen war und auch die darauffolgende Partie verpasste. Es wäre für den «Zett» ein mehr als würdiger Abschied vom Hallenstadion – und für Malgin der vorläufige Höhepunkt nach seiner Rückkehr aus Nordamerika. Mit 19 debütierte er bei den Florida Panthers in der weltbesten Eishockey-Liga. Eine andere sind die Special Teams: Drei der fünf Tore gegen den EVZ fielen bislang im Powerplay, ein weiteres bei sechs gegen fünf. Gegentreffer in Unterzahl? Fehlanzeige! Tatsächlich erinnern die Lions spätestens seit den Halbfinals an ein Raubtier, welches seine Beute geduldig jagt – und schliesslich im letzten Moment zuschlägt. Drei der vier Siege über Freiburg kamen in der Verlängerung zustande. Schlafende Löwen sollte man nicht wecken.
National League – Nach einem harzigen Start in die Playoffs marschieren die ZSC Lions unbeirrt Richtung zehnten Meistertitel. Einer der Schlüsselfiguren im ...
Geduld beweisen musste Malgin schon in der mit 4:3 gewonnenen Viertelfinalserie gegen Biel, als er in Spiel 3 nach einem Check von Noah Schneeberger verletzt ausgefallen war und auch die darauffolgende Partie verpasste. Kann das Trio mit dem ZSC seinen Pace hoch halten, könnte sich dies jedoch schon bald ändern. Von den letzten elf Playoff-Spielen verloren die Zürcher nämlich nur noch eines. Mit 21 Goals war er in der Qualifikation nicht nur der beste Torschütze im ZSC-Dress, sondern auch Topskorer seines Teams. Und auch in den Playoffs ist der wirblige und pfeilschnelle Angreifer für die Mannschaft von Trainer Rikard Grönborg ein unverzichtbarer Wert. Das 2:1 gut drei Minuten vor Schluss des zweiten Finalspiels gegen den Titelverteidiger EV Zug war bereits Malgins vierter Siegtreffer in diesen Playoffs. Das macht ihm keiner nach.
Nach einem harzigen Start in die Playoffs marschieren die ZSC Lions unbeirrt Richtung zehnten…
Eishockey Eishockey Eishockey Kann das Trio mit dem ZSC seinen Pace hoch halten, könnte sich dies jedoch schon bald ändern. Von den letzten elf Playoff-Spielen verloren die Zürcher nämlich nur noch eines. Geduld beweisen musste Malgin schon in der mit 4:3 gewonnenen Viertelfinalserie gegen Biel, als er in Spiel 3 nach einem Check von Noah Schneeberger verletzt ausgefallen war und auch die darauffolgende Partie verpasste.
Im Weltsport gilt das Prinzip der Sippenhaftung. Egal, ob Wimbledon, Fussball-WM oder Olympische Spiele – Sportler aus dem flächengrössten Land der Erde ...
Die Online-Redaktion behält sich jedoch vor, Kommentare nach eigenem Gutdünken und ohne Angabe von Gründen nicht freizugeben. Die Kommentare auf weltwoche.ch dienen als Diskussionsplattform und sollen den offenen Meinungsaustausch unter den Lesern ermöglichen. Es ist uns ein wichtiges Anliegen, dass in allen Kommentarspalten fair und sachlich debattiert wird. Wir bitten Sie deshalb auf Beiträge zu verzichten, die nichts mit dem Inhalt des Artikels zu tun haben. Zu verzichten ist grundsätzlich auch auf Kommentarserien (zwei oder mehrere Kommentare hintereinander um die Zeichenbeschränkung zu umgehen), wobei die Online-Redaktion mit Augenmass Ausnahmen zulassen kann. Weiter behält sich die Redaktion das Recht vor, Kürzungen vorzunehmen. Als Medium, das der freien Meinungsäusserung verpflichtet ist, handhabt die Weltwoche Verlags AG die Veröffentlichung von Kommentaren liberal.