Variole du singe

La dangerosité de la maladie est faible, indique l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Mais la spécificité des zones touchées alerte les scientifiques. Que ...

D’ordinaire, la variole de singe a tendance à se développer dans des zones et des forêts tropicales. Mais les personnes homosexuelles ne sont pas considérées comme des personnes plus à risque. On l'a identifiée pour la première fois chez l’homme en 1970 en République démocratique du Congo (ex-Zaïre) chez un garçon âgé de 9 ans. Elle est ensuite suivie par une période d'éruption cutanée, qui commence par le visage, avant de s'étendre sur les autres parties du corps. Concrètement, la transmission se fait généralement par "consommation de viande d’animaux infectés pas suffisamment cuite", indique l’OMS. Deux semaines après, mercredi 18 mai, le nombre de personnes infectées dans le pays est porté à neuf.

Des médecins ont signalé les cas suspects à la suite de diagnostics réalisés par trois cliniques spécialisées dans les infections sexuellement transmissibles, ...

Des médecins ont signalé les cas suspects à la suite de diagnostics réalisés par trois cliniques spécialisées dans les infections sexuellement transmissibles, selon cette même source. De l’autre côté de la frontière, les autorités sanitaires de l’État américain du Massachusetts ont confirmé un cas de cette maladie, le premier de l’année aux États-Unis, détecté chez un adulte qui a récemment voyagé au Canada. Les autorités sanitaires de la métropole canadienne de Montréal examinent plus d’une dizaine de cas suspects de variole du singe, a rapporté mercredi la chaîne publique Radio-Canada, tandis que les États-Unis ont confirmé un cas originaire du Canada.

Le nombre de personnes atteintes continue de croître dans le monde. Alors qu'épidémiologistes et autorités sont préoccupés, la Suisse observe sans crainte.

Or les campagnes de vaccination ont été arrêtées dans les années 1970, avant que l’OMS ne déclare en 1980 qu’elle avait été éradiquée. Il s’agit d’un type de variole détecté pour la première fois chez des animaux en 1958. Entre un et trois jours après l’apparition de fièvre, on peut constater des éruptions cutanées, comme des pustules, d’abord sur le visage puis sur d’autres parties du corps. Derniers en date, l’Italie et la Suède ont répertorié, jeudi, leurs premiers cas humains de variole du singe. Si un cas était détecté en Suisse, «les cantons prendraient des mesures pour limiter la transmission» et l’OFSP en serait informé. «Les laboratoires sont tenus de communiquer les résultats à l’OFSP dans les deux heures», indique Daniel Dauwalder. La Suisse, elle, est dans l’attente. «Aucun cas n’est connu, la probabilité d’une épidémie est actuellement considérée comme très faible et aucune mesure spécifique n’est nécessaire», écrit Daniel Dauwalder, porte-parole de l’OFSP, qui ajoute que «les cas de variole du singe ne sont pas un phénomène nouveau et se produisent depuis des années dans différents pays».

La maladie, qui se caractérise par des éruptions cutanées proches de celles de la varicelle, est en général sans gravité et a déjà provoqué des épidémies en ...

En France, un premier cas suspect a été signalé en Ile-de-France, a annoncé la direction générale de la santé aux professionnels de la santé, jeudi 19 mai. Une nouvelle maladie inquiète les autorités sanitaires internationales, depuis début mai : la variole du singe (monkeypox en anglais). En moins de deux semaines, dix-sept cas ont été confirmés par PCR, sur une cinquantaine de signalements, les malades présentant des éruptions cutanées pouvant faire penser à la varicelle ou à la syphilis. Les autorités sanitaires britanniques et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’intéressent au fait que plusieurs cas ont été signalés « chez des patients des services de santé sexuelle présentant une maladie d’éruption vésiculaire et chez des homosexuels, des bisexuels et d’autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes », selon le communiqué de l’OMS. Des études ont montré que la transmission interhumaine de la variole du singe, en général limitée, est possible par les gouttelettes émises en parlant et en crachant, mais également par contact direct avec les liquides suintant des éruptions cutanées ou indirectement par contact avec des objets infectés. En revanche, la transmission par voie sexuelle est encore très peu documentée, même si elle est rendue possible par les vésicules se développant également sur les muqueuses.

Des médecins ont signalé les cas suspects à la suite de diagnostics réalisés par trois cliniques spécialisées dans les infections sexuellement transmissibles, ...

Plusieurs de ces cas européens ont ainsi été détectés au sein de la communauté homosexuelle. De l'autre côté de la frontière, les autorités sanitaires de l'Etat américain du Massachussetts ont confirmé un cas de cette maladie, le premier de l'année aux Etats-Unis, détecté chez un adulte qui a récemment voyagé au Canada. Les autorités sanitaires de la métropole canadienne de Montréal examinent plus d'une dizaine de cas suspects de variole du singe, a rapporté mercredi la chaîne publique Radio-Canada. Les Etats-Unis ont eux confirmé un cas originaire du Canada.

