Des internautes s'interrogent sur les règles qui entourent la nomination d'un Premier ministre sous la Ve République. TF1info a questionné Jean-Pierre Camby ...
Notons enfin qu’il n’est pas possible de la dissoudre successivement à deux reprises dans un délai de moins d’un an. Dans l’absolu, Jean-Pierre Camby avance que rien n’empêcherait en théorie Emmanuel Macron de nommer à Matignon une personnalité n’étant pas issue du camp majoritaire à l’Assemblée nationale. La pratique et la logique condamnent la nomination d’une personne étrangère, mais n’est pas mise sur la table la question d’une personne binationale, par exemple." Quid, par exemple, de la nationalité du pensionnaire de Matignon ? "La question n’est pas résolue par les textes", reconnaît Jean-Pierre Camby. "Ils sont pour ainsi dire muets à cet égard : le président nomme le Premier Ministre, sans contreseing. En parallèle, la volonté de Jean-Luc Mélenchon d’arriver à Matignon en cas de victoire aux législatives interroge : est-il possible d’y être nommé sans être déjà député ? "De même que je n'ai pas vu ce qui empêchait de nommer quelqu'un qui n'était pas français", ajoute-t-il.
Le président de la République a débuté son second mandat, mais il n'a toujours pas changé de gouvernement. Officiellement, le premier mandat du président Macron ...
Le chef de l'Etat a, au cours de ces dernières semaines, donné plusieurs indications sur ce qui pourrait motiver sa décision. Emmanuel Macron assure vouloir mettre une femme à la tête du gouvernement. En visite officielle à Berlin (Allemagne) ce lundi 9 mai, Emmanuel Macron a indiqué qu'il connaissait l'identité de son futur Premier ministre. Samedi 7 mai 2022, Emmanuel Macron participait à sa seconde cérémonie d'investiture. Le président de la République a débuté son second mandat, mais il n'a toujours pas changé de gouvernement.
Et lundi 9 mai, le président français a relancé les spéculations sur l'identité du prochain chef de gouvernement. Décryptage. Les ministres d'Emmanuel ...
Seuls indices laissés par le président de la République : "Je nommerai quelqu’un qui est attaché à la question sociale, à la question environnementale et à la question productive", a-t-il promis. Un dirigeant de la majorité prétend quant à lui que le chef de l'État "va surprendre tout le monde". Emmanuel Macron a choisi son nouveau Premier ministre, mais il n'a pas encore dévoilé son nom.
Alors qu'Emmanuel Macron a récemment annoncé avoir choisi son futur Premier ministre, un profil se dégage auprès des candidats de la majorité pour les ...
Emmanuel Macron se rendra ce mardi en fin de journée à cette congrégation, ce sera peut-être le moment choisi par le chef de l'État pour donner des indices sur le futur Premier ministre. Une chose est sûre, ils ont tous "hâte de connaître" l'identité du prochain chef du gouvernement. C'est la nouvelle que tout le monde attend.
Ce lundi à Berlin, Emmanuel Macron a affirmé devant les journalistes qu'il avait en tête le nom de son nouveau Premier ministre.
Si bien que l'alliance conclue avec le parti de Jean-Luc Mélenchon fait craindre un changement de bord de son côté. Sur certains points, il apparaît comme Macron-compatible, même s'il a martelé au cours de la campagne que selon lui, en politique, "les débauchages, ça ne sert à rien". Les noms de Nicole Notat, ancienne porte-parole de la CFDT, ou encore Bertrand Delanoë, ancien maire PS de Paris, sont également apparus ici ou là. Ce qui n'est pas le cas de Pascal Canfin, dont le profil a de quoi plaire tout en haut de l'État. Ancien député européen EELV avant d'être réélu avec l'étiquette LREM, il a la caution écologique pour lui, après avoir occupé pendant trois ans la présidence de WWF France. Et il apparaît comme Macron-compatible après avoir été nommé en 2018 membre du Haut Conseil pour le climat par l'Elysée. Un autre nom a refait surface ces derniers jours, celui du Commissaire européen Thierry Breton, ancien ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie de 2005 à 2007. Et si Emmanuel Macron faisait le choix d'un virage plus marqué à gauche pour Matignon ? Face à l'union populaire qui se dessine pour les élections législatives, le président pourrait être tenté de couper l'herbe sous le pied de ses adversaires politiques en désignant une personnalité clairement identifiée à gauche. Elle a en outre écarté l'hypothèse d'un déménagement à venir à Matignon, déclarant occuper actuellement "le plus beau mandat qui soit" dans sa région. Autres pistes évoquées : Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne secrétaire d'État et ministre de l'Écologie de Nicolas Sarkozy ; Laurence Tubiana, ancienne ambassadrice pour le climat dont le nom avait déjà été évoqué avant la nomination de Jean Castex ; Christine Lagarde, patronne de la Banque centrale européenne et ancienne ministre de l'Économie de Nicolas Sarkozy elle aussi. Comme celui de Christelle Morançais, de plus en plus évoqué. Celle qui occupe actuellement la présidence de la région Pays de la Loire a néanmoins un ancrage à droite prononcé, en tant que vice-présidente des Républicains, qui pourrait lui desservir. l'essentiel Ce lundi à Berlin, Emmanuel Macron a affirmé devant les journalistes qu'il avait en tête le nom de son nouveau Premier ministre.
