Schamlose Korruption, schwere Menschenrechtsverstöße: Dafür stand einst die Familie Marcos auf den Philippinen. Nun wird der Sohn des einstigen Diktators ...
Aber dass den Opfern der außergerichtlichen Tötungen unter Marcos Gerechtigkeit widerfährt - damit noch weniger. Einige politische Analysten sehen in ihm den Wunschkandidaten Chinas - den Konflikt ums Südchinesische Meer, auf das beide Länder Ansprüche stellen, will er bilateral lösen. Die Philippinen haben China aber wenig entgegenzusetzen. Im Namen des Vaters hat Ferdinand "Bongbong" Marcos die Wahl gewonnen. Ihr Vater hat sich nicht für ihren Teamkollegen ausgesprochen: Rodrigo Duterte bezeichnete "Bongbong" Marcos als schwach und verwöhnt. Schon als die Familie nach dem Tod von Ferdinand Marcos sr. 2016 trat er zur Vizepräsidentschaftswahl an - damals verlor er knapp gegen Leni Robredo. Er bezichtigte sie des Wahlbetrugs, kam damit vor Gericht aber nicht weiter.
Sein Vater war ein gefürchteter Diktator, unter dem Korruption und Menschenrechtsverletzungen auf den Philippinen an der Tagesordnung waren.
In den wenigen Interviews, die er gab, wirkte er linkisch und verkrampft. Die Verbindung zu seinem Vater hat den 64-Jährigen zu einem der umstrittensten Politiker des Landes gemacht. Sein Comeback verdankt der Marcos-Clan auch der Ernüchterung über die weiter bestehende Kluft zwischen Arm und Reich sowie Bestechungsvorwürfen, die alle Regierungen nach Ende der Diktatur begleitet haben. Der kleine Bongbong wuchs im Präsidentenpalast in Manila auf und wollte ursprünglich Astronaut werden. Einigkeit sei "der erste Schritt, aus dieser Krise herauszukommen", sagte Marcos Jr., der in den Philippinen unter dem Spitznamen Bongbong bekannt ist, beim Start seiner Kampagne im Februar. 36 Jahre ist es her, dass die Marcos-Familie vor einem Volksaufstand ins US-Exil floh.
Das bedeutet die chaotische Rückkehr des Diktatoren-Clans für die angeschlagene Demokratie des Inselstaats. Ferndinand «Bongbong» Marcos junior hat die ...
Was ist das @COMELEC?» VCM lautet die Abkürzung für «vote counting machine», ein Automat zur Auszählung von Stimmen. Und Comelec heisst die Wahlkommission der Philippinen, die am Montag in unzähligen Tweets und Zeitungsberichten in Kritik unterging. «Ich war um 5.30 Uhr in der Schlange, um abzustimmen», schrieb ein offensichtlich wütender Barry Gutierrez, der für die liberale Oppositionskandidatin Leni Robredo arbeitet, eineinhalb Stunden später auf Twitter. «Jetzt sagen sie uns, dass es ein Problem mit VCM gibt und wir einfach zurückkommen sollten. Ferndinand «Bongbong» Marcos junior hat die Präsidentschaftswahl in den Philippinen gewonnen.
Der kommende Präsident der Philippinen wird nach inoffiziellen Ergebnissen der Sohn des Diktators Ferdinand Marcos sein. Hunderte Menschen demonstrieren.
Sie warfen der Behörde Wahlbetrug vor und wollen den nach einer inoffiziellen Auszählung erwarteten Sieg von Diktatorensohn Ferdinand „Bongbong“ Marcos Jr. nicht anerkennen. Nach der Präsidentenwahl auf den Philippinen hat sich Wahlsieger Ferdinand „Bongbong“ Marcos Jr. auf sozialen Netzwerken bei seinen Anhängern bedankt. „Um der Philippinen willen, die Sie - wie ich weiß - sehr lieben, müssen wir auf diese Stimme hören, denn am Ende teilen wir nur eine Nation“, erklärte die Menschenrechtsanwältin.
36 Jahre nach dem Sturz von Diktator Ferdinand Marcos hatte sein Clan wieder die Kontrolle auf den Philippinen. Diktatoren-Sohn Ferdinand „Bongbong“ Marcos ...
36 Jahre nach dem Sturz von Diktator Ferdinand Marcos hatte sein Clan wieder die Kontrolle auf den Philippinen. Diktatoren-Sohn Ferdinand „Bongbong“ Marcos junior gewann bei der Präsidentenwahl am Montag haushoch. In „Bongbongs“ altem Kinderzimmer, im Palast der Marcos in der nordphilippinischen Provinz Ilocos Norte, hängt neben dem Himmelbett ein Gemälde. Darauf ist Ferdinand Marcos junior gemalt, als sehr ernstes und entschlossenes Kind. Er trägt eine goldene Krone und reitet auf einem weißen Pferd. In der einen Hand hält er die philippinische Fahne, in der anderen die Bibel. Die Prophezeiung des Bildes hat sich bewahrheitet – zumindest was den Aspekt der Eroberung betrifft.
