Diam's

2022 - 5 - 27

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"Si je n'avais pas ouvert le Coran, je me serais foutue en l'air" : les ... (Midi Libre)

Alors que son film "Salam", est projeté ce jeudi 26 mai au Festival de Cannes, l'ancienne rappeuse s'est confiée dans des interviews fleuves accordées à nos ...

Au cours de l'interview, Mélanie Georgiadès raconte aussi ce déclic qui l'a poussé à se convertir à l'Islam. "Tout commence après un dîner avec Vitaa et une autre copine qui nous dit : 'Je vous laisse, je vais prier'. J’ai eu envie de la suivre, je me suis prosternée, et ça m’a fait du bien. J’ai été shootée par des médicaments qui m’éteignaient puis me désinhibaient. Quand je me retrouve en hôpital psychiatrique, je ne peux parler à un psy que vingt minutes par jour, alors que moi, c’est cinq heures que j’ai envie de parler ! J’ai l’impression de revenir de la mort. Pour Brut, Diam's parle aussi de ses envies de suicide, qui selon elle n'étaient un secret pour personne. D'expliquer, les différentes étapes et les phases de sa vie. Alors que son documentaire "Salam" est projeté à Cannes ce jeudi, Diam's a décidé de se livrer. La politique, sa vision de la France, l'Islam, sa dépression, tout y passe.

Diam's, loin des projecteurs depuis 10 ans, donne de ses nouvelles ... (Télé Loisirs.fr)

Dans son documentaire évènement Salam, dévoilée ce jeudi 26 mai au Festival de Cannes 2022, Diam's, "en paix" et "heureuse", donne de ses nouvelles devant ...

Ce retrait s'accompagne également de sa volonté, désormais, de ne plus parler aux médias : "J'aurais été incapable de leur expliquer ce qui m'était arrivée et ce que je vivais. Alors si elle a trouvé le chemin pour avoir la sérénité, la paix et se sentir bien dans sa peau, tant mieux !", explique-t-elle dans le film qui débute par un texte bouleversant récité par Diam's. Une nouvelle vie qui la poussera à la fin des années 2000 à "écrire un nouveau livre" : elle décide notamment de changer de numéro de téléphone et de sortir un ultime album (S.O.S, dévoilé en 2009). "C'était très clair pour moi qu'il fallait que je quitte ce milieu", assure-t-elle. Mais je n'étais plus seule", ajoute celle qui est désormais à la tête d'une association qui œuvre pour les orphelins au Mali et est elle-même maman de trois enfants. Vient ensuite sa conversion à l'islam, qui fera le bonheur de sa mère Dominique : "Quand vous avez une fille qui a failli se tuer plusieurs fois alors qu'elle avait tout pour elle... "J'étais vraiment heureuse, et je n'ai plus jamais cessé d'être heureuse depuis ce jour-là. Pourtant j'ai vécu des épreuves, j'ai vécu des choses... C'est aussi grâce à Vitaa et son entourage que Mélanie Diam's, élevée dans la foi chrétienne, découvre vraiment l'islam, alors que la meilleure amie de la chanteuse s'éclipse pour prier pendant un dîner et qu'elle se joint à elle. Elle était jeune, jolie, elle avait de l'argent et du succès, elle était adulée... Franchement, que demande le peuple ! Et ça n'allait pas. Elle me sortait de mon monde : elle avait tellement de "problèmes" qu'on ne parlait pas de moi. J'ai eu envie de revivre ce moment immédiatement". Avant des vacances à l'Île Maurice avec celle qui a repris en trio son tube Marine, Mélanie Diam's, accompagnée de sa grand-mère, se rend dans une librairie pour acheter quelques livres sur cette religion, dont un Coran qu'elle lit avec passion. "Il faut que j'admette que ça me fait du bien", réalise-t-elle lors de ce voyage. Ça me faisait beaucoup de bien d'être avec elle", se souvient-elle en riant.