Le président de la République a indiqué lors de son déplacement en Allemagne savoir qui sera son prochain premier ministre. Tout en gardant son nom secret.
Le chef de l'Etat égraine depuis plusieurs semaines le portrait-robot de son ou de sa future Première ministre. Mais, à quelques jours de la fin de son ...
» Encore un peu de patience pour les Français : le Premier ministre actuel, Jean Castex, restera en fonction jusqu’à la fin du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, qui s’achève formellement vendredi soir. » Et d’ajouter : « Jean Castex est de droite, il a mené les politiques les plus sociales des dernières décennies parce que c’est aussi un homme de cœur qui a la fibre sociale. Mais, à quelques jours de la fin de son mandat, aucun nom n’a encore été dévoilé.
Emmanuel Macron aurait aimé être le premier Président, après François Mitterrand, à nommer une femme à Matignon. Mais sa quête semble compliquée.
Le DRH recherche une femme de préférence. "Quelqu’un qui est attaché à la question sociale, à la question écologique et à la question productive", a, lui-même, assuré ce dernier qui n’est autre qu’Emmanuel Macron. Il aimerait aussi une personnalité venant plutôt de la gauche afin de respecter les équilibres politiques de la majorité après 5 ans de gouvernance à droite. La fibre écologiste : cette ancienne préfète, issue de la gauche, est passée par le cabinet de Ségolène Royal lorsqu’elle était ministre de l’environnement puis l’a été elle-même dans le gouvernement d’Édouard Philippe. Elle saura aussi, comme ancienne ministre du travail, porter la périlleuse réforme des retraites. Au rang des plus improbables ceux de Nathalie Kosciusko-Morizet ou de Nicole Notat. Plus réaliste, l’option Élisabeth Borne tient toujours la corde. Mais cette fois, c’est fait a-t-il affirmé, lundi, à Bruxelles, ajoutant : "Mais ce n’est pas ici que je vais vous le dire, ni maintenant, bien entendu." Depuis le début du quinquennat, certains députés macronistes ne tarissent pas d’éloges sur sa connaissance pointue des questions budgétaires. Le poste lui a donc été proposé et la députée l’a… décliné. Mais il y a les fiches de poste et la réalité. La personne idoine aurait pu être… Valérie Rabault. La présidente du groupe PS à l’Assemblée Nationale rassemble un certain nombre des qualités recherchées par l’Élysée. C’est une femme, jeune, en lien avec les territoires, issue de la gauche.
Le président tait encore le nom de son premier ministre. Femme ou pas? De gauche ou pas? Poids lourd ou pas? Le successeur de Jean Castex donnera la couleur ...
Femme ou pas? Poids lourd ou pas? Femme ou pas?
Et si mercredi 11 mai signait la date du dernier conseil des ministres avec Jean Castex ? Emmanuel Macron est encore flou sur la nomination de son ...
"Le bon timing c'est d'avoir le Premier ministre samedi pour le début officiel du nouveau quinquennat", préconise-t-on dans plusieurs ministères. Histoire d'avoir un gouvernement tout neuf mercredi prochain. Un nouveau conseil des ministres avec le gouvernement Castex, peut-être le dernier puisqu'Emmanuel Macron a dit lundi 9 mai qu'il savait qui serait son futur premier ministre. Personne n'est jamais sûr de rien avec Emmanuel Macron, c'est la règle. Dans les ministères, en tout cas, on fait comme si.
Emmanuel Macron va-t-il annoncer le nom de son premier ministre dans les prochains jours ? Alors que le gouvernement de Jean Castex doit démissionner au ...
