Jennifer Lopez

Die Halbzeit-Show beim Superbowl sollte ein Höhepunkt in einer Sängerinnen-Karriere sein. War's auch für Jennifer Lopez auch - mit einer großen ...

Das Drama drumrum ist packend, die Battles (zwei Rapper messen sich im spontanen Sprechgesang) genial, für den Titel "Lose yourself" gab's den Oscar. Inspiriert von seiner eigenen Lebensgeschichte, spielt die Rap-Ikone hier Jimmy, der mit seiner Mutter (Kim Basinger) und kleinen Schwester im Trailerpark lebt, am Autofabrik-Fließband ein mageres Gehalt verdient und nebenbei versucht, als Rapper durchzustarten. Zwei Fortsetzungen zum Kinoerfolg gab's auch, der erste Film ist aber mit Abstand der beste. Das Drama drumrum ist packend, die Battles (zwei Rapper messen sich im spontanen Sprechgesang) genial, für den Titel "Lose yourself" gab's den Oscar. Inspiriert von seiner eigenen Lebensgeschichte, spielt die Rap-Ikone hier Jimmy, der mit seiner Mutter (Kim Basinger) und kleinen Schwester im Trailerpark lebt, am Autofabrik-Fließband ein mageres Gehalt verdient und nebenbei versucht, als Rapper durchzustarten. Für manche reicht in Sachen Empfehlung der Hinweis, dass Ryan Gosling die eine Hauptrolle in dieser Liebesgeschichte zwischen einem Musiker und einer Schauspielerin spielt. Die Musik steht hier vielleicht nicht in der allerersten Reihe, aber in einer ganz starken zweiten. Denn erstens ist die Synchronsängerin nicht besonders gut und zweitens Originalkünstlerin Julie Andrews (kennen wir u.a. als "Mary Poppins" und als königliche Großmutter in "Plötzlich Prinzessin") so begabt, dass man sie singen hören sollte. Allen anderen sei gesagt, dass der mehrfach oscarprämierte Film eine charmante und überraschend realistische Story im Los Angeles der Gegenwart mit Musik- und Tanzeinlagen kombiniert, die von den klassischen Hollywood-Musicals der 50er Jahre inspiriert wurden. Zwei Fortsetzungen zum Kinoerfolg gab's auch, der erste Film ist aber mit Abstand der beste. Die Reduzierung auf ihren Körper, der Vorwurf der Divenhaftigkeit und mehr. Wie wir außerdem erfahren, gab's eine heftige Auseinandersetzung zwischen Lopez und den NFL-Superbowl-Machern. Lopez wollte als Teil ihrer Performance Kinder, inklusive ihrer eigenen Tochter, in symbolischen Käfigen zeigen - als Kritik an Trumps inhumaner Immigrationspolitik. Die Macher wollten das nicht.

Wenn der globale Kulturkosmos ein Drama erzählen müsste, das alle gleichermaßen berührt – es wäre wohl die alte Aufstiegsgeschichte.

Aber Lopez, lehrt uns die Doku von der kleinen Jennifer bis zur ikonischen J.Lo, bleibt immer Jenny from the Block. Eine Aufstiegsgeschichte als Kontinuitätserzählung also. J.Lo 2022 geht also gerade mal in die „Halbzeit“ auf dem Weg zu Anerkennung, Respekt, einer Welt, die Herkunft, Hautfarbe, Status zu Nebenrollen macht. Die Filmemacherin, 2017 mit ihrer Kinderwunschreportage „Vegas Baby“ bekannt geworden, steigt zwar wie alle Porträts in der Gegenwart ein, um sich durch die Vergangenheit vorwärts zu graben. Meist fotogen gestylt, manchmal ungeschminkt, zeigt sich das wandelnde Erfolgsrezept altersloser Perfektion also als selbstbewusste, aber auch selbstironische Kritikerin der eigenen Rolle, ohne je larmoyant zu werden. Geburtstag sagt, „ich habe das Gefühl, mein Leben fängt gerade erst an“, löst sich der Film von jeder Chronologie. Um es zu verstehen, ist das Porträt der Ausnahmekünstlerin jedoch bestens geeignet.

Die Netflix-Doku „Jennifer Lopez: Halbzeit“ ist ein Starporträt, das klassisch daherkommt, aber doch Einblicke abseits der Klischees gibt.