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"Moi, normalement je suis morte": Diam's se raconte à l'occasion de ... (BFMTV)

L'ancienne rappeuse a accordé deux interviews, au Parisien et à Brut, alors que le documentaire qui revient sur son histoire est présenté à Cannes ce jeudi.

Elle possède également une fondation, Big Up, qui aide un orphelinat au Mali. Son agence, Hegire, qui devait organiser des pèlerinages à la Mecque est "en sommeil" pour le moment, mais pourrait faire son retour. "Le voile, c’est quelque chose que vous voyez tous, mais c’est un pas dans un cheminement, où il y a aussi la prière, le ramadan… "Pour moi, ça n’est pas de la musique, ce sont des textes a cappella que j’ai enregistrés parce que je voulais m’adresser directement aux gens.

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Diam's dévoile la bande-annonce du docu sur sa vie (20 Minutes)

Les premières images de Salam, qui retrace l'histoire de la rappeuse Diam's, ont été partagées sur le Net.

Elle étouffait le cri de mon âme qui hurlait au secours.» La Française, qui s’était lancée dans le tourisme, ajoute qu’elle «pensait de plus en plus à la mort». Mercredi 25 mai 2022, l’ancienne rappeuse, dont Loris a repris un titre dans «The Voice», a dévoilé une première bande-annonce de «Salam», un documentaire qu’elle a coréalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé. Dans la bande-annonce, on entend Diam’s dire: «Plus les jours passaient, plus je m’enfonçais. Comme la sensation de m’enliser ou de tomber dans le vide et de faire une chute interminable.

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Dans "Salam", vous n'entendrez aucune des musiques de Diam's (Le HuffPost)

Présenté à Cannes ce jeudi 26 mai, "Salam", co-réalisé par Diam's, met de côté l'ex-rappeuse star pour se consacrer à Mélanie Georgiades, véritable nom de ...

Ce n’est plus Diam’s, mais Mélanie, la mère de famille, la femme musulmane, l’humanitaire, qui se retrouve cette fois sous le feu des projecteurs. L’occasion pour elle d’aborder, entre autres, sa santé mentale, tant fragilisée par la célébrité. Un sujet très sensible dont elle avait déjà parlé dans son autobiographie, et qui prend une place majeure dans le récit de son film. Des images d’archive sont diffusées dans le film, mais sous une forme particulière, puisqu’elles ne montrent que le public. Pour elle, ses tubes ne lui appartiennent plus vraiment mais continuent de vivre à travers son public”. En effet, aucun extrait de ses musiques phares comme La Boulette ou encore Jeune Demoiselle, qui ont pourtant marqué des générations entières, n’est diffusé dans le film. Ce qui semble être un détail en apparence est en réalité totalement voulu.

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«J'ai touché la folie du doigt» : de retour avec «Salam», Diam's se ... (Le Parisien)

EXCLUSIF. L'ancienne rappeuse, désormais âgée de 41 ans, raconte son parcours dans «Salam», un documentaire présenté ce jeudi soir à Cannes, ...

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Convertie à l'Islam, Diam's dévoile son deuxième prénom et il est ... (Public.fr)

Avant de poursuivre : "Mon oncle c'est un grand patron français avec tout ce que ça implique et tout, on mange ensemble, je suis voilée et il me respecte. Et on ...

Bien plus que la musique en elle-même. Donc ce n’est pas ce qui m’intéresse… voilà". Donc toute mon histoire, elle est dans le fait d'apprendre à se connaître les uns les autres, d'apprendre à se comprendre et surtout d'apprendre à se respecter. Et on s'aime comme ça".

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Festival de Cannes : avec "Salam", Diam's redevenue Mélanie livre ... (Franceinfo)

Le documentaire présenté à Cannes en séance spéciale est le témoignage rare de l'ancienne star du rap qui s'était éloignée de tous micros.

