Macron

2022 - 6 - 16

Draghi Draghi

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Ukraine-Krieg: Scholz, Macron und Draghi bei Selenski in Kiew (Neue Zürcher Zeitung - NZZ)

Als Frankreichs Präsident Emmanuel Macron, Deutschlands Bundeskanzler Olaf Scholz, Italiens Ministerpräsident Mario Draghi und Rumäniens Staatsoberhaupt ...

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Scholz und Macron: Ukraine soll EU-Beitrittskandidat werden (BLICK.CH)

Der deutsche Bundeskanzler Olaf Scholz und Frankreichs Präsident Emmanuel Macron haben sich erstmals dafür stark gemacht, dass die Ukraine ein ...

«Deutschland ist für eine positive Entscheidung zugunsten der Ukraine. Das gilt auch für die Republik Moldau», sagte er. Seit Mitte März sind zahlreiche Staats- und Regierungschefs in die Ukraine gereist. Aber es wird die Ukraine nicht näher in Richtung Frieden bringen.» Scholz verurteilte die «Brutalität» des russischen Angriffskrieg und sprach von sinnloser Gewalt. Die Politiker müssten mit dem Zug reisen wie vor 100 Jahren und stellten der Ukraine eine EU-Mitgliedschaft und «alte Haubitzen» in Aussicht, meinte Medwedew, der stellvertretender Vorsitzender des Sicherheitsrates ist. Tag des Krieges begrüsste der ukrainische Präsident Wolodymyr Selenskyj das klare Bekenntnis seiner Gäste: «Der EU-Kandidatenstatus könnte eine historische Entscheidung für Europa sein.» Die Ukraine hatte kurz nach dem Angriff Russlands am 24. Iohannis hatte eine andere Reiseroute gewählt. Selenskyj würdigte den Besuch von Scholz. Es würden Waffen geliefert, auch die gewünschten. «Hier hilft uns Deutschland sehr», sagte er. «Ja, ich bin überzeugt, dass das ganze deutsche Volk die Ukraine unterstützt.» Sondern wenn, dann geht es immer um ganz konkrete Dinge.» Der Kanzler hat stets betont, dass er nur nach Kiew reisen werde, wenn es konkrete Dinge zu besprechen gebe. Draghi traut der Ukraine einen umfassenden Wiederaufbau zu. Macrons klare Aussage zum EU-Kandidatenstatus ist umso bedeutender, da Frankreich derzeit die wechselnde EU-Präsidentschaft inne hat.

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Emmanuel Macron au JT de TF1 depuis Kiev ce jeudi soir (L'Obs)

Le président de la République, qui se trouve dans la capitale ukrainienne, sera l'invité du journal de 20 heures de la Une.

En visitant ensuite Irpin, une des banlieues de Kiev dévastées au début de la guerre par l’offensive russe ratée sur la capitale, le président français s’est défendu de toute « ambiguité » dans son soutien à Kiev, lui qui a été très critiqué pour avoir affirmé qu’il ne fallait pas « humilier » la Russie. Le président Emmanuel Macron, à Kiev ce jeudi 16 juin avec les dirigeants de l’Allemagne et de l’Italie, sera interviewé depuis la capitale ukrainienne dans l’édition de 20 heures du journal de TF1, a annoncé la chaîne. Le président de la République, qui se trouve dans la capitale ukrainienne, sera l’invité du journal de 20 heures de la Une.

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Medwedew spottet über Ukraine-Reise von Scholz, Macron und Dra (watson)

Die Reise von Kanzler Olaf Scholz in die Ukraine war lange angekündigt. Nun meldet sich der frühere Kremlchef Medwedew zu Wort – und witzelt über die ...