(...) L'effet 'wahou' du nouveau gouvernement, pour ne pas laisser les gens s'habituer". Enfin, la rumeur de la nomination d'une femme se fait de plus en plus pressante. Mais alors que les tractations se multiplient en coulisse, Emmanuel Macron joue la montre.
Le deal était qu'il quitte Matignon après l'élection présidentielle. Face au refus de Jean Castex de prolonger son mandat de Premier ministre, Emma...
- Article contenant une vidéo Je vais me reposer pendant six mois, et je réfléchirai à la suite après". En attendant, le haut fonctionnaire installe "sa famille dans un appartement à Paris. Ses deux filles cadettes sont scolarisées à Paris" et "s’est mis en tête de répondre lui-même aux nombreuses lettres de remerciement qu’il reçoit des Français". Pas attendu à Matignon, l'ex "Monsieur Déconfinement" a "épaté" certains de ses ministres.
Il manque un chef d'orchestre pour mettre en musique les intentions macroniennes, parfois brouillonnes et concurrentes en matière de politique énergétique.
Si la grande nation écologique a vraiment des prétentions à l'universel, elle ferait bien de laisser nos Malthus franchouillards là où ils sont : dans le monde confortable et étriqué des certitudes éternelles et des vérités révélées. Sans quoi, elle ne sera ni grande, ni nation et encore moins écologique, mais un petit pays dépendant fier de son passé. De même, où est le programme des investissements d'avenir, de cette France 2030 qui investit massivement dans les technologies de demain ? Déjà présent dans le projet de Société des nations dans les années 1920, il sera, trois décennies plus tard, l'un des artisans de l'Europe après avoir été entre-temps un pilier des relations transatlantiques. Programme inachevé ? Sans doute. Faire émerger les entreprises, les technologies et les scientifiques spécialisés est mieux. Car, chers lecteurs français, sachez que, chez nos voisins allemands, le terme renvoie à une image peu flatteuse de notre pays.
"Edouard Philippe n'aime pas qu'on le touche quand il n'a rien demandé." Comment a-t-il reçu et perçu le geste présidentiel lors de la cérémonie ...
L'amicale tape présidentielle aurait-elle eu pour vertu de rasséréner un Edouard Philippe marri d'être dénigré ? Le toucher, même royal, ne guérit pas tout. Fort de cette perception, un ministre devenu ami résume : "La claque dans le cou, ça fait vraiment Edouard le bon chien chien. Convenons qu'aucun ne peut être accusé d'excès de tendresse à l'égard de l'autre. Ni d'aveuglement. L'infantilisation est à son comble ? "Emmanuel Macron a conscience que tout cela est lu, répond l'un de ses stratèges. Il ne l'a pas fait par hasard." "On peut y voir la reconnaissance du travail accompli pendant trois ans en parfaite loyauté", estime en parfaite franchise l'eurodéputé et ami de Philippe, Gilles Boyer. Sans doute extrapole-t-on en croyant saisir dans le regard du patron d'Horizons ainsi harponné un voile d'irritation... Diantre, que cela doit être désagréable, a-t-on songé. Décortiqué sur les réseaux sociaux, analysé par les journalistes mués pour l'occasion en experts en langage corporel, le geste présidentiel imposé à Edouard Philippe - et à d'autres invités, ne péchons pas par malhonnêteté - lors de la cérémonie d'investiture samedi 7 mai mérite-t-il tant d'attention ?
On commence à s'impatienter dans les couloirs de l'Élysée. Depuis sa réélection, Emmanuel Macron est à la recherche de la perle rare qui remplacera...
"Tout contrôler, c’est toujours pareil", déplore un Marcheur dans les colonnes du quotidien. "Je pense que c'est le dernier mais l'arbitre est facétieux", s'est ainsi amusé un ministre. Il restera quoi qu'il arrive le "maître des horloges". Emmanuel Macron a dit savoir qui sera son prochain Premier ministre lors de sa conférence de presse à Berlin, lundi 9 mai, mais ni le gouvernement actuel ni la presse n'a pour l'heure reçu d'information quant au nom de l'heureux élu. Ce mercredi 11 mai se tenait, comme si de rien n'était, l'habituel C onseil des ministres hebdomadaire.
ELYSEE 2022. L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron se prépare-t-il un destin à la Pompidou ou à la Juppé ? Nos deux chroniqueurs n'ont pas la même ...
