Vendredi, dès l'annonce de la décision, des manifestants ont afflué par centaines vers le temple du droit à Washington, avec des larmes de joie ou de tristesse.
Concrètement, celui-ci porte sur une loi du Mississippi qui se contentait de réduire le délai légal pour avorter. Depuis le climat était extrêmement tendu autour de la Cour, où une imposante barrière de sécurité a été installée pour tenir les protestataires à distance. « La Constitution ne fait aucune référence à l’avortement et aucun de ses articles ne protège implicitement ce droit », écrit le juge Samuel Alito au nom de la majorité. Roe v. Cette décision ne rend pas les interruptions de grossesse illégales, mais renvoie les États-Unis à la situation en vigueur avant l’arrêt emblématique « Roe v. Dans les rangs officiels, les réactions étaient également aux antipodes. We know you may be feeling a lot of things right now — hurt, anger, confusion.
La Cour suprême des États-Unis a révoqué ce vendredi 24 juin 2022 son arrêt historique « Roe versus Wade », qui reconnaissait l'avortement comme étant un ...
Im legendären Gerichtsfall wurde die Abtreibung in den USA legalisiert. So kam es vor 50 Jahren zum Urteil.
Der Oberste Gerichtshof begründet das Urteil mit dem Recht auf Privatsphäre. TV-Beitrag 1973: «In einem wegweisenden Urteil hat der Oberste Gerichtshof heute Abtreibung legalisiert. Trotzdem: Sieben der neun Richter stimmen für das Recht auf Abtreibung, nur zwei dagegen. Er kann ihr zwar keine Abtreibung ermöglichen, leitet Norma aber an zwei junge Anwältinnen weiter: Linda Coffee und Sarah Weddington, die sich für das Recht auf Abtreibung einsetzen. Das Gesetz selbst aufzuheben, verweigert das texanische Gericht. Norma ist für sie die geeignete Klägerin: eine junge weisse Frau. Und zu arm, um für die Abtreibung in einen anderen Staat zu reisen.
Die Abtreibungsgegner in den USA haben gesiegt. Der Supreme Court hat den Fall "Roe vs. Wade" gekippt – und damit das Recht auf Abtreibung.
"Roe vs. Spätestens seit der Vereidigung von Brett Kavanaugh und Amy Coney Barrett – beide konservative Juristen, und beide Kandidaten von US-Präsident Donald Trump – wurde damit gerechnet, dass das oberste US-Gericht "Roe vs. Januar 1973 der Präzedenzfall "Roe vs. Norma McCorvey nahm seinerzeit übrigens an keiner einzigen Verhandlung "ihres" Falls teil. In der in den letzten Jahren anhaltenden Welle von Abtreibungsgesetzen in etlichen Bundesstaaten sahen Beobachter seit geraumer Zeit einen konzertierten Versuch, das Abtreibungsthema vor den Supreme Court zu bringen. Die Entscheidung von 1973 vollständig zu kippen, blieb eine der wichtigsten Forderungen der Lebensrechtsbewegung in den USA, die von konservativen und christlich-fundamentalistischen Politikern, Aktivisten und Organisationen getragen wird. Die Gegner eines liberalen Abtreibungsrechts haben obsiegt; der Supreme Court hat "Roe vs. Verfassungszusatzes ("... kein Staat darf irgend jemandem ohne ordentliches Gerichtsverfahren nach Recht und Gesetz Leben, Freiheit oder Eigentum nehmen ...") in Einklang zu bringen mit dem staatlichen Interesse an der Regulierung von Abtreibungen, die Missbrauch vorbeugen soll. Laut der Auffassung des seinerzeit mehrheitlich liberal geprägten Supreme Courts verletzten die meisten damaligen Gesetze in den Bundesstaaten und im Bund zur Abtreibung sowohl das Recht auf Privatsphäre der Frau als auch die garantierte Rechtssicherheit gemäß des 14. Wade" gekippt. Klägerin war die 22-jährige, in Texas lebende Norma McCorvey, die zur Wahrung ihrer Anonymität in den Akten Jane Roe genannt wird – in Anlehnung an den englischen Platzhalternamen John Doe. Gegner war für den Staat Texas der damalige Bezirksstaatsanwalt von Dallas, Henry Wade. Die beiden Juristinnen suchten seinerzeit nach Frauen, die bereit waren, mit ihnen das Recht auf Schwangerschaftsabbruch in den USA durchzufechten.
