Wegen seiner Russland-Kontakte steht Altkanzler Schröder in der Kritik. Nun entzieht ihm die Bundesregierung einen Teil seiner Sonderrechte.
Die Ampel will die Privilegien für Altkanzler neu regeln. Lange wurde darüber diskutiert, jetzt hat der Bundestag Altkanzler Gerhard Schröder (SPD) einen Teil seiner Sonderrechte als früherer Regierungschef in Deutschland entzogen. Die Koalition begründet die Entscheidung damit, „dass Bundeskanzler a.D. Schröder keine fortwirkende Verpflichtung aus dem Amt mehr wahrnimmt“. Schröders Verbindungen zu russischen Konzernen oder Putin werden dagegen nicht genannt. Würde das auch für Angela Merkel gelten? Es gibt auch Anträge auf einen Parteiausschluss. Das verbliebene Personal soll anderweitige Aufgaben übernehmen, hieß es in einem Antrag der Ampel-Koalition, der im Ausschuss eine Mehrheit fand.
Anrecht auf ein Ruhegehalt und auf Personenschutz hat der Altkanzler aber weiterhin. Die Union hätte dem SPD-Politiker am liebsten auch sein Ruhegehalt ...
Anrecht auf ein Ruhegehalt und auf Personenschutz hat der Altkanzler aber weiterhin. Der Haushaltsausschuss des Bundestages hat Gerhard Schröder die bisherige Ausstattung mit Mitarbeitern und Büros gestrichen. Die CDU-Politikerin verfügt ebenfalls über ein Büro und bekam erst vor wenigen Monaten neun Mitarbeiter mit Gehältern bis zu 10.000 Euro bewilligt. Der Haushaltsausschuss des Bundestages hat Gerhard Schröder die bisherige Ausstattung mit Mitarbeitern und Büros gestrichen. Es gibt auch Anträge auf einen Parteiausschluss. Der Bundestag hat Altkanzler Gerhard Schröder einen Teil seiner Sonderrechte als früherer Regierungschef in Deutschland entzogen.
Trotz des Angriffs auf die Ukraine ist Altkanzler Schröder weiter für russische Staatsunternehmen tätig. Nicht nur in Deutschland soll es Einschränkungen ...
Zudem gibt es Anträge auf einen Parteiausschluss. Die Ampel-Koalition aus SPD, Grünen und FDP will dem 78-Jährigen außerdem Büro und Mitarbeiter streichen. Mit großer Mehrheit hat sich das Europaparlament für EU-Sanktionen gegen Ex-Bundeskanzler Gerhard Schröder ausgesprochen. Sollte dieser dann angenommen werden, könnten in der EU vorhandene Vermögenswerte Schröders eingefroren werden.
L'ex-chancelier allemand Gerhard Schröder privé d'une partie de ses avantages d'ex-dirigeant / Le Journal horaire / 19 sec. / aujourd'hui à 16:05.
Plus globalement, la commission budgétaire demande au gouvernement de veiller désormais à ce "que la dotation de fonction des anciens chanceliers fédéraux se fasse en fonction de l'obligation continue découlant de leur fonction et non en fonction de leur statut". "Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l'ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l'invasion russe en Ukraine", indique la commission budgétaire. La coalition au pouvoir justifie aussi cette décision par le fait que "l'ancien chancelier Schröder n'assume plus aucune obligation continue liée à sa fonction". Un privilège qui coûte 400'000 euros par an aux contribuables.
Trotz des Angriffskrieges gegen die Ukraine ist Gerhard Schröder weiterhin für russische Energiekonzerne tätig. Das EU-Parlament fordert Konsequenzen von ...
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En cause : sa proximité avec le président russe, Vladimir Poutine. La valse des sanctions se poursuit. 85 jours après ...
"Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l'ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l'invasion russe en Ukraine", indique la commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du parlement allemand. Malgré la guerre en Ukraine, Gerhard Schröder refuse toujours de quitter ses fonctions dans plusieurs groupes énergétiques russes. 85 jours après le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, l'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder a été privé ce jeudi d'une partie de ses avantages d'ex-dirigeant par le parlement allemand.
