[VIDÉO] ▶️ Au soir du premier tour des élections législatives, La République en marche a indiqué qu'elle ne donnerait pas de consigne nationale au second ...
"J’entends dire qu'Elisabeth Borne refuserait d’appeler au barrage républicain face à l’extrême droite. On verra quelles sont les situations locales qui se présentent, quels sont les candidats qui sont en place, et il y aura des positions qui seront prises localement". En revanche, le secrétaire d'État chargé des Affaires européennes Clément Beaune, en ballotage défavorable dans sa circonscription, a pris des distances avec cette position officielle. Sur France 2, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a estimé qu'il s'agissait d'"une question qui concerne très peu de circonscriptions. "Pas une seule voix ne doit aller au Rassemblement national et aux candidats d’extrême droite", "partout nous appelons à faire battre le RN", a également assuré Maud Bregeon, candidate de la majorité présidentielle dans la 13e circonscription des Hauts-de-Seine et porte-parole de La République en marche (LaREM). "Il y aura évidemment des débats locaux, pour autant, la porte-parole de LaREM que je suis vous dit que partout nous appelons à faire battre les candidats d’extrême droite", a-t-elle déclaré sur BFMTV. Au soir du premier tour des élections législatives, La République en marche a indiqué qu'elle ne donnerait pas de consigne nationale au second tour mais "au cas par cas" dans les circonscriptions où s'affronteront des candidats du Rassemblement national et de la Nupes."Ce sera en fonction de la personnalité de la Nupes qui est qualifiée, notamment si c'est quelqu'un qui a les valeurs de la République", a précisé le parti.La Première ministre Elisabeth Borne a toutefois rappelé que la ligne était de ne pas donner "une voix à l'extrême droite".
A la Fabrique, à deux pas du canal Saint-Martin, les militants ne se sont pas déplacés en masse pour crier victoire, alors que la gauche unie se place ex ...
C’est le pourcentage qui compte, les projections c’est pour le bourgeois.» On se presse autour de l’insoumis qui décide de prendre chacun des militants présents dans ses bras. Il réapparaît quelques minutes plus tard, à l’étage comme prévu. Il tombe à nouveau dans les bras des principaux cadres de la gauche unie qui l’entoure. On le sent ému, plus ému encore qu’à la présidentielle. «La Nupes arrive en tête, affirme-t-il en rappelant que les projections en nombre de sièges n’ont aucun sens. L’heure fatidique approche et le bruit court que Jean-Luc Mélenchon vient d’arriver. Sur les écrans, France 2 affiche une simulation de l’Assemblée majoritairement acquise à Emmanuel Macron. Moment de flottement. Puis les chiffres tombent : la Nupes et Ensemble sont ex aequo à 25,2 %. Les cris de joie peuvent enfin fuser. «Beaucoup d’électeurs de Jean-Luc Mélenchon ne se sont pas déplacés parce qu’ils pensaient que c’était joué d’avance. Notre score va démontrer l’inverse. Et ça va créer une dynamique.» Et pour cause : les militants ne sont pas là. Les discours enflammés et les réactions ravies des dirigeants ont été réservés aux journalistes venus, eux, en nombre.
Cette union de la gauche a réalisé des scores particulièrement élevés en Seine-Saint-Denis, en particulier dans la 7e circonscription, où le député sortant ...
Son héritier a obtenu 56,04% des suffrages ce dimanche, mais n'a pas réussi à se faire élire dès le premier tour, échouant lui aussi à dépasser le seuil des 25% des électeurs inscrits. Dans sa propre circonscription des Bouches-du-Rhône, où son directeur de campagne Manuel Bompard brigue sa succession, le leader insoumis avait récolté 54,42% des voix. Mais en raison d'une trop faible participation, il devra se plier à un second tour où il sera opposé à une candidate de la coalition présidentielle Ensemble, Anaïs Brood.
Selon les résultats définitifs validés par le ministère de l'Intérieur peu après minuit, la coalition de la majorité présidentielle Ensemble arrive ...
Ensemble ! espère conserver la majorité absolue, fixée à 289 députés, ce qui lui permettrait d'éviter de composer avec d'autres groupes pour faire adopter les textes de l'exécutif, à commencer par l'emblématique réforme des retraites qui doit entrer en application dans un an, selon la promesse d'Emmanuel Macron. A la quatrième position, les Républicains obtiennent 10,42% des voix et vont perdre leur place de premier groupe d'opposition à l'Assemblée nationale. Le parti d'extrême-droite n'a pas réussi à capitaliser sur sa dynamique engrangée à la présidentielle où il avait atteint plus de 40% des voix lors du second tour.
Des résultats que la Nupes conteste. L'abstention atteint un niveau record à 52,49 %. Certaines personnalités, comme Éric Zemmour et Jean-Michel Blanquer, sont ...