Pour Mélanie, c'est la révélation. "Pour la première fois de ma vie, je me mets à contempler ceux qui m’entourent, je me dis que si Dieu existe alors vraiment tout va changer. Mélanie qui a été baptisée et qui a fait sa communion étant plus jeune décide d'acheter plusieurs publications et de se rendre sur l'île Maurice. Dans ses bagages, des livres sur la foi, le ramadan ou le Coran. Elle laisse l'adresse de son site internet dans le générique de fin pour ceux qui souhaitent communiquer avec elle. "J’ai l’espoir que ce film fasse du bien, c’est pour ça qu’il s’appelle Salam : la paix". C'est réussi ! La chanteuse effectue effectivement sa conversion, une fois en langue arabe puis en autre en français. "J'étais vraiment heureuse et je n’ai plus cessée d'être heureuse. Et Mélanie explique bien des choses dans le documentaire de près d'une heure écrit et co-réalisé aux côtés d'Houda Benyamina et d'Anne Cissé. Elle livre d'ailleurs toutes ses explications sur le chemin qui l'a conduite à se convertir à l'islam à la fin des années 2000. Sa manageuse, Nicole Schluss, qui intervient dans le documentaire, tout comme ses parents, son amie la chanteuse Vitaa ou le footballeur Nicolas Anelka, fait état de scarifications aux bras et même au visage. Je ne m’en rends pas compte mais ça me fait du bien." "Au sommet, il fait froid, on est seul", affirme-t-elle avec le recul. Le documentaire présenté à Cannes en séance spéciale est le témoignage rare de l'ancienne star du rap qui s'était éloignée de tous micros. La dépression la poursuit et le succès n'y change rien. Mais c'est Mélanie qui s'adresse à nous avec un témoignage fort et sensible.

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Vidéo. Diams se confie à Brut : « Normalement, je suis morte » (Sud Ouest)

L'ex-rappeuse présente le documentaire « Salam » à Cannes, qui revient sur son parcours et ses choix de vie. Absente des médias depuis sept ans, ...

Apaisée, Mélanie revient peu sur cette carrière « qui ne lui appartient plus ». « Je suis spectatrice », dit-elle. Si j’étais restée comme ça à cette époque… Quand je raconte que j’ai voulu mettre fin à mes jours (dans le documentaire Salam, NDLR), c’est ce que j’ai voulu faire […] A ce moment-là de ma vie, je me dis que ma mort est préférable à ce que je vis. « Je ne renie pas mon passé (de chanteuse NDLR) car c’est ce qui fait ce que je suis aujourd’hui. Mais c’est clair que je suis une miraculée », répond-elle à Augustin Trappenard qui lui demande si elle est « une survivante ». Convertie à l’islam et ayant trouvé « la paix grâce à ce cheminement intérieur » qui l’a sauvée, Diam’s poursuit : « Moi, normalement, je suis morte.

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Festival de Cannes: Diam's justifie son absence et donne de ses ... (20minutes.fr)

L'ex-star du rap explique son changement de vie dans « Salam », documentaire projeté hors compétition devant un public conquis.

Ils pourront découvrir Salam en salle les 1er et 2 juin prochain, mais aussi sur la plateforme de streaming BrutX. Les festivaliers ont visiblement apprécié Salam, vu le tonnerre d’applaudissements de ce projet mené à bien par trois femmes dynamiques et complices. « Mélanie Diam’s est une personne formidable et une femme exceptionnelle et nous sommes émues de présenter ce film qui lui ressemble », a déclaré Houda Benyamina avant la projection.

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Diam's, la rappeuse influenceuse (Le Soir)

Depuis 2009, Mélanie Georgiades n'est plus Diam's. Ce qui ne l'empêche pas de terriblement manquer à la chanson française.

