Ce mercredi 20 juillet 2022, un homme a tué cinq membres d'une même famille à Douvres (Ain). Le forcené a été tué par le GIGN.
« Ce matin à 8 h 30, les gendarmes m’ont demandé de ne pas ouvrir mon bar », a raconté à l’AFP Tania, trentenaire qui tient le café du village depuis mars. Selon Christian Limousin, maire de Douvres, petite commune voisine d’Ambérieu-en-Bugey, cette famille résidait dans la maison depuis juillet 2020 et « commençait à s’investir dans le village ». Le forcené s’était retranché dans une maison de Douvres, une petite commune située à quelques dizaines de kilomètres de Bourg-en-Bresse, depuis la veille, mardi 19 juillet.
Le village d'un millier d'habitants était sous le choc mercredi après le drame survenu dans la nuit. Cinq membres d'une famille recomposée, deux adultes et ...
On en sait un peu plus sur les événements qui ont mené à la mort de cinq membres d'une même famille. Retranché dans une maison de Douvres depuis ce mardi 19 ...
L'enquête pour homicides volontaires ouverte par le parquet est confiée à la gendarmerie. On en sait un peu plus sur les événements qui ont mené à la mort de cinq membres d'une même famille. Les gendarmes étaient sur place depuis 23 h 30 ce mardi.
C'est un nouveau cycle qui démarre avec l'arrivée de Thomas Léger à Douvres (N2F). L'ancien joueur du Caen BC, Lisieux et Bayeux a remplacé Antoine Dufour, ...
Un homme de 22 ans a tué 5 membres de sa familles dont un enfant de 5 ans et deux adolescentes de 15 et 17 ans. Il a été abattu par le GIGN, à Douvres dans ...
L'enquête pour homicides volontaires ouverte par le parquet et confiée à la gendarmerie. Il a été abattu par le GIGN, à Douvres dans l'Ain dans la maison familiale où il s'était retranché Le forcené était le fils, du père de cette famille installée à Douvres depuis juillet 2021.
Un forcené a été abattu par le GIGN mercredi à la mi-journée à Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. L'homme s'était retranché mardi soir dans une maison ...
Selon le maire de la commune, le forcené était âgé de 22 ans. Un homme d'une vingtaine d'années a été abattu par le GIGN mercredi à la mi-journée après avoir tué cinq membres d'une même famille, dont trois enfants, à Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. Les gendarmes ont été alertés mardi soir, en début de soirée, par l'individu lui-même. Il leur a indiqué qu'il venait de tuer cinq personnes. Il a finalement été abattu à la mi-journée ce mercredi.
DOUVRES. Mercredi 20 juillet 2022, un homme a été abattu par le GIGN à Douvres, dans l'Ain. Il a tué cinq personnes d'une même famille, dont trois mineurs.
Le lien de parenté entre le tueur et la famille n'est toutefois pas confirmé par le parquet et une enquête est en cours pour déterminer ce lien de filiation. La prise d'otage a duré toute la nuit, ainsi que toute la matinée. Le GIGN a été envoyé sur place en début de journée, vers 7 heures, selon les informations recueillies par Le Figaro, tandis que des coups de feu auraient été entendus durant la matinée, selon des témoins cités par les journaux locaux. Le procureur de la République rapporte qu'il était "déterminé", et une source de la gendarmerie ajoute qu'il portait un gilet pare-balles. Mardi 19 juillet, en début de soirée, un homme s'est retranché dans une maison à Douvres, dans l'Ain, à 60 km au nord-est de Lyon. Il a alors pris en otage au cinq personnes qui étaient également présentes dans le domicile. Il s'était retranché dans une pièce avec un sabre et un fusil, selon ce même communiqué. L'homme pointait ses armes en direction du GIGN, ce qui a poussé les gendarmes à ouvrir le feu. [Mis à jour le 20 juillet 2022 à 22h16] Mercredi 20 juillet 2022, un homme de 22 ans a tué cinq membres d'une même famille, à Douvres, dans l'Ain. L'homme, qui a ensuite été abattu par le GIGN, serait le fils du père de famille, issu d'une première union et ne vivait pas avec la famille.
Cinq membres d'une même famille recomposée, dont trois mineurs, ont été retrouvés morts mercredi à Douvres (Ain), victimes d'un jeune homme de 22 ans qui a ...