Russlands früherer Präsident Dmitri Medwedew hat die gemeinsame Kiew-Reise von Bundeskanzler Olaf Scholz, dem französischen Präsidenten Emmanuel Macron und dem italienischen Ministerpräsidenten Mario Draghi als nutzlos kritisiert. Russlands früherer Präsident Dmitri Medwedew hat die gemeinsame Kiew-Reise von Bundeskanzler Olaf Scholz, dem französischen Präsidenten Emmanuel Macron und dem italienischen Ministerpräsidenten Mario Draghi als nutzlos kritisiert. Die Uhr tickt.» Scholz, Macron und Draghi waren in der Nacht nach Kiew gereist, um sich dort mit dem ukrainischen Präsidenten Wolodymyr Selenskyj zu treffen.

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Emmanuel Macron à Kiev : l'ambiguïté stratégique du président ... (La Croix)

Emmanuel Macron s'est rendu à Kiev pour la première fois depuis le début du conflit, jeudi 16 juin, en compagnie d'Olaf Scholz et de Mario Draghi.

Cette dynamique se poursuit aujourd’hui, et Macron, qui a parlé cent heures au téléphone avec Poutine depuis le début du conflit, est le dirigeant occidental dont il est le plus proche ». Le président cherche donc « à appliquer son fameux “en même temps” à la guerre en Ukraine », selon André Filler. D’un côté, l’intérêt politique qui dicte de ménager la Russie et de l’autre, l’impératif moral de défendre l’Ukraine, une position largement partagée dans l’opinion française. « Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, on a une guerre juste, qui se déroule en plus au sein même du continent européen », ce qui explique la position des Français, dont Macron doit nécessairement tenir compte, décrypte le chercheur. Par ailleurs, la Russie est un partenaire commercial d’envergure pour la France. « Tout le monde connaît la place du gaz russe pour l’Allemagne, mais on sous-estime l’importance de la Russie pour les groupes français », commente André Filler. Les projets attestant de cette proximité sont légion : le Grand Moscou a par exemple été piloté par un cabinet d’architecte français. L’autoroute reliant la capitale à Saint-Pétersbourg est exploitée par Vinci. Enfin, TotalEnergies a participé à la création d’une usine de liquéfaction de gaz naturel en Arctique produisant tous les ans 12 fois plus de gaz que la France n’en consomme sur la même période.

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Macron, Scholz et Draghi à Kiev – «Nous soutenons le statut de ... (Tribune de Genève)

Mario Draghi, Emmanuel Macron et Olaf Scholz entourent Volodymyr Zelensky. Ils sont venus apporter les preuves de leur soutien au président ukrainien après des ...

Scholz, Macron und Co. besuchen Irpin | zentralplus (zentralplus)

Der deutsche Bundeskanzler Olaf Scholz, Frankreichs Präsident Emmanuel Macron und der italienische Regierungschef Mario Draghi sind mit einem Sonderzug in.

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Zugfahrt in die Ukraine – Was sich Scholz, Draghi und Macron von ... (Tages-Anzeiger)

Gemeinsame Reise, unterschiedliche Motive (von links): Italiens Premier Mario Draghi, Frankreichs Präsident Emmanuel Macron und Deutschlands Kanzler Olaf ...

In Osteuropa hat sich der Begriff des «Macronierens» für die endlosen Telefonate durchgesetzt, die Macron mit Russlands Präsident Wladimir Putin führt, ohne diplomatische Fortschritte vorweisen zu können. Zudem sorgte Macron für Irritationen, als er sagte, man dürfe «Putin nicht demütigen». Und auch als er vor dem EU-Parlament für die Ukraine den Rahmen einer «europäischen politischen Gemeinschaft» vorschlug, löste das zunächst Unmut aus. Anders als in Deutschland gab es in Frankreich keine Debatte darüber, ob und welche Waffen an die Ukraine geliefert werden sollen. Die Minister von den Fünf Sternen, der Lega und Forza Italia tragen am Ende alle Entscheidungen geschlossen mit. Macron schien, in gaullistischer Tradition, allzu sehr auf Russland fokussiert. Für Italiens Premier Mario Draghi ist es schon einmal ein Erfolg, bei dieser Reise dabei zu sein, was wohl vor allem an seinem persönlichen Prestige auf internationalem Parkett liegt. Der Kanzler aber reagierte empört auf die Ausladung. Erst nach einem klärenden Telefonat Steinmeiers und Selenskis durfte Aussenministerin Annalena Baerbock nach Kiew reisen. Kritik aus der Opposition, speziell auch von CDU-Chef und Kiew-Besucher Friedrich Merz, liess er abprallen. Wenn es zu Verzögerungen komme, dann aus guten Gründen wie der noch laufenden Ausbildung ukrainischer Soldaten etwa an der Panzerhaubitze 2000. Schwer vorstellbar ist, dass die Drei abreisen, ohne Hoffnung auf grünes Licht hinterlassen zu haben. Weniger klar ist, inwiefern Scholz neue Zusagen für die Lieferung schwerer Waffen mitbringt. Über diese Reise war seit Tagen geraunt worden – aus Sicherheitsgründen waren die Details jedoch bis zuletzt geheim gehalten worden. Zugfahrt in die UkraineWas sich Scholz, Draghi und Macron von der Reise nach Kiew versprechen