Aber es sind nicht die persönlichen Befindlichkeiten eines Stars, die diese Doku in ihrer Essenz ausmachen, sondern es ist Jennifer Lopez dabei zuzuschauen, wie sie die politische Vorkämpferin in sich entdeckt. Der rote Faden allerdings, der ist ein anderer und er schlängelt sich ganz dezent durch Rückblicke auf Kindheit, Jugend, Vorbereitungen für die Halftimeshow der Superbowl 2020 und den Jubel über ihren Film „Hustler“. Es ist die Politisierung von Jennifer Lopez, die von sich behauptet: „Ich war nie sonderlich politisch.“ Bis Donald Trump Präsident wurde. Lopez in der Hauptrolle und als Produzentin von der Kritik gefeiert, aber dann doch leer ausgegangen und bei den Oscarnominierungen übergangen. Daran knabbert sie gewaltig, das lässt sich nicht verbergen.

Bosseuse, fière, icône, l'actrice et chanteuse ne veut surtout pas paraître pour une artiste qui ne fait que secouer ses fesses. Le film donne aussi un aperçu ...

C’est le fait de regarder des artistes complètes comme Rita Moreno dans «West Side Story», qu’elle a toujours admirée, qui l’a inspirée. Lors d’une fête de famille pour Thanksgiving où ses parents, qui ont divorcé en 1999, se réunissent avec ses frères et sœurs et ses tantes, Jenny from the Block prend la parole, émue: «Je remercie mes parents. Elle nous battait pas mal.» «J’étais loin d’être une mère parfaite, mais ce que je peux dire c’est que j’ai tout fait dans leur intérêt, se défend Lupe. Je suis contente qu’elle soit coriace parce qu’il faut l’être pour survivre dans ce milieu.»

Profitant des coulisses du Super Bowl en 2020, la star se confie sur sa carrière, dans les bons comme dans les mauvais moments.

Le salut viendra alors de la télévision, où elle devient jurée d’« American Idol », version américaine de « Nouvelle Star ». Un déclic qui la motive à améliorer ses techniques, aussi bien en chant et en danse qu’en comédie. Le tout est entrecoupé d’extraits d’interviews mais aussi de témoignages de ses proches, y compris du comédien Ben Affleck, son compagnon de 2002 à 2004 et avec qui elle partage à nouveau sa vie depuis 2021. Une réussite publique et critique pour celle qui n’a jamais été épargnée par les médias. « Je croyais ce qu’ils disaient, à savoir que je n’avais pas de talent. Un événement que Jennifer Lopez raconte dans un documentaire, baptisé « Halftime », disponible ce mardi 14 juin sur Netflix. En un peu plus de quatre-vingt-dix minutes, la star américaine de 52 ans revient sur l’organisation de cet événement. Et en profite pour retracer avec honnêteté son parcours, entre réussites et échecs, sous le regard intransigeant et parfois dur des médias. Parallèlement à l’organisation de cet impressionnant spectacle, « Halftime » revient aussi sur le succès du film « Queens », produit et incarné par la chanteuse. « Toute ma vie, je me suis battue et battue pour être entendue, pour être vue et pour être prise au sérieux », prévient-elle d’emblée. Car pour Jennifer Lopez, se produire au Super Bowl est fort en symboles.

En 2020, lors du show de la mi-temps du Super Bowl, Jennifer Lopez et Shakira ont partagé la scène de concert. Les deux artistes ont interprété leurs titres ...

"C'est la pire idée au monde d'avoir deux personnes pour le Super Bowl", a déclaré J-Lo. Non pas qu'elle ne voulait pas chanter aux côtés de sa collègue, mais Jennifer Lopez a trouvé que cette double prestation était une insulte pour le travail de chacune. Chaque année, des stars internationales de la chanson s'y produisent pour faire grimper les audiences et marquer le coup de la finale du championnat de football américain. En 2020, ce sont Jennifer Lopez et Shakira qui ont assuré le show. Lors du Super Bowl, il y a ce qu'on appelle la tradition du Halftime Bowl, soit l'équivalent du concert de la mi-temps.

Dans Halftime, Jennifer Lopez revient sur l'année de son cinquantième anniversaire, un grand huit émotionnel qu'elle partage sur Netflix dans ce film ...