Diam’s va devenir l’exception, la plus grande rappeuse française, un modèle pour toutes celles et tous ceux qui manquent de repères. Lorsque nous avons posé la question à toutes ces Amazones, ces nouvelles chanteuses de la scène pop – de Christine & the Queens à Pomme en passant par Sandor, Hoshi, Suzane ou Aloïse Sauvage – et des chanteurs comme Eddy de Pretto, tous nous ont cité Diam’s en premier. Diam’s, la rappeuse francophone la plus populaire de tous les temps, celle qui a fait bouger les lignes et les codes. Depuis 2009, Mélanie Georgiades n’est plus Diam’s. Ce qui ne l’empêche pas de terriblement manquer à la chanson française.

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Diam's donne deux interviews et se confie, une première depuis ... (Ouest-France)

L'ancienne rappeuse Diam's a donné deux interviews à des médias français, chose qu'elle n'avait pas faite depuis 2015. Alors que sa parole était très ...

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Cannes 2022 : Diam's explique que "sans le Coran", elle se serait ... (TF1 INFO)

L'ex-rappeuse revient avec "Salam", un documentaire qu'elle a co-réalisé, présenté au 75e Festival de Cannes. Absente sur la Croisette, elle s'explique dans ...

Lorsque le journaliste lui demande comment elle réagirait si l’un de ses enfants lui annonçait vouloir faire de la musique, elle fait la moue : "Je leur souhaite mieux que ça", lâche-t-elle. "Même si je sais que c’est dur à entendre pour certains. Je ne me suis pas désintéressée, mais presque, de tout ça. Le rap, pour moi, c’était l’écriture, la plume, bien plus que la musique en elle-même. Ce n’est pas mon centre d’intérêt", insiste celle qui consacre aujourd’hui le plus clair de son temps à son association d’aide aux orphelins. Diam’s se confie par ailleurs en vidéo à Augustin Trapenard sur le média en ligne Brut. Elle y avoue ne plus écouter de rap. Mais je me sens mieux comme ça. Et j’aime aussi être proche d’amies qui ne sont pas voilées", assure-t-elle. J’ai l’impression de revenir de la mort." Aujourd’hui âgée de 41 ans, Mélanie Giorgadès, de son vrai nom, raconte comment la religion l’a sauvée. "J’aurais dû être morte", constate-t-elle.

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Mélanie Diam's se confie sur son « chaos interne » (Vidéo) (Music Covers & Creations | Talent Revelator)

Le journaliste Augustin Trapenard a pu discuter longuement avec elle, à l'occasion de la projection au Festival de Cannes 2022, en sélection officielle en ...

Pour retrouver en intégralité la séquence vidéo de l’interview exclusive de Mélanie Diam’s sur Brut, c’est par ici ! Celle-ci agit « pour la protection de l’enfance défavorisée en Afrique par un soutien à des centres d’accueil de jeunes en difficulté et la mobilisation de bénévoles pour l’entraide et la solidarité internationale ». Diffusée par Brut., la séquence vidéo de cette interview exclusive suscite un large buzz sur la toile.

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Pourquoi Diam's n'est pas allée au Festival de Cannes pour son ... (lematin.ch)

Le projet de l'ex-rappeuse est diffusé pour la première fois lors de cette 75e édition. Elle explique son absence.

Pourtant, lors d’une interview accordée au «Parisien», elle a expliqué la raison de son absence de cette 75e édition. «Ça n’est pas ma place. Durant un entretien face aux journalistes de Brut, cette fois, la mère de famille est revenue sur les différentes propositions que cette dernière avait pu recevoir au cours des cinq dernières années. «Cela fait bien 5 ou 6 ans que régulièrement, on me contacte pour pouvoir mettre à l’image mon histoire et on m’a beaucoup demandé de la partager de différentes façons. Donc les gens venaient avec des idées de biopic par exemple, de films qui seraient joués par quelqu’un sur mon histoire, de fictions. Il a été diffusé pour la première fois ce jeudi 26 mai au Festival de Cannes.

