Es gibt sicherlich bessere Zeitpunkte um einen Film wie „Interceptor“ zu veröffentlichen. Angesichts des andauernden Krieges in der Ukraine hat ein Werk, ...
Boll und Emmerich wären stolz: was als spannende Militär-Action beginnt, endet bei „Interceptor“ hinten raus im affektierten Desaster. Die interessante Ausgangslage wird schnell über Bord geworfen, jedwede Logik versinkt im Ozean und eine natürliche Charakterbindung zerschellt an der erzwungenen Zurschaustellung nicht relevanter Handlungsstränge – alles unter dem Deckmantel des female empowerment. Als Ergebnis offenbart sich eine heterogene Mischung, die permanent nachjustiert wird und die Handlung – eine nahende Katastrophe unfassbaren Ausmaßes – unnötigerweise in den Hintergrund rückt. Stattdessen werden Cameos eingestreut, die kein Mensch braucht und den Film in keinster Weise vorranbringen. Ohne großes Geplänkel steigt „Interceptor“ sofort in die Kernthematik ein und nimmt uns mit auf die im Wasser stationierte Abfangstation. Die Meldungen überschlagen sich und schnell wird klar, dass nicht viel Zeit bleibt um das Überleben von Millionen von Menschen zu sichern. Dann nimmt sich das Werk eine erste Atempause und der Zuschauerschaft entfaltet sich ein Drehbuch, das mehr Lücken hat als ein Ozean Wasser trägt. Zur Einordnung sei gesagt, dass sich „Interceptor“ durchaus ernst nimmt, was so manche Dialoge umso alberner erscheinen lässt. Die Menschheit blickt diversen Atomangriffen ins Auge, Captain Collins lässt es sich aber trotzdem nicht nehmen ihrem Kontrahenten genüsslich den Mittelfinger zu zeigen. Antagonist und Heldin prallen aufeinander, die Fronten verhärten sich, das Adrenalin auf und vor dem Bildschirm schießt nach oben. Der Reihe nach: nach der Aufarbeitung eines persönlichen Zwischenfalls wird Captain JJ Collins kurzerhand zur Unterstützung auf die SBX-1 beordert, einer von zwei Raketenabfangstationen der USA, mitten auf dem offenen Ozean gelegen.
Elsa Pataky est à l'affiche d'Interceptor, un nouveau film Netflix. Un rôle physique qui lui a demandé de suivre un entraînement rigoureux, pour lequel elle ...
Il sait tout, donc c'était vraiment bien de l'avoir à mes côtés, de le regarder et de l'entendre dire ce qu'il pensait et me donner des conseils. Ensuite, il faut apprendre tous les mouvements, tous les combats - c'était comme 800 mouvements qu'il faut se mettre dans la tête", a expliqué Elsa Pataky. Les fans de la saga Fast & Furious connaissent bien Elsa Pataky. Dans Interceptor, film Netflix disponible depuis ce vendredi 3 juin sur la plateforme de streaming, l'actrice prête cette fois-ci ses traits à la capitaine JJ Collins. Un rôle physique qui a nécessité un certain entraînement, comme l'a confié l'actrice dans une interview à Looper. "C'était un long processus.
Le capitaine Collins lance les intercepteurs avant que les missiles russes ne puissent frapper les États-Unis. A la fin de Interceptor, après avoir reçu la ...
Après un climax passionnant et plein d’action, la scène de mi-crédits dans laquelle figure Hemsworth est un soulagement comique attrayant. Il doit être ravi de voir Collins intervenir pour sauver les États-Unis sans attendre d’aide surhumaine. Tout en confirmant l’assassinat d’Alexander, les Russes envisagent de tuer Collins. Cependant, ils décident de ne pas la tuer. Elle tue Beaver, se rend sur le toit de la base, connecte l’ordinateur portable au système de lancement et lance les intercepteurs. Collins continue à se battre pour son pays, également en hommage à son père, pensant qu’il est déjà mort. Alexander, tout en se vantant d’avoir pris le contrôle du centre de commandement, ne comprend pas qu’il est tombé dans le piège de Collins.
Il y a d'abord cette menace d'une attaque de missiles nucléaires venus de Russie, chose dont nous n'avions pas entendu parler depuis la fin de la guerre froide.
Ce thriller bourré d’action fait écho, probablement même sans le vouloir, à l’actualité. Il y a d’abord cette menace d’une attaque de missiles nucléaires venus de Russie, chose dont nous n’avions pas entendu parler depuis la fin de la guerre froide. Enfin, Interceptor aborde frontalement la profonde division idéologique séparant les Américains depuis quelques années, de laquelle émergent des factions extrémistes qui préfèrent sacrifier un pays qui, à leurs yeux, a perdu son âme. Même s’il accumule les invraisemblances, ce premier long métrage de Matthew Reilly, qui a coécrit le scénario de son long métrage avec le vétéran Stuart Beattie (Collateral, Obi-Wan Kenobi), s’inscrit parfaitement dans l’esprit des films de genre produits par Netflix. Mettant en vedette l’actrice espagnole Elsa Pataky, Interceptor propose une histoire où l’héroïne tient dans ses mains le sort du monde, face à des adversaires inattendus.
Découvrez la critique du film Interceptor de Matthew Reilly - Elsa Pataky doit sauver le monde libre de vilains terroristes désireux d'atomiser les ...
tout y passe, et sans jamais que la caméra ne perde de vue l’essentiel, à savoir la lisibilité de l’action, ou l’impact des coups pleuvant à l’écran. C’est d’ailleurs un des humbles plaisirs de ce divertissement furieusement rétro, à avoir son goût pour une maltraitance des corps, qui investit le spectateur, décuple l’immersion, tout en offrant quelques plaisantes mises à mort. Elsa Pataky s’en donne à cœur joie, ne s’arrête à aucune réplique mongoloïde, ne recule devant aucun bourre-pif pour s’imposer en militaire casseuse de bouche et raboteuse de vilain patriarcat. Ce tempo soutenu permet en outre de limiter les errances du co-scénariste Stuart Beattie, coupable de quelques-uns des pires blockbusters de ces dernières années, et connu pour les caractérisations trépanées de personnages qui n’en demandent pas tant. Un – relatif - désamour, qui a une conséquence directe sur le film qui nous intéresse. Interceptor est un film de plateforme, produit pour moins de quinze millions de dollars, soit une somme microscopique en regard de ses ambitions spectaculaires. Auteur de best-sellers célèbre en Australie, Matthew Reilly mène de front sa carrière littéraire en parallèle de ses velléités de scénariste et producteur, depuis le mitan des années 2000. Cette modestie est criante dès que le récit doit brièvement s’aventurer hors de son décor principal, prenant soudain des atours de telenovelas filmée par des aveugles, ou lors des séquences en extérieur, aux incrustations particulièrement hasardeuses.
Ce ne sont plus les hommes qui sauvent le monde. La preuve, une nouvelle fois, avec ce film d'action divertissant, porté par une Elsa Pataky (“Fast and ...
Dramatisation oblige, Kessel retransmet l’attaque dans tout le pays, histoire de prévenir les citoyens innocents de leur mort imminente. Après avoir dénoncé l’un de ses supérieurs pour harcèlement sexuel, le capitaine Collins ( Elsa Pataky), lynchée pour sa « trahison », est exilée sur la plateforme maritime SBX-1, l’une des bases américaines d’interception de missiles. Ce ne sont plus les hommes qui sauvent le monde.