"Alerte à la nouvelle manipulation de Darmanin", a tweeté dans la nuit Manuel Bompard, candidat dans la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône et bras droit de ...
Une méthode de calcul dénoncée par la gauche, qui menace désormais de saisir le Conseil d'État, une fois encore. - Police, justice et faits diversDino Scala : le "violeur de la Sambre" face à la justice "Alerte à la nouvelle manipulation de Darmanin", a tweeté dans la nuit Manuel Bompard, candidat dans la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône et bras droit de Jean-Luc Mélenchon. "Alors que la Nupes réalise 6,1 millions de voix, le ministère de l'Intérieur ne lui attribue que 5,8 millions de voix pour faire apparaître artificiellement le parti de Macron en tête."
Mais ces chiffres ne conviennent pas aux artisans de l'union de la gauche. Aux alentours de trois heures du matin, le candidat Nupes du Sud-Est, Manuel Bompard, ...
«C'est une manière artificielle d'avoir la macronie un peu plus haut», a-t-elle conclu. «Tout ça n'a pas d'importance», a ensuite balayé l'élu. Lequel considère que «ça n'honore pas la politique». «Mais je m'en fous», a-t-il poursuivi, car «la réalité c'est que c'est le pire score d'un parti présidentiel pour une législative qui suit une élection présidentielle. Ça veut dire qu'il n'y a pas d'attente populaire d'Emmanuel Macron, pas d'élan». Mais ces chiffres ne conviennent pas aux artisans de l'union de la gauche. Dimanche 12 juin au soir, le premier tour des élections législatives a placé la majorité présidentielle et la Nupes en tête. Sur la base des premières estimations, les deux formations politiques se sont livrées à une bataille pour savoir qui de l'une ou de l'autre arriverait en tête de ce scrutin à hauts enjeux. Au micro de France Info ce lundi matin, l'écologiste David Cormand a précisé. Selon lui, «ils ont fait un calcul d'apothicaire», en ne comptant pas la totalité des électeurs ayant voté pour la Nupes, notamment dans les Outre-mer, où les partis étaient désignés par leur étiquette d'origine (socialistes, écologistes...) ou comme étant «divers gauche». «Ils ont triché, a-t-il martelé. Mais ils avaient déjà triché en refusant de mettre une nuance Nupes», avant que celle-ci ne soit imposée par le Conseil d'État. «On comprend mieux d'ailleurs, depuis hier soir, pourquoi», a ajouté l'eurodéputé. Tard dans la nuit, c'est finalement Ensemble! que les résultats officiels ont placé très légèrement devant, avec 25,75% des suffrages contre 25,66% pour la Nupes. Soit une différence de quelque 21.000 voix.
"Nous sommes la seule force politique en mesure d'obtenir une majorité forte et claire", a insisté la Première ministre Elisabeth Borne, qui repart en campagne ...
De son côté, Eric Zemmour, qui fut l'un des animateurs de la présidentielle, a raté son atterrissage en politique. "Dans ces cas précis, RN-Nupes, soyons très clairs: pas une seule voix pour le Rassemblement national. Une participation accrue est, en théorie, la seule réserve dont peut bénéficier la Nupes après avoir fait l'union des partis de gauche dès le premier tour. Mais certains sont en grande difficulté, à commencer par la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Amélie Montchalin, pièce maîtresse du gouvernement. LR limite toutefois la casse, au point d'espérer apparaître en parti charnière dans la future législature. Le leader de la Nupes Jean-Luc Mélenchon a appelé le "peuple" à "déferler dimanche prochain" dans les isoloirs pour lui permettre de devenir Premier ministre et imposer une cohabitation à Emmanuel Macron, comme la gauche plurielle y était parvenue en 1997 avec Lionel Jospin.
Secouée par la Nupes au premier tour des élections législatives, dimanche, la macronie a peiné à définir une consigne de vote claire en cas de duel entre la ...
"Les écologistes se sont massivement mobilisés pour faire battre Le Pen à la présidentielle. Entendre Olivia Grégoire et Gabriel Attal refuser de donner une indication de vote en cas de duel #Nupes #RN est absolument scandaleux !", a tweeté l'ex-candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot. "Il faut qu'on attende de voir les cas de figure qui vont se présenter ou pas (...) On a toujours été très clair sur notre opposition aux extrêmes et notamment au Rassemblement national. "J’entends qu’Élisabeth Borne refuserait d’appeler au barrage républicain face à l’extrême droite. Le ministre du Budget, Gabriel Attal, a abondé en ce sens. "Dans ces cas précis, RN-Nupes, soyons très clairs : pas une seule voix pour le Rassemblement national. Maud Bregeon, la porte-parole de Renaissance, à appelé sur BFMTV "à faire battre le Rassemblement national partout". Même son de cloche pour le ministre délégué aux Affaires européennes, Clément Beaune, qui a invité, à titre personnel, à voter pour les candidats de la Nupes en cas de duel au second tour avec des candidats du RN.