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Cannes: Diam's livre sa vérité dans un documentaire (ladepeche.fr)

(AFP) - Scarifications, tentatives de suicide, internement, conversion à l'islam, fondation pour les orphelins: Diam's, ex-rappeuse star, sort de 12 ans de ...

L'ex-rappeuse, mère de trois enfants, affirme s'être ensuite convertie seule à l'Île Maurice où elle était partie en virée avec Vitaa. Comme une réponse à ceux qui la disaient endoctrinée quand les photos d'elle, voilée, dans Paris Match, avaient créé l'émoi il y a une dizaine d'années. Le documentaire "Salam" ("Paix" en arabe), hormis une incursion de Diam's aujourd'hui dans un Zenith de Paris vide, ne parle pas de musique. Un internement psychiatrique s'impose. "Ils m'ont éteint avec les médicaments", assure Diam's. À sa sortie, on comprend qu'il y aura une autre tentative de mettre fin à ses jours. "On t'aime !", ont lancé les jeunes spectateurs dans le public, pas ou à peine nés quand elle trustait les charts en France. Le rap et le succès n'arrangent rien. La quadragénaire se présente voilée et couverte des pieds à la tête, visage apparent.

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Le rap, le succès, les TS, l'islam... Diam's donne un sens à sa vie ... (Le Figaro)

Le film documentaire met en lumière le mal-être de l'ancienne gloire de la scène hip-hop, retirée de la vie publique depuis douze ans.

Diam's en profite pour déminer toute accusation de prosélytisme. L'ancienne chanteuse souligne que sa conversion a résonné avec un choix «de vie» plutôt que d'en finir, comme d'autres artistes au bout du rouleau, par arme à feu ou seringue. L'ex-rappeuse, mère de trois enfants, affirme s'être ensuite convertie seule à l'Île Maurice où elle était partie en virée avec Vitaa. Comme une réponse à ceux qui la disaient endoctrinée quand les photos d'elle, voilée, dans Paris Match, avaient créé l'émoi il y a une dizaine d'années. Un internement psychiatrique s'impose. «Ils m'ont éteint avec les médicaments», assure Diam's. À sa sortie, on comprend qu'il y aura une autre tentative de mettre fin à ses jours. Le rap et le succès n'arrangent rien. «On t'aime !», ont lancé les jeunes spectateurs dans le public, pas ou à peine nés quand elle trustait les charts en France. Le documentaire Salam («Paix» en arabe), hormis une incursion de Diam's aujourd'hui dans le Zénith de Paris vide, ne parle pas de musique. Scarifications, tentatives de suicide, internement, conversion à l'islam, fondation pour les orphelins: Diam's, ex-rappeuse star, sort de 12 ans de silence médiatique pour livrer sa vérité dans un documentaire présenté à Cannes, qu'elle a co-réalisé. Celle qui fut une figure centrale du hip-hop en France dans les années 2000 n'est pas sur la Croisette. «Quand vous verrez ce film et la vie que Mélanie (son vrai prénom) a décidé de mener, vous comprendrez qu'elle ne pouvait pas le conduire physiquement à Cannes, elle est cohérente», a dit Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, en introduction de la projection jeudi 26 mai soir.

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« J'ai perdu la raison » : Diam's évoque sa santé mentale dans ... (Le Point)

L'ex-rappeuse de 41 ans s'est confiée au « Parisien » sur sa conversion à l'islam, qu'elle raconte dans son documentaire présenté jeudi à Cannes.

