Kazakhstan

Pour son 3e match du tournoi, les hommes de Patrick Fischer affrontent les Kazakhs, battus par le Danemark et la France. Une belle occasion de soigner le ...

Il reste 5 minutes de jeu et la Suisse pousse pour se mettre à l'abri. Les trois points, et puis c'est tout. Il reste 60 secondes de jeu et la Suisse concède un dégagement interdit. Coup d'envoi à 19h20. Il reste deux minutes de jeu. Il reste 20 secondes de jeu.

La sélection helvète combine vitesse et précision, à l'image de Philipp Kurashev dont la combinaison avec Timo Meier oblige le gardien Andrei Shutov à un ...

Arbitrage de Roy Stian Hansen (NOR) et Peter Stano (SVK) assistés de Daniel Beresford (GBR) et Davis Zunde (LAT) Pénalités : Suisse 4′ (0′, 2′, 2′), Kazakhstan 4′ (0′, 2′, 2′) Tirs : Suisse 43 (8, 22, 13), Kazakhstan 14 (3, 5, 6) Le Kazakhstan, en faisant le dos rond et en bénébiciant de pas mal de chance n’est pas passé loin d’une surprise et a aussi montré une certaine resistance. Jesse Blacker file au but, tire sous le bras du gardien suisse et allume une lueur d’espoir pour le Kazakhstan (2-1). Une fois la pénalité tuée, la Kazakhstan bénéficie même à son tour d’une supériorité numérique mais tout comme la Suisse, les occasions ne sont pas transformées et il se fait lui aussi piégé sur un contre. Sandro Aeschlimann bloque des occasions de Petukhov, Asetov puis Panyukov, tandis que le cerbère kazakh s’interpose face à celles de Nico Hischier et de Pius Suter. La Suisse bénéficie d’une première supériorité numérique à son tour, qu’elle ne met pas à profit pour accroître son avance, bien qu’elle prenne sa chance plus souvent qu’en première période. La sélection helvète combine vitesse et précision, à l’image de Philipp Kurashev dont la combinaison avec Timo Meier oblige le gardien Andrei Shutov à un exceptionnel arrêt du bouclier.

La sélection de Patrick Fischer a globalement maîtrisé son sujet aux Mondiaux pour disposer (3-2) du Kazakhstan mardi soir à Helsinki.

Car après ses deux succès initiaux décrochés devant l’Italie (5-2) et le Danemark (6-0) le week-end dernier, la sélection à la croix blanche en a ajouté un troisième en dominant mollement le Kazakhstan (3-2) mardi soir au Helsinki Ice Hall. Cette nouvelle victoire lui permet toutefois de partager la tête du groupe A avec le Canada. Face aux Kazakhs, les hommes de Patrick Fischer sont tombés dans la facilité au fil des présences et sur un portier – Andrei Shutov, auteur de 40 arrêts – en état de grâce. Ils ont ainsi dû patienter jusqu’à la 24e minute pour matérialiser leur nette supériorité dans tous les compartiments du jeu. Notes: La Suisse sans Genoni, Scherwey, ni Thürkauf (surnuméraires). Le Kazakhstan sans gardien de 59’11 à 59’44 puis de 59’49 à 60’00. Pour le match référence, en revanche, on repassera. L’équipe de Suisse devra montrer bien plus de conviction ce mercredi soir (19h20) à l’occasion de son duel avec la Slovaquie, médaillée de bronze aux Jeux olympiques de Pékin en février dernier. La sélection de Patrick Fischer a globalement maîtrisé son sujet au Mondial pour disposer (3-2) du Kazakhstan mardi soir à Helsinki. Après trois matches dans le tournoi, elle demeure invaincue.

Lors de son troisième match au Championnat du monde à Helsinki, la Suisse a battu le Kazakhstan avec un score de 3-2. Le prochain match de l'équipe suisse ...

Difficile d’imaginer pareille issue dans la capitale finlandaise. Pas avec ce contingent-là. Pas quand on est dans le top 7 mondial. Comment tirer 43 fois au but et ne parvenir à inscrire que 3 goals?

Les Suisses ont joué contre le Danemark comme des prétendants à une médaille, voire même comme un candidat potentiel au titre mondial.

Pour avoir été un peu trop patiente, la Suisse se retrouve en train de trembler un peu quand même, jusqu'au but d'Herzog (3-1). Match fini? D'ailleurs, la première action dangereuse revient au bout de la crosse de Mikhailis qui ne parvient pas à trouver le but vide à la 42e minute. Récompense pour une deuxième ligne d'attaque très patineuse qui a ainsi fait sauter le verrou dressé devant le bon portier kazakh Andrei Shutov. Et le jeu de s'ouvrir un peu plus, sans autre effet au tableau d'affichage. SOG: 22-5 (30-8). 2e tiers - On va partir du principe que la faible opposition (au niveau offensif s'entend) n'a pas poussé la Suisse à survoler la partie. 1er tiers - On aurait aimé en dire un peu plus, mais la première période, dominée par la Suisse, n'a pas abouti sur grand chose. Les Suisses ont joué contre le Danemark comme des prétendants à une médaille, voire même comme un candidat potentiel au titre mondial.

Les hommes de Patrick Fischer ont souffert pour prendre la mesure du Kazakhstan. Péniblement victorieux 3-2, ils remportent leur 3e match du tournoi.

La RSI a recueilli des déclarations de l'entraîneur national Patrick Fischer. Qui n'a pas caché l'alignement vraisemblable de son équipe, ce soir, ...

Il s'agira des très travailleurs Thürkauf et Scherwey qui pourront ainsi recharger leurs batteries. Le sélectionneurl fera débuter dans la compétition Aeschlimann, Miranda et Riat. Pour les deux premiers, il s'agira de leur première participation à des Jeux olympiques, tandis que le dernier a déjà disputé cinq matches au Danemark en 2018. Voilà qui obligera Fischer à laisser deux joueurs déjà alignés de puis le début de la compétition dans les gradins.

L'équipe de Suisse a accroché une troisième victoire en autant de parties au Championnat du monde de Hockey à Helsinki. Mais Christoph Bertschy sait que la ...

» Mais qu'est-ce que l'équipe peut améliorer ? « Cela se passe au niveau de l'énergie, de l'exécution. On doit finir nos checks, finir le jeu plus directement, chercher le chemin direct vers le but. « Les tirs au but, ça veut certes dire quelque chose, mais 3-2 c'est un résultat assez serré, a analysé Christoph Bertschy. Ce fut un peu compliqué pour nous aujourd'hui. On n'a pas dominé comme on voulait dominer, ni fait le jeu comme on ambitionnait de le faire.

Mardi soir face au Kazakhstan, les deux attaquants lémaniques ont été alignés pour la première fois depuis le début du tournoi finlandais.

Je me sentais bien, certainement car je savais que j’étais bien préparé. Car lorsque c’est le cas, il n’y a pas de raison d’être nerveux.» J’espère donc que ça va me permettre de gagner ma place contre la Slovaquie (ndlr: match prévu ce mercredi à 19h20). Et que ça va me permettre de jouer le plus de matches possibles lors de ce Championnat du monde.» Mais c’est sûr que je rêvais de ce match depuis que j’étais petit. Il a fallu gérer ça de manière professionnelle et simplement attendre la décision du coach.» «Je vais être honnête, a-t-il glissé d’entrée. Lorsque je suis arrivé lors de la première semaine du rassemblement, je n’avais pas d’attentes particulières. D’autant plus que j’avais vécu une saison compliquée à Genève sur un plan personnel. Je me suis battu durant un mois et demi pour décrocher ma place à ce Championnat du monde.