Détenteur de plusieurs mandats dans des groupes russes, l'ancien dirigeant social-démocrate a été privé d'une partie de ses avantages, dont l'attribution de ...
Une deuxième salve est venue dans la journée de Bruxelles. Les députés du Parlement européen ont voté à une large majorité une résolution demandant nommément à Gerhard Schröder de démissionner de ses postes. En tant qu’ancien chancelier (1998-2005), il a droit encore à plusieurs bureaux à la chambre des députés et à un budget pour du personnel. La coalition au pouvoir, qui rassemble les sociaux-démocrates (la famille politique de M. Schröder), les Verts et les libéraux, justifie aussi cette décision par le fait que « l’ancien chancelier Schröder n’assume plus aucune obligation continue liée à sa fonction ».
Wie sicher Autos von amtierenden oder ehemaligen Bundeskanzlern – und der ehemaligen Bundeskanzlerin – sind, wird mit dem Begriff «Beschussklasse» ...
Wie Schröder. Er wurde Anwalt, nach dem Abitur auf dem zweiten Bildungsweg. Er wurde Ministerpräsident – er wurde Kanzler. Und holte die gerührte Mutter tatsächlich im Mercedes ab. Im Gegensatz zur politischen Panzerung bleibt Schröder die körperliche, existenzielle Panzerung. Da hat der Alt-Kanzler Glück gehabt – denn das Auto bedeutet ihm viel. Der Haushaltsausschuss, der auch für die finanzielle Ausstattung der Alt-Kanzler zuständig ist, strich Büro, Mitarbeiter, Reisespesen – alles, was zu einem Leben nach dem Kanzleramt geplant und notwendig ist. Wie sicher Autos von amtierenden oder ehemaligen Bundeskanzlern – und der ehemaligen Bundeskanzlerin – sind, wird mit dem Begriff «Beschussklasse» ausgedrückt. «VR 10» ist die Höchste, sie hält auch Salven aus Sturmgewehren oder Angriffen mit Handgranaten stand. Schröder, der weiterhin hohe Posten bei russischen Energiefirmen bekleidet. Mercedes ist hier Marktführer, und den gepanzerten Mercedes (und einen VW-Bus) darf Alt-Kanzler Schröder behalten.
Die Geduld der Genossen mit dem deutschen Altkanzler Gerhard Schröder ist zu Ende. Die freundschaftlichen Kontakte zu Russlands Präsidenten Wladimir Putin ...
Die Geduld der Genossen mit dem deutschen Altkanzler Gerhard Schröder ist zu Ende. Die freundschaftlichen Kontakte zu Russlands Präsidenten Wladimir Putin und Schröders Lobbyistentätigkeit für russische Staatskonzerne sorgen schon lange für Empörung. Doch weder liess sich Schröder bisher aus der SPD hinauswerfen, noch konnte sein Redefluss in Interviews gestoppt werden. Der Haushaltsausschuss des Bundestags hat dem ehemaligen deutschen Kanzler einen Teil seiner Sonderrechte entzogen. Grund dafür ist seine Nähe zum russischen Machthaber Putin. Druck auf den Altkanzler kommt auch aus Brüssel.
L'ancien chancelier allemand, ami de Vladimir Poutine, est depuis longtemps fustigé pour ses activités auprès des géants russes Rosneft et Gazprom.