Après avoir fait jeu égal au premier tour des élections législatives, la gauche Nupes et la coalition présidentielle entament lundi une semaine de duel, ...
De son côté, Eric Zemmour, qui fut l'un des animateurs de la présidentielle, a raté son atterrissage en politique. "Dans ces cas précis, RN-Nupes, soyons très clairs: pas une seule voix pour le Rassemblement national. Une participation accrue est, en théorie, la seule réserve dont peut bénéficier la Nupes après avoir fait l'union des partis de gauche dès le premier tour. Mais certains sont en grande difficulté, à commencer par la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Amélie Montchalin, pièce maîtresse du gouvernement. LR limite toutefois la casse, au point d'espérer apparaître en parti charnière dans la future législature. Le leader de la Nupes Jean-Luc Mélenchon a appelé le "peuple" à "déferler dimanche prochain" dans les isoloirs pour lui permettre de devenir Premier ministre et imposer une cohabitation à Emmanuel Macron, comme la gauche plurielle y était parvenue en 1997 avec Lionel Jospin.
... « Alerte à la nouvelle manipulation de [Gérald] Darmanin », s'est indigné Manuel Bompard, lieutenant de Jean-Luc Mélenchon et candidat de la Nouvelle ...
Législatives : la Nupes et Ensemble ! au coude-à-coude au niveau national · Estimation des résultats · Borne et Le Pen bien partis, Blanquer et Zemmour éliminés.
Selon une projection de l’Ifop, la majorité absolue (289 députés) est tout sauf certaine pour les macronistes. La coalition de la majorité présidentielle, baptisée Ensemble !, arriverait juste derrière avec 25,6 % des voix. L’ex-ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer essuie un échec cuisant dans la 4e circonscription du Loiret : arrivé en troisième position (18,9 %) derrière le RN (31,5 %) et la Nupes (19,4 %), il est éliminé dès le premier tour.
Au coude à coude. Ce dimanche soir, l'alliance de la gauche réunissant la France insoumise, Europe Ecologie-les Verts Les Verts, le Parti communiste et le Parti ...
Quand ce n’est pas Bruno Le Maire qui accuse Mélenchon d’être un «Chávez Gaulois» dans le Figaro, c’est Gabriel Attal qui attaque en affirmant dans le Monde qu’avec le leader insoumis ce serait «la guillotine fiscale». Au vu des résultats ce soir, les craintes étaient bien justifiées. Dans leurs duels de second tour face à des candidats de la Nupes, les représentants LR pourraient bénéficier des voix de l’électorat macroniste pour l’emporter. Les Républicains pourraient ainsi peser davantage à l’Assemblée que ne le suggère leur score de premier tour. Le polémiste d’extrême droite et ses candidats ne font pas mieux que 3,8 % des suffrages, selon Ipsos. Un nouvel échec après celui de la présidentielle. Le parti xénophobe pourrait bien se retrouver sans aucun député dimanche prochain. Ce dimanche soir, l’alliance de la gauche réunissant la France insoumise, Europe Ecologie-les Verts Les Verts, le Parti communiste et le Parti socialiste se retrouve dans un mouchoir de poche avec la macronie. Le parti de la rue de Vaugirard peut malgré tout espérer sauver les meubles grâce au mode de scrutin. Selon les premières estimations d’Ipsos à 20 heures, elle arrive, avec 25,2 % des voix à l’échelle nationale, à égalité avec le parti présidentiel et ses alliés. Un score qui ressemble tout de même à un exploit pour une gauche qui, ces dernières années, n’a pu se contenter que des miettes dans l’opposition. Comme quoi, quand la gauche parvient à dépasser ses guerres d’ego et ses intérêts boutiquiers pour répondre aux aspirations unitaires de son électorat, elle est capable d’incarner un espoir.
Lors du premier des élections législatives, ce dimanche 12 juin, la Nupes, union des gauches menée par Jean-Luc Mélenchon prendrait la tête des différents ...
Elle affrontera un candidat Nupes au second tour. Dans le Loiret, l’ancien ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a lui aussi été éliminé. Olivier Véran, ministre délégué chargé des relations avec le Parlement, arrive largement en tête dans sa circonscription de l’Isère. Il affrontera une candidate de la Nupes au second tour. Les députés de la Nupes formeraient ainsi un fort groupe d’opposition. Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique était candidate dans l’Essonne. Elle arrive deuxième, derrière le candidat de la Nupes qu’elle affrontera au second tour. Selon les premières estimations, les candidats de la Nupes (Nouvelle union populaire écologique et sociale) arriveraient en tête du premier tour des élections législatives ce dimanche 12 juin.