Il a refusé de se laisser enrôler dans le nouveau parti présidentiel et négocié son ralliement pour les législatives sous la bannière macroniste contre assez de circonscriptions gagnables pour que ses partisans constituent un groupe autonome dans la future Assemblée – « Ensemble », donc, mais séparément. C’est ainsi qu’en trahissant le général, il assurait la survie du gaullisme… Signe manifeste de ce ressentiment : le parti de Philippe, dans la distribution des investitures, s’est retrouvé à la portion congrue, recevant tout juste le nombre de circonscriptions nécessaire pour recevoir un financement public, pas une de plus. Il professe les vues modérées d’une droite de bon aloi, libérale et sociale, européenne et prudente qui distille l’eau tiède plus que les alcools forts. Ancien Premier ministre n’a jamais été un métier d’avenir. Comme d’autres membres du club avant lui, Edouard Philippe est condamné à espérer mieux. C’est une configuration classique de la Ve qui attend Edouard Philippe. Les présidents qui voient venir le terme de leur course, même bien à l’avance, s’agacent toujours de leurs dauphins. Ce qui aiguise les appétits d’une tripotée d’Iznogoud décidés à devenir calife à la place du calife. Dans cette troupe d’ambitieux émerge la haute stature d’ Edouard Philippe. Fort de sa qualité d’ancien Premier ministre, l’homme du Havre ne cache pas ses ambitions. Le Président est en passe de disposer une seconde fois de tous les pouvoirs ou presque. Popularité. Outre l’expérience, son meilleur capital est sa popularité. Personnalité politique numéro un dans la plupart des sondages, il s’est construit une image d’homme simple et direct, compétent mais capable d’admettre qu’il n’a « pas toutes les réponses ». Dans les périodes difficiles de la réforme (avortée) des retraites puis de la pandémie de Covid, il a composé un style mêlant sévérité et sincérité que les Français ont apprécié, mais Macron beaucoup moins – les premiers ministres ont vocation à attirer la foudre, non la lumière. Plus normand que parisien, élu local davantage que technocrate (combien savent qu’il est conseiller d’Etat ?), il incarne une équation politique proche des attentes du pays, même s’il était réticent au « quoi qu’il en coûte » et prône la retraite à… 67 ans. Philippe est un homme ouvert, de commerce agréable, doté de surcroît d’un don d’imitateur qui égaye les dîners politiques. Réélu sans peine, il pourrait bien, disent les sondages, disposer également d’une majorité de nouveau écrasante à l’Assemblée. Mais ce pouvoir a désormais son terme connu : la Constitution lui interdit de se présenter une troisième fois à la présidence. Dans cinq ans, plus de Macron. Au début de ce mandat, il est par nature en fin de course.
Le dernier Conseil des ministres du premier mandat d'Emmanuel Macron s'est tenu ce mercredi à l'Elysée. Aucune précision n'a été apportée sur le calendrier ...
L'accord autour de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale pour les législatives est « historique », se vante Jean-Luc Mélenchon en s'attachant à réveiller le mythe de l'union, si puissant dans l'électorat de gauche. « C'est le plus probable que je ne repique pas en tant » que ministre de l'Education a-t-il avancé, tout en assurant qu'il se lancerait dans la bataille des législatives dans la circonscription de Montargis. Il est aussi bancal et clivant, tournant le dos à la gauche de gouvernement. Sur RTL, la candidate du RN à la présidentielle a estimé qu'elle aurait pu s'allier avec Eric Zemmour pour les législatives de juin. La vraie question, c'est quelle opposition à Emmanuel Macron », a ajouté l'ex-candidate du RN à la présidentielle. Le président du RN a par ailleurs indiqué que Marine Le Pen n'avait pas encore choisi de revenir ou non à la tête du parti. Il y aura moins de députés qu'avant », a-t-il également développé sur Sud Radio. « Dans la vie politique, il y a l'opportunisme ou la fidélité, moi j'ai choisi d'être fidèle », a ajouté Stéphane Le Foll. Le président du Rassemblement national était l'invité de RMC et BFMTV. « L'union des gauches me fait peur et est extrêmement dangereuse. Interrogé sur son propre avenir, le porte-parole du gouvernement a déclaré : « je ne sais pas de quoi l'avenir sera fait ». « Je veux dire que j'ai un eu grand plaisir à occuper cette fonction. Il a fait valoir que les propos de Jean-Luc Mélenchon étaient « inacceptables ». « Sur les 18 circonscriptions de la ville, 2 ont été accordées aux candidates du Parti socialiste », avance-t-elle. Après le retrait hier de la candidature de Taha Bouhafs dans le Rhône, le PCF aimerait voir sa candidate soutenue par la nouvelle union populaire, ce qui n'est pas du goût du parti de Jean-Luc Mélenchon.