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Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron au 20h de TF1 (Le Figaro)

Le chef de l'État donnera une interview à la suite de sa visite à Kiev, ce jeudi.

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Comment la visite d'Emmanuel Macron à Kiev est perçue par la ... (TF1 INFO)

Après plus de trois mois de guerre en Ukraine, et des dizaines de coups de fil échangés avec Volodymyr Zelensky, Emmanuel Macron se rend ce jeudi 16 juin à ...

Et au sein du Kremlin, ce déplacement officiel n’est pas vu non plus d’un bon œil. Sur Twitter, l’ancien président russe Dmitri Medvedev, aujourd’hui au Conseil de sécurité, a balayé, non sans moquerie, l'intérêt d’une telle visite : "Les amateurs européens de grenouilles, de pâté de foie et de spaghettis adorent visiter Kiev. Avec une utilité nulle. Ils ont promis l'adhésion à l'UE et de vieux obusiers à l'Ukraine, se sont gavés de gorilka [boisson alcoolisée ukrainienne : NDLR] et sont rentrés chez eux en train, comme il y a 100 ans. Or, ici les Français désignent en réalité… les lecteurs du Figaro. Et pas n’importe lesquels : quelques internautes ayant laissé des commentaires critiques à l’égard de cette visite officielle, sous un article du journal français, à la veille du déplacement. Après plus de trois mois de guerre en Ukraine, et des dizaines de coups de fil échangés avec Volodymyr Zelensky, Emmanuel Macron se rend ce jeudi 16 juin à Kiev. Entouré d’Olaf Scholz et de Mario Draghi, le président français a arpenté la capitale avant de rencontrer son homologue ukrainien. Pour Kommersant, qui semble moins partial dans son analyse, "l’un des objectifs de la visite est de montrer son soutien à Kyiv et d'essayer d'atténuer les critiques de Volodymyr Zelensky sur la lenteur de la livraison des armes". Le média La Gazeta, lui, partage la photo de la presse italienne des trois chefs d’État dans le train pour Kiev mais retient surtout une chose : "Il n’y avait pas de sièges pour le président roumain Iohannis dans le train de Macron, Scholz et Draghi". Une information qui fait l’objet d’un titre sur le site russe et tirée du journal allemand Bild. Par exemple, l’agence de presse explique que "les Français sont en colère contre Zelensky au sujet de la visite de Macron à Kiev". Ainsi, le président ukrainien aurait forcé la main à son homologue français pour qu’il se rende dans le pays et aurait des "exigences" qui scandaliseraient les Français, comme ses "demandes persistantes" de fournir de nouvelles armes.

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Macron en visite à Kiev : un voyage non déclaré, mais très sécurisé (La Croix)

La visite de chefs d'État dans un pays en guerre implique des dispositifs de sécurité très importants. L'élément de surprise en fait partie.

