La Transnistrie est une région séparatiste prorusse de Moldavie, voisine de l'Ukraine. La présidente du pays convoque ce mardi une réunion de son conseil de ...
Dans le contexte de la guerre en Ukraine, la Moldavie a quant à elle officiellement demandé début mars à rejoindre l'Union européenne. Deux «puissantes» antennes qui relayaient les fréquences radio russes ont été mises hors service, a affirmé le ministère, publiant des photos présentées comme montrant ces émetteurs gisant au sol. Les deux détonations, qui n'ont fait aucune victime, ont touché la tour radio de cette localité située à une cinquantaine de kilomètres au nord de la «capitale» de la Transnistrie, Tiraspol, a ajouté la même source.
[VIDÉO] ▶️ La présidente moldave a annoncé qu'elle allait réunir, mardi, son conseil de sécurité national. Une décision prise après une série d'explosions ...
La Transnistrie est d'ailleurs prorusse et majoritairement russophone. Et lundi, les autorités séparatistes avaient rapporté une attaque au lance-grenades contre un bâtiment officiel dans la capitale régionale Tiraspol. Si les deux explosions n'ont pas fait de victimes, elles ont renforcé les craintes d'un débordement en Moldavie du conflit qui fait rage dans l'Ukraine voisine. La Moldavie craint le pire.
Les autorités de la Transnistrie, une région séparatiste de Moldavie appuyée par Moscou, ont affirmé que des explosions s'étaient produites mardi dans une ...
Elle a également appelé à augmenter le niveau de préparation des organes chargés de l'ordre public. Les deux détonations, qui n'ont fait aucune victime, ont touché la tour radio de cette localité située à une cinquantaine de kilomètres au nord de la "capitale" de la Transnistrie, Tiraspol, a ajouté la même source. "Tôt le (mardi) 26 avril, deux explosions ont été entendues dans le village de Maïak", a déclaré le ministère de l'Intérieur de Transnistrie, une "république" autoproclamée et non reconnue par la communauté internationale.
Des explosions se sont produites lundi et mardi dans la « république » séparatiste prorusse de Transnistrie, soutenue économiquement et militairement par ...
Des missiles intercontinentaux ont été exhibés, et le dirigeant nord coréen Kim Jong-un a annoncé que le pays allait accélérer le développement de son arsenal nucléaire, qui pourrait être utilisé si les « intérêts fondamentaux » de son pays se trouvaient menacer. La Moldavie a convoqué l'ambassadeur russe pour protester contre ces déclarations perçues comme des menaces, appelant Moscou à respecter son « intégrité territoriale ». La veille, les autorités de Transnistrie avaient affirmé que le siège du ministère de la Sécurité publique situé dans Tiraspol, la « capitale » de la région séparatiste, avait été la cible d'une attaque au lance-grenades. « Il s'agit d'une tentative pour accroître les tensions », a estimé Maia Sandu en marge du conseil de sécurité qui se tenait ce mardi. La présidence moldave voit dans ces explosions une machination pouvant servir de prétexte à une intervention russe. Des explosions se sont produites lundi et mardi dans la « république » séparatiste prorusse de Transnistrie, soutenue économiquement et militairement par Moscou. La Moldavie a convoqué ce mardi un conseil de sécurité pour éviter une intervention russe sur son territoire.
Ces deux incidents n'ont pas fait de victime, mais le conseil de sécurité de Transdniestrie a décidé mardi de relever le niveau d'alerte "terroriste", ce qui ...
La Transdniestrie n'est pas reconnue comme un Etat par la communauté internationale, y compris par Moscou qui la considère néanmoins comme une tête de pont non loin des frontières de l'Union européenne. Maïa Sandu, présidente de la Moldavie "va tenir aujourd'hui une réunion du Conseil suprême de la Sécurité en lien avec les incidents dans la région de Transdniestrie", a indiqué la présidence dans un communiqué, mardi 26 avril. Cette crainte s'est renforcée après une série d'explosions qui se sont produites lundi et mardi dans la région séparatiste de Transdniestrie, soutenue économiquement et militairement par la Russie.
Des explosions ont secoué, sur deux jours, la région pro-russe de Transdniestrie. La présidente moldave a dénoncé une tentative «pour accroître les ...
«La Moldavie condamne fermement toute tentative de déstabilisation de la situation», a ajouté Maia Sandu. Ces deux incidents n’ont pas fait de victime, mais renforcent la crainte d’un débordement en Moldavie du conflit qui ravage l’Ukraine voisine. Nous appelons nos concitoyens à rester calmes et à se sentir en sécurité», a déclaré Maia Sandu, après une réunion du Conseil suprême de la sécurité.