La Direction générale de la Santé indique ce jeudi qu'un premier cas suspect d'infection au virus "Monkeypox" est signalé en Ile-de-France.

Il s’agit d’un phénomène inhabituel", écrit la DGS appelant les professionnels de santé à la vigilance devant "tout cas évocateur". Un premier cas suspect a été signalé ce jour en France. La Direction générale de la Santé (DGS) indique ce jeudi dans un "urgent" adressé à tous les professionnels de santé que ce cas suspect de "variole du singe" avait été repéré en Ile-de-France. "Des cas suspects sont en cours d’investigation dans de nombreux pays. La Direction générale de la Santé indique ce jeudi qu'un premier cas suspect d'infection au virus "Monkeypox" est signalé en Ile-de-France.Elle appelle les professionnels de santé à la vigilance.Plusieurs pays d'Europe font état de cas similaires.

Les deux premiers cas de variole simienne, aussi appelée variole du singe, ont été détectés au Québec alors qu'une vingtaine d'autres font maintenant ...

Il n’existe pas de traitement contre la variole simienne, mais l’infection virale se guérit d’elle-même. Les symptômes disparaissent généralement spontanément dans les 14 à 21 jours. Des éruptions cutanées peuvent également survenir, souvent sur le visage, et se répandre à d’autres parties du corps, dont les parties génitales. La variole simienne peut parfois être confondue avec une infection transmise sexuellement. Les premiers cas ont été déclarés par des cliniques spécialisées dans les ITSS le 12 mai dernier. « Toutefois, maintenant que des cas ont été identifiés ici, le Québec est en mesure d’agir rapidement pour surveiller et contrôler l’évolution de la situation », a affirmé le MSSS, jeudi soir. Sa contagiosité est donc considérée comme limitée par rapport à d’autres virus comme la grippe ou la COVID-19. Les autorités étudient la possibilité que certaines infections aient été transmises par contact étroit lors de rapports sexuels. Les personnes infectées, principalement des hommes de 30 à 55 ans, présentent des ulcérations génitales et orales, ainsi que des ganglions douloureux.

Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord.

Sur Twitter, Maria Van Kerkhove, épidémiologiste américaine en charge de l’unité des maladies émergentes à l'OMS, a également précisé que l'organisation s'attendait à une augmentation des cas rapportés ou des pays concernés par la variole du singe, alors que plusieurs études sont menées pour mieux comprendre sa propagation. En 2020, l’institut Pasteur avait déjà recensé plusieurs personnes infectées. Toutefois, autant de cas dans plusieurs pays à la fois reste toujours inexpliqué à cette heure. Madrid et Lisbonne ont rapporté avoir recensé une quarantaine de cas suspects ou confirmés de la maladie. La maladie peut également provoquer des éruptions cutanées, souvent sur le visage, susceptibles de se répandre à d’autres parties du corps, dont les parties génitales. S’il n’existe pas de traitement spécifique contre la variole du singe, cette infection virale se guérit généralement d’elle-même. Elle se transmet par contact avec une personne atteinte ou ses liquides organiques. Les deux pays de la péninsule ibérique ont ainsi déclenché une alerte sanitaire nationale. La variole du singe est-elle en train de prendre de l'ampleur ? Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord. Des données qui laissent craindre une propagation de cette maladie endémique d’Afrique de l’Ouest.

Après plusieurs suspicions mercredi, les autorités canadiennes ont confirmé jeudi soir deux cas de variole du singe.

Il s’agit des deux premiers cas confirmés au Canada», explique l’Agence de la santé publique du Canada dans un communiqué. Lors d’une conférence de presse, dans la matinée, la direction régionale de la santé publique de Montréal avait évoqué 17 cas suspects. Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord, laissant craindre un début de propagation de cette maladie.

En Italie, la maladie a été identifiée chez un jeune adulte revenu récemment des îles Canaries, a indiqué l'institut des maladies infectieuses de l'hôpital ...

Le Canada a également fait état jeudi soir de deux premiers cas de variole du singe chez des humains dans la province de Québec. D'autres cas suspects sont à l'étude à Montréal, ont précisé les autorités canadiennes. Deux autres cas suspects sont en cours d'évaluation. L'Italie a fait état jeudi d'un premier cas de variole du singe chez un humain, après une série de cas en Amérique du Nord et en Europe. Au Canada, deux cas de cette maladie, habituellement endémique en Afrique de l'Ouest, ont été confirmés.

Après plusieurs suspicions mercredi, les autorités canadiennes ont confirmé jeudi soir deux cas de variole du singe.

Il s’agit des deux premiers cas confirmés au Canada», explique l’Agence de la santé publique du Canada dans un communiqué. Lors d’une conférence de presse, dans la matinée, la direction régionale de la santé publique de Montréal avait évoqué 17 cas suspects. Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord, laissant craindre un début de propagation de cette maladie.