En août 2009, c'est le jeune Andy (16 ans) qui tue ses parents et ses frères jumeaux (10 ans) avec le fusil de chasse de son père, dans la maison familiale d'Albitreccia (Corse-du-Sud). Il reconnaît les crimes sans fournir d'explication, et se retrouve déclaré irresponsable par la cour d'assises en 2012. Le parquet de Bourg-en-Bresse ne s’est pas étendu sur l’identité précise des cinq victimes, et on sait simplement que le tueur était donc « lui aussi membre de cette famille ». Selon Le Parisien, les victimes à l'arme blanche sont son père, directeur d’une entreprise du bâtiment dans l’Ain, sa belle-mère, et trois mineurs. Que ce soit au moment des tentatives de négociation initiées par les gendarmes, ou lors de l’assaut du GIGN, le comportement du jeune homme suggère qu’il était prêt à mourir mercredi. Ils constatent que le mis en cause déterminé s’est réfugié dans une pièce fermée du pavillon, le torse et les membres revêtus de protections, et armé d’un sabre et d’un fusil à canon long. Le quintuple meurtre d’une famille recomposée, suivi du décès de l’auteur des faits, abattu à 11h35 par le GIGN, a été officialisé mercredi soir par le parquet de Bourg-en-Bresse. 20 Minutes revient sur les principales questions que soulève la sanglante affaire, depuis l’état de siège de cette maison de Douvres, dans la nuit de mardi à mercredi. Dès 23 heures mardi, le centre opérationnel de la gendarmerie de l’Ain est avisé que « plusieurs membres d’une famille de Douvres ont probablement été tués par un individu âgé d’une vingtaine d’années, lui aussi membre de cette famille », comme l’explique le procureur de la République de Bourg-en-Bresse Christophe Rode. Lorsque les gendarmes se rendent dans la foulée sur les lieux, ils ont donc peu d’espoir de trouver trace de personnes en vie, le tueur présumé mis à part.
Que s'est-il passé derrière les murs de cette maison du 401 route d'Ambérieu ? Seule l'enquête qui vient de débuter permettra peut-être d'éclaircir ...
Un homme de 22 ans a été abattu par le groupe d'élite de la gendarmerie française mercredi. Il a tué cinq membres de sa famille recomposée.
«J’étais surprise quand j’ai appris la nouvelle, car, dans le village, il y a toujours eu une bonne ambiance», certifie Tania, 35 ans, patronne depuis mars du bar-pizzeria de la Babillière sur la place de Douvres. «En tout cas, ce n’était pas des gens du bar, je ne les connaissais pas». Il a tué cinq membres de sa famille recomposée. «C’est particulier comme situation» et «mettre des mots sur comment on le vit», c’est «compliqué», admet le jeune homme de 21 ans, casquette et bras croisés. Dans ce village de la région naturelle du Bas Bugey, sise entre Lyon et Genève, ce qui s’est passé «peut perturber» et «soulever beaucoup de questions», témoigne de son côté Hugo Sanial, employé dans le préfabriqué béton. Le forcené, réfugié dans une pièce fermée du pavillon, était «déterminé», a affirmé le procureur de la République, Christophe Rode. Malgré «plusieurs sommations adressées» pour qu’il dépose les armes, le jeune homme s’est avancé en direction des gendarmes qui ont alors fait usage «à quatre reprises de leurs armes». Les secours ont tenté de le ranimer mais il est décédé vingt minutes plus tard. «Choqué que ça arrive ici», confie à l’AFP Hervé, assis torse nu sur des palettes, qui, comme beaucoup d’habitants, rechigne à décliner son identité. «Parce que c’est calme Douvres, on est un petit village tranquille, tout le monde se connaît, on est une famille», décrit le cuisinier barbu de 30 ans, qui a jadis participé à l’installation de l’électricité dans la maison des victimes.
Un jeune homme de 22 ans a tué cinq membres de sa famille à Douvres (Ain) mercredi 20 juillet, avant d'être neutralisé par le GIGN.
Cette dernière avait quitté l’Aquitaine pour venir s’installer dans l’Ain avec sa fille de 15 ans, qu’elle avait eue d’une précédente union. Les cinq victimes seraient son père, sa belle-mère, sa sœur âgée de 17 ans, la fille de sa belle-mère âgée de 15 ans et son demi-frère, de 5 ans. Il a été abattu par les gendarmes au sein du domicile familial.
DOUVRES. Le profil sur le forcené qui a tué cinq personnes, dont trois enfants, à Douvres (Ain) mercredi se précise. Les derniers éléments.
