L'actrice française a publié des photos choquantes de son visage tuméfié sur Instagram.
Alors qu’ils étaient attendus le 12 juillet au Festival de Cannes pour défendre «Mes frères et moi», le film qu’ils avaient tourné ensemble, Judith Chemla et Yohan Manca avaient finalement renoncé à s’y rendre. Et si la comédienne française a plusieurs fois porté plainte et que le père de sa fille a déjà «l’épée de Damoclès» de huit mois de prison avec sursis au-dessus de la tête, rien ne semble y faire. Ce sont des photos difficiles à regarder que Judith Chemla a publiées sur Instagram. On y voit l’actrice de 38 ans, le visage tuméfié, en sang.
C'est sur la toile que l'actrice Judith Chemla a confié, le 4 juillet 2022, avoir été victime de violences de la part de son ex-compagnon, le réalisateur ...
Et pourtant, la lecture du post Instagram indique que cela ne l’empêcherait pas de continuer à harceler son ex-compagne. Il devrait avoir honte et se faire discret, rechercher vraiment à être pardonné. » Un an plus tard donc, le 3 juillet 2022, Judith Chemla décide de publier sur son compte Instagram trois photos de son visage tuméfié accompagné d’un long texte détaillant les violences qu’elle aurait subies.
[VIDÉO] ▶️ L'actrice française Judith Chemla a publié sur Instagram des photos de ses blessures au visage, datant de l'été 2021.
La publication de Judith Chemla sur Instagram ce lundi a été commentée par de nombreuses personnalités. "Je t’aime ma poupée, ma courageuse", a écrit l’actrice-réalisatrice Géraldine Nakache. Les chanteuses Juliette Armanet et Clara Luciani, les comédiennes Frédérique Bel et Agathe Rousselle, l'acteur Reda Kateb ou encore l’animatrice Laurie Cholewa lui ont également témoigné leur soutien. "Que je garde ça pour moi ? Il se sentira encore au-dessus des lois, continuera de se plaindre et de contester les décisions de justice auprès de sa fille de 5 ans qu’il voit pourtant comme un père normal qu’il n’est pourtant pas. À la rentrée, on la reverra aux côtés d’Elsa Zylberstein dans Simone, le voyage du siècle, le biopic de Simone Veil. Il continuera de croire qu’il est en mesure de faire pression sur moi et de me harceler moralement. "J’ai tant de preuves qu’il continue d’essayer de me nuire. "Je n’ai pas honte de cette photo.
La comédienne a dévoilé des photos de son visage tuméfié sur Instagram. En légende, elle publie un témoignage qui révèle les violences de son ancien ...
"Il devrait avoir honte aujourd'hui, un an après, au lieu de continuer à faire pression sur moi, de penser qu'il a encore les moyens de me manipuler, au lieu de pourrir la tête de mon enfant. L'actrice au double César accuse son ex-compagnon de continuer à "faire pression" sur elle. "Il y a un an mon visage a été blessé, du bleu, du violet sous mon œil, je me suis vue déformée. Il y a un an j’ai regardé mon visage dans la glace et j’ai su que je ne pourrais plus me voiler la face.
L'actrice Judith Chemla a partagé son témoignage glaçant sur Instagram. L'actrice y révèle avoir subi des violences de la part de son ancien compagnon.
Une violence qui ne serait pas terminée selon Judith Chemla. Elle accuse son ex-compagnon de continuer à faire pression sur elle, un an après les faits. À l’intérieur, la jeune femme raconte l'horreur que lui aurait fait subir son ancien compagnon et père de sa fille de 5 ans. "Que faut-il pour qu’il me laisse tranquille ? Aller vraiment en prison?
La comédienne, vue dans Le Sens de la fête, a dévoilé des photos de son visage tuméfié. Elle dénonce les pressions de son ex-compagnon, déjà condamné à huit ...