La Cour suprême des États-Unis a enterré, vendredi, l'arrêt Roe vs Wade qui, depuis près d'un demi-siècle, garantissait le droit des Américaines à avorter.
Suivez les réactions à l'annonce de la Cour suprême dans notre direct. La Cour suprême américaine a révoqué vendredi 24 juin le droit constitutionnel à l'avortement aux États-Unis, revenant sur l’arrêt Roe vs Wade de 1973. - Les trois Etats progressistes de la côte Ouest, la Californie, l'Oregon et Washington, ont de leur côté annoncé qu'ils s'engageaient ensemble à défendre le droit à l'avortement.
Das lange erwartete Urteil des "Supreme Court" ist da. Künftig wird die Abtreibungsgesetzgebung Sache der einzelnen Bundesstaaten sein.
Casey" aus dem Jahr 1992, das "Roe vs. Auch das Gerichtsurteil "Planned Parenthood vs. Verfassungszusatz garantierten "Recht auf Privatsphäre" ableiten lasse. Die entscheidende Frage sei, "ob die Verfassung, korrekt ausgelegt, ein Recht auf Abtreibung enthält". "Roe vs. Wade" argumentierte, dass sich ein solches Recht aus dem durch den 14. Roe vs.
Mit der Entscheidung des Höchstgerichts hat die Hälfte der US-Bevölkerung das Recht verloren, über den eigenen Körper zu bestimmen.
La Cour suprême est revenue, vendredi, sur l'arrêt Roe vs Wade reconnaissant le droit à l'avortement aux Etats-Unis. Gilles Paris, ancien correspondant du ...
La plus haute institution judiciaire du pays a été rattrapée par la polarisation extrême qui fait régner un climat de guerre civile larvée et qui divise toujours plus profondément les Etats en deux camps. Les démocrates réfléchissent de longue date à cette question, car ils ont bien pris note du virage conservateur inauguré en 2008 par un arrêt créant un droit à l’autodéfense à partir du deuxième amendement, suivi de la suppression des plafonds en matière de financement politique, ou de la suppression du contrôle fédéral pour les lois électorales (qui explique la multiplication des textes réduisant le poids des minorités). Joe Biden a mis sur pied une commission pour réfléchir à une éventuelle augmentation du nombre de juges, qui dépendrait cependant de l’aval du Congrès, difficile à obtenir. Cette dégradation explique la protection dont bénéficient désormais les juges après qu’un homme armé s’est rendu près du domicile de l’un d’entre eux dans le dessein de le tuer, avant de se livrer à la police. Cette évolution est particulièrement risquée compte tenu de la dégradation de l’image de cette institution parmi les Américains, désormais au plus bas selon le vénérable institut Gallup. Elle est connue de longue date : les juges conservateurs considèrent que leurs prédécesseurs ont outrepassé leurs droits et « légiféré depuis le banc » en se substituant aux élus du Congrès, selon la formule consacrée. Ils estiment ensuite, selon une lecture littéraliste de la Constitution, que, comme le droit fédéral à l’avortement n’est pas mentionné expressément dans celle-ci – ce qui n’est pas étonnant s’agissant d’un texte vieux de plus de deux siècles –, les juges ne peuvent pas le tirer d’un autre texte, en l’occurrence l’amendement 14. En revanche, 84 % des Américains « non affiliés » religieusement, c’est-à-dire qui ne s’identifient à aucune croyance, disent que l’avortement devrait être légal dans tous les cas ou dans la plupart, tout comme 66 % des protestants noirs, 60 % des protestants blancs non évangéliques et 56 % des catholiques. Tous les sondages récents, y compris à la suite de la publication de la première ébauche de l’arrêt annulant le droit fédéral à l’avortement, en mai, ont montré qu’une majorité nette et stable de personnes interrogées soutenait le maintien de Roe vs Wade. L’arrêt d’aujourd’hui va évidemment provoquer la mobilisation