De son côté, Kiev a accusé la Russie de vouloir « déstabiliser » la Transnistrie afin de pouvoir justifier une intervention militaire. Vladimir Poutine a-t-il ...
Ces mesures illustrent l’inquiétude qui règne en Moldavie, ex-république soviétique qui redoute d’être la prochaine cible de Moscou, après l’Ukraine. Dans la foulée des explosions, Kiev a d’ailleurs elle aussi accusé la Russie de vouloir « déstabiliser » la Transnistrie afin de pouvoir justifier une intervention militaire. La présidente pro-européenne moldave a, en outre, annoncé un renforcement des patrouilles aux frontières et des contrôles dans les transports, notamment le long du fleuve Dniestr qui sépare la Moldavie du territoire séparatiste de Transnistrie. Elle a également appelé à augmenter le niveau de préparation des organes chargés de l’ordre public. Et d’ajouter : « La Moldavie condamne fermement toute tentative de déstabilisation de la situation. « Il s’agit d’une tentative pour accroître les tensions (…) Nous appelons nos concitoyens à rester calmes et à se sentir en sécurité », a déclaré la présidente Maïa Sandu après une réunion du Conseil suprême de la Sécurité. La Transnistrie est une bande de terre deux fois plus petite que l’Alsace coincée entre la Moldavie et l’Ukraine. Ce territoire, qui compte environ 500.000 habitants, est fortement dépendant de la Russie qui lui fournit gratuitement du gaz et y a déployé 1.500 militaires. Deux « puissantes » antennes qui relayaient les fréquences radio russes ont été mises hors service, a affirmé le ministère, publiant des photos présentées comme montrant ces émetteurs gisant au sol.
Paris a annoncé son soutien à la Moldavie face "aux risques de déstabilisation".
Mais ce petit pays d'Europe orientale de 2,6 millions d'habitants coincé entre la Roumanie et l'Ukraine redoute désormais d'être gagné par le conflit, d'autant que ses relations avec la Russie se sont tendues depuis l'arrivée à la tête de l'Etat en 2020 de Maïa Sandu, qui est pro-européenne. La France a en tout cas annoncé soutient la Moldavie face "aux risques de déstabilisation", a réagi mardi le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian. Les autorités moldaves veilleront à empêcher la république d'être entraînée dans un conflit", a déclaré la présidente moldave Maïa Sandu après une réunion du Conseil de sécurité nationale. Le conflit en Ukraine pourrait-il s'étendre ? La Moldavie a annoncé, mardi 26 avril, des mesures pour renforcer sa sécurité. Une décision prise après une série d'explosions survenues dans la région séparatiste de Transnistrie, soutenue par Moscou. "Il s'agit d'une tentative pour accroître les tensions.
Depuis ce lundi, des explosions en série ont retenti en Transnistrie, région séparatiste prorusse moldave ouvertement soutenue par Moscou. Les deux détonations, ...
« Sur le plan du moral, la situation est compliquée. Ce n’est pas rose du tout », indique à Iryna Rybakova, l’officière de presse de la 93e brigade. « Il s’agit d’une tentative pour accroître les tensions (…) Nous appelons nos concitoyens à rester calmes et à se sentir en sécurité », a déclaré la présidente Maïa Sandu après une réunion du Conseil suprême de la Sécurité. Vous avez raté les derniers événements sur les tensions en Ukraine ? Pas de panique, 20 Minutes fait le point pour vous tous les soirs, à 19h30.
Kiev a d'ailleurs accusé mardi la Russie de vouloir "déstabiliser" la Transdniestrie afin de pouvoir justifier une intervention militaire. Moscou "veut ...
"Le niveau de sécurité est reconnu comme critique. "Il s'agit d'une tentative pour accroître les tensions. La préoccupation de la Moldavie a été renforcée par une série d'explosions qui se sont produites lundi et mardi dans la région séparatiste de Transdniestrie, à laquelle la Russie apporte un soutien économique et militaire. La Russie "suit attentivement" la situation en Transdniestrie, a souligné mardi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, ajoutant que "les informations qui en proviennent suscitent l'inquiétude". Moscou "veut déstabiliser la région de Transdniestrie, ce qui suggère que la Moldavie devrait s'attendre à recevoir des +invités+" russes, a déclaré sur Twitter un conseiller de la présidence ukrainienne, Mikhaïlo Podoliak. La Moldavie a annoncé mardi des mesures pour renforcer sa sécurité après une série d'explosions dans la région séparatiste de Transdniestrie, appuyée par Moscou, qui fait craindre un débordement du conflit actuel en Ukraine.
