La cour d'assises spéciale a rendu sa décision sur le sort de Salah Abdeslam et de ses coaccusés jugés depuis septembre pour les pires attentats jamais commis ...
C’est fini, ça va faire un vide», a commenté à l’AFP une rescapée du Bataclan à sa sortie de la salle d’audience. Après un début de procès provocateur, il s’était confondu en excuses et avait affirmé à plusieurs reprises ne pas être un «assassin» et avoir renoncé à tuer par «humanité». Seul survivant des commandos qui ont fait 130 morts, il a été condamné à la réclusion à perpétuité avec une période de sûreté incompressible. La perpétuité incompressible a été instaurée en 1994 suite au viol et au meurtre d’une fillette par un homme déjà condamné pour des crimes sexuels. La réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible rend pratiquement impossible tout espoir de libération avant la mort. La cour a considéré que son gilet explosif était «défectueux», remettant «sérieusement en cause» ses déclarations sur son renoncement. Après dix mois d’audience, le verdict du procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris est tombé ce mercredi soir.
La cour d'assises spéciale de Paris a condamné mercredi soir Salah Abdeslam, le seul membre encore en vie de commandos qui ont fait 130 morts à Paris le 13 ...
Mohamed Abrini, l'"homme au chapeau" des attaques de Bruxelles, qui était également "prévu" dans les commandos du 13-Novembre, a lui été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans. Les avocats de Salah Abdeslam, qui a affirmé à plusieurs reprises au cours des débats avoir "renoncé" à déclencher sa ceinture explosive le soir du 13 novembre 2015 par "humanité", avaient plaidé contre cette "peine de mort lente". Mercredi, les cinq magistrats professionnels ont suivi les réquisitions du ministère public, qui avait demandé cette sanction rarissime à l'encontre du seul accusé du box jugé comme co-auteur des attaques de Paris et Saint-Denis, près de la capitale, qui ont "épouvanté et "sidéré" la France.
Après dix mois d'audience à Paris, la Cour d'assises spéciale a rendu son verdict dans le procès-fleuve des attentats qui ont frappé la capitale française ...
C’est fini, ça va faire un vide», a commenté Sophie, une rescapée du Bataclan à la sortie de la salle d’audience, les larmes aux yeux Les condamnations sont globalement en-deçà des réquisitions du Parquet national antiterroriste, qui avait demandé des peines allant de cinq ans d’emprisonnement à la perpétuité. «Les peines sont assez lourdes. Mohamed Abrini, «l’homme au chapeau» des attaques de Bruxelles, qui était également «prévu» dans les commandos du 13-Novembre, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux années. Osama Krayem et Sofien Ayari, dont l’accusation avait affiché la «certitude» qu’ils devaient commettre un attentat à l’aéroport d’Amsterdam le 13 novembre 2015, ont été condamnés à trente ans de réclusion criminelle dans deux tiers de sûreté.
Plus de six ans après les attentats du 13 Novembre, le pire crime de l'après-guerre en France, la cour d'assises spéciale de Paris a...
"Le but d'un procès, c'est aussi de comprendre pour juger au mieux et délimiter les responsabilité de chacun et faire en sorte que (ce type d'attentats) n'arrive plus. "J'ai très peur de votre décision", a reconnu un autre entre deux sanglots. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le "respect de la norme" reste le "cap" de ce "procès historique", lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines "d'élimination", de "vengeance" ou pour le "symbole" requises selon eux par le parquet. Six ans après une nuit de terreur qui a traumatisé la France et après un procès-fleuve marqué par les récits glaçants des rescapés ou proches à la barre - sur plus de 2.600 parties civiles - les avocats de la défense avaient mis la cour en garde contre la tentation d'une "justice d'exception" guidée par l'émotion. Mohamed Abrini, qui était "prévu" pour faire partie des commandos, mais qui a renoncé à la dernière minute selon la cour, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté. Les avocats de Salah Abdeslam, qui a affirmé à plusieurs reprises au cours des débats avoir "renoncé" à déclencher sa ceinture explosive le soir du 13 novembre 2015, par "humanité", avaient plaidé contre cette "peine de mort lente".
Salah Abdeslam a été reconnu coupable de de tentative de meurtre sur personne dépositaire de l'autorité et d'association de malfaiteurs en vue de commettre ...
