Swissquote pourra construire une tour de 60 mètres à Gland (VD). De leurs côtés, les citoyens morgiens ont tranché dimanche sur leur fiscalité 2022: ils ont ...
Début novembre 2021, la Municipalité avait proposé le statu quo pour les impôts 2022, soit le maintien du taux communal à 67%. Le PLR, l’UDC ainsi que l’Entente Morgienne avait alors lancé un référendum qui avait récolté 2195 signatures. Le projet a été accepté par 2216 oui contre 1587 non.
Plusieurs cantons romands votent aussi ce week-end: Genève se prononcera sur la nouvelle réforme du cycle d'orientation, Neuchâtel vote sur la possible création ...
Seules quatre communes ont accepté la réforme du Cycle d'orientation: la Ville de Genève, Carouge, le Grand-Saconnex et Vernier. Analyse.
Un océan de rouge et un îlot de verdure au centre. C’est à cela que ressemble la carte des résultats par commune de la votation de dimanche sur la réforme du Cycle d’orientation CO22. La Ville de Genève, Vernier, le Grand-Saconnex et Carouge sont en effet les seules communes où le oui s’est imposé. Trois, c’est très peu, mais ce sont des collectivités particulièrement peuplées, ce qui explique que le résultat global soit aussi serré: 50,83% de non contre 49,17% de oui, représentant 1731 voix d’écart. Votation cantonale du 15 maiRejet de la réforme du Cycle: les villes battues par la campagne
Ce dimanche, les genevois sont appelés à se prononcer sur la loi modifiant la loi sur l'instruction publique. Suivez les résultats en direct sur Radio Lac.
Hormis Vernier et le Grand-Saconnex qui ont voté oui avec la Ville de Genève, le reste des communes à voté non. Autre enseignement de la votation: la division entre la Ville de Genève et les autres communes du canton qui se sont opposée au projet. La majorité des partis admet que le système actuel, introduit en 2011, ne donne pas entière satisfaction. Du côté des partisans, la déception s'est fait sentir. C'est un tout petit non à la réforme du cycle d'orientation genevois. Pierre Nicollier, député PLR, membre de la commission d'enseignement du Grand Conseil.
À Genève, la loi qui visait à réformer le Cycle d'orientation a été refusé de justesse par 50,8% des voix. À Neuchâtel, l'initiative du POP qui demandait ...
À Genève, la loi qui visait à réformer le Cycle d’orientation a été refusée de justesse par 50,8% des voix. - La loi sur la transplantation a été acceptéepar 60,2% des votants. - La loi sur le cinéma a été acceptéepar 58,4% des votants.
A Genève, la nouvelle réforme du cycle d'orientation (CO22) est en passe d'être refusée. Selon les résultats anticipés basés sur le vote par correspondance, ...
D'après les recherches les plus récentes en éducation, une organisation sans filières est profitable à tous. Les effectifs moyens se seraient alors limités à 18 élèves, contre 19,5 actuellement. La majorité des partis admet que le système actuel, introduit en 2011, ne donne pas entière satisfaction.
Les Suisses se sont prononcés sur la loi sur le cinéma, le renforcement de Frontex et le consentement présumé pour le don d'organes, ainsi que sur plusieurs ...
Le vote sur le consentement présumé a poussé à la réflexion et à la discussion sur une question taboue. L’acceptation de la nouvelle règle est un soutien à toutes les professions qui s’occupent de transplantation, a ajouté le médecin de profession. La question des «pushbacks» (refoulements illégaux de migrants) et du respect des droits humains doit être prise très au sérieux, note toutefois le sénateur jurassien. Selon le conseiller national Damien Cottier (PLR/NE), la question d’une sortie automatique du système Schengen en cas de «non» a été prise en considération par la population. Il reflète la position de la population sur le don d’organes. Il s’agissait de la quatrième participation la plus importante depuis 1971, date à laquelle les femmes ont obtenu le droit de vote. Le mariage pour tous et l’initiative «99%» ont mobilisé un peu plus d’un électeur sur deux lors des votations de septembre. Dans ses prescriptions, la Confédération a fixé entre deux et cinq ans la durée de séjour minimale dans une commune pour demander une naturalisation. «Nous sommes les experts de la sécurité en Europe pour la sécurité juridique dans les formulaires.» Les citoyens zurichois ont refusé par 64,76%% des voix d’accorder le droit de vote aux jeunes de 16 et 17 ans. Le résultat des urnes est une confirmation de l’attitude positive de la population face au don d’organes, selon lui. «Toute la population devra être bien informée, aussi les personnes qui parlent une langue étrangère», a assuré le ministre.