Et l'actrice de conclure: "Je n'en peux plus. Il devrait avoir honte et se faire discret, rechercher vraiment à être pardonné. Ce n'est pas le cas." Il se sentira encore au-dessus des lois continuera de se plaindre et de contester les décisions de justice auprès de sa fille de 5 ans qu’il voit pourtant comme un père normal qu’il n’est pourtant pas. Je n’ai pas honte de cette photo", écrit la comédienne. "Il y a un an mon visage a été blessé, du bleu, du violet sous mon œil, je me suis vue déformée. Il y a un an j’ai regardé mon visage dans la glace et j’ai su que je ne pourrais plus me voiler la face. L'actrice Judith Chemla, connue notamment pour son rôle dans Le Sens de la fête, a publié lundi sur son compte Instagram plusieurs photos de son visage tuméfié. Elle accuse son ancien compagnon, l'acteur et réalisateur Yohan Manca, de violences conjugales.
L'actrice française a publié sur les réseaux sociaux des photos de son visage tuméfié et un texte où elle explique avoir été victime de violences conjugales ...
« Je n’ai pas honte de cette photo », souligne-t-elle dans son témoignage. « Mais lui devrait avoir honte, il devrait avoir honte aujourd’hui, un an après, au lieu de continuer à faire pression sur moi, de penser qu’il a encore les moyens de me manipuler, au lieu de pourrir la tête de mon enfant il devrait avoir honte et se faire discret, rechercher vraiment à être pardonné. Ce n’est pas le cas. Retourner au commissariat une 3e fois ? Déposer une 3e plainte en 1 an ? Être dans le milieu du cinéma, et avoir l’épée de Damoclès de 8 mois de prison avec sursis... Ceux qui sont capables de faire ça il faut qu’ils soient hors d’état de nuire. Le 3919 « Violences femmes info » est un numéro gratuit. J’ai tant de preuves qu’il continue d’essayer de me nuire. Le père de ma fille.
Selon le média, l'actrice aurait porté plainte le 4 juillet 2021 pour des violences physiques de la part de son compagnon, qui lui aurait lancé un téléphone ...
"Il y a un an, mon visage a été blessé, du bleu, du violet sous mon œil, je me suis vue déformée. Il y a un an, j’ai regardé mon visage dans la glace et j’ai su que je ne pourrai plus me voiler la face. Ce week-end, Judith Chemla a pris la parole sur Instagram en relayant des photos de son visage tuméfié, accompagnées d’un texte bouleversant qui détaille les violences subies. Selon le média, l’actrice aurait porté plainte le 4 juillet 2021 pour des violences physiques de la part de son compagnon, qui lui aurait lancé un téléphone portable au visage en public.
L'actrice Judith Chemla accuse son ancien compagnon, condamné pour violences conjugales, de continuer à exercer des pressions sur elle.
"Je vois beaucoup de messages de soutien et de remerciement, parce que certaines femmes n'ont plus le courage de se battre. Jamais je n'ai voulu lui nuire, je n'ai jamais parlé, je voulais que le père de ma fille ait du succès. Il a bousillé toutes ses chances les unes après les autres parce qu'il se sent au-dessus des lois*". C'est beaucoup, c'est beaucoup trop même, mais je lui laisse cette chance", dit-elle*. "La prise de conscience doit être immédiate : je lui demande de comprendre que je lui ai donné beaucoup de chance. Il me dit "Tu es comme toutes ces actrices, tu es volage", il me dit de ne pas porter plainte "parce qu'avec cet acte irréparable que j'ai commis, tu retournes la situation, alors que c'est toi qui brises notre famille". Il se présente comme la victime". Le soir même, quand elle rentre chez elle, pensant que son conjoint est chez sa mère, elle découvre qu'il l'attend chez elle. "Je travaille moins en ce moment, mais j'ai beaucoup travaillé, j'ai un peu d'argent, sinon comment faire ? Là, je peux, pendant la garde à vue, prendre toutes ses affaires et les mettre dehors", explique-t-elle. On me dit : "Jamais je n'aurais dû faire un enfant avec toi" (...), parce que je suis tombée amoureuse de quelqu'un d'autre, il ne s'est rien passé physiquement et les sentiments ne sont pas condamnables. Le 6 juillet dernier, j'avorte d'un enfant, j'étais enceinte d'un mois". Je n'ai pas eu le déclic intérieur". "Il sort de sa garde à vue le 6 juillet dernier. Après cinq ans de vie commune, Judith Chemla a quitté son ex-compagnon il y a un an. C'est pendant sa grossesse qu'il a commencé à changer, selon elle : "C'est souvent le cas, apparemment. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Sur ses réseaux sociaux, Judith Chemla a révélé avoir été victime de violences conjugales de la part de son ex-compagnon en dévoilant des photos.