« Je suis loin de ça et je réclame le droit de ne pas en parler », a-t-elle balayé auprès du Parisien, interrogée sur l'autorisation du burkini dans les piscines de Grenoble. Après la grande souffrance, il y a une possibilité de reconstruction, de renaissance », a-t-elle confié sur Brut X. Dans son titre « Marine » (2004), en référence à Marine Le Pen, Diam's dénonçait la montée du Front national. « Je suis reconnaissante à jamais au groupe de gens qui est resté et je n'en veux pas à ceux qui ne m'aiment plus, ceux qui m'ont écrit pour me dire que j'étais une traître, endoctrinée… Je ne leur en veux pas, je les comprends même », a déclaré l'artiste multiprimée dans son film de près d'une heure, coréalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé, d'après des propos rapportés par France Info. Soucieuse de préserver son « petit cocon », Mélanie Georgiades de son vrai nom n'a pas fait le déplacement sur la Croisette, s'adressant au public dans une vidéo diffusée avant la séance spéciale. Présenté hors compétition, le documentaire Salam (« Paix », en arabe) revient sur sa carrière fulgurante, sa santé mentale, ses tentatives de suicide et sa conversion à l'islam à la fin des années 2000. « Ça fait dix ans que je ne suis pas coupée du monde, contrairement à ce que j'ai pu entendre », a assuré l'interprète de "La Boulette",élevée dans le catholicisme, à Augustin Trapenard sur Brut X, producteur du film.

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VIDEO. Mélanie Diam's revient sur son documentaire “Salam” (Franceinfo)

Mon film est à l'image de ma vie”. L'ancienne rappeuse Diam's est au Festival de Cannes 2022 pour la projection de son film “Salam”, réalisé avec Houda ...

“Je ne renie pas mon passé. C’est ce qui fait ce que je suis maintenant. "Ça fait 10 ans, mais je ne suis pas coupée du monde contrairement à ce que j'entends parfois. Ça fait 10 ans que les gens m’écrivent pour me dire qu’ils ne vont pas bien.

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Festival de Cannes : Diam's se livre dans «Salam»: «Ma vie n'avait ... (20 Minutes)

L'ex-chanteuse de hip hop livre sa vérité dans un documentaire présenté jeudi à Cannes. Mais elle n'était pas présente physiquement sur la Croisette.

La quadragénaire se présente voilée et couverte des pieds à la tête, visage apparent. «À force de courir dans tous les sens, ma vie n’en avait plus aucun», assène-t-elle. Le rap et le succès n’arrangent rien. «On voit la vérité des visages, on resserre sur les silences, les sourires, les larmes, ce qui est aussi peut-être un moyen de faire oublier son voile et le vêtement (long) qu’elle porte quand elle apparaît», estime auprès de l’AFP Anne Cissé, une des coréalisatrices (avec Diam’s et Houda Benyamina). Le documentaire «Salam» («Paix» en arabe), hormis une incursion de Diam’s aujourd’hui dans un Zenith de Paris vide, ne parle pas de musique. Celle qui fut une figure centrale du hip-hop en France dans les années 2000 n’est pas sur la Croisette. «Quand vous verrez ce film et la vie que Mélanie (son vrai prénom) a décidé de mener, vous comprendrez qu’elle ne pouvait pas le conduire physiquement à Cannes, elle est cohérente», a dit Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, en introduction de la projection jeudi soir.

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Cannes 2022 : Diam's sort du silence avec « Salam », un ... (Le Monde)

La rappeuse, qui a quitté la scène en 2009 et érigé un mur du silence autour d'elle, réapparaît avec un documentaire sur sa vie, présenté en séance spéciale ...

Le contraste entre le mur de silence que l’ex-chanteuse érige et ses années au top des charts construit une deuxième légende, plus mystérieuse encore que la première… C’est ce qui fait de Salam, autodocumentaire qu’elle cosigne aujourd’hui – assurance d’avoir le final cut – avec les réalisatrices Houda Benyamina et Anne Cissé, un document. C’est l’histoire bien connue d’une gamine de banlieue parisienne qui découvre que les mots du rap portent en eux la puissance des tourments qui l’habitent. Elle qui, à 15 ans, tente de mettre fin à ses jours, va chasser ses nuages noirs, et ceux du public par la même occasion. Avec une radicalité qui prête libre cours à tous les fantasmes.

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Diam's : où voir le documentaire "Salam" ? (Linternaute.com)

DIAMS. Dans un documentaire intitulé "Salam" et présenté au Festival de Cannes, la rappeuse Diam's se raconte.