Der Name Marcos steht für eine skrupellose und korrupte Diktatur. Die Familiengeschichte wurde "Bongbong" jedoch nicht nachgetragen.
Ferdinand Marcos Junior, 64 ans, a remporté l'élection présidentielle avec 58,8% des suffrages exprimés aux...
Ancien prisonnier politique, Bonifacio Ilagan, alors président de l’organisation de jeunesse communiste Kabataang Makabayan, a été capturé lors d’un raid en 1974, il a été détenu pendant deux ans dans les geôles de Marcos et torturé à plusieurs reprises. Ferdinand Marcos Junior est le président le mieux élu depuis son père en 1969. Tout d’abord, "Bongbong", comme il est désigné par les Philippins, a mené une campagne de désinformation massive sur les réseaux sociaux.
La victoire de Ferdinand Marcos junior, fils du défunt dictateur, à l'élection présidentielle aux Philippines signe le retour en grâce d'un clan familial ...
À l’issue de cette élection entachée de fraudes et de violences, le dictateur en place s’autoproclame vainqueur, mais il ne résistera pas longtemps à la colère de la rue. Deux ans à peine après la mort du dictateur déchu en exil en 1989, l’ex-première dame Imelda Marcos rentre au pays pour être jugée pour fraude et corruption massive. Trois ans plus tard, toujours sous la pression d’une opinion publique hostile, Ferdinand Marcos annonce une élection présidentielle anticipée à la télévision américaine. La veuve de l’opposant assassiné, Corazon Aquino, sort alors de l’ombre et décide de se présenter. La famille connaît bien ce palais rutilant d’un blanc immaculé au bord du fleuve Pasig à Manille, la capitale des Philippines. Car c’est d’ici que le père du futur président, Ferdinand Marcos sénior, a régné en maître absolu pendant 21 ans, épaulé par son épouse Imelda, une ex-reine de beauté issue d’une puissante dynastie du centre du pays. Fort du soutien des États-Unis, Ferdinand Marcos gouverne par décrets et mène une violente répression contre l’opposition. Des dizaines de milliers de dissidents sont emprisonnés, torturés, voire tués. Trente-six ans après en avoir été chassé, le clan Marcos fera son retour au palais de Malacanang en juillet prochain.
REPORTAGE - Plus de quatre décennies après le départ du dictateur Ferdinand Marcos Senior, les anciennes victimes contemplent avec effroi le retour aux ...
L’officier coinçait une balle effilée de M-16 entre chaque phalange, puis les serrait très fort jusqu’à faire hurler sa victime. L’étudiant avait été «cueilli» à la sortie d’une gargote, sur la place de l’église de sa ville, sur l’île Negros, alors qu’il hâtait le pas pour trouver asile sous la protection de l’évêque, opposant résolu au dictateur. C’est ainsi que ce catholique, aujourd’hui sexagénaire, a démarré son chemin de croix, à l’âge 18 ans, sous le règne de Ferdinand Marcos Senior, le père défunt du nouveau président des Philippines, «Bongbong» élu triomphalement dans l’archipel d’Asie du Sud-Est. Après les passages à tabac, ce furent les décharges électriques dans le bas du dos, jour après jour, pour arracher des aveux en ces jours sombres de 1978.
Ferdinand Marcos Junior, fils du défunt dictateur du même nom, a remporté mardi une victoire écrasante à la présidentielle aux Philippines, réinstallant son ...
Dans la capitale, ses partisans euphoriques lançaient des feux d'artifice et parcouraient les rues en agitant des drapeaux philippins. Il lui suffisait, lors de ce scrutin à un seul tour, d'être celui des dix candidats qui obtenait le plus de voix pour l'emporter. Le régime avait été renversé en 1986 par une immense révolte populaire, et la famille Marcos était partie en exil aux Etats-Unis, avant de revenir dans le pays pour y retisser peu à peu un puissant réseau de soutien politique.
Ferdinand Marcos Junior, le fils de l'ancien dictateur, a remporté haut la main la présidentielle du 9 mai. Retour sur l'effort de longue haleine d'un clan ...