L'actrice Judith Chemla : "Malgré une peine de 8 mois de prison avec sursis , il continue à penser qu’il est une victime. Dans un post Instagram, l'actrice Judith Chemla accuse son ex-compagnon, condamné à 8 mois de prison avec sursis pour violences conjugales, d'exercer encore des pressions. J'étais sidérée. Il faut un déclic"— France Inter (@franceinter) #le79inter pic.twitter.com/nXbI5Rrt3B July 6, 2022 "Moi je ne pouvais pas me dire que j'allais porter plainte contre le père de ma fille. L'actrice révèle que malgré les coups qu'elle aurait reçus de la part de son ex-compagnon, elle ne porte pas plainte. En effet, ce lundi 4 juillet , l'actrice Française a partagé sur Instagram des photos de son visage tuméfié et un texte dans lequel elle accuse son ex-compagnon de violences conjugales.
Le 4 juillet, Judith Chemla a publié des images de son visage tuméfié, révélant avoir été victime de violences conjugales.
Celui qu’elle accuse, sans jamais le nommer, c'est Yohan Manca. Le 12 mai dernier, selon des informations de Franceinfo , le comédien et réalisateur a été condamné à 8 mois de prison avec sursis pour violences conjugales à l'égard de Judith Chemla. «Je n’en peux plus. Elle a ajouté : «Retourner au commissariat une 3e fois ? Déposer une 3e plainte en 1 an ? Être dans le milieu du cinéma, et avoir l’épée de Damoclès de 8 mois de prison avec sursis… La trentenaire a reçu une avalanche de commentaires. Mais lui devrait avoir honte, il devrait avoir honte aujourd’hui, un an après, au lieu de continuer à faire pression sur moi, de penser qu’il a encore les moyens de me manipuler, au lieu de pourrir la tête de mon enfant il devrait avoir honte et se faire discret, rechercher vraiment à être pardonné. Ce n’est pas le cas. «Il y a un an mon visage a été blessé, du bleu, du violet sous mon œil, je me suis vue déformée. Il y a un an j’ai regardé mon visage dans la glace et j’ai su que je ne pourrai plus me voiler la face. Le 4 juillet, l'actrice de 37 ans a publié sur Instagram des images de son visage tuméfié, révélant avoir été victime de violences conjugales et accusant son ex-compagnon de continuer ses menaces.
La comédienne, victime de violences conjugales, a détaillé ce mercredi au micro de France Inter ses accusations à l'encontre de son ex-compagnon.
La comédienne termine son intervention avec un message pour les autres femmes victimes de violences conjugales: "Ne retirez jamais, jamais, jamais une plainte que vous déposez. On vous intimidera. Et de conclure: "Ma fille revient en me demandant 'pourquoi tu as demandé à la justice? Yohan Manca lui demande de ne pas porter plainte: "Avec cet acte irréparable que j'ai commis, tu retournes la situation alors que c'est toi qui brises notre famille", lui lance-t-il. tu as deux enfants de deux pères différents.' Immonde. Toute la nuit." "Je suis culpabilisée toute la nuit. "Je n'ai pas du tout prémédité cette prise de parole.
Après avoir publié lundi sur Instagram des photos de ses blessures infligées par son compagnon, Judith Chemla était invitée ce mercredi matin sur France ...