Ils m'ont éteinte avec des cachets et je suis tombée dans l'enfer des médicaments." Un spectacle", écrivait l'interprète de La Boulette sur Instagram en annonçant la sortie prochaine du documentaire. Avant cette sortie, une bande-annonce de Salam, réalisé par Diam's, Houda Benyamina et Anne Cissé, a été dévoilée sur les réseaux sociaux. Diam's y évoque son fulgurant succès, mais aussi ses failles, ses doutes et le revers de la médaille de la célébrité. Elle aborde par exemple son internement psychiatrique en 2008 : "C'est le début du cauchemar, on te prend ton téléphone, on te coupe du monde, des fois on te colle des machines sur la tête, on m'écoutait à peine. "Salam m'a offert les moyens de raconter, avec ma vision, mon émotion et mes mots ce que j'appelle : ma vérité. Il y a certes l'histoire de Diam's derrière la femme que je suis aujourd'hui, mais c'est aussi un récit humain, et une quête qui peuvent faire écho à l'histoire de tant de gens", écrit aussi la rappeuse dans le même post Instagram. Le projet qu'elle a finalement accepté de mener à bien s'appelle donc Salam. Il a été écrit et réalisé par trois femmes, Diam's elle-même et les réalisatrices Houda Benyamina (qui a reçu trois César pour son film Divines) et Anne Cissé. Le documentaire retrace la vie et la carrière de Mélanie Georgiades, le vrai nom de l'artiste, qui avait annoncé son retrait de la scène en 2012.

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Diam's : la quête de paix d'une ex-rappeuse tourmentée (Le Parisien)

Code source retrace le parcours de Diam's avec Emmanuel Marolle, chef du service culture du Parisien. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio ...

Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Code source retrace le parcours de Diam’s avec Emmanuel Marolle, chef du service culture du Parisien. C’est une femme apaisée qui témoigne ces jours-ci, plus de 13 ans après avoir mis un terme à sa carrière artistique.

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Festival de Cannes : Diam's se livre dans «Salam»: «Ma vie n'avait ... (lematin.ch)

L'ex-chanteuse de hip hop livre sa vérité dans un documentaire présenté jeudi à Cannes. Mais elle n'était pas présente physiquement sur la Croisette.

La quadragénaire se présente voilée et couverte des pieds à la tête, visage apparent. «À force de courir dans tous les sens, ma vie n’en avait plus aucun», assène-t-elle. Le rap et le succès n’arrangent rien. «On voit la vérité des visages, on resserre sur les silences, les sourires, les larmes, ce qui est aussi peut-être un moyen de faire oublier son voile et le vêtement (long) qu’elle porte quand elle apparaît», estime auprès de l’AFP Anne Cissé, une des coréalisatrices (avec Diam’s et Houda Benyamina). Le documentaire «Salam» («Paix» en arabe), hormis une incursion de Diam’s aujourd’hui dans un Zenith de Paris vide, ne parle pas de musique. Celle qui fut une figure centrale du hip-hop en France dans les années 2000 n’est pas sur la Croisette. «Quand vous verrez ce film et la vie que Mélanie (son vrai prénom) a décidé de mener, vous comprendrez qu’elle ne pouvait pas le conduire physiquement à Cannes, elle est cohérente», a dit Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, en introduction de la projection jeudi soir.

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Salam de Diam's - la critique (Paris Match)

Documentaire consacré à la chanteuse Diam's, «Salam» est trop hagiographique pour convaincre.