du camp démocrate, mais il va tout autant galvaniser le camp républicain, qui touche au but après des décennies d’un travail de sape opiniâtre dans la perspective des élections de mi-mandat. Si on se réfère au Pew Research Center, 61 % des personnes interrogées considèrent que l’avortement doit être autorisé dans « tous ou presque tous » les cas, contre 37 % qui sont d’un avis opposé. Environ trois quarts des protestants évangéliques blancs (74 %), le socle de l’électorat du Parti républicain, pensent que l’avortement devrait être illégal dans tous les cas ou dans la plupart des cas. On voit le résultat… Le second point notable est que la Cour suprême, par le passé, est déjà revenue sur sa jurisprudence, mais il s’agissait alors d’accorder de nouveaux droits, pas d’en supprimer, surtout sur une question aussi douloureuse et intime. Cet arrêt est sans appel, puisque la Cour suprême est la plus haute instance judiciaire des Etats-Unis, mais dans le futur la Cour suprême pourra éventuellement rétablir ce droit. On en est loin, très loin même, compte tenu de l’importance prise par l’avortement dans la guerre culturelle conduite par le camp conservateur et républicain. Les conservateurs avaient gardé le plus mauvais souvenir de juges nommés par des présidents républicains devenus progressistes, comme John Paul Stevens, nommé par Gerald Ford, devenu le défenseur d’une lecture extrêmement restrictive du droit à porter une arme.
Le jugement à 6 contre 3 rendu public vendredi ne rend pas l'avortement illégal. Mais il enlève la barrière de protection nationale érigée par Roe v. Wade.
Ce sera quoi, la prochaine fois ? La contraception ? Le mariage entre personnes de même sexe ? » Et dans d’autres encore, il pourrait être un crime en tout temps, à la fois pour la femme qui veut l’obtenir et pour ceux qui lui viennent en aide. Ce jugement fort attendu signifie aussi la fermeture de nombreuses cliniques où se pratiquaient encore des avortements dans des États conservateurs. « Elle dit qu’à partir du moment de la conception, une femme n’a plus de droits à proprement parler. Wade : celle-ci était « totalement erronée dès le début », et « son argumentaire était exceptionnellement faible », écrit-il, car elle ne trouvait aucun appui dans les textes des lois, ni dans les précédents judiciaires, ni même dans l’histoire du pays. Un État peut la forcer à mener sa grossesse à terme, peu importe l’exorbitant coût personnel et familial. Les trois juges démocrates de la Cour finissent en ces sombres termes les dizaines de pages de leur avis dissident : depuis un siècle, les jugements Roe et Casey « ont protégé la liberté et l’égalité des femmes » et leur droit de décider pour elles-mêmes si elles veulent ou non porter un enfant. Le jugement à 6 contre 3 rendu public vendredi ne rend pas l’avortement illégal. Mais il enlève la barrière de protection nationale érigée par Roe v. La seule clinique d’avortement encore ouverte dans cet État, la Jackson Women’s Health Organization, a cherché à la faire invalider. Ils veulent contrôler les femmes », a lancé, outrée, Aliya, 19 ans, venue avec deux amies. Un rare militant anti-avortement — un homme très âgé — s’est aventuré avec son affiche dans la masse humaine. Wade, qui protégeait jusqu’à aujourd’hui, avec certaines limites, le droit des femmes à l’avortement.
Der Applaus im Deutschen Bundestag war noch nicht ganz abgeebbt, nachdem die Ampel-Koalition am Freitag das Werbeverbot für Abtreibung nach §219a in ...
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Il est attendu que l'interruption volontaire de grossesse sera désormais illégale dans la moitié des États, dont plusieurs du Midwest et du sud du pays. La ...