« Schröder a joué un rôle important ici du fait de ses fonctions chez Rosneft et de sa proximité avec Poutine et Setchine, mais ce n'est pas à moi de juger s'il est en mesure de régler les problèmes », explique la maire de Schwedt, Annekathrin Hoppe (SPD), hostile aux projets du gouvernement. Poutine a aidé son ami et sa quatrième femme, en 2004 et 2006, à adopter deux enfants russes à Saint-Pétersbourg, sa ville d'origine et celle des deux patrons de Rosneft et Gazprom. « Je ne fais pas de mea culpa », dit-il, ironisant plutôt sur les dirigeants allemands de tous bords qui ont choyé Poutine durant des décennies avant de lui tourner le dos. Il y a un mois, des collaborateurs de Gerhard Schröder avaient déjà démissionné en signe de désaccord - deux conseillers, une assistante et un chauffeur. Plus le conflit ukrainien se prolonge, plus l'ex-chancelier et ami de Vladimir Poutine, Gerhard Schröder, creuse son statut de paria dans la société allemande. Or le social-démocrate de 77 ans n'exerce plus de fonctions publiques, font valoir les députés.
Privé d'une partie de ses avantages d'ex-chancelier et menacé jeudi de sanctions à Bruxelles, Gerhard Schröder risque de payer au prix fort ses liens avec ...
"Sanctions européennes et privation de privilèges personnels - la fin peu glorieuse de l'ancien chancelier", a réagi sur Twitter Mykhaïlo Podolyak, conseiller de la présidence ukrainienne, pour qui "le mépris de son peuple et de son histoire est le destin de chaque lobbyiste du régime de Poutine en Europe". Un privilège qui coûte 400'000 euros par an aux contribuables. "C'est bien! "Les membres européens des conseils d'administration des grandes entreprises russes et les hommes politiques qui continuent à recevoir des fonds russes" devraient être ajoutés à la liste des sanctions de l'UE, stipule le texte. Plus globalement, la commission budgétaire demande au gouvernement de veiller désormais à ce "que la dotation de fonction des anciens chanceliers fédéraux se fasse en fonction de l'obligation continue découlant de leur fonction et non en fonction de leur statut". "Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l'ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l'invasion russe en Ukraine", justifie la commission.
«Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l'ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l'invasion ...
«Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l’ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l’invasion russe en Ukraine», indique la commission budgétaire du Bundestag, qui demande à ce que les avantages de l’ex-chancelier soient sucrés. En l’espèce, plusieurs bureaux à la chambre des députés et à un budget pour du personnel. En particulier Gerhard Schröder (au pouvoir de 1998 à 2005), proche de Vladimir Poutine et détenteur de plusieurs mandats dans des groupes russes. Dans ce contexte, il faudrait aussi parler d’une sorte de code d’honneur en ce qui concerne le comportement.»
Das Europaparlament hat sich mit großer Mehrheit für EU-Sanktionen gegen Ex-Bundeskanzler Gerhard Schröder ausgesprochen.
Die Ampel-Koalition aus SPD, Grünen und FDP will dem 78-Jährigen außerdem Büro und Mitarbeiter streichen. Das Parlament nennt ehemalige EU-Regierungschefs wie Wolfgang Schüssel (Österreich) und François Fillon (Frankreich), die zuletzt von ihren Ämtern bei russischen Unternehmen zurückgetreten waren. Das Europaparlament hat sich mit großer Mehrheit für EU-Sanktionen gegen Ex-Bundeskanzler Gerhard Schröder ausgesprochen.
Gerhard Schröder verliert einen Teil seiner Altkanzler-Privilegien - zu Recht, findet Moritz Rödle. Wer sich gegen Rechtsstaat und Demokratie entscheidet, ...
Es ist auch verständlich, dass SPD, Grüne und FDP eine grundsätzliche Regelung für alle aktuellen und künftigen Altkanzler wollten, um keine Lex-Schröder zu schaffen. Grundsätzlich ist es deshalb gut, dass sie aus Steuergeldern Büro, Mitarbeiter und Versorgungsleistungen bekommen. Auch für die Rechtssicherheit ist das sicher wichtig. Es wäre ziemlich kleinlich, wenn Angela Merkel in Zukunft am Ende jedes Jahres darlegen müsste, wie sie das Büro und ihre Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter genutzt hat. Sie zeigt dem Altkanzler klar, wer sich gegen Rechtsstaat und Demokratie entscheidet, kann keine freiwillige Unterstützung mehr erwarten. Es war auch richtig, sich dafür Zeit zu nehmen, um einen rechtssicheren Weg einschlagen zu können.
