Dans le viseur de la justice après ses multiples provocations, Benjamin Ledig se voit condamné par le Tribunal de Paris.
En ce sens, le jeune Alsacien a causé un « préjudice moral » à l’ecclésiastique. Dans la foulée, le père Vivares a réagi à cette condamnation dans une tribune publiée sur le site Aletaia. Il a notamment tenu à rappeler que les lieux de culte en France sont des sanctuaires. Avec sa vidéo controversée dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis de Paris, le TikTokeur a « manifestement porté atteinte à l’affectation culturelle des lieux ». Benjamin Ledig a ainsi été reconnu coupable de préjudice moral par une ordonnance de référé rendue le 22 avril dernier. Dès lors, ses démêlés avec la justice ont commencé. Face à la vague d’insultes et de menaces, l’influenceur a porté plainte à plusieurs reprises. En ce sens, ses agissements devaient être sanctionnés. Apparemment, c’est l’une des raisons pour lesquelles le père Vivares a porté l’affaire devant la justice. Visiblement, Benjamin Ledig n’en fait qu’à sa tête. Seulement voilà, la justice s’en est mêlée. Ainsi, les juges ont condamné l’influenceur suite à sa danse polémique dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis de Paris.
Benjamin Ledig, l'influenceur qui s'est fait connaître sur TikTok pour avoir twerké dans une église et créé la polémique, aurait été victime d'une agression ...
Sur la vidéo qui circule actuellement sur la Toile, on voit un jeune homme se faire jeter au sol et rouer de coups de pied. En réponse à ce tweet, par exemple, certains écrivent "Pourquoi avoir utilisé de violence ? C’est inutile… Je ne le plaindrai pas, quelques coups de pompes dans la gueule ne peuvent que lui faire du bien". Certains pensent même que Benjamin Ledig aurait orchestré lui-même ce passage à tabac pour, encore une fois, faire le buzz... Menacé, harcelé, insulté, il semblerait que le jeune Benjamin Ledig a dû aussi faire face à la violence physique. Et s'en prend en fait à plusieurs religions, le judaïsme et l'islam n'étant pas épargnés dans d'autres vidéos TikTok. Son twerk en crop top dans une église avait en effet offusqué la communauté chrétienne.
Dans cette affaire, le tribunal judiciaire de Paris s'est référé à la loi 1905 garantissant la séparation des Eglises et de l'Etat. Ce texte affirme que toute ...
Benjamin Ledig a été reconnu coupable de préjudice moral par une ordonnance de référé, rendue le 22 avril. Dans cette affaire, le tribunal judiciaire de Paris s’est référé à la loi 1905 garantissant la séparation des Eglises et de l’Etat. Ce texte affirme que toute activité autre que cultuelle doit être autorisée par le curé, ayant en charge le fonctionnement d’un édifice religieux. "Respectons ces lieux et cette paix qui nous sont offerts et dont notre pays et ses habitants ont tant besoin", a-t-il renchéri.
Benjamin Ledig a été condamné le 22 avril 2022 par le tribunal judiciaire de Paris pour "préjudice moral" à la suite de sa vidéo dans laquelle il dansait de ...
Dans une autre vidéo , toujours présente sur son compte Instagram, on le voit laver les vitres, caler des meubles ou encore faire la poussière avec le Coran avant de l'entendre jeter le livre sacré à la poubelle. Selon le site Famillechretienne, le père Pierre Vivarès, le curé de la paroisse en question dans la vidéo, avait lancé une procédure en référé devant les tribunaux. Vendredi passé, la justice a tranché. Benjamin Ledig a été condamné pour avoir "porté atteinte à l’affectation culturelle du lieu". A l’heure actuelle, nous ne connaissons pas encore la véritable nature de sa sanction.
Dans une vidéo TikTok, Benjamin Ledig avait twerké en crop-top dans une église. L'influenceur a été condamné par la justice française pour atteinte à ...
Or, dans le cas de la vidéo de l’influenceur, ce dernier n’avait reçu aucune autorisation du père Vivarès. Son comportement a choqué beaucoup de personnes, dont les communautés religieuses concernées par ses provocations. On l’aperçoit notamment twerker en crop-top dans une église, laver ses fenêtres avec le Coran ou encore porter une kippa comme "accessoire idéal" pour sa tenue.
Benjamin Ledig a été accusé de préjudice moral. Le tribunal judiciaire de Paris a déclaré que « toute activité autre que cultuelle doit être autorisée par ...
Benjamin Ledig, qui s'était fait connaître en février dernier après s'être filmé dansant en crop top dans une église, a récemment été condamné par la ...
Le pseudo-influenceur du réseau social Tiktok a été condamné pour sa vidéo dans laquelle il danse en crop-top dans une église parisienne.
Au cas présent, en réalisant deux vidéos à l’intérieur de l’église Saint-Paul-Saint-Louis puis en les diffusant sur le réseau social TikTok, sans en avoir obtenu l’autorisation préalable du curé, peu importe qu’il s’agisse ou non d’une performance artistique, M. X a manifestement porté atteinte à l’affectation cultuelle des lieux." L'affaire avait fait grand bruit en février. Le pseudo-influenceur du réseau social Tiktok a été condamné pour sa vidéo dans laquelle il danse en crop-top dans une église parisienne.
La justice a condamné Benjamin Ledig, qui s'était filmé en train de twerker dans une église de Paris. Selon le site Famille Chretienne, la condamnation du ...
Si j'avais fait des excuses ça aurait été que de la communication pour me racheter et faire fructifier le plus possible la visibilité que j'avais." Si son comparse de la vidéo, Queen Paul, s'était excusé, Benjamin Ledig a lui refusé de le faire. Après la publication de cette vidéo, les deux influenceurs avaient reçu plusieurs menaces de mort. "Respectons ces lieux et cette paix qui nous sont offerts et dont notre pays et ses habitants ont tant besoin." A la toute fin de l'un de ses derniers posts, il temporise: "Croire en une religion, la pratiquer, et en être fier, a toujours été un combat." "Le problème n’était pas qu’il fût habillé en crop-top ou qu’il dansât", a réagi sur le site Aleteiale curé de la paroisse, à l'origine de la procédure. "Le problème était le lieu où il le faisait et qu’il réalise et diffuse cette vidéo sans l’autorisation du responsable de ce lieu de culte."
Benjamin Ledig, qui avait diffusé sans autorisation sur les réseaux sociaux une vidéo à caractère sexuel tournée à l'église Saint-Paul (IVe) en février ...
La justice a tranché. Et le curé a gagné. Dans une église, pour filmer, il faut l’autorisation du responsable du lieu de culte. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal.