Elvis

NOUVEAUTÉ - Alors que le biopic “Elvis” sort en salles, une maison de vente américaine propose l'une des montres du King à la vente.

Cette montre est proposée à la vente pour près d’un demi-million d’euros par la galerie d’art de la Nouvelle-Orléans M.S. Rau. Trouvera-t-elle preneur à ce prix? De même, sa montre Hamilton Ventura a également été rachetée par la marque. Cette pièce créative, en or jaune 14 carats et au cadran entouré de 26 diamants, signée de la maison Ebel est typique par son style de la décennie 1970. Elvis la portait avec sa célèbre tenue de scène blanche. C’est ainsi que, comme cela lui arrivait souvent, il a fait don de cette montre à son choriste J.D. Sumner. Un excellent chanteur de gospel devenu son ami, qu’Elvis admirait déjà quand il était encore adolescent. La folie pour tous les objets touchés et portés par Elvis Presley n’a au fond guère faibli au fil des décennies. Mais l’arrivée sur les écrans du biopic «Elvis», avec Austin Butler et Tom Hanks, renouvelle la passion Presley. C’est le (bon) moment qu’a choisi la galerie d’art américaine M.S. Rau pour annoncer qu’elle proposait à la vente une montre ayant appartenu au King.

Wer war der King of Rock 'n' Roll? In Baz Luhrmanns rasanter Filmbiografie „Elvis“ gibt Austin Butler ihn als Muttersöhnchen, Unruhestifter, ...

Was ihm letztlich nie gelingt. Die entscheidende Botschaft hallt den Kinobesuchern gleich zu Beginn ans Ohr. „Ich bin der Mann, der der Welt Elvis Presley schenkte“, flüstert Colonel Tom Parker in der Intensivstation. Das Delir lässt circensische Bilder in sein schon etwas ausgeleiertes Bewusstsein fluten. Der Colonel wurde zum Inbegriff der in der Popgeschichte noch öfters auftauchenden Figur des Svengali, eines manipulierenden Strippenziehers, der Karrieren lenkt und – nötigenfalls – auch zerstört. „Du bist ich, ich bin du“, reibt Parker dem späten Elvis rein, als sich dieser von ihm geschäftlich lösen will.

Films, séries, disques… Chaque semaine, chez vous ou n'importe où ailleurs, à voir, à lire ou à écouter : on aime, on vous le dit.

Petit format,grand festival ! Après deux ans de punition pandémique, c'est le grand retour du Salon international du livre en format de poche, qui se tiendra les 25 et 26 juin, place des Marronniers, à Saint-Maur-des-Fossés. Lancé en 2009 par Gérard Collard et son compère Jean-Edgar Casel, de la librairie La Griffe noire, ce festival, co-organisé par la ville, accessible et gratuit, rassemble ceux qui lisent et ceux qui ne lisent pas dans une atmosphère simple et bon enfant. Le public a reconnu les premières notes de Disco Maghreb, le titre que le DJ franco-algérien vient de sortir en hommage au célèbre label oranais et à son fondateur qui, dans les années 1980, a fait connaître au monde le raï et ses chanteurs Cheb Mami et Cheb Khaled… Quelques jours après la mise en ligne du morceau, le clip tourné en Algérie cumule déjà 24 millions de vues. Avec cette nouvelle pépite so british, Sharpe pulvérise – littéralement – les codes du « true crime » pour remettre en question le mythe, le fantasme et la réalité. Grâce aux virtuoses Olivia Colman (The Father, The Crown) et David Thewlis (Harry Potter, Fargo), et à une mise en scène qui déborde d’imagination, on pénètre dans le subconscient de ces anti-Bonnie & Clyde cinéphiles et fans de Gérard Depardieu, prêts à dépenser des dizaines de milliers de livres sterling en affiches de film… Une exposition rend aujourd'hui hommage à ces agents secrets qui, sous l'autorité du général de Gaulle, à Londres puis à Alger, soutinrent, quatre années durant, la Résistance intérieure. À travers des dizaines d'objets, dont certains assez exceptionnels (tel ce stylo lance-gaz « Faultless », emprunté à nos voisins britanniques et qui semble tout droit sorti de l'arsenal de James Bond), est ici raconté l'itinéraire des 174 Compagnons de la Libération issus des services secrets qui jouèrent un rôle crucial dans le combat pour la libération de la France. C'est de ce sordide fait divers, qui a défrayé la chronique en Angleterre, que s'inspire le fantasque Will Sharpe, six ans après son étonnante série Flowers. Amateurs de thrillers et de chasse à l'homme, vous pouvez passer votre chemin. Une exposition rend aujourd'hui hommage à ces agents secrets qui, sous l'autorité du général de Gaulle, à Londres puis à Alger, soutinrent, quatre années durant, la Résistance intérieure. À travers des dizaines d'objets, dont certains assez exceptionnels (tel ce stylo lance-gaz « Faultless », emprunté à nos voisins britanniques et qui semble tout droit sorti de l'arsenal de James Bond), est ici raconté l'itinéraire des 174 Compagnons de la Libération issus des services secrets qui jouèrent un rôle crucial dans le combat pour la libération de la France.En 1942 était créé le Bureau central de renseignement et d'action (BCRA), les services secrets de la France libre qui participèrent à la lutte contre l'occupant nazi et donnèrent ensuite naissance au SDECE puis à la DGSE actuelle.