Ces lois demeuraient fragiles et sujettes à contestation sous le régime de Roe v. La Cour estime de plus que la décision Roe v. Ces femmes risquent donc d’avoir des antécédents criminels pour avoir obtenu une interruption de grossesse alors que leurs voisines de l’État d’à côté n’auront pas à faire face à de telles conséquences judiciaires. La seule clinique d’avortement encore ouverte dans cet État, le Jackson Women’s Health Organization, a porté la bataille judiciaire à bout de bras, cherchant à faire invalider la mesure législative. Au gré des élections et des nominations de juges républicains, plusieurs s’en étaient pris à la décision phare du plus haut tribunal américain. Ce jugement à 6 contre 3, rendu public vendredi, ne rend pas l’avortement illégal. Mais il enlève la barrière érigée par Roe v.
Ce 24 juin, la Cour suprême des États-Unis annonce révoquer l'arrêt "Roe v Wade", qui garantissait le droit à l'avortement pour les...
Si la décision de la Cour suprême est inacceptable selon Joe Biden, le président des États-Unis ne veut pas perdre espoir. Wade", qui depuis 1973 grantissait le droit des Américaines à avorter, la majorité de ses juges l'estimant aujourd'hui "totalement infondé". Sur la photo, des manifestantes anti-avortement explosent de joie. La Cour suprême ayant dynamité le droit constitutionnel à l'avortement, chaque Etat est désormais libre de faire son choix. Qualifiant la décision "de victoire historique pour les droits humains", les tenants du mouvement ont annoncé leur entrée dans une nouvelle phase, centrée sur le niveau local. Si elle défend son accès pendant des années, elle finit par opérer un revirement spectaculaire. Les élections de mi-mandat, qui s'annoncent difficile pour le camp démocrate, auront lieu le 8 novembre 2022. L'avortement est un droit fondamental pour toutes les femmes. This fall, we must elect more senators and representatives who will codify a woman’s right to choose into federal law. Texas" de 2003, qui rend inconstitutionnelles les lois pénalisant les relations sexuelles entre personnes de même sexe. Désormais les États fédérés ont toute la liberté d'interdire ou non l'avortement. Et, aussi, "Obergefell v.
Schwangerschaftsabbrüche dürften bald in der Hälfte der Gliedstaaten verboten sein. Schon jetzt sind die Distanzen zur nächsten Klinik teilweise enorm.
Auf diesen Moment haben konservative Kräfte in den USA jahrzehntelang hingearbeitet. Neuer Streit dürfte um die Abtreibungspille entstehen. Schon jetzt sind die Distanzen zur nächsten Klinik teilweise enorm.
Das Oberste Gericht der USA hat das landesweite Recht auf Abtreibung aufgehoben. Die Richter stimmten mehrheitlich für eine entsprechende...
Der Oberste Gerichtshof hat das US-Abtreibungsrecht gekippt. Der Oberste Gerichtshof hat das US-Abtreibungsrecht gekippt. Seit mehr als 100 Jahren schränkt ein Gesetz im Bundesstaat New York das Tragen einer Waffe in der Öffentlichkeit ein. In der Begründung heißt es, es sei „an der Zeit, die Verfassung zu beachten und die Frage der Abtreibung an die gewählten Vertreter des Volkes zurückzugeben“. Mit dem Aufheben der Grundsatzentscheidung von 1973 liegt die Entscheidung nun bei den Bundesstaaten, das Abtreibungsrecht zu regeln. „Die Verfassung gewährt kein Recht auf Abtreibung“, heißt es in der Urteilsbegründung. Die Entscheidung ist keine Überraschung: Anfang Mai hatte das Magazin „Politico“ einen Entwurf dazu veröffentlicht. Daraus ging bereits hervor, dass das Gericht so entscheiden will. Das Urteil ist nun so drastisch wie erwartet.
Niemand sollte sich von der Aufregung um das US-Abtreibungsurteil in die Irre führen lassen. Der Weg zu neuen Gesetzen auf bundestaatlicher Ebene wird nicht ...