Pour sa sortie du silence, longtemps attendue, Diam’s s’est alliée a deux co-réalisatrices Houda Benyamina (“Divines”) et Anne Cissé pour donner de ses nouvelles dans ce documentaire produit pour la plateforme Brut, nouveau partenaire médias du festival de Cannes. Ceci explique cela. Séquence touchante mais isolée bien malheureusement dans un doc hagiographique sans grand intérêt, aux choix de mise en scène bien lourds (tous les autres intervenants sont filmés dans un halo de pénombre sensé représenter un voile). Et qui se termine en copie conforme de “I am because we are” de Nathan Rissman où, comme Madonna en son temps, Diam’s évoque ses actions caritatives au Mali. Au final, on aurait préféré que Diam’s se raconte seule. Elle ne sait trop bien qu’on est jamais mieux servi que par soi-même.

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Diam's sur canapé : pour son interview sur Brut, Augustin Trapenard ... (Marianne)

Mais faire preuve de tact n'empêche pas d'adopter un point de vue critique sur le parcours de l'ancienne rappeuse, à qui la vedette empathique de France Inter ...

» C’est vrai ça ! Alors citons l’un des traits historiques communs à tous les monothéismes : leurs adeptes les plus zélés ont tous voulu, à un moment ou à un autre, brider, régenter ou supprimer la liberté de créer. Personne ne demande à Augustin Trapenard de sauter à la gorge de Diam’s, mais faire preuve de tact sur les épisodes sensibles de sa vie n’empêche pas d’adopter un point de vue critique. » Seule la parole de l’intéressée compte : surtout, ne la dérangeons pas. Comme si Diam’s, certes confrontée à de violentes réactions lors de la révélation de sa foi musulmane, avait été privée de micro ou n’aurait pu s’exprimer sur sa situation si elle avait souhaité le faire plus tôt. D’une pugnacité digne d’un Michel Drucker sous barbituriques, le chantre de « la curiosité et de l'éclectisme » n’est pas spécialement stimulé par le contexte dans lequel s’inscrit cet entretien – dont le spectateur lambda ne saura rien. Personne ne demandait à Augustin Trapenard de sauter à la gorge de Diam’s pour son entretien avec Brut publié ce jeudi 26 mai.

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Avec «Salam», Diam's sort de sa bulle (Libération)

Come-back très contrôlé après des années de silence, le documentaire de l'ex-rappeuse sur sa vie et ses blessures reste franc et émouvant.

Un film produit par la plateforme Brut qui le diffusera début… «Laisse-moi kiffer la vibes avec mon mec /Je suis pas d’humeur à ce qu’on me prenne la tête» , souvenez-vous, Diam’s faisait en 2003 de cette ritournelle un énorme tube. Mais une autre chanson, Ma souffrance, racontait une tout autre réalité : «C’est quand j’ai dit “je t’aime” que là j’ai découvert /C’que ça faisait de se prendre des coups, les cicatrices et la bouche ouverte». Femme battue à 17 ans, la rappeuse devenue star française, cumulant vente astronomique de disques et tournée sold-out, va tenir tête à ses démons, ses angoisses pendant des années avec ce que les proches décriront comme un souci de perfection professionnelle qui en coulisse révélait par à-coups des gouffres insondables.

[Cannes 2022] “Salam”, un documentaire apaisé et touchant de ... (Les Inrocks)

Dans ce film prochainement diffusé sur BrutX, l'ex-rappeuse montre qu'elle n'a rien perdu de son talent pour toucher le cœur des gens et partager son vécu.

Cependant, le film échappe au prosélytisme. Il raconte avant tout le bonheur actuel de Diam’s et la cicatrice encore ouverte que représente sa rupture avec ses fans. C’est dans une petite salle du palais chauffée à blanc par les fans que s’est déroulée la projection de Salam, film de Mélanie Georgiades alias Diam’s, co-réalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé, et prochainement diffusé sur la plateforme BrutX. L’ex-rappeuse avait promis d’y délivrer, avec ses mots et ses images, sa vérité. Si elle innerve tout le documentaire, la vie qu’elle menait avant sa conversion à l’Islam et son retrait du monde de la musique est compressée dans les premières minutes du film. Mais la bifurcation que donne la religion au film est inattendue.

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