Azovstal

L'armée russe et les forces prorusses ont lancé ce mardi 3 mai une offensive sur l'usine Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne de la ville de ...

Le porte-parole des forces armées russes a affirmé que le régiment ukrainien Azov, qui défend l’usine, a « utilisé » le cessez-le-feu, déclaré pour évacuer des civils, pour sortir des sous-sols de l’aciérie et « prendre des positions de tir sur le territoire et dans les bâtiments de l’usine ». « Actuellement, des unités de l’armée russe et de la République populaire de Donetsk, utilisant de l’artillerie et des avions, commencent à détruire » les « positions de tir » de combattants ukrainiens sortis de l’usine, a indiqué Vadim Astafiev, porte-parole du ministère russe de la Défense dans une allocution dont la vidéo a été diffusée par les agences russes. L’armée russe et les forces prorusses ont lancé ce mardi 3 mai une offensive sur l’usine Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne de la ville de Marioupol, dans le sud-est de l’Ukraine, dont des civils ont pu être évacués ces derniers jours grâce à un cessez-le-feu.

L'évacuation de civils se poursuit à l'usine Asovstal de Marioupol, alors que l'armée russe poursuit ses attaques dans la région du Donbass.

"On y est restés deux mois, je ne me souviens pas exactement si c'était le 6 ou le 7 mars", explique un adolescent de 14 ans. Ce mardi, l'ONU a annoncé l'évacuation "réussie" de 101 civils coincés depuis des semaines dans le complexe industriel ukrainien d'Azovstal. Quelques heures plus tard, ces civils évacués sont arrivés par la route jusqu'à la ville de Zaporijia, où ils ont été pris en charge.

Combien de temps encore l'usine Azovstal va-t-elle résister aux Russes ? Dernière poche de la résistance ukrainienne de la ville de Marioupol, ...

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Alors que des civils évacués de Marioupol sont arrivés à Zaporijjia, l'armée russe et ses soutiens de Donetsk ont lancé une offensive sur l'usine, ...

D’autres évacués ont décidé de ne pas se rendre à Zaporijjia avec le convoi. Vadim Astafiev, un porte-parole du ministère russe de la Défense, avait annoncé, plus tôt mardi, que «des unités de l’armée russe et de la République populaire de Donetsk, utilisant de l’artillerie et des avions», commençaient à «détruire les positions de tir» des combattants ukrainiens d’Azovstal. Il a accusé le régiment Azov d’avoir «utilisé» le cessez-le-feu – déclaré pour évacuer des civils – pour sortir des sous-sols de l’aciérie et «prendre des positions de tir sur le territoire et dans les bâtiments de l’usine». L’armée russe et les forces prorusses ont lancé, mardi, un «puissant assaut» impliquant des chars et un débarquement amphibie contre l’immense aciérie Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne à Marioupol, a annoncé un commandant du régiment qui la défend. «Un puissant assaut sur Azovstal est en cours, avec le soutien de véhicules blindés, l’aide de bateaux et d’un grand nombre d’éléments d’infanterie», a déclaré Sviatoslav Palamar, commandant adjoint du régiment Azov, sur Telegram.

Lors d'un entretien téléphonique, mardi, Emmanuel Macron a appelé Vladimir Poutine à « permettre la poursuite des évacuations » du complexe métallurgique, ...

Dans le Sud, la grande ville d’Odessa est de nouveau la cible des missiles russes. Le Premier ministre britannique Boris Johnson, premier dirigeant occidental à s’adresser au Parlement ukrainien depuis le début du conflit le 24 février, a lui promis une aide militaire supplémentaire de 355 millions d’euros pour Kiev. « C’est l’heure de gloire de l’Ukraine, dont on se souviendra et qu’on racontera pendant des générations », a dit Boris Johnson, en allusion au célèbre discours prononcé par Winston Churchill le 18 juin 1940. 23 civils sont morts et 27 ont été blessés dans cet oblast mardi, le bilan quotidien le plus lourd depuis la frappe sur la gare de Kramatorsk qui avait fait 57 morts, selon le gouverneur régional Pavlo Kyrylenko sur twitter. Une centaine de civils qui avaient été évacués ce week-end de l’aciérie Azovstal grâce à une opération menée avec le soutien de l’Organisation des Nations unies (ONU) sont arrivés à Zaporijia, à 230 kilomètres au nord-ouest de Marioupol, où ils ont été accueillis par les représentants de l’organisation. Dans une déclaration sur internet mardi soir, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui indiqué que 156 civils avaient été évacués. « Ce n’est pas encore une victoire, mais c’est un résultat », a-t-il dit. Emmanuel Macron a appelé Vladimir Poutine à « permettre la poursuite des évacuations » du complexe métallurgique, a annoncé l’Elysée après un appel téléphonique de deux heures dix entre les deux dirigeants. Il a, en outre, précisé que d’intenses bombardements avaient eu lieu dans la nuit précédant l’assaut, tuant deux femmes et blessant « environ dix civils ».

Les forces russes ont lancé pour la première fois un assaut contre l'aciérie d'Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne à Marioupol.