Es ist ein trauriger Zufall, dass zeitgleich mit der Ermöglichung von mehr Lebensschutz in den USA Deutschland mit der Abschaffung des Werbeverbots für Abtreibung den gegenteiligen Weg beschritten hat. Niemand sollte sich von der Aufregung um das US-Urteil in die Irre führen lassen. Verpflichtende Beratung gehört genauso dazu wie die Durchführung einer Abtreibung durch einen Arzt. Auch wenn in Deutschland de facto jede Frau, die abtreiben will, das auch kann, geht es hier doch um Rechtsgrundsätze, die nicht überschätzt werden können. Der Oberste Gerichtshof hat heute erlaubt, dass Bundesstaaten ähnliche Gesetze und flankierende Maßnahmen wie in hierzulande erlassen dürfen. In Deutschland ist Abtreibung (noch) ein Straftatbestand des Strafgesetzbuches und es gibt zumindest de jure die Indikationenregelgung, die besagt, dass Abtreibung einen triftigen und im Gestz definierten Grund als Rechtfertigung bedarf. Das Urteil gibt rechtlich gesehen nach fast 50 Jahren dem amerikanischen Volk die Abtreibungsdebatte zurück. Die Sprengkraft des Urteils liegt nämlich nicht in einer Stellungnahme zur geltenden Abtreibungsregelung selbst – diese ist im Urteil nicht enthalten – sondern in der Feststellung, dass die Kompetenz zur Regelung von Abtreibung in den Händen der Bundesstaaten liegt. Auch wenn unser eigenes Abtreibungsrecht in Deutschland und die anhaltenden Widersprüche zwischen Gesetz und Rechtsprechung des Bundesverfassungsgerichts alles andere als ideal ist, muss man doch anerkennen, dass wir glücklicherweise weit entfernt sind von der radikal-liberalen Abtreibungsregelung, die durch Roe v.
Das liberale Abtreibungsrecht in den USA ist Geschichte. Der oberste Gerichtshof hat das Grundsatzurteil "Roe vs. Wade" gekippt. Die Reaktionen sind so ...
US-Präsident Joe Biden hat die historische Entscheidung des Obersten Gerichtshofs als "tragischen Fehler" bezeichnet. Die Nachrichten aus dem Nachbarland USA seien "erschreckend". Und jetzt stehen mir die Tränen in den Augen, wenn ich lese, dass in den USA 'Roe vs. Der ehemalige US-Präsident Donald Trump hat die Entscheidung des Supreme Court, das landesweite Recht auf Abtreibung zu kippen, als Entscheidung Gottes gefeiert. Ich bon stolz darauf, sie während unserer langen Reise begleitet zu haben, und ich teile heute ihre Freude." Wade" zum Abtreibungsrecht aus dem Jahr 1973 gekippt.
Der oberste Gerichtshof der USA hat das Grundsatzurteil zum Abtreibungsrecht gekippt. Republikaner und religiöse Konservative jubeln, Demokraten und ...
Auch wenn ich kein AFD Wähler bin , das war keine gute Berichterstattung das war die AFD bloß stellen mehr nicht. schaffen die Chinesen in ganz Afrika Infrastrukturen. Sie bauen Straßen, Schulen, Krankenhäuser, ganze Stadtteile, sie bauen riesige Solarkraftwerke. Was haben "wir" dort erreicht ? Ein wenig "Brot für die Welt" , oder ähnliche Tröpfchen auf einem heißen Stein, aber viele Waffen für irgendwelche Stammesfürsten und Warlords. Mir ist völlig klar, dass China nicht uneigennützig handelt, aber auch die EU zieht ihren Gewinn aus diesem Kontinent, jedoch ohne vernünftige Investitionen. Das erledigen wir doch nebenbei, Erreicht haben wir nichts, falls doch , ich lerne gerne dazu. Bei solchen extremen Umständen vergisst man schnell mal Kleinigkeiten wie Dieselskandal, die merkwürdige Verordnung, alte Kaminöfen still legen zu müssen und ähnlichen Mumpitz. Aber wie auch immer, hier in der Sterncommunity gibt es ja genug "Angebote", um sich von den Problemen des Alltags abzulenken. Damals arbeitete bei Philips. Josef weigerte sich nach China zu fahren, weil seiner Ansicht nach die Entwicklung und das Know-how nur in Wien passieren können. Aber sein Kollege, der diesen Job angenommen hat, wurde sozusagen betrogen. Es gilt schon als Axiom, dass die Globalisierung der Schaffung neuer Arbeitsplätze fördert. Und jetzt will ich diese Tatsache in Frage stellen.