Dans la région séparatiste de Transnistrie, des attaques et des explosions, qui ont eu lieu lundi 25 et mardi 26 avril sans faire de victimes, ont contraint ...
«La Moldavie a pris un nombre de réfugiés par tête d’habitants extrêmement élevé», relève Sergiu Miscoiu, alors qu’il s’agit du pays le plus pauvre d’Europe. Nous appelons nos concitoyens à rester calmes et à se sentir en sécurité», a déclaré la présidente moldave. En ligne de mire, la petite Moldavie (2,6 millions d’habitants), coincée entre l’Ukraine et la Roumanie, particulièrement vulnérable, qui s’inquiète d’être gagnée par le conflit.
Après la série d'explosions qui a endommagé une tour relayant les fréquences radiophoniques russes à Maïak dans la région séparatiste de Transnistrie, ...
Décision a été prise d’introduire un niveau d’alerte ‘rouge’ à la menace terroriste », peut-on lire dans un décret du dirigeant prorusse de cette région séparatiste, Vadim Krasnosselski, qui assure que les premiers éléments de l’enquête sur les incidents de lundi et mardi « mènent à l’Ukraine ». Après la série d’explosions qui a endommagé une tour relayant les fréquences radiophoniques russes à Maïak dans la région séparatiste de Transnistrie, appuyée par Moscou et près de la frontière ukrainienne, la Moldavie a annoncé ce mardi des mesures pour renforcer sa sécurité, faisant craindre un débordement du conflit actuel en Ukraine. « Il s’agit d’une tentative pour accroître les tensions. La veille des explosions visant la tour radio, les autorités de la Transnistrie, dont l’indépendance n’est pas reconnue par la communauté internationale, avaient déclaré que le siège du ministère de la Sécurité publique à Tiraspol, la capitale régionale, avait essuyé des tirs.
Une série d'explosions dans la région séparatiste de Transniestrie, appuyée par Moscou, fait craindre un débordement du conflit actuel en Ukraine.
Nous condamnons fermement de telles actions. « Il s’agit d’une tentative pour accroître les tensions. La France soutient la Moldavie face « aux risques de déstabilisation », a déclaré le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian ce mardi 26 avril, après une série d’explosions dans la région séparatiste prorusse de Transniestrie, voisine de l’Ukraine en guerre.
La région séparatiste de Transdniestrie, soutenue par la Russie, est une étroite bande de terre située entre le sud de l'Ukraine et la Moldavie, ...
Une statue de Lénine trône au centre de sa principale ville, Tiraspol, et un buste du père de la révolution bolchevique de 1917 monte la garde devant le bâtiment de la mairie qui a conservé son nom d'origine: la Maison des Soviets. La Transdniestrie, qui, contrairement à la Moldavie, a conservé l'alphabet cyrillique, a sa propre monnaie et ses propres forces de sécurité. Elle n'est pas reconnue comme un Etat par la communauté internationale, y compris par Moscou qui la considère néanmoins comme une tête de pont non loin des frontières de l'Union européenne. La région séparatiste de Transdniestrie, soutenue par la Russie, est une étroite bande de terre située entre le sud de l'Ukraine et la Moldavie, dont elle a fait sécession dans la foulée de l'effondrement de l'URSS.
La Transnistrie est une région séparatiste prorusse de Moldavie, voisine de l'Ukraine. Un village a été la cible de tirs après avoir été survolé par des ...
Les séparatistes ont affirmé qu'une série d'explosions s'étaient produites lundi et mardi dans cette «république» autoproclamée. En réaction, la Moldavie a annoncé des mesures pour renforcer sa sécurité et a appelé la population au calme. La «république» autoproclamée de Transnistrie a fait sécession de la Moldavie en 1992, après une courte guerre contre Chisinau. Depuis, environ 1500 soldats russes sont stationnés sur place. Un grand dépôt d'armes, datant de la période soviétique, s'y trouve sous le contrôle de soldats russes déployés sur ce territoire.
Une série d'explosions inexpliquées en Transnistrie, territoire prorusse séparatiste, suscitent l'inquiétude. Chisinau a annoncé renforcer les contrôles à ...
Ou bien à une déstabilisation de la Moldavie, en réponse à l’implication toujours plus importante des Occidentaux auprès de Kiev. Mais, à la différence du Donbass, le conflit est bien gelé, et les nombreuses coopérations entre Tiraspol, chef-lieu du territoire séparatiste, et Chisinau, laissent régulièrement entrevoir la possibilité d’une réunification négociée. Des explosions auraient aussi été entendues sur une base militaire.
Près de 5,2 millions de réfugiés ukrainiens ont fui le territoire depuis l'invasion russe; 430 000 d'entre eux ont afflué en Moldavie, l'un des.
