Le Service de chirurgie cardiaque du CHUV sera dirigé dès le 1er août par le chirurgien Matthias Kirsch. Il succède au professeur René Prêtre, ...
René Prêtre l'a engagé dans son service pour faire du CHUV un centre de référence en terme d’assistance cardiaque et de transplantation. Il est également un pionnier de la chirurgie dite mini-invasive pour les enfants, souligne le CHUV. Spécialisé dans les anomalies cardiaques congénitales et la transplantation, René Prêtre a rejoint le CHUV en 2012.
Le chirurgien jurassien va quitter ses fonctions à la tête du Service de chirurgie cardiaque du CHUV et sera remplacé par Matthias Kirsch à partir du 1er ...
Il va toutefois poursuivre son engagement pour des missions humanitaires dans le cadre de sa fondation « Le petit cœur ». Le Jurassien va ainsi continuer à collaborer avec le CHUV dans le domaine de la chirurgie cardiaque pédiatrique humanitaire. Le Centre hospitalier universitaire vaudois relève que René Prêtre a fait du CHUV un centre de référence dans la chirurgie cardiaque pédiatrique et qu’il est également un pionnier de la chirurgie dite minimal-invasive pour les enfants. Une page s’apprête à se tourner pour René Prêtre. Le chirurgien jurassien a décidé de faire valoir ses droits à la retraite et va prendre congé de son poste de chef du Service de chirurgie cardiaque du CHUV. Le Centre hospitalier universitaire vaudois a fait cette annonce mardi.
Le Service de chirurgie cardiaque du CHUV sera dirigé dès le 1er août par le chirurgien Matthias Kirsch. Il succède au professeur René Prêtre, ...
Baptisé Cann-L et d’une durée de quatre ans, il a pour but de mesurer les effets d’un tel modèle sur la consommation, en termes de santé et de sécurité. Comme le veut la législation fédérale, le chanvre vendu sera biologique et local. Selon les premières études, ils seraient environ deux fois plus nombreux en période de pandémie.
Dans son communiqué publié mardi, le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) dit se réjouir de pouvoir continuer à compter sur l'expérience et les ...
Une leçon d’adieu est prévue le 24 juin à Lausanne. Intitulée «Chirurgien du cœur: un long fleuve pas si tranquille…», la manifestation propose un nombre limité de places au public, sur inscription. CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA SUITE SUR www.blick.ch Dans son communiqué publié mardi, le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) dit se réjouir de pouvoir continuer à compter sur l’expérience et les compétences de René Prêtre. Même s’il quitte son poste, le professeur va poursuivre une collaboration avec l’hôpital lausannois dans le domaine de la chirurgie cardiaque pédiatrique humanitaire.
Quarante ans après son premier coup de scalpel, le célèbre chirurgien du cœur René Prêtre prendra sa retraite, le 1er août, après plus de.
Une situation que je n’ai plus connue depuis des décennies», constate-t-il alors que nous rentrons de Zermatt après une séance photo qu’il a fallu écourter à la suite... «Cela ne fait pas un pli: c’est de loin le meilleur et le plus expérimenté d’Europe dans le domaine pédiatrique», affirme catégoriquement Dave Hitendu. Une réputation qui déborde rapidement les frontières de la Suisse, aiguisant l’appétit d’établissements étrangers. En vain. Même si, à cet âge, on ne mesure pas encore tout son potentiel, je sentais que j’avais de la facilité. En même temps, on redoute toujours le risque de commettre l’erreur qui ruine une carrière avant même de l’avoir commencée. Spécialement dans la chirurgie cardiaque, un milieu très compétitif. Mais avec du travail, du talent et un peu de chance, on arrive à franchir ces écueils.» Douze ans plus tard, René Prêtre s’apprête à quitter la grande scène, à sortir de ce long fleuve pas si tranquille qu’est la chirurgie du cœur, comme il l’a écrit sur l’invitation à sa leçon d’adieu, le 24 juin. Quinze jours par an, il œuvre tantôt au Cambodge, tantôt au Mozambique. C’est là, à Maputo, le 9 janvier 2010, qu’il se trouve lorsqu’il remporte le Swiss Award 2009 et que les téléspectateurs le sacrent Suisse de l’année 2009, devant Bertrand Piccard, Didier Cuche, le clown Dimitri ou encore Tina Turner. «Le meilleur souvenir de ma carrière. Le plus hallucinant aussi. Quant à mon activité physique, elle se résume à un peu de marche, de vélo électrique et de natation», ajoute celui sur qui le temps ne semble pas avoir d’emprise. «C’est un peu comme au foot. Après de brefs séjours à Londres et à Paris quelques années plus tard, il revient à Genève, aux HUG, où il obtient le titre de privat-docent, en 1994. «Mes parents me voyaient agriculteur, d’autres éleveur de bovins et les moins clairvoyants footballeur», se marre cet amateur de littérature et de cinéma. Sans réel projet professionnel au moment de décrocher sa maturité scientifique à Porrentruy, c’est un copain qui l’inscrit finalement à la dernière minute à la Faculté de médecine. Dès lors, les choses vont s’accélérer. Diplôme de médecin en 1982 et titre FMH en chirurgie générale en 1988. A commencer par le dernier venu, Bastien, son petit garçon de 1 an et demi que lui a offert Sibylle, sa compagne à la ville depuis l’été 2019 et à «la scène» depuis 2014, et de vingt ans sa cadette. Une tension, haute, proche de l’angoisse, quand le cœur juste réimplanté est censé repartir, et qui vire à l’émotion, à la fascination même lorsque apparaissent les premiers battements.» «Bastien est le dix-neuvième. Le plus beau de tous a décrété ma mère, qui a eu le bonheur de le serrer dans ses bras peu avant de s’en aller. «Le même jour que feu mon père», se félicite, ému, le futur retraité. A l’heure d’esquisser sa nouvelle vie, le jeune père, dont on connaît la passion pour le sport, se rêve déjà en train d’arpenter les stades de foot et de hockey, son fils à la main.