Les Suisses ont accepté la hausse de la contribution de Berne au corps européen des garde-frontières (développement de l'acquis de Schengen).
Il s’agit d’«un oui clair à la sécurité et à une Suisse coopérative au cœur de l’Europe», écrit le PLR qui appelait à voter oui. La Suisse, qui participe à Frontex depuis 2011, est donc priée elle d’augmenter sa contribution de 24 millions de francs aujourd’hui à 61 millions de francs par an. En Suisse romande, Vaud dit oui à 74,4%, Genève à 63,5%, le Valais et Fribourg à 75,2%, Neuchâtel à 72,3% et le Jura à 71,7%. Dans le canton de Berne, Frontex est approuvé par 69,9% des voix. La hausse du soutien financier suisse à l’agence européenne qui contrôle les frontières extérieures de l’espace Schengen, Frontex: le projet a été soutenu clairement dans les urnes ce dimanche. Son budget doit être revu à la hausse. Frontex est soutenue par plus de 71% des votants.
La nouvelle réglementation sur l'audiovisuel, baptisée Lex Netflix, contraindra les plateformes de streaming à investir 4% de leur chiffre d'affaires réalisé en ...
La réforme de Frontex vise à la doter d’un corps européen permanent de 10 000 gardes-frontières et garde-côtes à l’horizon 2027. Ils ont aussi approuvé une loi permettant le financement des productions audiovisuelles locales en ponctionnant les géants du streaming. Les partis de droite avaient apporté leur soutien à la participation suisse au développement de Frontex, y compris l’UDC (Union démocratique du centre) dans le camp de la droite extrême, qui est en principe contre la signature de tout accord entre la Suisse et l’UE.
Les Jurassiens étaient appelés à se prononcer sur trois objets ce dimanche lors des votations fédérales : la « Lex Netflix », la « loi Frontex» et la loi ...
« Oui » à Frontex dans les trois districts. Le « oui » le plus fort provient de la commune de Alle à 81,7%. Suivent ensuite : La Chaux-des-Breuleux (80,6%), Rossemaison (80,3%) et Develier (78,7%). Au niveau national, la « Lex Netflix » a été acceptée à 58,4% des voix, tout comme la « loi Frontex » à 71,5% et la loi sur la transplantation à 60,2%. Les résultats dans le canton sont à découvrir ici « Oui » à la loi sur la transplantation Les Jurassiens ont accepté à 64,7% la modification de la loi sur la transplantation avec un taux de participation de 42,5%. Sur 53 communes, 50 ont accepté l’objet fédéral. Les trois communes qui ont refusé sont : Ederswiler (76,5%), Courchavon (55,7%) et Mettembert (52,3%). Le « oui » le plus fort provient de la commune de Saignelégier à 74,3%, suivi par la commune de Delémont (73,1%).
Les Valaisans se sont prononcés ce dimanche sur la loi sur le cinéma, la loi sur la transplantation et le financement de Frontex.
Les Valaisans acceptent également la loi sur la transplantation à 72,4%. Seules 8 communes, toutes haut-valaisannes, refusent cette modification de la législation sur le don d'organes. Finalement, le Valais accepte à 75,2% l'augmentation du financement de Frontex. Toutes les communes ont dit oui. Le canton dit oui à la loi Netflix à 59%, avec des disparités entre le Haut-Valais et le reste du canton. Les Suisses ont voté dimanche sur la modification de la loi sur le cinéma, ou Loi Netflix, qui a pour objectif de soutenir davantage la production cinématographique helvétique. Ils se sont également prononcés sur le don d’organes, avec l’introduction dans la loi du principe de consentement présumé, et sur l’augmentation du financement de l’agence européenne de garde-frontières Frontex.
Notre analyse après le «oui» du peuple suisse ce dimanche à l'augmentation des moyens et des effectifs alloués à Frontex.