NUPES. La nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes), initiée par Jean-Luc Mélenchon, a-t-elle réussi à s'imposer au 1er tour des élections ...
"La Nupes a un programme de ruine économique du pays", a abondé Gabriel Attal, ministre du Budget, qui a ajouté : "avec Jean-Luc Mélenchon, c'est la guillotine fiscale à tous les étages." Dans une première longue note publiée mi-mai, Guillaume Hannezo, ancien conseiller économique de François Mitterrand, évoquait un "désastre" si le programme de la Nupes venait à être mis en place. "Nous avons chiffré la totalité de notre programme économique en le faisant entrer dans la matrice de la Banque de France. 250 milliards seront injectés. Remonteront, en taxes et cotisations sociales, 267 milliards" a promis le leader de la Nupes. Et militent pour une "progression des salaires financée par un rééquilibrage du partage de la valeur entre salaires et profits." Une "autre voie" que celle proposée par Emmanuel Macron qui, à leurs yeux, "apporterait immédiatement des avancées : blocage des prix des produits de première nécessité, hausse du Smic à 1500 euros nets, négociation des salaires au niveau des branches, revalorisation des retraites et des minimas sociaux, mise en place d'une allocation d'autonomie pour les jeunes ainsi qu'un programme de garantie d'emploi permettront de soulager les difficultés les plus urgentes et de restaurer la confiance en l'avenir pour le plus grand nombre." Le programme de la Nupes comprend 650 mesures. Le PCF ne soutiendra pas le droit de vote à 16 ans, quand LFI proposera d'abroger le concordat d'Alsace-Moselle et les divers statuts spécifiques en vigueur dans les Outre-mer. Le PS et le PCF proposeront un débat public sur la question de la légalisation du cannabis, LFI et le PCF souhaitent un retrait de la France de l'OTAN puis sa dissolution, tout comme un retrait de l'armée présente au Sahel. Faut-il ou non désobéir à certains traités de l'Union européenne ? La Nupes s'est accordée à vouloir "mettre fin au cours libéral et productiviste de l'Union européenne", affichant une volonté "de construire un nouveau projet au service de la bifurcation écologique, démocratique et solidaire." Le programme prévoit également des mesures pour une France "zéro déchet" (interdire l'obsolescence programmée, baisser la TVA sur les services de réparation,…), mais aussi contre la malbouffe (interdiction d'additifs notamment) en travaillant à développer une souveraineté alimentaire via un ministère de la Production alimentaire. Par ailleurs, le programme propose de prendre en compte le RSA pour le calcul de la retraite de ceux ayant touché cette aide au cours de leur carrière. Côté revenus, la Nupes veut garantir une retraite équivalente "au niveau du SMIC revalorisé" pour une carrière complète, soit 1500 euros nets, a minima. Une première tendance nationale est dévoilée à 20 heures et révèle que la Nupes est au coude-à-coude avec le parti présidentiel Ensemble. Selon les chiffres de Ifop-Fiducial pour TF1, LCI et Les Indés Radios, les deux partis obtiendraient 25,9% des voix au niveau national. [Mis à jour le 12 juin 2022 à 21h41] La gauche a réussi l'exploit de s'unir en vue des élections législatives 2022.
Selon les projections réalisées par Elabe pour BFMTV, RMC et L'Express avec SFR, c'est Ensemble qui devrait obtenir le groupe le plus important dans la ...
Il faut au président au moins 289 députés pour atteindre le seuil critique dans l'hémicycle du Palais-Bourbon. Cette union de la gauche, qui rassemble notamment LFI, EELV, le PS et le PC, devancerait ainsi Les Républicains, alliés à l'UDI. Les rangs de la droite seraient plus clairsemés, avec seulement de 43 à 63 élus selon notre estimation et ses 11,1% au premier tour. Si l'horizon de Matignon s'éloigne pour Jean-Luc Mélenchon, le statut de premier opposant du leader insoumis se confirme: la Nupes, la Nouvelle union populaire écologique et sociale, devrait parvenir à élire de 170 à 220 députés selon notre projection, avec 26,2% des voix au premier tour.
Le candidat de l'union de la gauche fait 40 % des voix. Mais celui de la majorité présidentielle résiste plutôt bien.
Sans surprise, c'est le candidat LFI, Laurent Alexandre, maire d'Aubin qui est arrivé largement en tête, avec 40,24 % des voix. Suivent Bruno Leleu (13,86 %), Eric Cantournet (6,57 %) et André At (5,36 %). Mais celui de la majorité présidentielle résiste plutôt bien.