Le film Elvis sort dans les salles de cinéma ce mercredi. Ce biopic retrace la vie et l'oeuvre d'Elvis Presley sur deux décennies, depuis ...

Le film "Elvis" sort dans les salles de cinéma ce mercredi. Le couple décida de divorcer 5 ans plus tard. Des propos confirmés plus tard par un ami de la star, Sonny West comme le rapporte le magazine Gala: "Elvis la considérait d'abord comme une mère et ensuite comme une épouse, et il avait des problèmes pour faire l'amour avec elle."

Der „King“ ist zurück, doch er hat einen finsteren Begleiter: Tom Hanks spielt in „Elvis“ den fragwürdigen Musikmanager von Elvis Presley, der zugleich ...

Den unzuverlässigen Erzähler der Geschichte kümmern solche Details ohnehin nicht: Parker ist es, der mit seinem merkwürdigen Akzent durch den Film führt, aus einer Gegenwart, in der er einsam im Spital liegt, und sich an die größten gemeinsamen Momente mit Elvis erinnert: Als es ihm gelungen war, den zukünftigen Star bei Sun Records loszukaufen. Genau diese Begierde fehlt „Elvis“ gänzlich, und das liegt nicht am mangelnden Charisma von Butler. So atemlos und wild der Film daherkommt, dieser Elvis bleibt steril. Lediglich später im Film ist seine Stimme digital überlagert mit der raueren Stimme des echten Elvis, wie Luhrmann in einem Tweet kürzlich klarstellte. „Elvis“ ist ein Kaleidoskop aus Momenten im Leben einer fiktiven Figur namens Elvis Presley (gespielt von Austin Butler), die vage Ähnlichkeit mit dem Musiker und Entertainer Presley hat. Parker, ein Mann mit finsterer Vergangenheit, hat in seiner eigenen Jugend auf Jahrmärkten erste Erfahrungen mit der Realität des amerikanischen Showbusiness gesammelt, immer auf der Suche nach dem einen Programm, das „dem Publikum ein Gefühl gibt, das es nirgendwo sonst bekommen kann“. Später war er als Manager von Countrymusikern mäßig erfolgreich. Ein Schweißtropfen, der an der vordersten Haarsträhne gerade noch so hängt, und der sich bei der nächsten ruckartigen Hüftbewegung unweigerlich lösen und in Richtung des kreischenden Mädchenpublikums fliegen wird.

Der Regisseur Baz Luhrmann bringt mit „Elvis“ eine rasante, schrille und expressive Biografie des King of Rock 'n' Roll auf die Leinwand.

Aber die meisten jungen Leute im Publikum sind eigentlich wegen der Vorgruppe da: ein gewisser Elvis Presley, dessen erste Single gerade auf allen Radiostationen gespielt wird. Der Regisseur Baz Luhrmann bringt mit „Elvis“ eine rasante, schrille und expressive Biografie des King of Rock ’n’ Roll auf die Leinwand. Ein großartiger Austin Butler setzt dem größten Musiker aller Zeiten ein cineastisches Denkmal. Sehenswert!

Regisseur Baz Luhrmann bringt uns den „King of Rock 'n' Roll“ zurück. Seine Filmbiografie „Elvis“ ist eine grandiose Show mit Austin Butler und Tom Hanks in ...

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Il a tout juste 30 ans et enfile avec panache et déhanché le costume d'Elvis dans le biopic qui fait bruisser la Croisette. Qui est Austin Butler ?