Seul des 20 accusés présent lors des attentats, il a été jugé comme "co-auteur" des attaques de Paris et de Saint-Denis. Peu importe qu'il n'ait pas tiré lui-même sur les victimes, l'accusation considère que les différents lieux attaqués sont un lieu unique de crime. "Bien sûr que ces attentats ont été terriblement cruels mais la justice n'a pas à l'être", avait-elle conclu. Au terme de près de 10 mois de débats, le parquet national antiterroriste avait requis la perpétuité incompressible contre Salah Abdeslam au début du mois de juin. Il a surtout été jugé comme "co-auteur" des attentats, la cour actant que les attentats étaient en réalité "une scène de crime unique". Salah Abdeslam a été condamné par la cour d'assises spécialement composée pour juger les attentats du 13 novembre 2015 à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible. Mohamed Abrini a de son côté été condamné à la perpétuité avec 22 ans de sûreté. Au total, les cinq magistrats professionnels ont prononcé des peines allant de deux années d'emprisonnement à la perpétuité à l'encontre des 20 accusés jugés depuis septembre, dont six par défaut.
Im Prozess um die Terrornacht von Paris ist der Hauptangeklagte Salah Abdeslam zu lebenslanger Haft verurteilt worden. Ein Schwurgericht sprach den 32 Jahre ...
Er trug in der Nacht der Anschläge eine Sprengstoffweste, die nicht explodierte. Auch als der Prozess in die Phase der Aufklärung trat, ging er schnell über die 20 Angeklagten hinaus. Und die Staatsanwaltschaft stemmte sich gegen den von den Terroristen verbreiteten Mythos, sie hätten gemordet, um auf französische Luftangriffe in Syrien zu reagieren. Da drei der Hauptangeklagten, Osama Krayem, Sofien Ayari und Mohamed Bakkali, sich weigerten auszusagen, blieben Details zu Planung und Durchführung des Verbrechens unklar. Fluctuat nec mergitur, sie schwankt, aber sie geht nicht unter: Mit dem Wahlspruch von Paris, der auf dem Wappen der Stadt steht, lehnten sich die Menschen gegen die Trauer und den Schmerz. «Wurde jemals in einem Verhandlungssaal so viel geweint?», fragte «Le Monde» kürzlich. Dieser Prozess hatte sich getraut, den Gefühlen der Opfer den zentralen Platz einzuräumen. Nur, was genau war die Sache? So wie die Tat die Vorstellungen eines möglichen Verbrechens sprengte, sprengte der Prozess den Rahmen einer gewöhnlichen Verhandlung. Vier Monate gehörten allein den Überlebenden, den Angehörigen, all jenen, deren Leben am 13. Wie wichtig Frankreich diesen Prozess nahm und nimmt, lässt sich auch an der Logistik ablesen. Es waren Monate, in denen Frankreich versuchte, eines der erschütterndsten Verbrechen seiner jüngeren Geschichte nachzuzeichnen, aber auch all die Folgen abzubilden, die ein solches Verbrechen nach sich zieht. November 2015 hat Frankreich verändert. Neun junge Männer ermordeten in Paris 130 Menschen im Konzertsaal Bataclan und auf den gut besuchten Terrassen im Nordosten der Stadt. Die Terrormiliz Islamischer Staat reklamierte den Anschlag für sich, die Männer selbst beriefen sich auf ihren Glauben. Sie hätten getötet, weil Allah dies wolle. Der Hauptangeklagte Salah Abdeslam wurde zu lebenslanger Haft verurteilt. In Paris wurde das Urteil im Verfahren um die Terroranschläge des 13.
Die Verhandlungen fanden im grössten Gerichtssaal Frankreichs statt, der eigens für den Anlass im altehrwürdigen Justizpalast im Zentrum von Paris gebaut wurde.
Das zuständige Schwurgericht befand im «Bataclan»-Prozess am Mittwochabend im Pariser Justizpalast 19 von 20 Angeklagten in allen Anklagepunkten für schuldig. Es war ein Prozess ohnegleichen, der nun der Urteilsverkündung zu Ende ging. November 2015 wurde am Mittwochabend das Urteil verkündet. Die wichtigsten Fakten dazu im Überblick.
Für die Mitattentäter der Pariser Bataclan-Anschläge setzt es nach einem monatelangen Marathonprozess lebenslängliche Haftstrafen, die zum Teil wirklich bis ...
132 Menschen starben bei den islamistischen Anschlägen vom 13. November 2015 in Paris. Im Mammutprozess hat das Schwurgericht nun die Urteile verkündet ...