On m'a intimidée, on m'a culpabilisée », a lancé sur France Inter l'actrice, à l'affiche du film Les Goûts et les couleurs. « N'ayez pas peur : ne retirez jamais, jamais, jamais une plainte que vous déposez. Ne la retirez jamais. L'actrice Judith Chemla, qui a révélé cette semaine sur les réseaux sociaux des photos d'elle avec des stigmates de violences conjugales, a appelé ce mercredi les femmes qui en sont victimes à ne « jamais » retirer une plainte.
L'actrice Judith Chemla, qui a révélé des photos d'elle le visage tuméfié cette semaine, a appelé les femmes victimes de violences conjugales à ne jamais ...
Je n'ai jamais parlé. Je voulais que le père de ma fille ait du succès, que son talent s'exerce. Je voulais lui laisser une chance en tant que père, en tant qu'homme, en tant qu'artiste. Il a bousillé toutes ses chances les unes après les autres, il se sent au-dessus des lois"_, déplore la comédienne. L'agression de juillet 2021 l'avait poussée à porter plainte le lendemain, débouchant sur une garde à vue, une mise en examen et un contrôle judiciaire, a-t-elle détaillé. "Après quatre mois d'un harcèlement intense", une deuxième plainte a abouti à "quinze jours" de détention provisoire, selon elle, et une condamnation à huit mois d'emprisonnement avec sursis a été prononcée le 12 mai. Et lui, qu'il comprenne que s'il ne change pas, sa fille sera une femme battue consentante." L'actrice Judith Chemla, qui a révélé cette semaine sur les réseaux sociaux des photos d'elle avec des stigmates de violences conjugales, a appelé ce mercredi les femmes qui en sont victimes à ne "jamais" retirer une plainte. "Je n'ai pas du tout prémédité cette prise de parole. Elle dénonce le harcèlement subi par son ex-compagnon et appelle les victimes à se battre.
L'actrice Judith Chemla, qui a révélé cette semaine sur les réseaux sociaux des photos d'elle avec des stigmates de violences conjugales, a appelé mercredi ...
J'exige d'avoir la paix", écrivait-elle lundi sur Instagram, se demandant si elle devait à nouveau porter plainte. "N'ayez pas peur: ne retirez jamais, jamais, jamais une plainte que vous déposez. Ne la retirez jamais. "Je n'en peux plus.
Les photos d'un visage qui porte les stigmates de violences conjugales publiées sur Instagram... Ce visage est celui de Judith Chemla. Un...
► ► ► ► ► ► A la suite de sa publication sur Instagram et de son intervention bouleversante sur les ondes de la radio, Judith Chemla a reçu de très nombreux soutiens sur les réseaux sociaux. J'étais sidérée. Il faut un déclic"— France Inter (@franceinter) #le79inter pic.twitter.com/nXbI5Rrt3B July 6, 2022 Dans un post Instagram, l'actrice Judith Chemla accuse son ex-compagnon, condamné à 8 mois de prison avec sursis pour violences conjugales, d'exercer encore des pressions. J'exige d'avoir la paix", peut-on lire sur son post Instagram, se demandant si elle devait à nouveau porter plainte. "Je n'en peux plus. Son visage porte les stigmates de violences : un œil tuméfié et une pommette ouverte.
Selon l'actrice, son ancien compagnon, malgré sa condamnation, poursuit ses pressions et son « harcèlement ».
« Je l’ai aimé, pendant un an je l’ai protégé, malgré ça », raconte-t-elle à France Inter. Lorsque les policiers arrivent après son agression de juillet 2021, « ils me disent, il faut porter plainte, parce qu’après c’est le féminicide (…). Et moi, je suis sidérée, je ne pouvais pas me dire que j’allais porter plainte contre le père de ma fille. « Malgré des menaces, malgré cette peine, il continue à penser que c’est une victime (…). Il se sent au-dessus des lois », mais « il devrait avoir honte et se tenir tranquille », a déploré Judith Chemla sur France Inter. « Après quatre mois d’un harcèlement intense », une deuxième plainte a abouti à « quinze jours » de détention provisoire, selon elle, et une condamnation à huit mois d’emprisonnement avec sursis a été prononcée le 12 mai.
