1er aout Suisse

2022 - 8 - 1

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Les conseillers fédéraux donnent leur mot d'ordre à l'occasion du ... (RTS.ch)

A l'occasion de la Fête nationale, les conseillers fédéraux, en déplacement dans toute la Suisse, ont présenté leur traditionnel discours à la population.

"A l'occasion de la Fête nationale, rappelons-nous ce qui nous unit vraiment", a conclu Alain Berset. "Mais à la fin, chacun s'est remis en question et a fait des compromis", a conclu la socialiste. La période troublée actuelle montre "qu'il y a des gens qui veulent bien faire, qui assument leurs responsabilités et qui font preuve de solidarité. Rien que cela est réconfortant", a-t-il dit. Guy Parmelin a appelé les Suisses à célébrer la Fête nationale malgré l'atmosphère de crise régnant dans le pays. Le socialiste s'est montré optimiste à cet égard: nous savons tous que nous ne devons pas nuire à la culture politique, a-t-il dit. "Tout le monde est mis à contribution", a-t-il assuré, "notre société et nos institutions. Avant son discours, le président de la Confédération a rencontré la population. Ils sèment la zizanie par le biais des réseaux sociaux bien au-delà de leurs frontières et jusqu'en Suisse, a déploré la Valaisanne. "Depuis le début de la pandémie, nous vivons dans un mode de crise permanent. Outre un tablier et une saucisse, le ministre a reçu de ses hôtes des cartes de jass, "au cas où il s'ennuierait un jour au Conseil fédéral". Au vu de la "grande diversité" des membres du gouvernement, cela ne lui arrivera certainement pas, a assuré le Tessinois. "Il est également important que nous réapprenions à nous réconcilier", une capacité particulièrement importante en ces temps agités par les réseaux sociaux, selon le ministre. Elle se poursuit lundi avec, notamment, la visite du président de la Confédération Ignazio Cassis à Lausanne.

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Fête nationale: la Russie a adressé ses félicitations à la Suisse à l ... (Arcinfo)

L'ambassade russe a diffusé à plusieurs reprises des tweets négatifs à l'égard de la Suisse. Ainsi, l'ambassadeur russe Sergei Garmonin a mis en ligne en avril ...

Mme Zakharova y reprochait au président de la Confédération et au ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis une mauvaise compréhension de l’histoire. Elle annonçait en outre, sur un ton menaçant, que la Russie surveillerait de près la neutralité suisse. La Russie avait classé la Suisse dans le camp des «pays inamicaux» après l’adoption des sanctions de l’UE. L’ambassade russe a diffusé à plusieurs reprises des tweets négatifs à l’égard de la Suisse. Ainsi, l’ambassadeur russe Sergei Garmonin a mis en ligne en avril une prise de position de Maria Zakharova, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères au Kremlin. L’ambassade a rendu public son geste via Twitter. «Félicitations pour la fête nationale», a-t-elle tweeté.

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Pour la première fois, de la lutte au Grütli (Le Temps)

Il fait ainsi un tour du pays en train et sera accueilli en fin de journée à Lausanne. Alors que monte le débat sur la neutralité, le ministre des Affaires ...

A 10h, le président de la Confédération Ignazio Cassis a fait sa première halte à Knonau (ZH) vers 10h00. «Nous avons le privilège de vivre dans un pays qui offre des perspectives uniques, grâce à l’engagement, à la volonté et la responsabilité de ses citoyens. Son discours a été peu politique, relève notre journaliste à Berne Michel Guillaume. La cheffe du Département fédéral de justice et police s’est contentée de deux phrases sur la guerre en Ukraine, mais n’a pas pipé mot sur le dossier européen, enlisé comme jamais. En ce jour de fête nationale, elle a préféré insister sur les valeurs pour lesquelles il faut se battre plus que jamais. Il veut ainsi marquer le 175e anniversaire des chemins de fer suisses. Plusieurs départs de feu sont survenus à Sion samedi soir suite aux tirs d’engins pyrotechniques qui étaient pourtant interdits. On met le tweet en russe pour la VO, mais il existe en allemand. Le président de la Confédération Ignazio Cassis fait un tour du pays en train. L'allocution officielle du président de la Confédération pour 2022 est en ligne. Ceci fortifie les institutions et leur force d’innovation. Sa réussite, la Suisse la doit à ces atouts qu’elle a su mettre à profit. La plaine historique accueille des jeunes lutteurs. Cette planète est également notre maison.

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Le 1er août assagi de Christoph Blocher (Le Temps)

Le tribun zurichois a livré un discours peu politique. Le Grütli accueille des jeunes lutteurs.

A 10h, le président de la Confédération Ignazio Cassis a fait sa première halte à Knonau (ZH) vers 10h00. «Nous avons le privilège de vivre dans un pays qui offre des perspectives uniques, grâce à l’engagement, à la volonté et la responsabilité de ses citoyens. Son discours a été peu politique, relève notre journaliste à Berne Michel Guillaume. La cheffe du Département fédéral de justice et police s’est contentée de deux phrases sur la guerre en Ukraine, mais n’a pas pipé mot sur le dossier européen, enlisé comme jamais. En ce jour de fête nationale, elle a préféré insister sur les valeurs pour lesquelles il faut se battre plus que jamais. Il veut ainsi marquer le 175e anniversaire des chemins de fer suisses. Plusieurs départs de feu sont survenus à Sion samedi soir suite aux tirs d’engins pyrotechniques qui étaient pourtant interdits. On met le tweet en russe pour la VO, mais il existe en allemand. L’allocution officielle du président de la Confédération pour 2022 est en ligne. S’attardant longuement sur l’histoire suisse, il a beaucoup improvisé. Il a gardé ces reparties qui lui attirent les sympathies de son auditoire et son ample gestuelle. Ceci fortifie les institutions et leur force d’innovation. Sa réussite, la Suisse la doit à ces atouts qu’elle a su mettre à profit. Le tribun zurichois a livré un discours peu politique. Le 1er août, ce n’est pas l’Albisgüetli. Le discours de Schaffhouse s’est avéré beaucoup moins politique que la traditionnelle grand-messe de l’UDC se déroulant en janvier sur les hauteurs de Zurich. Venu sans manuscrit, Christoph Blocher n’a ainsi pas abordé la question de la guerre en Ukraine et n’a pas répété que la Suisse avait «pris parti contre la Russie», ce qu’il a claironné dans de nombreuses interviews.

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