Das Recht auf Abtreibung gehört in den USA der Geschichte an. Nicht nur Präsident Biden ist entsetzt, auch internationale Politiker äussern sich enttäuscht.
Nun dürfen die US-Bundesstaaten über das Recht auf Abtreibung entscheiden. Auch sein Vorgänger Barack Obama zeigte sich alarmiert über den Entscheid. «Heute hat der Oberste Gerichtshof nicht nur fast 50 Jahre von Präzedenzfällen rückgängig gemacht. Es gibt in den USA kein landesweites Gesetz, das Schwangerschaftsabbrüche erlaubt oder verbietet. Woche. Dies stellten zwei Urteile des Obersten US-Gerichts sicher, die nun gekippt wurden. «Es ist nicht vorbei.» Anderer Meinung ist der Vatikan. In einer Erklärung der Päpstlichen Akademie für das Leben hiess es am Freitag unter anderem: «Es ist wichtig, eine ideologiefreie Debatte zu beginnen über den Stellenwert, den der Schutz des Lebens in der Gesellschaft hat.» Sie sei wichtig, «um uns zu fragen, welche Art von Zusammenleben und Gesellschaft wir aufbauen wollen.»
Das landesweite Recht auf Abtreibung in den USA basierte auf einem Urteil von 1973. Nun wurde es gekippt – zahlreiche Staaten könnten Abtreibungen nun ...
Die Demokraten hoffen, mit dem Thema für die US-Wahlen im November mobilisieren zu können. Sie argumentieren, mit einer deutlichen Mehrheit ein Gesetz verabschieden zu können, dass das Recht auf Abtreibung gesetzlich festschreibt. Dem Institut Gallup zufolge unterstützt seit den 70er Jahren eine Mehrheit das Recht auf Abtreibung – mit Einschränkungen oder unter allen Umständen. Die Demokraten von US-Präsident Joe Biden hatten Anfang Mai versucht, dass Recht auf Abtreibung per Gesetz zu verankern – scheiterten damit aber im Senat. Die Abstimmung war in erster Linie symbolischer Natur. Mit ihrer knappen Mehrheit können die Demokraten ein solches Gesetz nicht ohne weiteres durchbringen. Die von den Demokraten regierten US-Bundesstaaten Kalifornien, Oregon, New York und Washington wollen das Recht auf Abtreibung dagegen hochhalten. Das kann schon in der sechsten Schwangerschaftswoche der Fall sein. "Die Verfassung gewährt kein Recht auf Abtreibung", heißt es in der Urteilsbegründung. Die Entscheidung ist keine Überraschung: Anfang Mai war ein Entwurf dazu öffentlich geworden. Er schrieb, dass auch Entscheidungen, die das Recht auf Verhütung, die gleichgeschlechtliche Ehe oder Sex unter gleichgeschlechtlichen Partnern verankern, auf den Prüfstand gehörten. Die restlichen konservativen Richter betonten allerdings, dass das aktuelle Urteil diese Präzedenzfälle nicht infrage stelle. Doch warum beschäftigte sich das Gericht überhaupt mit dem Thema? Hintergrund ist ein Abtreibungsgesetz aus dem Bundesstaat Mississippi, das fast alle Abtreibungen nach der 15. Mit der Entscheidung des Gerichts ist das bisherige Recht auf Abtreibung aus dem Jahr 1973 in den USA Geschichte. Das Urteil gilt als politisches Erdbeben – es werden massive Proteste erwartet. Einige Staaten haben bereits Gesetze vorbereitet, die sofort in Kraft treten können, wenn die bisherige Rechtssprechung kippt – sogenannte Trigger Laws. Es sind vor allem die erzkonservativen Staaten im Süden und mittleren Westen, die Abtreibung ganz oder fast komplett verbieten wollen. Der konservativ regierte Bundesstaat hatte das Oberste Gericht angerufen, den Fall zu überprüfen. Dass sich das Gericht überhaupt damit beschäftigte, war bereits als Zeichen gewertet worden, dass Roe v. Der Oberste Gerichtshof der USA hat nach fast einem halben Jahrhundert das liberale Abtreibungsrecht in den Vereinigten Staaten gekippt.
