Resident Evil

Netflix und Capcom haben die heiß erwartete Serie zu Resident Evil auf Netflix gestartet, die zunächst aus acht Folgen besteht. Die ...

Doch je mehr Zeit man dort verbringt, desto mehr erkennt man, dass die Stadt mehr ist, als sie scheint, und dass ihr Vater möglicherweise dunkle Geheimnisse verbirgt. Für den Cast konnte man Lance Reddick in der Rolle von Albert Wesker gewinnen, ebenso Ella Balinska, und Andrew Dabb (Supernatural), der das Script zur Serie geschrieben hat. Die Protagonistin Jade kämpft ums Überleben in dieser neuen Welt, während die Geheimnisse aus ihrer Vergangenheit – über ihre Schwester, ihren Vater und sich selbst – sie weiterhin verfolgen.

Die erste Staffel von "Resident Evil" ist bei Netflix gestartet und fügt dem Franchise-Kosmos neben diversen Filmen und Videospielen nun auch noch eine ...

Resident Evil bewerten Resident Evil RESIDENT EVIL

Neuer Horror-Stoff bei Netflix: Seit heute findet ihr auf dem Streaming-Dienst die brandneue Resident Evil-Serie mit acht Episoden.

Potential hat die neue Resident Evil-Serie auch deshalb, weil sie nicht wie der Film-Flop von letztem Jahr die Geschichte der Videospiele neu erzählen will, sondern auf eigenen Füßen steht. Juli, exklusiv auf Netflix verfügbar und zwar alle Folgen auf einmal. In rund sieben Stunden erwarten euch dort die beiden Töchter von Umbrella-Gründer Albert Wesker, die nach New Raccoon City ziehen und Nachforschungen zu ihrem Vater anstellen.

La franchise de jeux vidéo, déjà maltraitée au cinéma, ne fait pas mieux avec une série B sans originalité, médiocrement produite et incarnée.

Créée par Andrew Dabb, ancien producteur de Supernatural, cette version de Resident Evil suit Albert Wesker, scientifique chez Umbrella (un personnage important du jeu) et ses filles ados Billie et Jade. Elle est divisée en deux temporalités, 2022, début de l’apocalypse, et 2036, monde post-apocalyptique. Dans la foulée de l’adaptation de Halo, et en attendant celles de The Last of Us, Fallout, Final Fantasy ou encore Mass Effect, son univers est développé en série par Netflix. - Sans engagement

Resident Evil est de retour, sur Netflix, avec une série qui s'intéresse à Wesker, l'un des grands méchants des jeux vidéo. Critique des 4 premiers épisodes ...

Entre l'incident de Old Raccoon City qui rappelle beaucoup les événements de Resident Evil 3 : Nemesis, Evelyn Marcus qui renvoie au co-fondateur d'Umbrella dans les jeux, et bien sûr la figure de Wesker au milieu, la série sème des indices aussi discrets que des parpaings. Après 4 épisodes, la série Resident Evil se présente comme une nouvelle preuve que personne ne sait comment et pourquoi adapter les jeux vidéo cultes. Il faudra au moins ça pour digérer la partie pré-apocalypse gentiment insupportable, et une écriture qui ferait passer l'intro du jeu de 1996 pour du Aaron Sorkin. Le fan de Resident Evil pourra compter sur les doigts d'une grosse main dodue les monstres tirés des jeux, et se repaître de quelques images sanglantes. Ce n'est jamais très inventif, c'est même souvent bancal, et la photo est parfois illisible dans l'obscurité, mais c'est au-dessus de la moyenne des mauvaises séries torchées avec zéro effort. Entre un mini-décor aux frontières de la parodie Mad Max, un tunnel encombré de voiture et un horizon international pour la suite, tout l'imaginaire post-apo est là. Le cahier des charges est rempli, même s'il est largement inspiré par les pires jeux vidéo (et films) de la saga. D'un bras qui s'arrache sur le carrelage d'une salle de bain à des lickers qui ont rarement été aussi puissants, en passant par une araignée très énervée, un petit seau de sang chaud et chairs fraîches est jeté sur les murs à partir des épisodes 3 et 4. Un remake de Resident Evil 4 sortira en mars 2023, la suite de Resident Evil: Village est une solide option, un nouveau film Resident Evil pourrait arriver, et Netflix a également mis la main sur le paquet. La richesse de la direction artistique ferait passer les Paul W.S. Anderson pour du Terry Gilliam, et la pauvreté générale est presque comique. Après l'affreuse série animée Resident Evil : Infinite Darkness, voici donc venue une série en prises de vue réelles, centrée sur Wesker et sa petite famille. C'est un nouveau stade de mutation logique pour la saga, qui s'autorecycle et s'autoparodie depuis une bonne décennie, en injectant régulièrement une nouvelle babiole. Inutile de chercher des réponses, puisque cette série vaguement adaptée des jeux vidéo est bel et bien un gigantesque pot-pourri.

Im Kino hat das mit dem Reboot des Game-Klassikers nicht wirklich hingehauen und Milla Jovovich mag auch nicht mehr Zombies jagen.

Allerdings lässt man die Geschichte halt dann auch etwas ausplätschern, bringt neue Faktoren in's Spiel (Cloning) und lässt sich Zeit bei den ruhigeren Charaktermomenten, die man eigentlich gar nicht braucht. Zwar gibt es weiterhin offene Punkte und beim Storytelling drücken wir auch mal ein Auge zu, aber in Sachen Virus-Opfer und Gruselatmosphähre bietet die Serie zwischendurch angenehmes Niveau. Für Staffel Zwei wünschen wir uns eine Vollgas-Season ohne Wenn und Aber. Das hätte das Franchise nämlich schon lange verdient. Diese (wahrscheinlich) erste Staffel hat leider ihre Durchhänger, nachdem die Story in den interessanten Episoden eins und zwei etwas Fahrt aufgenommen hat. Immer monströsere Mutationen tauchen auf und die Menschheit dürfte in nächster Zeit wohl endgültig den Kampf verlieren. Wie die ganze Umbrella Company auch, die den Schwestern schon bald die Hölle heiss macht. Im Jahr 2036 lebt Jade (Ella Balinska) im apokalyptischen London und sieht sich regelmässig Horden von Zombies gegenüber, die seit der grossen Katastrophe zahlenmässig den gesunden Menschen deutlich überlegen sind.