La mère de famille roule en direction de Montpellier, en France. «Les troupes russes sont entrées à Soumy, nous nous sommes réfugiés chez mes parents. Le lendemain, à la frontière entre la Roumanie et la Moldavie, une vieille Lada grise est à l’arrêt, avec des sacs poubelles saucissonnés à la va-vite sur son toit. Elle est l’une des influenceuses les plus populaires d’Ukraine. Depuis quelques semaines, elle fait des allers-retours entre les villes d’Odessa et de Mykolaïv et la frontière moldave. Sur l’écran de son téléphone portable, il fait défiler les vidéos tournées de nuit où des centaines de personnes transies de froid affluaient sous la neige. Son mari a pu les conduire à la frontière ce matin. Ils ont résisté autant qu’ils le pouvaient, cloîtrés chez eux ou cachés dans des sous-sols.» Ce n’est pas la première mission humanitaire de la transalpine de 29 ans. Et, surtout, de pouvoir embarquer à bord de bus, en toute sécurité, en direction de la Roumanie ou de Chisinau. Pas de grille horaire, les cars partent dès qu’ils sont complets. Dans son uniforme bleu nuit, cet homme de 43 ans veille à la sécurité et à la bonne tenue des opérations. Si aujourd’hui tout semble se dérouler sans accroc, Igor se souvient avec émotion des premiers jours chaotiques où tout manquait: tentes, couvertures, nourriture, moyens de transport. Elles ont roulé deux heures et demie depuis la capitale, Chisinau. L’adolescente a séché les cours avec la bénédiction de la maman. Depuis le début de la guerre, la Moldavie a accueilli plus de 430 000 réfugiés. Un nombre vertigineux pour un pays de 2,6 millions d’habitants, dont un tiers vit sous le seuil de pauvreté. Ce qui n’empêche pas ses habitants de faire preuve d’une grande solidarité. Elle vient de franchir à pied la frontière qui sépare l’Ukraine de la Moldavie avec sa fille Victoria. Après cinquante jours sous les bombardements, terrées dans les sous-sols d’une école, elle a dû se résoudre à quitter la ville de Mykolaïv, dans le sud de l'Ukraine. «La nuit a été infernale, il y a encore eu des explosions, ça tirait de partout. C’est devenu trop dangereux», raconte l'Ukrainienne. Sa voix s’étrangle, son regard s’embrume. «J’espère pouvoir rentrer rapidement», lâche-t-elle sans trop y croire, avant de monter dans une petite navette blanche qui la déposera quelques kilomètres plus haut dans un centre logistique.
Bijou architectural de l'Ukraine, Odessa est aujourd'hui une ville refuge pour les Ukrainiens des zones occupées par les troupes russes.
» Sa mère et son petit frère de 12 ans sont aussi dans le bus et ils sont effondrés. Avant la guerre, Dania voulait aller à l’université pour étudier les relations internationales ; « Maintenant je sais qu’à 18 ans je rejoindrai l’armée. » Terre d’accueil de la diaspora russe en France, Nice est aussi la deuxième ville du pays par laquelle transitent le plus de déplacés ukrainiens. » Le téléphone toujours en main, les appels qui s’enchaînent, il pilote toutes ses opérations depuis le café de la gare. Les enfants passeront Pâques en famille avant de reprendre le chemin de la Moldavie ; « C’est mieux pour eux », assure-t-il. Elle n’a aucune idée de quand la guerre s’arrêtera, et n’a pas bon espoir : « Notre famille en Russie ne nous croit pas. Mais leurs quatre minibus ne permettent malheureusement pas de sortir assez de familles de la terreur. Dans une école primaire de la ville transformée en quartier général, Julia Pogrebnaya donne les ordres. En ce week-end de Pâques orthodoxe, où les églises sont gardées par la police, Odessa vit toujours sous couvre-feu et les sirènes continuent de retentir. Selon le Haut-Commissariat de l’Onu pour les réfugiés (UNHCR), la Moldavie a accueilli plus de 400 000 Ukrainiens depuis le début de la guerre. Le vent souffle sur les toiles des tentes de Palanca, à la frontière moldave. Un volontaire moldave, de l’organisation Opération mobilisation, raconte que, il y a deux semaines, la vague des réfugiés retournant en Ukraine « était immense ». Mais, cette fois-ci, elles l’empruntent dans l’autre sens : « On rentre à Odessa », lance la mère de famille dans le minibus jaune qui la ramène chez elle.
Les autorités de la région séparatiste pro russe de Transdniestrie, en Moldavie, ont annoncé mercredi qu'un village...