In Frankreich hatten sich viele vom Prozess Antworten der Beschuldigten und teils auch der Politik erhofft. Zu Drahtziehern und Plänen der Terrormiliz gaben die Angeklagten keine Auskunft. Arrondissement in die Luft zu sprengen, hatte er im Februar ausgesagt . Weil die Leute, die dort saßen, doch alle gewesen seien wie er: jung und froh, ausgehen zu können. Bis zu dem Prozess hatte Abdeslam sechs Jahre lang geschwiegen. Ein Beschuldigter sitzt in der Türkei in Haft, fünf sollen in Syrien gestorben sein. Im Mammutprozess um die islamistischen Anschläge von Paris im November 2015 sind die Urteile verkündet worden: Der Hauptangeklagte Salah Abdeslam, der einzige Überlebende des Terrorkommandos, wurde wegen Terrorismus und Mordes zu lebenslanger Haft verurteilt, die härteste Strafe in Frankreich. Er soll keine Möglichkeit zur Haftverkürzung vor Ablauf von 30 Jahren bekommen. Sie richteten ein Massaker im Konzertsaal Bataclan an und verbreiteten Terror in Bars und Restaurants. Drei Selbstmordattentäter sprengten sich während des Fußball-Länderspiels zwischen Deutschland und Frankreich am Stade de France in die Luft. Ein Attentäter wurde noch am Abend von der Polizei erschossen.
Bei einer Anschlagsserie in Paris töteten Islamisten im November 2015 insgesamt 130 Menschen. Neun Monate lang versuchte ein großangelegter Prozess, ...
Sechs der Angeklagten wurden in Abwesenheit verurteilt: Einer sitzt in der Türkei in Haft, die fünf anderen sollen in Syrien gestorben sein. Sie richteten ein Massaker im Konzertsaal „Bataclan“ an und verbreiteten Terror auch in mehreren Bars und Restaurants. Drei Selbstmordattentäter sprengten sich während eines Fußball-Länderspiels zwischen Deutschland und Frankreich am Stade de France in die Luft. In dem Prozess im Pariser Justizpalast war mehr als neun Monate lang die Anschlagsserie vom 13.
Sechseinhalb Jahre sind die Anschläge von Paris her, nun hat das Gericht die Urteile verkündet. Der Hauptangeklagte Salah Abdeslam wird wegen Mordes ...
Viele Französinnen und Franzosen erhofften sich von dem Prozess Antworten von den Beschuldigten und teils auch von der Politik. Ein wesentlicher Erkenntnisgewinn blieb aber aus. Laut der Staatsanwaltschaft hat der Prozess es aber zumindest geschafft, die Opfer mit ihren jeweiligen Schicksalen anzuerkennen. Und weil Terror nicht mehr nur aus dem Ausland organisiert wird, sondern sich auch auf interne Kräfte stützt, sehen Experten die Gefahr einer weiteren Spaltung der ohnehin auseinander driftenden Gesellschaft. Auch die Staatsanwaltschaft zeigte sich im Prozess überzeugt, dass es den Extremisten egal gewesen sei, wen sie töteten. Von den weiteren 19 Angeklagten wurde sechs der Prozess in Abwesenheit gemacht. Sie richteten ein Massaker im Club "Bataclan" an und beschossen Bars und Restaurants im Osten der französischen Hauptstadt. Außerdem sprengten sich drei Selbstmordattentäter an dem Abend während eines Fußball-Länderspiels zwischen Deutschland und Frankreich am Stade de France in die Luft. Die Terrororganisation Islamischer Staat (IS) reklamierte die Anschläge für sich.
Im Prozess um die Terrornacht von Paris ist der Hauptangeklagte Salah Abdeslam zu lebenslanger Haft verurteilt worden. Ein Schwurgericht sprach den 32 Jahre ...