« Sans compter le travail diplomatique en amont et les cellules de liaison avec les Allemands, les Italiens et les Ukrainiens », ajoute-t-il. « On peut penser que les préparatifs ont nécessité au moins deux semaines », estime le général Trinquard. Côté français, le voyage a impliqué de nombreuses entités : « La sécurité présidentielle, le GIGN, l’armée de l’air pour les déplacements depuis Paris jusqu’à la Pologne, en passant par la Roumanie et la Moldavie », où s’est rendu Emmanuel Macron ces derniers jours. » Un second train a même été affrété pour pouvoir faire demi-tour en cas de défaillance du convoi transportant les chefs d’État.

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"Une arrière-pensée électoraliste" : l'opposition critique la visite d ... (TF1 INFO)

[VIDÉO] ▶️ Le président de la République Emmanuel Macron est en Ukraine depuis ce jeudi matin. Accompagné d'Olaf Scholz et de Mario Draghi, ...

"Cela ne me choque absolument pas que le président de la République se rende à Kiev", assure Marine Le Pen au micro de France inter. "Personne n'est dupe sur le fait que (cette visite s'effectue) à trois jours du second tour des législatives." "Si nous voulons vraiment aboutir à un accord, ce n'est pas en se mettant en scène", juge le président des Républicains, Christian Jacob, au micro d'Europe 1.

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Scholz und Macron besuchen Irpin (uzwil24.ch)

Deutschland – Eine Gruppe europäischer Staats- und Regierungschefs um den deutschen Kanzler Olaf Scholz hat am Donnerstag das ukrainische Irpin besucht.

Bus- und Eisenbahnverbindungen wurden wiederbelebt, eine Behelfsbrücke ersetzt die auf dem Rückzug der Ukrainer gesprengte Flussquerung, die Einwohner kehrten zurück und allerorts finden Aufräumarbeiten statt. Der Sondergesandte des ukrainischen Präsidenten Wolodomyr Selenskyj für eine EU-Beitrittsperspektive, Oleksij Tschernyschow, führte die vier Spitzenpolitiker in Irpin an Ruinen von Häusern vorbei, die bei russischem Beschuss beschädigt wurden. Scholz, Macron, Draghi und Iohannis wollen in der Ukraine ein Signal der Solidarität mit dem von Russland angegriffenen Land senden.

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Législatives J-3: Macron à Kiev, flot d'invectives entre macronistes et ... (TV5MONDE Info)

A trois jours du second tour des législatives, les critiques de l'opposition fusent contre Emmanuel Macron, en Ukraine jeudi, à plus de 2.000 km du sol ...

Jean-Luc Mélenchon est "un funeste agitateur" qui porte "le projet de la ruine des classes moyennes", a accusé dans le Parisien le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. Il y a "le risque d'avoir un bazar universel pendant des mois et des années à ne pas pouvoir prendre une décision" en raison d'un parlement sans majorité, a répondu le chef du Modem François Bayrou (majorité présidentielle) visant la Nupes. Le président des Républicains Christian Jacob a lui estimé que "si on veut vraiment aboutir à un accord, à une médiation, ce n'est pas en se mettant en scène", tandis que l'ex-ministre LR Jean-François Copé fustigeait la "folie" de la "stratégie d'évitement" de M. Macron, qui "laisse monter extrême droite et extrême gauche". Le ministre chargé de l'Europe Clément Beaune, lui-même candidat à Paris où il est en difficulté face à la candidate insoumise Caroline Mécary, a appelé à avoir de la "hauteur de vue et de la dignité", faisant valoir que M. Macron préside l'Union européenne jusqu'au 30 juin et "n'est pas candidat aux législatives". "Emmanuel Macron se sert de cette posture de chef de guerre pour tenter d’avoir une influence sur les élections législatives", a affirmé Marine Le Pen. Le chef de l’État va devoir "choisir" entre la diplomatie ou la guerre, a-t-elle estimé à Saint-Avold en Moselle où elle venait soutenir des candidats RN, car "s'il y a bien un domaine où on ne peut pas faire du +en même temps+ c’est celui-là". Lors d'un débat jeudi soir sur BFMTV, la députée LFI Clémentine Autain s'est interrogée "sur le calendrier, à quelques jours du deuxième tour", tandis que le président par intérim du RN Jordan Bardella a estimé que c'était un "mauvais timing".