« Je dois toute ma carrière à une permanente », explique-t-il avec humour dans une master class. » Une conscience artistique qui honore ce grand admirateur de Leonardo DiCaprio et de Daniel Day-Lewis, et qui devrait faire de lui « the next big thing » à Hollywood. Car, après la rude aventure Presley – outre les cours de chant, il a aussi pris des leçons de claquettes, de danse classique et de danse contemporaine pour savoir faire valser son « pelvis » comme Elvis –, le beau Mister Butler devrait incarner le charismatique Feyd-Rautha dans « Dune : Part Two ». Un conseil : ne l'appelez plus qu'Austin Power. Sur la ligne d'arrivée se détache un jeune acteur à la silhouette longiligne, au sourire candide de beau gosse du lycée et à la mèche encore blonde : Austin Butler, 28 ans à l'époque. Il ne ressemble pas vraiment à l'icône de Memphis – on l'aurait plus attendu dans un biopic de Justin Bieber – mais son engagement et ses capacités de transformation pendant les essais et les tests vocaux, qui dureront presque un an, ont convaincu le metteur en scène australien. Austin « est » le King, Austin a une solide formation musicale au violon, au piano et à la guitare, Austin est fan de l'interprète de « Heartbreak Hotel » depuis l'enfance et Austin s'avère bluffant dans un rôle où il chante lui-même quelques morceaux, sa propre voix étant mélangée à celle du roi du rock. L'acteur californien, né à Anaheim dans une famille qui compte plusieurs aïeuls d'origine finlandaise, parle pourtant à plusieurs générations. Les (vieux) enfants se souviendront peut-être de l'avoir vu sur Disney ou Nickelodeon, dans « Ned : comment survivre aux études », une sitcom qu'il tourne à l'âge de 14 ans, ou dans « Hannah Montana ». Les ados l'auront aimé dans « Les Chroniques de Shannara », une série d'heroic fantasy où le jeune homme est affublé d'une splendide paire d'oreilles d'elfe. Les fans de « Sex and the City » l'ont remarqué dans « The Carrie Diaries », le préquel de la série, où il galoche avec le plus grand sérieux AnnaSophia Robb, l'actrice principale. Et la relation controversée de la superstar mondiale avec son manager, le (faux) colonel Parker ( Tom Hanks), génie du business mais personnage diabolique soupçonné du meurtre d'une jeune femme aux Pays-Bas, son pays natal.

Découvrez la critique du film Elvis de Baz Luhrmann - Peut-être l'un des cinéastes les plus clivants, Baz Luhrmann n'avait pas pointé le bout de son nez sur ...

Grâce à son montage électrique et sa caméra tourbillonnante, Baz Luhrmann fait de son Elvis un objet visuel passionnant. Alors que le film aurait simplement pu se focaliser sur la figure d'Elvis, "l'homme blanc qui chantait comme un noir", il rend également hommage à ses influences musicales et son amour pour le Rhythm and blues et le gospel. Luhrmann fait de cette envie d'engagement un véritable enjeu pour son personnage, cantonné à se taire et faire bonne figure malgré quelques moments de rébellion exaltants. En plus de faire de son personnage principal l'idole des foules, le cinéaste rappelle ainsi qu'il est aussi la première victime historique du merchandising. Fascinant, hypnotique, Austin Butler est la grande révélation d'Elvis. Malgré les réticences de certains, il arrive à parfaitement incarner celui qui a fait rêver toute une génération. De son déhanché endiablé mondialement célèbre aux micro-expressions et mouvements de cheveux, l'acteur est plus que fidèle à celui qu'il personnifie. D'abord présenté comme le maitre de la danse, il devient une mère de substitution pour le King.

Le film "Elvis" sort au cinéma, mercredi 22 juin. Il retrace la carrière mythique du King, qui continue de faire recette auprès du public.

"Quand j'étais petite, ma grand-mère l'écoutait (…) elle dansait comme ça et je le trouvais beau", se souvient une jeune femme. "Cette musique est magnifique, je l'adorais quand j'étais jeune", confie une femme. "C'est le pionnier du rock'n'roll. Il a lancé une mode et tout le monde a adoré ça", affirme un homme.

Baz Luhrmanns Ikonografie "Elvis": schillernd und zu groß, wie eine Las-Vegas-Showgürtelschnalle.

Elvis war zu groß für Colonel Parker. Elvis war ja auch zu groß für Elvis. Ist Elvis auch zu groß für Baz Luhrmann? Ja, zweifellos. Und Luhrmann geht trickreich mit der Thematik "Kulturelle Aneignung" um, die zumindest der Großteil der schwarzen Künstler seiner eigenen Ära Elvis nicht ankreideten. Auch passt Luhrmanns Stil der Reizüberflutung mit Splitscreens und anderen Spielereien zu der Überforderung, die Elvis‘ Ruhm für ihn war. Und bei Elvis‘ weiblichen Fans war es sogar etwas mehr als ein Lächeln. Dann geht er auf eine Bühne und beginnt sein Konzert - bei dem er auf gar keinen Fall wackeln soll - so: "If you‘re looking for trouble, you came to the right place". Und dann wackelt er so, dass das weibliche Publikum den Verstand verliert. Der Film legt nahe, dass der Colonel den schwer gezeichneten Sänger in Las Vegas im straßbesetzten Einteiler schwitzen ließ, damit er selbst unlimitierte Spielschulden machen durfte.

