Jamel Debbouze

Invité à « Sept à huit », l'humoriste et époux de Mélissa Theuriau s'est exprimé sur son identité française et sur les prénoms choisis pour leurs deux ...

L'occasion pour le réalisateur de Pourquoi j'ai pas mangé mon père d'aborder plus largement la question des prénoms en France. « J'ai l'impression qu'on progresse d'une manière générale. C'est très lent, c'est très subtil, mais on progresse », a-t-il estimé sur TF1. Et d'ajouter : « J'ai le sentiment qu'on fait le commerce de tout ce qui n'avance pas et de tout ce qui ne progresse pas, et nous opposer fait vendre. Producteur du Jamel Comedy Club, Jamel Debbouze s'est déjà exprimé à de nombreuses reprises sur le racisme en France. « Les dernières présidentielles, on avait l'impression qu'un Français sur deux était raciste, parce qu'ils ont voté Le Pen. Mais moi, je suis convaincu que la France n'est pas raciste. », a déclaré l'humoriste de 47 ans, qui a mêlé dans le prénom de sa fille celui de sa propre mère et celui de sa belle-mère.

VIDÉO - Dans «Le Portrait de la semaine» d'Audrey Crespo-Mara, l'humoriste de 47 ans a fait part de ses craintes qu'un jour le succès s'arrête.

«De toute façon, même si je passe beaucoup plus de temps riche que pauvre, je resterai toute ma vie un pauvre à l’intérieur. J’aurai toujours peur que ça s’arrête. J’aurai toujours le syndrome de l’huissier. J’aurai toujours peur de me retrouver dans un ascenseur qui pue la pisse.» À force de travail et grâce au succès, cette période est révolue. «Aujourd’hui, pile là, au moment où vous me parlez, pile, je viens de passer autant de temps pauvre que riche dans ma vie. «On a toujours mangé à notre faim, je vous rassure.

Revenant sur le prénom de sa fille Lila Fatima Brigitte, il raconte : «Lila Fatima Brigitte, c'est le prénom de ma mère et de ma belle-mère. Moi, je suis ...

L’humoriste qui a fait le tour de l’Hexagone des dizaines de fois, comme il le rappelle, espère enfin que le fait de monter les gens les uns contre les autres ne sera plus un sujet pour ses enfants. Je ne rentre pas là-dedans du tout», a souligné Jamel Debbouze. Je suis né France, je suis français et c’est la résultante de tout ça», a souligné l’humoriste de 47 ans, qui ne compte pas entrer dans des débats stériles. «Je comprends que l’opinion publique a son avis et qu’elle dit ce qu’elle veut, quand elle veut, au moment où elle doit le dire.

D'origine Marocaine, Debbouze a toujours revendiqué sa double culture et a tenu à l'honorer à travers le prénom de ses enfants, Léon Ali et Lila Fatima ...

Jamel Debbouze est ensuite relancé sur le sujet des prénoms en général en France. Là-dessus, “vous avez l’impression qu’on avance ou qu’on recule?”, lui demande la journaliste. Né en France à Trappes (Paris) de parents marocains, Jamel Debbouze a toujours revendiqué sa double culture. "Ce que j'ai fait à travers ça, c'est juste aimer ma femme et créer une famille.

En couple depuis 2007, Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau se sont mariés l'année suivante, le 7 mai 2008. Ils sont par la suite devenus les heureux parents d'un ...

On fait le commerce de tout ce qui n’avance pas et nous opposer fait vendre. Ce que j’ai fait à travers ça, c’est juste aimer ma femme et créer une famille. Un extrait de l’entretien qu’il a bien voulu accorder à Audrey Crespo-Mara a été dévoilé sur les réseaux sociaux ce dimanche 3 juillet.

[VIDÉO] ▶️ L'humoriste Jamel Debbouze a répondu dimanche aux questions d'Audrey Crespo-Mara dans l'émission de TF1 "Sept à Huit". Ses origines modestes ...

(…) Je suis français corps et âmes. Et c’est la résultante de tout ça", assume-t-il sans détours. À 13 ans, je lisais des courriers, je savais que les huissiers arrivaient et qu’il fallait tout cacher", se souvient-il. C’est le prénom de mes enfants, leur avis m’importe peu. Dédramatiser les choses de la vie, Jamel Debbouze en a fait sa marque de fabrique. Natif de Trappes dans les Yvelines, Jamel Debbouze vit aujourd’hui sur la très chic île Saint-Louis, avec sa compagne, la journaliste Mélissa Theuriau, et leurs deux enfants, Léon et Lila. Mais l’humoriste n’oublie pas d’où il vient. Regardez le replay de cette interview.

Interrogé par Audrey Crespo-Mara, Jamel Debbouze s'est notamment confié sur son enfance à Trappes et son changement de classe sociale…

» analyse-t-il, et de préciser : « Même si je passe beaucoup plus de temps riche que pauvre, je resterai toute ma vie, un pauvre à l’intérieur. J’aurai toujours peur que ça s’arrête, j’aurai toujours le syndrome de l’huissier, j’aurais toujours peur de me retrouver dans un ascenseur, qui pue la pisse », a-t-il conclu. Si aujourd’hui, Jamel Debbouze réside sur « l’île Saint-Louis » et joui d’une vie confortable, il n’oublie pourtant pas ses années de galère : « Aujourd’hui je viens de passer autant de temps pauvre que riche, je suis à la lisière de mes deux vies. A 13 ans je lisais des courriers, je savais que les huissiers arrivaient et qu’il fallait tout cacher, mais les choses les plus graves glissaient sur nous, grâce au rire ou au non-dits » se souvient-il.