Er trug in der Nacht der Anschläge eine Sprengstoffweste, die nicht explodierte. Auch als der Prozess in die Phase der Aufklärung trat, ging er schnell über die 20 Angeklagten hinaus. Und die Staatsanwaltschaft stemmte sich gegen den von den Terroristen verbreiteten Mythos, sie hätten gemordet, um auf französische Luftangriffe in Syrien zu reagieren. Da drei der Hauptangeklagten, Osama Krayem, Sofien Ayari und Mohamed Bakkali, sich weigerten auszusagen, blieben Details zu Planung und Durchführung des Verbrechens unklar. Fluctuat nec mergitur, sie schwankt, aber sie geht nicht unter: Mit dem Wahlspruch von Paris, der auf dem Wappen der Stadt steht, lehnten sich die Menschen gegen die Trauer und den Schmerz. «Wurde jemals in einem Verhandlungssaal so viel geweint?», fragte «Le Monde» kürzlich. Dieser Prozess hatte sich getraut, den Gefühlen der Opfer den zentralen Platz einzuräumen. Nur, was genau war die Sache? So wie die Tat die Vorstellungen eines möglichen Verbrechens sprengte, sprengte der Prozess den Rahmen einer gewöhnlichen Verhandlung. Vier Monate gehörten allein den Überlebenden, den Angehörigen, all jenen, deren Leben am 13. Wie wichtig Frankreich diesen Prozess nahm und nimmt, lässt sich auch an der Logistik ablesen. Es waren Monate, in denen Frankreich versuchte, eines der erschütterndsten Verbrechen seiner jüngeren Geschichte nachzuzeichnen, aber auch all die Folgen abzubilden, die ein solches Verbrechen nach sich zieht. November 2015 hat Frankreich verändert. Neun junge Männer ermordeten in Paris 130 Menschen im Konzertsaal Bataclan und auf den gut besuchten Terrassen im Nordosten der Stadt. Die Terrormiliz Islamischer Staat reklamierte den Anschlag für sich, die Männer selbst beriefen sich auf ihren Glauben. Sie hätten getötet, weil Allah dies wolle. Der Hauptangeklagte Salah Abdeslam wurde zu lebenslanger Haft verurteilt. In Paris wurde das Urteil im Verfahren um die Terroranschläge des 13.
Si l'accusé a été condamné à la peine la plus lourde du code pénal, ce n'est pas pour l'assassinat de 130 civils. En droit, seule la tentative de meurtres ...
Elle a ensuite été étendue, en 2011, aux meurtres ou tentatives sur personne dépositaire de l’autorité publique (policiers, magistrats…) avant de l’être, en juin 2016, aux crimes terroristes. Mais derrière cette peine hautement symbolique prononcée à l’issue d’un procès pour l’histoire se cache un paradoxe : en droit, Salah Abdeslam n’a pas été condamné à la peine maximale pour l’assassinat terroriste de 130 personnes. Si la cour s’est montrée plus clémente que les réquisitions pour dix accusés, elle a été implacable à l’encontre du premier d’entre eux.
Le Français, âgé de 32 ans, est le seul membre encore en vie des commandos qui ont assassiné 130 personnes à Paris et à Saint-Denis le 13 novembre 2015.
« L’opinion publique dit que j’étais sur les terrasses avec une kalachnikov à tirer sur les gens. Dernier à s’exprimer devant la cour lundi, Salah Abdeslam avait rappelé aux juges que c’était « avec l’épée du parquet sur le cou » qu’il prenait la parole. Il est le seul membre encore en vie des commandos qui ont causé la mort de 130 personnes à Paris et Saint-Denis.
Le seul kamikaze survivant des attentats du Bataclan a été condamné mercredi par la cour d'assises spéciale de Paris après dix mois d'audience.
«Le but d’un procès, c’est aussi de comprendre pour juger au mieux et délimiter les responsabilité de chacun et faire en sorte que (ce type d’attentats) n’arrive plus. «J’ai très peur de votre décision», a reconnu un autre entre deux sanglots. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le «respect de la norme» reste le «cap» de ce «procès historique», lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines «d’élimination», de «vengeance» ou pour le «symbole» requises selon eux par le parquet. Il est un «exécutant déserteur», mais la sanction demandée est digne d’un «tribunal militaire» qui juge des «ennemis» et non «des accusés», avait vilipendé son confrère Me Martin Vettes. Me Ronen a dit mercredi matin sur France info attendre avec «espoir et inquiétude» le verdict pour son client et a appelé la cour à «faire la part des choses». «Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice», avait asséné Salah Abdeslam. «Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice», a asséné Salah Abdeslam.
Six ans après les attentats du 13-Novembre, la cour d'assises spéciale de Paris a condamné mercredi soir Salah Abdeslam à la perpétuité incompressible.