L'alliance de gauche Nupes se présentait depuis quelques semaine déjà au coude à coude dans les intentions de vote avec Ensemble !, coalition macroniste de ...
Le camp Macron devrait donc conserver une majorité à l’Assemblée, reste une incertitude sur son ampleur. La Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) est arrivée en tête du premier tour des élections législatives avec 26,2 % des voix, devant la majorité présidentielle (25,8 %). Comme prévu, les candidats du Rassemblement national (18,5 % à 19,8 %) n’ont pas réussi à capitaliser sur la dynamique de Marine Le Pen à la présidentielle, qui avait engrangé plus de 40 % des voix au deuxième tour. Les sondages l’avaient annoncé et ce n’est pas vraiment une surprise.
Ce dimanche soir, c'est l'abstention qui sort grande gagnante de ce premier tour des législatives avec près de 53% des inscrits.
A tel point que le leader Insoumis lui-même ne s’est pas présentée aux législatives. Pour autant, la perspective reste un objectif qui sera difficile à atteindre du fait des mécanismes de la Ve République. Les excellents résultats de la NUPES (26,2%) au premier tour confirment son statut de première opposition face aux bloc macronien, avec la possibilité d’obtenir de 170 à 220 sièges à l’Assemblée, en étant présents dans plus de 500 circonscriptions au second tour. De ce point de vue, le score de 25,8% obtenu par la coalition Ensemble ! s’il lui permet potentiellement de conserver la majorité des sièges (entre 270 et 310) à l’Assemblée nationale, comporte un risque majeur de ne pas obtenir de majorité absolue. Le parti de Marine Le Pen obtient 19,1% (+7%) des suffrages, ce qui représenterait de 15 à 30 sièges à l’Assemblée. La question reste de savoir s’il sera en capacité de constituer un groupe parlementaire, qui nécessite quinze députés au minimum. Au coude à coude avec le bloc macroniste (25,8%), la NUPES (26,2%) s'impose comme la première opposition à l’Assemblée tandis qu'Ensemble ! risque de n'obtenir qu'une majorité relative, un véritable revers. Avec le précédent record de 2017, c’est la deuxième fois que l’abstention est majoritaire lors d’un scrutin national dans l’histoire de la Vème République.
La Nupes arrive en tête au premier tour des élections législatives, talonnée par la coalition Ensemble, soutenant la majorité présidentielle, selon les ...
Les candidats du Rassemblement national (18,5% à 19,8%) n'ont pas réussi à capitaliser sur la dynamique de Marine Le Pen à la présidentielle, qui avait engrangé plus de 40% des voix au deuxième tour. Autre enjeu, le sort des 15 membres du gouvernement engagés, à commencer par Elisabeth Borne en lice dans le Calvados et créditée de 31,99% des voix selon les premières estimations. Presque deux mois après la victoire d'Emmanuel Macron à la Présidentielle le 24 avril dernier, les Français ont voté ce dimanche au premier tour des législatives pour choisir une nouvelle Assemblée nationale.
Selon les premières estimations, la coalition présidentielle et la coalition de gauche rassembleraient chacune 25,2% des voix, devant le RN.
Le leader de La France insoumise en a notamment appelé à "la jeunesse" pour faire la différence dans les urnes dimanche prochain. Son collègue, André Chassaigne (Nupes), qui préside le groupe des communistes à l'Assemblée nationale, échoue de peu à se faire élire dès le premier tour dans la 5e du Puy-de-Dôme : il rassemble 49,13% des voix, contre 19,06% pour sa concurrente Brigitte Carletto (RN). Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand (Ensemble) sort en tête dans la 6e circonscription du Finistère, où il est élu depuis 2012. Figure du groupe Les Républicains, le député sortant Julien Aubert est lui sèchement battu dans son fief de la 5e circonscription du Vaucluse, où il est élu depuis 2012. Selon une estimation nationale Ipsos/Sopra Steria, l'alliance de gauche (Nupes), rassemblerait 25,6% des voix au premier tour des élections législatives, tandis que la coalition présidentielle (Ensemble) obtiendrait 25,2% des suffrages. Avec 33,56% des voix, il devance Mélanie Thomin (Nupes) qui réalise 31,16% et dispose de quelques réserves de voix à droite notamment, contrairement à sa rivale.
Selon les estimations Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, France 24-RFI-MCD et LCP-Assemblée nationale, le RN arriverait troisième (18 ...