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Macron à Kiev : les trois leçons d'un voyage épineux (Le Point)

Emmanuel Macron a attendu près de quatre mois après l'agression russe du 24 février pour se rendre en Ukraine, mais, à l'approche du second tour des ...

La dimension politique était majeure dans le déplacement du président de la République jeudi 16 juin à Kiev, que l'Élysée préparait secrètement depuis plusieurs semaines. Emmanuel Macron a attendu près de quatre mois après l'agression russe du 24 février pour se rendre en Ukraine, mais, à l'approche du second tour des législatives, qui s'annonce périlleux pour sa majorité, l'affaire était soudain devenue pressante. Politique intérieure, adhésion de l’Ukraine à l’UE, stratégie face à la Russie : le président a joué sur plusieurs tableaux, avec des fortunes diverses.

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7 moments à retenir de la visite inédite d'Emmanuel Macron en ... (L'Obs)

« L'Obs » revient sur le déplacement à Kiev du chef de l'Etat français et de ses homologues allemand et italien.

« Il faut que l’Ukraine puisse résister et l’emporter » face à l’armée russe, a déclaré le président français à l’issue de la visite. Ils ont promis l’adhésion à l’UE et de vieux obusiers à l’Ukraine, se sont gavés de Horilka [désigne en ukrainien la vodka ou d’autres spiritueux forts] et sont rentrés chez eux en train, comme il y a cent ans. Ce n’est pas une abstraction, toute la région est déstabilisée. Cette guerre, nous ne savons pas où elle s’arrêtera ni quand elle s’arrêtera. » « Il nous faut avant tout un cadre des Nations unies, ce cadre aujourd’hui, nous ne l’avons pas. « Les amateurs européens de grenouilles, de saucisses de foie et de spaghettis adorent visiter Kiev. Avec une utilité nulle. « Irpin en Ukraine. Nous avons vu la ville dévastée et les stigmates de la barbarie.

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Pétrifié par une possible majorité relative, Macron joue la carte du ... (http://www.revolutionpermanente.fr/Section-Politique)

Après le camouflet du premier tour, le camp présidentiel est affaibli et craint de n'obtenir qu'une majorité relative. Une situation à laquelle il tente de ...

La majorité doit faire en sorte que l’électorat qui a voté pour Emmanuel Macron à la présidentielle continue de le faire pour ses candidats dans les différentes circonscriptions. D’une part, le déplacement sur le terrain international, plus précisément celui de la guerre en Ukraine, au-delà de la posture que cela lui donne, est une adresse consciente pour mobiliser son électorat, mais aussi celui de droite qui est crucial pour obtenir un report de voix. Après les polémiques qui ont affaibli le début du nouveau mandat (Abad et Stade de France) et face à la difficulté d’Elisabeth Borne à diriger l’offensive contre Mélenchon dans une campagne jusque-là aseptisée, nous assistons au retour d’Emmanuel Macron au premier plan. Finalement, la dramatisation a pris le relais de la non-campagne et du silence au sein de la macronie. Le soir même et le lendemain du 1er tour, les hésitations, les tâtonnements et les contradictions dans les consignes de votes de la coalition Ensemble ! pour les 63 duels Nupes/ RN ont marqué une fébrilité certaine. Déjà contraint de composer à droite avec ses alliés d’Ensemble, Edouard Philippe et François Bayrou, il devra également potentiellement compter sur LR pour avoir une majorité absolue et faire face à l’opposition de la Nupes. Une dépendance à la droite qui l’affaiblit, et qui pourrait son projet d’« une nouvelle méthode » sensée lui permettre de faire passer ses projets de guerre sociale.

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L'Ukraine, candidate à l'UE: le «coup» de Macron, Scholz et Draghi (Le Temps)

En visite à Kiev jeudi, le président français, le chancelier allemand et le premier ministre italien ont jugé néces.

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