18 novembre, 4 h 20. “Pour les victimes, et pour la France, le procès” a aussi “représenté un moment thérapeutique”, estime El País. “En témoignant, certains ont avancé dans le processus de deuil. Un commissaire de la brigade anticriminalité et un collègue pénètrent dans la salle ; le premier abat l’un des assaillants. Les terroristes tuent trois personnes, puis entrent dans la salle et ouvrent le feu sur la foule. Au même moment, trois autres djihadistes armés, les Français Foued Mohamed-Aggad, Ismaël Mostefaï et Samy Amimour, arrivent devant la salle de concerts du Bataclan, boulevard Voltaire, où le groupe américain Eagles of Death Metal donne un concert devant 1 500 personnes. 21 h 40. François Hollande est évacué discrètement. Le stade est bouclé jusqu’à la fin de la rencontre, qui continue. 21 h 40. “Justice a donc été rendue, mais il était clair dès le début que ce procès était plus qu’un verdict”, estime la Süddeutsche Zeitung. “Les dix mois qui le précédèrent furent presque plus importants. Une peine de prison à perpétuité a également été prononcée contre Mohamed Abrini, qui devait initialement faire partie des commandos parisiens. Selon les juges, il s’agissait d’une panne technique”, remarque le quotidien espagnol El País. “L’accusation avait effectivement requis à son encontre cette peine, la plus lourde prévue par le Code pénal français actuel” qui “rend pratiquement impossible tout espoir de libération avant la mort”, note le journal suisse.
Der 33-Jährige Salah Abdeslam aus dem Brüsseler Stadtteil Molenbeek ist am Mittwochabend in Paris zu einer lebenslangen Haftstrafe für seine Teilnahme an ...
Die Angeklagten, die jetzt in Paris verurteilt wurden, werden Mitte oder Ende Juli für die Dauer des Prozesses nach Belgien gebracht. Mohamed Abrini, auch bekannt als "Mann mit dem Hut" bei den Anschlägen in Brüssel im März 2016, wurde in Paris unter anderem der Mitgliedschaft einer terroristischen Vereinigung sowie der Beihilfe zum Totschlag und zum versuchten Totschlag für schuldig befunden. Der Prozess in Brüssel wird im Oktober beginnen. März 2016 in Brüssel und Zaventem vor Gericht stehen. Der Belgier war der einzige der zehn Terroristen, der die Anschläge vom 13. Er sollte sich in Paris zusammen mit sieben anderen Kamikaze-Attentätern in die Luft sprengen.
Après dix mois d'audience, le verdict du procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris est tombé ce mercredi soir. La cour d'assises spéciale a rendu sa ...
C’est fini, ça va faire un vide», a commenté à l’AFP une rescapée du Bataclan à sa sortie de la salle d’audience. Après un début de procès provocateur, il s’était confondu en excuses et avait affirmé à plusieurs reprises ne pas être un «assassin» et avoir renoncé à tuer par «humanité». Seul survivant des commandos qui ont fait 130 morts, il a été condamné à la réclusion à perpétuité avec une période de sûreté incompressible. La perpétuité incompressible a été instaurée en 1994 suite au viol et au meurtre d’une fillette par un homme déjà condamné pour des crimes sexuels. La réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible rend pratiquement impossible tout espoir de libération avant la mort. La cour a considéré que son gilet explosif était «défectueux», remettant «sérieusement en cause» ses déclarations sur son renoncement. Après dix mois d’audience, le verdict du procès des attentats du 13 novembre 2015 à Paris est tombé ce mercredi soir.
C'est une peine rarissime en France. Salah Abdeslam, principal accusé du procès des attentats du 13-Novembre, a été condamné, ce mercredi 29 juin, ...
Für die Mitattentäter der Pariser Bataclan-Anschläge setzt es nach einem monatelangen Marathonprozess lebenslängliche Haftstrafen, die zum Teil wirklich bis ...
Durant les 148 jours qu'a duré le procès des attentats du 13-Novembre, Abdeslam, principal accusé, 10e homme des commandos, s'est métamorphosé.
A-t-il eu un spasme d’humanité ? L’espoir de la clémence de la justice ? Finalement condamné mercredi soir à la perpétuité incompressible, rendant quasi illusoires ses chances de sorties, Salah Abdeslam a en réalité connu au cours de ce procès éprouvant, un réel cheminement. « Votre profession ? » Le procès des attentats du 13-Novembre ne faisait que débuter. La question de Jean-Louis Périès, président de la cour d’assises spécialement composée, était toute banale. Ce qui a dû peser dans la décision de la cour d’assises de Paris, qui l’a condamné, mercredi soir, à la perpétuité incompressible.