Altkanzler Gerhard Schröder wird die Ausstattung mit Büro und Mitarbeitern gestrichen – das reicht, findet Olaf Scholz. Weitere Sanktionen seien aktuell ...
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Les nuages s'accumulent au-dessus de l'ancien chancelier allemand de 78 ans, qui refuse toujours de quitter ses fonctions dans plusieurs groupes énergétiques ...
"Sanctions européennes et privation de privilèges personnels - la fin peu glorieuse de l'ancien chancelier", a réagi sur Twitter Mykhaïlo Podolyak, conseiller de la présidence ukrainienne, pour qui "le mépris de son peuple et de son histoire est le destin de chaque lobbyiste du régime de Poutine en Europe". Un privilège qui coûte 400'000 euros par an aux contribuables. Plus globalement, la commission budgétaire demande au gouvernement de veiller désormais à ce "que la dotation de fonction des anciens chanceliers fédéraux se fasse en fonction de l'obligation continue découlant de leur fonction et non en fonction de leur statut". "C'est bien! M. Scholz a de son côté salué depuis les Pays-Bas une "décision logique" et appelé une nouvelle fois son ancien mentor à quitter ses fonctions dans les groupes russes. "Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l'ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l'invasion russe en Ukraine", justifie la commission.
Le Parlement européen s'est prononcé jeudi en faveur de sanctions financières contre Gerhard Schröder et le Bundestag a supprimé ses privilèges d'ancien ...
Officiellement, il s'agit de modifier la règle de dotation des anciens chefs d'Etat. Au lieu de la lier à leur statut, elle sera désormais versée en fonction des tâches réalisées par les intéressés dans le cadre de leurs fonctions. Dans la mesure où elle ne cible pas officiellement l'ancien chancelier, elle pourrait avoir des répercussions sur Angela Merkel. Celle-ci s'est ainsi vu accorder un bureau et neuf collaborateurs avec des salaires pouvant atteindre 10.000 euros par mois. Le Parlement européen s'est prononcé jeudi en faveur de sanctions financières contre Gerhard Schröder et le Bundestag a supprimé ses privilèges d'ancien chancelier. La CSU a d'ailleurs appelé Olaf Scholz à faire pression sur le Conseil européen pour sanctionner sévèrement son prédécesseur entre 1998 et 2005. A l'initiative des élus de la coalition gouvernementale, la commission budgétaire du Bundestag a décidé de retirer le bureau, les collaborateurs et le chauffeur qui étaient à la disposition du lobbyiste en chef de la Russie outre-Rhin. Ses frais de voyages ne seront plus couverts. L'étau s'était resserré autour de Gerhard Schröder ces dernières semaines à mesure que l'ancien chancelier social-démocrate, aujourd'hui âgé de 77 ans, s'enferrait dans sa défense de Vladimir Poutine, malgré les exactions commises par les troupes russes en Ukraine. Le couperet est finalement tombé jeudi à la fois au Bundestag et à Bruxelles. Gerhard Schröder se voit privé des privilèges que lui conféraient outre-Rhin ses fonctions passées tandis que le Parlement européen s'est prononcé à une large majorité en faveur de sanctions financières.
Une résolution du Parlement européen appelle l'ancien chancelier allemand, un proche de Poutine, à quitter ses fonctions chez Gazprom et Rosneft.
Le Parlement demande au Consei... L’ancien chancelier allemand SPD, cadre chez Gazprom et proche de Poutine, est désormais visé par une résolution du Parlement européen soutenue par quatre groupes ( PPE, S&D, Renew et Les Verts). Les parlementaires l’appellent à démissionner de ses fonctions de président des conseils d’administration de Gazprom et du pétrolier russe Rosneft. Il n’est pas le seul du reste à être dans le collimateur : l’ancienne ministre des Affaires étrangères autrichienne Karin Kneissl est également appelée à quitter son mandat d’administratrice chez Rosneft. Elle s’était fait connaître en août 2018 en invitant Vladimir Poutine lors de son mariage et en improvisant une danse avec l’homme fort du Kremlin devant les photographes. La situation de Gerhard Schröder se complique.