Avec la votation des Suisses sur Frontex, c’est la première fois que des citoyens et citoyennes étaient amenés à s’exprimer directement sur l’agence européenne qui connaît la croissance la plus rapide. Autre difficulté, Verts et socialistes étaient seuls à soutenir le référendum et contraints de mener une campagne en apparence contradictoire. Et la suite? Avec le «oui» du peuple suisse ce dimanche à l’augmentation des moyens et des effectifs alloués à Frontex, la Suisse s’engage en faveur d'une sécurité européenne commune. Il s’agissait aussi d’éviter de mettre l’agence au centre du débat alors que son image est fortement égratignée ces derniers temps. Cela dit, la campagne n’a jamais vraiment pris son envol.
Large oui à Frontex (72%), au consentement présumé pour le don d'organes (59%) et à la "Lex Netflix" (58%), selon la première projection SSR.
58,4% des Suisses et des Suissesses ont approuvé cette modification de la loi sur le cinéma. - Le Conseil fédéral sort trois fois victorieux de cette journée de votations. Les conseillers fédéraux Alain Berset et Ueli Maurer ont exprimé leur satisfaction devant les médias après le large oui des Suisses à la nouvelle loi sur les transplantations d'organes, au renforcement de Frontex et à la "Lex Netflix".
Les expatrié-es ont approuvé la «Lex Netflix», la réforme du don d'organes et le financement de Frontex encore plus nettement que le reste du pays.
L’experte explique que plus le taux de participation est faible, plus les résultats sont conformes avec les recommandations du gouvernement, car les personnes qui se mobilisent à chaque votation sont principalement les plus confiantes dans les institutions. La mobilisation de la Cinquième Suisse a elle aussi été assez faible. Et la guerre en Ukraine, là encore, a certainement quelque peu détourné l’attention du scrutin. La loi sur le cinéma a, elle aussi, été davantage soutenue par les cantons francophones. Le «röstigraben» sur les deux premiers objets, tout comme la faible participation, se constatent aussi bien en Suisse qu'à l'étranger.Ce contenu a été publié le 16 mai 2022 - 13:43 Que ce soit pour la «Lex Netflix» ou la loi sur les greffes, les cantons où le oui a dépassé les 80% sont tous romands.
C'est la fin de ce compte rendu en direct sur la votation du Cycle d'orientation. Merci de nous avoir suivis, et restez sur tdg.ch tout au long de ...
97% des bulletins ont désormais été dépouillés. Le non à la réforme du Cycle reste en tête avec 50,76% des votes. On pouvait s'attendre à un score plus serré. Le peuple genevois dit clairement oui au financement de Frontex, malgré les très vives critiques contre les pratiques de l'agence en matière de migration. Céline Amaudruz, conseillère nationale UDC, qualifie le non à la réforme du Cycle de «petit refus mais grande victoire» et attend que le Conseil d'Etat revienne avec un projet. J'ai bien peur qu'il y ait un clivage entre les communes populaires et les communes riches, note-t-elle en observant la carte de répartition du vote. Députée MCG, Ana Roch ressent de «l'amertume» devant un résultat aussi serré. «Si le non était beaucoup plus net, on aurait pu se dire qu'on était à côté de la plaque. Mais le débat n’est pas clos.» Il s’arrête. Ce n’est pas tout à fait une surprise car les sujets qui concernent l’école font toujours l’objet de débats à Genève. Nous regrettons néanmoins ce refus, car tout le monde reconnaît, les opposants comme les partisans, reconnaît que le Cycle d’orientation d’aujourd’hui ne donne pas satisfaction et qu’il fallait changer quelque chose.» «Non, l'exécutif doit reproposer, et peut-être qu'une réforme générale du Département de l'instruction publique s'impose.» Le dépouillement est presque terminé: 64 bureaux de vote sur 67. En faisant croire que le sujet du vote était une acceptation ou non de l’Europe de Schengen, le Conseil fédéral a réussi à faire peur à une majorité de nos concitoyennes et concitoyens. Le décompte des bulletins déposés ce dimanche dans les bureaux de vote n'a pas renversé la tendance des votes par correspondance. Le cas échéant, le système aurait pu évoluer. La question que je me pose, c’est comment se fait-il qu’on ne puisse pas faire à Genève ce qui fonctionne ailleurs?»