L'actrice s'est exprimée sur son compte Instagram en postant plusieurs photos de son visage tuméfié, suite à l'agression qu'elle a subi l'an dernier de la ...
Interrogée par Léa Salamé sur France Inter, l’actrice dit avoir reçu beaucoup de messages de soutien et de remerciements de la part d’autres femmes victimes de violence qui ont décidé, après son témoignage, de « reprendre [leur] combat ». Judith Chemla poursuit en s’adressant à toutes les victimes de violences conjugales : « Mesdames, n’ayez pas peur, ne retirez jamais, jamais, jamais une plainte que vous déposez. […] Certaines femmes n’ont plus le courage de se battre. “Il y a un an mon visage a été blessé, du bleu, du violet sous mon œil, je me suis vue déformée. Il y a un an j’ai regardé mon visage dans la glace et j’ai su que je ne pourrai plus me voiler la face. Le père de ma fille”, écrit-elle, avant de poursuivre, plus loin : “Il devrait avoir honte aujourd’hui, un an après, au lieu de continuer à faire pression sur moi, de penser qu’il a encore les moyens de me manipuler, au lieu de pourrir la tête de mon enfant il devrait avoir honte et se faire discret, chercher vraiment à être pardonné. Ce n’est pas le cas.
Sur France Inter, l'actrice, victime de violences conjugales, a exhorté les femmes à ne pas retirer leur plainte. Ernestine Ronai, de l'Observatoire des ...
Demandez de l’aide pour pouvoir être protégée. La plainte n’est pas obligatoire : souvent, les femmes ont trop peur, d’autant plus que les agresseurs leur disent souvent : «Si tu parles, je te tue». Elles ne vont donc pas forcément porter plainte, mais par contre, elles peuvent trouver de l’aide auprès d’assistantes sociales, d’associations, et ainsi cheminer avec quelqu’un qui va les aider à être protégées jusqu’à la plainte. On m’a intimidée, on m’a culpabilisée.» Pour Ernestine Ronai, cofondatrice de l’Observatoire des violences envers les femmes de Seine-Saint-Denis, cette prise de parole peut contribuer à «une prise de conscience» de la dangerosité des hommes violents. C’est très fréquent que les pères violents se victimisent aux yeux de leur enfant, l’instrumentalisent en essayant de se présenter comme victimes, alors qu’ils sont agresseurs, pour mettre l’enfant de leur côté, contre la mère. L’un des combats à mener aujourd’hui consiste à mon sens à faire en sorte que l’impact des violences sur les enfants soit mieux compris par les femmes elles-mêmes, et bien sûr, par notre société. Cela implique que lorsqu’il y a des violences dans un couple, il est possible, au moins pendant un temps, d’exercer ce droit de visite dans un espace de rencontre. Ce qui veut dire que pour ce type de profils, il faut parfois des mesures plus contraignantes, encore plus sévères, qui permettent de réellement protéger les femmes, et donc, de protéger les enfants. Depuis 2018, avec la loi Schiappa, on a obtenu que la présence des enfants au moment des violences soit reconnue comme une circonstance aggravante. Contactée par Libération, l’avocate de l’intéressé, Me Elise Arfi, dénonce un «lynchage» ainsi que de «l’acharnement» et affirme que la condamnation concerne «un seul fait de violence, et non des violences habituelles», que son client a reconnu.
L'actrice Judith Chemla s'est exprimée au micro de FranceInter ce mercredi 6 juillet, au sujet des violences conjugales dont elle a été victime.
Alors que Judith Chemla avait révélé mardi 4 juillet avoir subi des violences de la part de son ancien compagnon Yohan Manca, l'actrice s'est exprimée ce mercredi 6 juillet au micro de FranceInter. Sur Instagram, elle avait notamment partagé des photos de son visage tuméfié accompagné d'un récit glaçant. l'essentiel L'actrice Judith Chemla s'est exprimée au micro de FranceInter ce mercredi 6 juillet, au sujet des violences conjugales dont elle a été victime. Dans son post Instagram, déjà, Judith Chemla révélait que l'homme continuait à faire pression sur elle, un an après les faits.