Les Républicains-UDI-DVD pourraient constituer la troisième force à l’Assemblée nationale et obtenir entre 50 et 80 sièges. Le Rassemblement national enverrait entre 20 et 45 élus dans l’Hémicycle, ce qui lui assurerait un groupe (15 députés minimum). C’est parmi les jeunes et les catégories populaires qu’elle est la plus forte. La participation au premier tour des élections législatives atteignait 39,42 % dimanche à 17 heures en métropole, selon le ministère de l’intérieur, un chiffre en baisse de 1,3 point par rapport à 2017, où elle s’établissait à 40,75 %. Elle est aussi largement inférieure, à la même heure, à celle des législatives de 2012 (48,31 %), ainsi qu’à la participation du premier tour de la présidentielle de 2022 (65 %).
Unie sous la bannière de la Nupes, la gauche arrive au coude à coude avec Ensemble au premier tour des élections législatives, selon les premières ...
Conséquence de cette abstention, le second tour devrait connaître très peu, voire pas de triangulaires du tout puisque les candidats doivent réunir 12,5 % des inscrits ou figurer dans les deux premiers pour se qualifier au second tour. La Nupes qui espère obtenir la majorité pour permettre à Jean-Luc Mélenchon de devenir Premier ministre devra confirmer au second tour. Le Rassemblement national perd une place par rapport à la présidentielle mais ne s’effondre pas. Depuis l’instauration du quinquennat, les élections législatives confirment systématiquement le résultat de l’élection présidentielle. Mais cette année, le doute était permis. Selon l’estimation Ipsos & Sopra Steria pour France Télévisions, la Nupe pourrait obtenir entre 150 et 190 députés au second tour. Un avertissement pour Emmanuel Macron. Troisième, le Rassemblement national fait son meilleur score à un scrutin législatif.
La Nupes et Ensemble ! arrivent en tête d'après les premières estimations. Le Rassemblement national se place en troisième position, lors de cette élection ...
Le RN n’arrive, lui, qu’en troisième position (19 %), alors que Marine Le Pen s’était qualifiée au second tour de la présidentielle. Suivent Les Républicains (12 %), qui ne s’effondrent pas grâce à des candidats souvent localement implantés. Trop tôt, à l’heure de la fermeture des bureaux de vote, pour avoir une idée des résultats du premier tour. Selon les estimations actualisées de l’Ifop-Fiducial pour TF1-LCI, le rassemblement de la majorité présidentielle ferait finalement jeu égal en voix avec le rassemblement de la gauche. L’alliance LR-UDI obtiendrait quant à elle entre 42 et 62 sièges. Ils sont suivis de près par le Rassemblement national qui aurait de son côté entre 23 et 45 sièges. Le parti Reconquête ! obtiendrait moins de 3 sièges. Selon Elabe pour BFMTV/L’Express/RMC, Ensemble ! aurait 270 à 310 députés contre 170 à 220 pour la Nupes Ipsos-Sopra-Steria, crédite Ensemble ! de 255 à 295 sièges et Nupes de 150 à 190 sièges. » Il a néanmoins appelé les candidats Ensemble ! à faire preuve « d’humilité et à engager un dialogue dans la proximité » avec les électeurs français. Je les invite à se mobiliser la semaine prochaine », a déclaré le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin qui s’estime « confiant » pour une victoire au second tour. « La partie n’est pas finie », a-t-elle ajouté sur TF1, appelant les Français à « être mobilisés » pour « élire un maximum de députés LR » lors du second tour dimanche prochain. En cas de duel entre candidats de la Nupes et d’Ensemble !, le président des Républicains Christian Jacob ne veut donner « aucune voix pour les extrêmes », a-t-il déclaré sur France 2. Éliminé au premier tour dans la 4e circonscription du Var, Eric Zemmour a déploré l’absence de candidatures communes à droite. Le candidat Nupes, Christophe Courregelongue, obtient quant à lui 26,03 % des suffrages exprimés devant le candidat de la majorité présidentielle, Alexandre Freschi, crédité à 25,62 %. Le premier à avoir franchi ces deux seuils est Yannick Favennec-Becot (Ensemble-Horizons, Mayenne - 3e circonscription), avec 57,13 % des exprimés et 26,49 % des inscrits.
Forte de quelque cinq cents qualifications au second tour, l'alliance des forces de gauche mise sur une dynamique et une mobilisation accélérée en une ...
Dans une semaine, en effet, quelle réserve de voix pour les candidats de la gauche au second tour ? Seul un regain de mobilisation – des jeunes, des abstentionnistes – permettrait de contourner le « plafond de verre » en faveur de la majorité sortante. M. Mélenchon a donc appelé « notre peuple » à « déferler dimanche prochain ». Si la nature des duels face au Rassemblement national, Les Républicains ou Ensemble ! reste encore imprécise, il a par ailleurs laissé chacun libre : « Chacun dans sa circonscription appréciera quel est son devoir et saura quoi faire de son bulletin. Dès la fin d’après-midi, le ton était enjoué au quartier général de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale ( Nupes) pour la soirée électorale, dans le 10e arrondissement de Paris. Caroline Mecary, candidate dans la 7e circonscription de Paris, espérait quelque 480 candidats Nupes au second tour.