L'auteur des faits ne vivait pas dans cette maison, habitée par, a priori, son père, sa compagne (qui n'était pas sa mère) ainsi que trois enfants, dont le lien familial n'a pas encore été précisé. Le jeune homme s'était retranché dans une pièce avec un sabre et un fusil, selon ce même communiqué. L'homme pointait ses armes en direction du GIGN, ce qui a poussé les gendarmes à ouvrir le feu. La prise d'otage a duré toute la nuit, ainsi que toute la matinée. Le GIGN a été envoyé sur place en début de journée, vers 7 heures, selon les informations recueillies par Le Figaro, tandis que des coups de feu auraient été entendus durant la matinée, selon des témoins cités par les journaux locaux. C'est donc bien un fils qui a décimé toute une famille avant de trouver la mort, à Douvres (Ain), mercredi 20 juillet. Alors que l'auteur des faits a été abattu par les forces de l'ordre, l'enquête débute pour tenter de déterminer les raisons qui ont poussé l'assassin à passer à l'acte. Les premiers éléments ont tout de même déjà permis d'établir le profil d'un homme qui n'habitait pas le village dans lequel s'était installée la famille depuis un an. Mardi 19 juillet, en début de soirée, un homme s'est retranché dans une maison à Douvres, dans l'Ain, à 60 km au nord-est de Lyon. Il a alors pris en otage au cinq personnes qui étaient également présentes dans le domicile. Il s'agit d'un couple et de ses trois enfants : deux filles de 17 et 15 ans, ainsi qu'un jeune garçon de 5 ans.
Un homme de 22 ans a été abattu par le groupe d'élite de la gendarmerie française mercredi. Il a tué cinq membres de sa famille recomposée.
«J’étais surprise quand j’ai appris la nouvelle, car, dans le village, il y a toujours eu une bonne ambiance», certifie Tania, 35 ans, patronne depuis mars du bar-pizzeria de la Babillière sur la place de Douvres. «En tout cas, ce n’était pas des gens du bar, je ne les connaissais pas». Il a tué cinq membres de sa famille recomposée. «C’est particulier comme situation» et «mettre des mots sur comment on le vit», c’est «compliqué», admet le jeune homme de 21 ans, casquette et bras croisés. Dans ce village de la région naturelle du Bas Bugey, sise entre Lyon et Genève, ce qui s’est passé «peut perturber» et «soulever beaucoup de questions», témoigne de son côté Hugo Sanial, employé dans le préfabriqué béton. Le forcené, réfugié dans une pièce fermée du pavillon, était «déterminé», a affirmé le procureur de la République, Christophe Rode. Malgré «plusieurs sommations adressées» pour qu’il dépose les armes, le jeune homme s’est avancé en direction des gendarmes qui ont alors fait usage «à quatre reprises de leurs armes». Les secours ont tenté de le ranimer mais il est décédé vingt minutes plus tard. «Choqué que ça arrive ici», confie à l’AFP Hervé, assis torse nu sur des palettes, qui, comme beaucoup d’habitants, rechigne à décliner son identité. «Parce que c’est calme Douvres, on est un petit village tranquille, tout le monde se connaît, on est une famille», décrit le cuisinier barbu de 30 ans, qui a jadis participé à l’installation de l’électricité dans la maison des victimes.
Alexis D., 22 ans, a tué cinq membres de sa famille mardi soir dans l'Ain, avant d'être abattu par les gendarmes le lendemain. Pour le voisinage de Douvres, ...
Une centaine de gendarmes, dont certains du GIGN, ont encerclé la maison pendant une interminable nuit. Une centaine de gendarmes, dont certains du GIGN, ont encerclé la maison pendant une interminable nuit. Le meurtrier présumé a lui-même averti les forces de l’ordre, avant de se retrancher dans une maison située à l’entrée du bourg.
Le jeune homme a tué ses proches à l'arme blanche. Il n'a pas répondu aux sommations des gendarmes qui ont ouvert le feu. Les habitants sont sous le choc.
Ce drame constitue l’une des tueries familiales les plus meurtrières en France de ces dernières années. Le parquet a ouvert une enquête pour homicides volontaires. », s’étouffe cette préparatrice de commande résidant près de ce village voisin d’Ambérieu-en-Bugey. Le forcené, réfugié dans une pièce fermée du pavillon, était «déterminé», selon le procureur. Le père, Lilian Darbon possédait sa propre entreprise de menuiserie, rapporte «Le Progrès». Il avait notamment étudié au lycée Carriat de Bourg-en-Bresse. Il était parti vivre à Bordeaux il y a de ça quelques années, ville où il avait probablement rencontré sa compagne actuelle: Nathalie Jullion. Cette dernière avait quitté l’Aquitaine pour venir s’installer dans l’Ain avec sa fille de 15 ans, qu’elle avait eue d’une précédente union. «Je suis maman d’un petit garçon et je me dis "mais comment un enfant peut faire ça à sa famille?" Il a été mortellement blessé mercredi par le GIGN après s’être retranché dans la maison pendant toute la nuit, refusant obstinément de se rendre.