Et réussit à imposer son message de tolérance et de diversité culturelle, malgré la pression de la NFL. À la fois produit marketing et parcours intimiste, Halftime montre qu'on ne passe des scènes obscures du Bronx à la Maison Blanche, sans un peu de talent et beaucoup de sueur. Or le film montre que ce quart d'heure est bien plus que cela dans un contexte où Donald Trump rêvait de construire son Mur et où la NFL, l'un des organismes les plus puissants du sport le plus populaire aux États-Unis, ostracisait un joueur pour avoir mis un genou à terre en protestation contre le racisme. Une artiste qui veut être reconnue et respectée. Une femme qui rêve d'être au centre de la scène. Pour nous simples téléspectateurs, et Français qui plus est, le show de la mi-temps du Super Bowl de 2020 n'était qu'un pur moment de divertissement. C'est toute la dualité de l'acteur, il peut jouer un rôle tout en étant sincère. Jennifer Lopez n'est pas du genre à montrer ses vraies émotions. Elle en montre à travers deux moments clés : sa nomination aux Oscars pour le film Queens (Hustlers) et sa performance au show du Super Bowl, le 2 février 2020, aux côtés de Shakira. De la femme qui assume son corps et sa sexualité. Jennifer Lopez montre qu'elle n'est pas qu'un arrière-train XXL. Certes elle n'est pas Meryl Streep mais c'est une bosseuse qui assume ce qu'elle est, sans rien prétendre de plus. On sent le conflit de J-Lo, voulant performer sur "la plus grande scène du monde" tout en restant fidèle à ses valeurs. Il ne s'agit pas ici de dessiner les parts d'ombres et de lumière de l'artiste. Jennifer Lopez ne montre que ce qu'elle veut bien montrer : l'image d'une femme forte et fière, qui mène trois carrières en une. Le titre Halftime n'a rien d'anodin. Le show du Super Bowl est un moment charnière, qui représente à la fois ce qu'est J-Lo, ce qu'elle représente, et ce à quoi elle aspire. Respecter les codes du milieu tout en faisant entendre sa voix, c'est le petit exploit que semble être en train de réaliser J-Lo. J-Lo reste simplement Jennifer Lopez. C'est l'une des leçons que l'on peut tirer de Halftime, son documentaire événement disponible sur Netflix. À travers ce film, consacré en majeure partie à l'année de son cinquantième anniversaire, elle dévoile ses différentes facettes de sa personnalité et fait parler toutes ses voix. Jennifer Lopez se révèle comme une artiste en désir de reconnaissance et de respect. Une dualité qui fait l'intérêt de ce film documentaire Netflix.

Au micro de Patrick Lagacé, Catherine Beauchamp nous offre des détails sur la production et révèle certains passages en lien avec le Super Bowl.

Jlo débarque sur Netlfix avec son propre documentaire, où elle se dévoile sans tabou.

« Halftime », disponible sur Netflix. Jennifer Lopez évoque également le show de la mi-temps du Super Bowl, qu’elle a assuré avec Shakira en février 2020. Nous devons chanter notre message (…) Nous devons avoir nos moments de chant », regrettant que le spectateur ne comprenne pas à 100 % son message, du fait de la présence de Shakira…

Le documentaire Netflix sur Jennifer Lopez est enfin sorti. Voilà ce qui m'a traversé l'esprit en le regardant.

- Hey, c'estlarobe! Netflix travaille sur un documentaire sur Jennifer Lopez qui retrace l'année où la chanteuse a fêté ses 50 ans. - Hey, c'estQuentin Tarantino! - Hey, c'est David Letterman! Comment, mon dieu, fait elle pour rendre sa relation avec Ben Affleck si attrayante après tant d'années et deux fiançailles? - Hey, c'est Rosie O’Donnell!

Jennifer Lopez wurde streng erzogen. Dabei rutschte ihrer Mutter früher "oft" die Hand aus, wie die Sängerin in ihrer neuen Doku überraschend schildert.

Guadalupe Rodriguez weiß, dass sie "keine perfekte Mutter" gewesen sei, aber sie habe "immer nur das Beste" für ihre Töchter gewollt. So muss man in der [Musik]branche sein." Sie hat uns oft geschlagen." Wie kompliziert wiederum Guadalupes Beziehung zu ihrer Tochter ist, verdeutlicht ihr Satz: "Jennifer hat es mir wirklich nicht leicht gemacht. Die Familie bewohnte zu fünft in der Bronx eine kleine Wohnung mit "nur einem Schlafzimmer", wie J.Los Mutter schildert. Lopez betont, dass ihre Mutter damals "stark" gewesen sei, meint aber auch: "Sie ist eine komplizierte Person mit vielen Altlasten."