Plusieurs sources semblent indiquer que l'ancienne ministre de la Culture de François Hollande pourrait être un des profils privilégiés pour remplacer Jean ...
Patronne de l'Unesco depuis 2017, Audrey Azoulay pourrait satisfaire de nombreux critères dits par Emmanuel Macron, qui a depuis affirmé avoir fait son choix. Depuis sa réélection, Emmanuel Macron a toujours laissé entendre qu'il voulait une femme à la place de Jean Castex au poste de Premier ministre. Et selon RMC, qui cite un des amis de Marisol Tourraine, "elle prend de l’envergure en Macronie".
Mardi, le chef de l'Etat s'est adressé à ses candidats pour le scrutin des 12 et 19 juin et leur a demandé d'aller « chercher une majorité ».
Emmanuel Macron a affirmé à une journaliste de TF1, lundi 9 mai, qu’il a choisi le nom de son prochain premier ministre. « Votre devoir c’est de vous battre le matin, le midi, le soir et la nuit. Mardi 10 mai, devant les candidats aux élections législatives pour le mouvement présidentiel, réunis aux Docks de Paris, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le chef de l’Etat, réélu depuis un peu plus de quinze jours, a lancé officiellement le démarrage de la campagne censée lui apporter une majorité pour gouverner.
Qui est Audrey Azoulay ? Ancienne ministre de la Culture sous le quinquennat de François Hollande, elle a 49 ans. Depuis 2017, elle est directrice générale de l ...
Depuis 2017, elle est directrice générale de l'Unesco. Et si c'était elle? Nouveau Premier ministre : et si Emmanuel Macron avait choisi Audrey Azoulay pour succéder à Jean Castex ?
Le Premier ministre Jean Castex a, lui aussi, été salué par le chef de l'État, lui qui devrait céder sa place à Matignon dans les prochains jours.
Il y avait un côté affectif, des deux côtés", a par ailleurs rapporté un ministre. [...] Il a dit avec solennité et affection qu'il avait été très fier d'être autour de cette table avec Jean Castex et son gouvernement ces deux dernières années", a souligné le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, lors du compte rendu. Oui, il y a eu des combats avec la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et évidemment beaucoup d'autres."
Plusieurs sources indiquent qu'Audrey Azoulay, actuelle directrice générale de l'Unesco, pourrait avoir le bon profil pour remplacer Jean Castex Alors que ...
Mais est ce qu’elle envoie un message politique ? » s’interroge toutefois un membre du gouvernement. Parmi eux, celui d’Audrey Azoulay. L’ancienne ministre de la Culture sous François Hollande pourrait en effet avoir le bon profil, selon Le Canard Enchaîné et RMC. Ce scénario est « devenu tellement insistant » qu’il apparaît de plus en plus improbable, relève un autre.
Selon les informations du service politique de RMC, deux noms reviennent avec insistance dans le camp Macron pour devenir le prochain Premier ministre.
C’est de la carricature." Est-ce des coups qui cachent une fébrilité face à la dynamique de la gauche ? C’est en tout cas ce que croit une proche du leader insoumis: "S’il emploie ces mots, c’est qu’il a peur. Et pique aussi le PS qui a signé l’accord "certains trahissent leurs convictions au profit d’appareils politiques", dénonce-t-il. Le ton est donné. Les candidats vont devoir s’armer et aller au combat dans une contexte qu’il qualifie de "particulier". "Elle est très souriante et bizarrement elle est devenue difficilement joignable", ajoute-t-il. Et puis l’autre nom qui revient avec insistance est celui de Marisol Touraine, comme une rumeur qui court.
Lors du dernier Conseil des ministres de son premier quinquennat, Emmanuel Macron en a profité pour remercier le Premier ministre, Jean Castex.
Mais Emmanuel Macron ne choisira pas «quelqu’un qui cherche à lui faire de l’ombre», selon un élu. «Il y a près de deux ans, Jean Castex a accepté de diriger un gouvernement de combat. Au cours d’un Conseil des ministres relativement court – moins d’une heure et demie –, Emmanuel Macron «a remercié chacune et chacun pour le travail qui a été fait.