Les résultats placent la gauche et la majorité présidentielle au coude-à-coude, alors que l'abstention atteint des records. Une victoire pour la stratégie ...
La Nupes a peu de réserve de voix, à l’inverse d’Emmanuel Macron qui pourra sans doute compter sur l’électorat LR, sous le nez duquel il agitera toute la semaine le chiffon rouge Mélenchon. La Nupes ne pourra se tourner que vers les abstentionnistes. Qui l’aurait imaginé il y a quelques semaines ? L’ancien candidat LFI à l’Elysée a d’ores et déjà réussi son pari, même si la perspective de le voir imposer une cohabitation au chef de l’Etat semble hors de portée. Mais voir le Président disposer d’une seule majorité relative est possible. C’est une loi quasi infaillible de la politique : la dynamique.
Au soir du premier tour des législatives, ni Emmanuel Macron ni Jean-Luc Mélenchon ne semblent en mesure de réussir leur pari, les urnes laissant le même ...
De bon augure pour la NUPES, à condition qu’elle n’oublie pas la mission qu’elle s’était assignée et qui, pour l’instant, reste en échec: la constitution d’une force populaire capable de ramener la France d’en bas dans l’arène politique. Pas de quoi «renverser la table», mais assez pour tirer quelques conclusions réjouissantes. En premier lieu que l’alliance partisane a séduit: avec plus de 25% des voix, elle prolonge la dynamique qui avait propulsé Jean-Luc Mélenchon aux portes du second tour (21,9%). Ensuite, on constatera que l’unité a fonctionné alors qu’elle s’est bâtie autour de la force la plus radicale du pôle et qu’elle défendait un programme très clairement ancré à gauche. Au final, l’ensemble des alliés peuvent se montrer satisfaits et être encouragés à poursuivre l’expérience. Socialistes, Verts et communistes devraient obtenir chacun leur groupe parlementaire.
Ce dimanche soir, c'est l'abstention qui sort grande gagnante de ce premier tour des législatives avec près de 53% des inscrits.
A tel point que le leader Insoumis lui-même ne s’est pas présentée aux législatives. Pour autant, la perspective reste un objectif qui sera difficile à atteindre du fait des mécanismes de la Ve République. Les excellents résultats de la NUPES (26,2%) au premier tour confirment son statut de première opposition face aux bloc macronien, avec la possibilité d’obtenir de 170 à 220 sièges à l’Assemblée, en étant présents dans plus de 500 circonscriptions au second tour. De ce point de vue, le score de 25,8% obtenu par la coalition Ensemble ! s’il lui permet potentiellement de conserver la majorité des sièges (entre 270 et 310) à l’Assemblée nationale, comporte un risque majeur de ne pas obtenir de majorité absolue. Le parti de Marine Le Pen obtient 19,1% (+7%) des suffrages, ce qui représenterait de 15 à 30 sièges à l’Assemblée. La question reste de savoir s’il sera en capacité de constituer un groupe parlementaire, qui nécessite quinze députés au minimum. Au coude à coude avec le bloc macroniste (25,8%), la NUPES (26,2%) s'impose comme la première opposition à l’Assemblée tandis qu'Ensemble ! risque de n'obtenir qu'une majorité relative, un véritable revers. Avec le précédent record de 2017, c’est la deuxième fois que l’abstention est majoritaire lors d’un scrutin national dans l’histoire de la Vème République.
Les militants et responsables de la gauche unie ont accueilli avec enthousiasme les résultats du premier tour des législatives, ce dimanche soir à Paris.
Ils ont tout fait pour éviter d’avoir un débat politique, dans la continuité de la présidentielle », dénonce Leïla Chaibi, sa collègue LFI au Parlement européen. Il y a un vrai engouement sur la possibilité d’envoyer Jean-Luc Mélenchon à Matignon », salue l’avocate. A 20 heures, les résultats du premier tour des législatives s’affichent sur les écrans, sous les hourras des quelques dizaines de militants présents. Quelques minutes plus tard, l’intéressé est bien plus sérieux en montant sur l’estrade. Face aux caméras, le vieux tribun confie son « émotion » face aux résultats de son camp. « Les Français ont le choix. Jean-Luc Mélenchon réussit là le premier round de son incroyable pari. « On voit que la victoire est possible.
Au soir du premier tour des législatives, les scores de la Nupes mettent en doute l'obtention d'une majorité absolue pour le camp macroniste.