Les barrages de gendarmes sont toujours là mais autour les rues sont désertes: au lendemain de la découverte d'un quintuple meurtre familial, les habitants ...
«Les gens sont fous (...) qu'est-ce qui se passe dans leur tête?», s'inquiète Marina Morabito, 28 ans. Dans ce village de la région du Bas Bugey, à une centaine de kilomètres de Genève, ce qui s'est passé «peut perturber» et «soulever beaucoup de questions», témoigne de son côté Hugo Sanial, employé dans le préfabriqué béton. «C'est particulier comme situation» et «mettre des mots sur comment on le vit», c'est «compliqué», admet le jeune homme de 21 ans, casquette et bras croisés. Le forcené, réfugié dans une pièce fermée du pavillon, était «déterminé», a affirmé le procureur de la République, Christophe Rode. Malgré «plusieurs sommations adressées» pour qu'il dépose les armes, le jeune homme s'est avancé en direction des gendarmes qui ont alors fait usage «à quatre reprises de leurs armes». Les secours ont tenté de le ranimer mais il est décédé vingt minutes plus tard. «C'est une tragédie», se désole Pascale, 55 ans, mains serrées dans le dos et gorge nouée. «Ce que je me demande, c'est 'qu'est-ce qui pousse un jeune à faire ça'», souffle cette habitante du village depuis trois ans. «Choqué que ça arrive ici», confie à l'AFP Hervé, assis torse nu sur des palettes, qui, comme beaucoup d'habitants, rechigne à décliner son identité. «Parce que c'est calme Douvres, on est un petit village tranquille, tout le monde se connaît, on est une famille», décrit le cuisinier barbu de 30 ans, qui a jadis participé à l'installation de l'électricité dans la maison des victimes.
On en sait un peu plus sur le terrible drame qui s'est déroulé entre lundi et mercredi à Douvres. Un homme de 22 ans a tué cinq membres de sa famille avant ...
Le procureur de la République, Christophe Rode, a confirmé que Matthieu Darbon, 22 ans, était bien l’auteur du quintuple homicide. Les gendarmes ont poursuivi leurs investigations ce jeudi 21 juillet, dans la maison où s’est déroulé le drame familial. Tuerie de Douvres: «Il avait l’intention de tirer aussi sur les gendarmes»
Ce drame constitue l'une des tueries familiales les plus meurtrières en France de ces dernières années. Le parquet a ouvert une enquête pour homicides ...
Les cinq membres d'une famille recomposée ont été tués par un parent d'une vingtaine d'années, qui a été mortellement blessé mercredi par le GIGN. Il s'était retranché dans la maison pendant toute la nuit, refusant obstinément de se rendre. "C'est particulier comme situation" et "mettre des mots sur comment on le vit", c'est "compliqué", admet le jeune homme de 21 ans, casquette et bras croisés. "Les gens sont fous (...) qu'est-ce qui se passe dans leur tête?", s'inquiète Marina Morabito, 28 ans. Une connaissance de la famille a indiqué à l'AFP que l'auteur de la tuerie avait 22 ans et travaillait dans une enseigne de restauration rapide dans une ville voisine. "C'est une tragédie", se désole Pascale, 55 ans, mains serrées dans le dos et gorge nouée. "Ce que je me demande, c'est 'qu'est-ce qui pousse un jeune à faire ça'", souffle cette habitante du village depuis trois ans. "Choqué que ça arrive ici", confie à l'AFP Hervé, assis torse nu sur des palettes, qui, comme beaucoup d'habitants, rechigne à décliner son identité. "Parce que c'est calme Douvres, on est un petit village tranquille, tout le monde se connaît, on est une famille", décrit le cuisinier barbu de 30 ans, qui a jadis participé à l'installation de l'électricité dans la maison des victimes.
L'auteur du quintuple meurtre à Douvres, abattu par le GIGN ce mercredi 20 juillet, était peu connu dans ce village du Bugey.
» Pour les habitants de la commune, Matthieu Darbon est un inconnu. Le Progrès, en tant que responsable de traitement, recueille dans ce formulaire des informations qui sont enregistrées dans un fichier informatisé par son Service Relations Clients, la finalité étant d’assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services souscrits. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.