Dans le sud, la grande ville d’Odessa est de nouveau la cible des missiles russes. Ceux qui ont enfin pu être évacués ont commencé à raconter l’enfer dans lequel ils étaient plongés pendant des semaines. Quelque 21 civils sont morts et 27 ont été blessés dans la région de Donetsk mardi, le bilan quotidien le plus lourd depuis la frappe sur la gare de Kramatorsk qui avait fait 57 morts, selon le gouverneur régional Pavlo Kyrylenko sur Telegram. Parmi ces 21 tués, 10 l’ont été dans la frappe sur une usine à Avdiivka et cinq à Lyman, l’un des points chauds de la ligne de front. La Commission européenne propose un arrêt progressif des achats européens sur une période de six à huit mois, jusqu’à fin 2022, avec une exemption pour la Hongrie et la Slovaquie. Ces deux pays, enclavés et totalement dépendants des livraisons par l’oléoduc Droujba, pourront continuer leurs achats à la Russie en 2023, a précisé un responsable européen. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a souhaité « davantage de pauses humanitaires » sur le modèle de celle organisée avec l’Ukraine et la Russie et qui a permis l’évacuation des civils d’Azovstal, sans préciser leurs lieux possibles. Peu avant, le ministère russe de la Défense avait annoncé qu’avions et artillerie de l’armée russe et de la « République populaire » prorusse de Donetsk commençaient à « détruire » les « positions de tir » ukrainiennes.

In der Hafenstadt Mariupol haben russische Truppen Medienberichten zufolge mit der Erstürmung des im Ukraine-Krieg belagerten Stahlwerks Azovstal begonnen.

Beobachter halten eine Intensivierung der Gefechte für möglich, weil die russischen Truppen bei ihrer Offensive in der Ostukraine nur stockend vorankommen. Bislang spricht Russland offiziell nur von einer «Spezial-Operation» in der Ukraine. Februar belagert und in den vergangenen Tagen weitgehend von russischen Truppen eingenommen worden.

Russische Truppen haben laut ukrainischen Angaben den Sturm auf das Azovstal-Stahlwerk in Mariupol gestartet. Ukrainische Medien berichteten dies unter ...

Hinzu kämen 13 gepanzerte Fahrzeuge für die Evakuierung von Zivilisten. Hinzu komme weitere Militärhilfe im Wert von 300 Millionen Pfund (357 Mio. Euro). Dazu gehörten Radar zur Lokalisierung russischer Artillerie, Schwerlastdrohnen zur Versorgung der Streitkräfte und Tausende Nachtsichtgeräte. Unterdessen sicherte der britische Premierminister Boris Johnson der Ukraine die nachhaltige Unterstützung seines Landes zu und kritisierte Putin scharf. Russlands Präsident Wladimir Putin hat die westlichen Staaten aufgefordert, ihre Waffenlieferungen an die Ukraine einzustellen. Im Stahlwerk haben sich noch ukrainische Kämpfer verschanzt. Aus dem Stahlwerk Asowstal wurden nach Angaben der Vereinten Nationen etwa 101 Menschen evakuiert. Es war Tag 68 nach dem Angriff Russlands auf das Nachbarland Ukraine. Das südukrainische Mariupol ist weitgehend zerstört und unter russischer Kontrolle.

Russland hat offenbar angefangen, Mariupols Stahlwerk von allen Seiten zu attackieren, Moskau bestätigte den Beschuss. Dort sollen noch rund 200 Zivilisten ...

Insgesamt sollen in Mariupol immer noch 100.000 von ursprünglich mehr als 400.000 Einwohnern sein. Februar belagert und in den vergangenen Tagen weitgehend von russischen Truppen eingenommen worden. Russlands Militär und prorussische Separatisten haben eine Offensive auf das Stahlwerk Asow-Stahl in der schwer umkämpften Hafenstadt Mariupol gestartet. Von russischer Seite gab es zunächst keine offizielle Bestätigung über die Erstürmung des Industriegeländes. Die staatliche Nachrichtenagentur Ria Nowosti meldete jedoch unter Berufung auf einen Sprecher des Verteidigungsministeriums, verschanzte Asow-Kämpfer hätten eine Feuerpause genutzt, um an ihre Schießpositionen im Werk zurückzukehren. Diese würden nun mit Artillerie und aus der Luft attackiert. Am Wochenende waren zwar mit internationaler Hilfe mehr als 120 Menschen gerettet worden. Am Montag war eine Evakuierungsaktion gescheitert.

D'après les informations des forces ukrainiennes sur place, 200 civils y sont encore retenus. Deux femmes sont mortes mardi et 10 civils ont été blessés ...

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a réclamé davantage de « pauses humanitaires » afin d’évacuer ces civils. D’après les informations de l’armée ukrainienne, environ 200 personnes sont encore retenues sur place. Ils ont été évacués vers Zaporijjia, ville située à 230 kilomètres au Nord-Ouest de Marioupol et restée sous contrôle ukrainien.

Ces civils étaient les premiers à être évacués de l'aciérie d'Azovstal en deux mois de siège et de bombardements. Une opération menée juste avant que la Russie ...

"Les Russes n'ont pas laissé tout le monde partir, il y avait des filtrages, une fille n'a pas passé les contrôles car elle avait travaillé pour la police. Un rescapé a confirmé ces informations au micro de BFMTV ce mercredi matin. Une opération menée juste avant que la Russie ne lance pour la première fois un assaut avec chars et infanterie sur l'entreprise ce mardi.

Il n'y a pas d'assaut », contre l'aciérie d'Azovstal à Marioupol, promet à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.