Chaque circonscription constitue en effet un cas particulier en matière d’offre électorale et de configuration du second tour : pour se qualifier, les candidats doivent obtenir les suffrages d’au moins 12,5 % des électeurs inscrits, ce qui dépend donc de l’abstention. Si cette dernière est élevée, le second tour oppose les deux candidats arrivés en tête. Sur ce point, la droite pouvait espérer une défaite de ses anciens poids lourds qui, ces dernières semaines, ont rejoint la majorité présidentielle. Mais l’ancien président de la commission des finances LR, Éric Woerth arrive en tête dans l’Oise avec environ 28 % des voix et, face à un concurrent RN, il est assuré de retrouver sa place dans l’hémicycle. Damien Abad, ministre des solidarités et surtout ancien chef de file des députés LR, s’en sort aussi très bien. La droite deviendrait la troisième force à l’Assemblée, avec un minimum de 33 sièges et un maximum de 80. Chacun, au sein de la direction du RN, sait la difficulté à convertir au Parlement les bons résultats nationaux. À l’issue du premier tour, de nombreux députés sortants de gauche, investis par la Nupes, étaient en bonne position pour le second. « Il est important de ne pas laisser Emmanuel Macron disposer d’une majorité absolue », a lancé l’ancienne avocate, au risque selon elle de placer la France « dans un tunnel sans lumière ». Dans le Tarn où il ne partait certes pas favori, le président des Jeunes Républicains Guilhem Carayon est éliminé dès le premier tour. Avant d’ajouter, avec une pointe de triomphalisme : « La vérité est que le parti présidentiel est battu et défait. » Comme au soir du second tour de la présidentielle, Marine Le Pen s’est encore félicitée d’une « immense victoire du camp national »… sans l’emporter. Une façon de cacher la troisième place du Rassemblement national (RN) derrière le nouveau record réalisé par le parti d’extrême droite. En faisant jeu égal, au niveau national, avec la Nupes (un peu plus de 25 % chacun), c’est la première fois, depuis que l’élection présidentielle et les législatives se suivent, que les candidats du président n’arrivent pas nettement en tête. Certains semblaient même en ballottage défavorable hier soir, comme Clément Beaune à Paris, ou Amélie de Montchalin, devancée dans l’Essonne par le socialiste Jérôme Guedj. Et même en tête, plusieurs ministres devront batailler jusqu’au bout, comme la nouvelle ministre de la santé Brigitte Bourguignon, qui, avec 32,1 % des voix, devance d’un rien le RN (30,3 %). Mais pour qu’elle ne soit pas trop étriquée, la macronie va devoir redoubler d’efforts. Élisabeth Borne a donné le ton : « Nous ne céderons rien aux extrêmes, ni d’un côté, ni de l’autre. »
« 20 Minutes » vous résume les enjeux et les premiers résultats du premier tour de l'élection présidentielle 2022.
A contrario, Jean-Michel Blanquer a été sèchement éliminé dès le premier tour dans le Loiret. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a obtenu près de 40 % des voix dans la 10e circonscription, à Tourcoing. Quant au fraîchement nommé ministre des Solidarités Damien Abad, accusé de viol par deux femmes, il est arrivé en tête avec plus de 34 % des voix dans la 5e circonscription de l’Ain malgré la tempête médiatique. Depuis 1993, le désintérêt n’a cessé de s’accroître pour ces scrutins, une tendance qui s’est accélérée avec l’instauration du quinquennat et l’alignement des élections présidentielles et législatives en 2002. La majorité sortante a poussé un « ouf » de soulagement en découvrant le score de la cheffe du gouvernement, Elisabeth Borne, arrivée en tête dans la sixième circonscription du Calvados et désormais largement favorite. Avec des réserves de voix ténues et un entre-deux-tours qui s’annonce tendu, le jeu s’annonce donc ouvert pour le second tour, dimanche 12 juin. Le résultat de ce dimanche soir apparaît ainsi en trompe-l’œil : d’un côté, Emmanuel Macron est en passe de réussir son pari de reconduire une majorité à l’Assemblée nationale, une première en quinze ans. - Les candidats du Rassemblement national (18,5% à 19,8%) n'ont pas réussi à capitaliser sur la dynamique de Marine Le Pen à la présidentielle, qui avait engrangé plus de 40% des voix au deuxième tour.
Il n'y avait en effet pas une seule élection organisée ce dimanche, mais 577, dans 577 circonscriptions différentes, au scrutin uninominal majoritaire à deux ...
Ce bénéfice de la notoriété joue d'autant plus dans une campagne des législatives jugée atone, peu tournée vers des propositions. Concrètement, face à un duel Renaissance-Nupes, les électeurs des LR et, dans une moindre mesure, ceux du RN pourraient reporter leurs voix sur le candidat de la majorité présidentielle. La gauche a un électorat très concentré dans les grandes villes", explique Bruno Jeanbart, vice-président de l'institut de sondage OpinionWay pour France info.