Der Regisseur Baz Luhrmann hat einen Film gedreht über den King of Rock 'n' Roll: "Elvis" erzählt, wie eifrig der weiße Musiker den schwarzen Blues und ...

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Regisseur Baz Luhrmann bringt uns den „King of Rock 'n' Roll“ zurück. Seine Filmbiografie „Elvis“ ist eine grandiose Show mit Austin Butler und Tom Hanks in ...

Regisseur Baz Luhrmann bringt uns den „King of Rock ’n’ Roll“ zurück. Seine Filmbiografie „Elvis“ ist eine grandiose Show mit Austin Butler und Tom Hanks in den Hauptrollen. Regisseur Baz Luhrmann bringt uns den „King of Rock ’n’ Roll“ zurück. Seine Filmbiografie „Elvis“ ist eine grandiose Show mit Austin Butler und Tom Hanks in den Hauptrollen.

Austin Butler begeistert als Elvis Presley in Baz Luhrmanns hyperaktivem Blockbuster, in dem Tom Hanks dessen berüchtigten Manager spielt.

Leider haben Sie uns hierfür keine Zustimmung gegeben. Leider haben Sie uns hierfür keine Zustimmung gegeben. Wenn Sie diese anzeigen wollen, stimmen sie bitte Piano Software Inc. zu. Jahrhunderts als Trommelfeuer der Superlative erzählen. Im hyperaktiven Tempo jagt der australische Maximal-Regisseur und Ausstattungsfanatiker seine gelackten Bilder vor sich her, von denen keines länger als drei Sekunden auf der Leinwand überlebt. Wir würden hier gerne ein Youtube Video zeigen. Parker ist es, aus dessen selbstrechtfertigender Perspektive das rauschhafte Schicksal von Elvis Presley rekapituliert wird.

Baz Luhrmann versucht mit „Elvis“, dem „King“ seinen Platz in der Popkultur zurückzugeben. Aber viele Schnipsel sind noch kein Film.

Aber dabei herausgekommen ist ein ziemlich schrecklicher Auftritt. Tom Hanks als diabolischer Ausbeuter? Sein Colonel Parker, mit Sprachfehler und Nasenplastik, ist eher eine Nervensäge als ein charismatischer Bösewicht. Was nun Austin Butler betrifft: Der macht seine Sache ganz gut, aber so eindrucksvoll wie Rami Malek als Freddie in "Bohemian Rhapsody" ist er nicht. Warum er nicht wenigstens ein paar der Musiknummern für sich sprechen lässt, wenn er Elvis doch als Künstler wahrnehmen will, das bleibt ein Mysterium. Als Drehbuch hat sich das vielleicht sehr interessant gelesen, was erklären würde, warum Tom Hanks Colonel Parker spielen wollte. Aber das Nebeneinander von Elvis, der den Erfolg schwarzer Musiker nun mal irgendwie erst ermöglicht hat, den Sittenwächtern und der Bürgerrechtsbewegung hat seinen Reiz. Leider muss man sie aber erst in einem Filmschnipselsalat freilegen, der aus zu kurz geratenen Szenen, Symbolen, Splitscreens und allerhand buntem Blödsinn besteht, der jeden Erzählfluss erstickt. Es gibt eine herrliche Szene aus einem seiner Filme nach der Rückkehr in die USA, "G.I. Blues", auf Youtube zu finden, Elvis, der in einem Kasperletheater eine Puppe ansingt, mit viel Schmelz und "Muss i denn zum Städtele hinaus". "Wooden Heart" hießt der englisch-deutsche Mischmasch als Single. Urkomisch, nicht unbedingt der Höhepunkt seines Einflusses auf die amerikanische Popkultur, aber unbedingt ein Stückchen Presley, dass einem Lust auf ein Elvis-Biopic machen würde. Man muss nicht unbedingt die Priscilla-Presley-Perspektive des Films übernehmen, da kommt es einem manchmal so vor, als wäre Elvis, hätte ihn Colonel Parker nicht daran gehindert, höchstpersönlich beim Marsch auf Washington vorangegangen. Wie nun die Bigotterie gegen den Kulturschock Elvis vorgeht, wie ihn Parker behindert, zu einem braven Jungen macht, der dann als mittelalter Mann doch noch aufbegehrt: Das hätte eine spannende Geschichte sein können, auch wenn sie ganz so gar nicht passiert ist.