En novembre 2021, il avait ironisé au sujet d’« un candidat à la présidentielle dont le nom et le père sont célèbres » : un « leader mou », avait-il persiflé, qui « sniffe de la cocaïne ». Cette sortie avait poussé le candidat Marcos à faire un test prouvant qu’il était « propre ». La relation de Duterte avec les Marcos est ambivalente : son père fut secrétaire d’Etat sous Marcos père avant la dictature, mais sa mère prit la tête de manifestations anti-Marcos durant la loi martiale dans leur ville de Davao. Le président sortant, le populiste Rodrigo Duterte, s’est révélé un allié de plus en plus ambigu des Marcos, ces derniers mois, malgré le choix par « BBM » de sa fille, Sara Duterte, comme vice-présidente. Celle-ci a été largement élue au suffrage universel à ce poste. Etudiant à Oxford en 1978, il n’y a reçu qu’un « certificat spécial » – et non un diplôme, comme a confirmé l’université, en octobre 2021.
Der Name Marcos steht für eine skrupellose und korrupte Diktatur. Die Familiengeschichte wurde "Bongbong" jedoch nicht nachgetragen.
Marcos Jr. wird Präsident der Philippinen – 36 Jahre nach dem Ende der Diktatur seines Vaters. Die einstigen Opfer sind schockiert. Der...
Mit dem triumphalen Wiedereinzug des Clans in den Präsidentenpalast Malacañang wird aus Sicht der Familie die natürliche Ordnung wiederhergestellt. Aus Sicht der Familie wird damit ein Fehler der Geschichte behoben. Der neue Staatschef weckt Erinnerungen an die dunkle Vergangenheit des Landes.
Un flemmard, disait son père. Ferdinand Marcos Jr, alias Bongbong , n'a pas rédigé de programme pour la présidentielle aux Philippines.
Ferdinand Marcos Jr, fils de l'ancien dictateur philippin, a revendiqué mercredi 11 mai la victoire à l'élection présidentielle, s'engageant à être...
Depuis des années, des comptes pro-Marcos Junior ont envahi les réseaux sociaux, faisant passer auprès des jeunes Philippins les vingt ans de régime de son père (1965-1986) comme une ère dorée de paix et de prospérité pour l'archipel. «Bongbong» est le premier candidat à la présidentielle à remporter la majorité absolue depuis que son père a été renversé en 1986, contraignant sa famille à l'exil aux États-Unis. «Au monde, il dit : jugez-moi sur mes actes, pas sur mes ancêtres», a ajouté Vic Rodriguez dans un communiqué. Selon des résultats préliminaires portant sur la quasi-totalité des bureaux de vote, Marcos Junior, surnommé «Bongbong», a obtenu plus de 56% des suffrages et plus de deux fois plus de voix que sa principale rivale, la vice-présidente sortante Leni Robredo. Ferdinand Marcos Jr, fils de l'ancien dictateur philippin, a revendiqué mercredi 11 mai la victoire à l'élection présidentielle, s'engageant à être le dirigeant de «tous les Philippins», a annoncé son porte-parole.
Ferdinand Marcos Junior, fils de l'ancien dictateur philippin, a revendiqué mercredi la victoire à l'élection présidentielle, s'engageant à être le ...
Selon des résultats préliminaires portant sur la quasi-totalité des bureaux de vote, Marcos Junior, surnommé "Bongbong", a obtenu plus de 56% des suffrages et plus de deux fois plus de voix que sa principale rivale, la vice-présidente sortante Leni Robredo. La campagne électorale de Ferdinand Marcos Jr, 64 ans, a été marquée par une vaste et souvent abjecte campagne de désinformation, passant sous silence les dizaines de milliers d'opposants arrêtés, torturés ou tués, ou encore les milliards de dollars volés par le clan Marcos dans les caisses du pays pour son enrichissement personnel. Philippines: Ferdinand Marcos Junior revendique la victoire à la présidentielle
Laut vorläufigem Ergebnis der philippinischen Präsidentschaftswahl hat Ferdinand Marcos Junior deutlich gewonnen. Protestierende werfen der Wahlbehörde ...
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PORTRAIT - Ferdinand "Bongbong" Marcos Jr, 64 ans, élu mardi nouveau président des Philippines, parachève le spectaculaire retour en grâce de son clan, ...
Le régime avait été renversé en 1986 par une immense révolte populaire, et la famille Marcos s'était exilée aux États-Unis, avant de revenir dans le pays pour y retisser patiemment un puissant réseau de soutien politique. Celui qui enfant se rêvait astronaute défend aujourd'hui le régime de Marcos Senior, mort à Hawaï en 1989, et loue même son "génie politique", occultant la corruption et la mauvaise gestion qui ont appauvri la nation. Ce triomphe du fils Marcos, qui intervient après une campagne électorale marquée par des torrents de désinformation, laisse un goût amer à des millions de Philippins qui espéraient tourner la page de six ans de présidence de Rodrigo Duterte, marqués par les violences, dont une guerre sanglante contre le trafic de drogue, et un autoritarisme accru.