Aux côtés de sa ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, Justin Trudeau a promis de défendre le droit à l'avortement au Canada et d'en assurer l'accès.
Elle a appelé le fédéral à renforcer la loi sur la santé et l’obligation de l’appliquer dans chaque province. « Si un gouvernement conservateur est élu dans une province, il pourrait mettre en place des barrières » supplémentaires, d’après elle. De son côté, la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN) dit accueillir avec grande déception et inquiétude cette annonce. La mairesse de Montréal Valérie Plante a renchéri, aussi par l’entremise de Twitter, qu’elle était « outrée ». « Cette décision est un recul inacceptable. Je tiens à ce que les Canadiennes sachent que nous allons toujours défendre votre droit de choisir.— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) June 24, 2022 Wade, une affaire historique de 1973 qui garantissait le droit des Américaines à avorter. La responsable des affaires publiques d’Action Canada pour la santé et les droits sexuels, Insiya Mankani, a ajouté que même si « l’avortement est bien protégé par la Loi canadienne sur la santé », les évènements au sud de la frontière risquent de donner un nouveau souffle aux groupes antiavortement. « On sait que l’avortement illégal va continuer et ça va être les femmes qui vont en souffrir et en mourir », a déploré la responsable du dossier avortement à la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN), Jess Legault. Déjà, « il y a trois régions au Québec où il y a seulement un point de service […] il y a aussi le Collège des médecins qui limite l’accès à l’avortement médicamenteux en mettant des restrictions par rapport à qui peut le prescrire » et plusieurs centres « antichoix » se font passer pour des ressources d’aide et « propagent de fausses informations pour faire peur aux femmes », a-t-elle fait valoir. » Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon, a qualifié la nouvelle de « triste » ainsi que d’un « inquiétant recul pour les droits fondamentaux des femmes » sur Twitter. Il y voit un « rappel de la fragilité des acquis, que nous devons toujours chercher à protéger ». « Aujourd’hui est une journée sombre pour les femmes aux États-Unis, mais aussi [celles] partout à travers le monde parce que c’est un retour en arrière pour des générations de femmes qui se sont battues pour le droit à l’avortement », a renchéri Mme Joly.
Dans une décision rendue publique aujourd'hui, la Cour suprême des États-Unis a invalidé l'arrêt de 1973 «Roe v. Wade», qui avait légalisé l'accès à ...
- Ce que signifie réellement le possible renversement de «Roe v. Dans une décision rendue publique aujourd’hui, la Cour suprême des États-Unis a invalidé l’arrêt de 1973 «Roe v. La décision «Roe v.
Comment un Etat de droit peut-il remettre en cause le droit des femmes à choisir pour elles-mêmes ? En revenant sur la décision Roe vs Wade, la Cour suprême ...
A l'envi et jusqu'au dégoût d'avoir à répéter les mêmes choses, d'avoir à confronter autant de violence et de bêtises. Nous allons avoir besoin de gagner et d'empêcher le monde masculin de nous rouler dessus, en marche arrière. Ce conflit est politique, tant dans le monde des esprits que via des violences concrètes, physiques et psychologiques, et chaque jour nos vies sont en jeu. Comment ? Parce que les réactionnaires, ceux qui nous détestent, ont trouvé des prétextes, des camouflages à leurs haines, mais n'ont jamais cessé de nous combattre. A travers une Cour de justice, signifiant par là très clairement à quel point le concept de justice peut s'éloigner de l'idéal tel qu'on nous l'a décrit, pour s'inscrire très durement dans un rapport de force (de domination en réalité) qui s'impose à une moitié de population. Mais il y en a d'autres qui s'agitent, qui radotent, qui font convulser l'histoire, ce sont tous ceux qui détestent les femmes. Les copines d'Osez le Féminisme ! ainsi qu'Alice D, une amie et illustratrice de talent, savent à quel point j'aime cette image.