Gerhard Schröder wird ein Großteil der Unterstützung gekappt. Das EU-Parlament will sogar Sanktionen gegen ihn. Das geht dem Kanzler zu weit.
Es mutet wie eine Fußnote an für den Einzelplan 04 Bundeskanzleramt (Kapitel 0412), aber es ist Zäsur, die auch den Bruch der SPD mit ihrem Altkanzler Gerhard Schröder manifestiert. Man fordere „nachdrücklich, dass andere Politiker, wie Karin Kneissl und Gerhard Schröder, dies ebenfalls tun“. Kneissl ist parteilose ehemalige Außenministerin Österreichs und Mitglied des Rosneft-Aufsichtsrats. Zunächst wird wegen der emotionalen Debatten um Schröder eine Einzelfallentscheidung getroffen, aber wie berichtet arbeitet die Ampel auch an einer grundsätzlichen Reform, die danach auf den Weg gebracht werden soll. In dem Text des Europaparlaments werden die EU-Staaten nun dazu aufgefordert „die Liste der Personen, gegen die EU-Sanktionen verhängt wurden, auf die europäischen Mitglieder der Leitungsorgane großer russischer Unternehmen und auf Politiker, die nach wie vor Geld aus Russland erhalten, auszuweiten“. Das Parlament nennt ehemalige EU-Regierungschefs wie Wolfgang Schüssel (Österreich) und François Fillon (Frankreich), die zuletzt von ihren Ämtern bei russischen Unternehmen zurückgetreten waren. Nun regelt die Ampel-Koalition die Alimentierung früherer Bundeskanzler und Bundespräsidenten aber generell neu und macht sie davon abhängig, ob die früheren Spitzenpolitiker tatsächlich noch Aufgaben übernehmen, also etwa Schirmherrschaften haben und Reden halten. Im Fall Schröders sollen die seinem Büro bisher zugeordneten fünf Stellen nach dem 19. Das Büro des Bundeskanzlers a.D. Schröder wird daher ruhend gestellt“, hieß es in dem entsprechenden Antrag der Ampel-Fraktionen von SPD, Grünen und FDP. Nach bisherigen Steuerzahler-Kosten von zuletzt rund 418 000 Euro im Jahr, werden Schröder wegen seiner Russland-Tätigkeiten und dem nicht erfolgten Bruch mit Wladimir Putin die Mittel für Büros und Mitarbeiter wie erwartet entzogen. In der SPD läuft deshalb ein Parteiordnungsverfahren gegen Schröder mit dem Ziel des Ausschlusses. Sie warf Schröder unter anderem vor, dem internationalen Ansehen Deutschlands zu schaden. Die Union hätte dem SPD-Politiker am liebsten auch sein Ruhegehalt gestrichen. Der Bundestag hatte zuvor in der Bereinigungssitzung des Haushaltsausschusses, die den Haushalt für das laufende Jahr festzurrt und daher auch über die weitere Ausstattung für den Altkanzler Gerhard Schröder beschlossen, dass dem 78-Jährigen einen Teil seiner Sonderrechte als früherer Regierungschef in Deutschland entzogen werden. Olaf Scholz begleitet der Fall Schröder auch in die Niederlande. Als er im Beisein von Ministerpräsident Mark Rutte gefragt wird, was er davon halte, dass der Bundestag dem SPD-Altkanzler die Mittel für Büro und Mitarbeiter streiche, sagt er: „Die Entscheidung im Hinblick auf den früheren Bundeskanzler ist folgerichtig“. Sie war letztlich auch im Kanzleramt mit vorbereitet worden.