al-Zawahiri

FOCUS - Introuvable depuis 10 ans, le chef terroriste a été tué dans une attaque de drone américain dans la nuit de samedi à dimanche.

En 1997, six assaillants déguisés en membres des forces de sécurité tuent 62 personnes - principalement des touristes - dans un temple près de Louxor en Égypte. Les Avant-Gardes de la conquête, une faction du Djihad islamiste, sont soupçonnées d'être à l'origine du massacre. Près de 3000 personnes sont tuées. Ayman al-Zawahiri était considéré comme l'un des cerveaux des attentats. Selon des médias étrangers, il aurait été régulièrement torturé et battu par les autorités pendant sa peine, «une expérience qui l'aurait transformé en un extrémiste fanatique et violent», relate la BBC. Ayman al-Zawahiri est arrêté avec des centaines d'autres membres du groupe. Pendant plus de vingt ans, il avait été le numéro deux d' Oussama Ben Laden. Il lui avait succédé en 2011, après que le fondateur de l'organisation terroriste avait trouvé la mort au Pakistan dans un raid des forces spéciales américaines. Les États-Unis avaient promis 25 millions de dollars pour tout renseignement permettant de retrouver Zawahiri. Attentats contre le gouvernement égyptien, massacre du Louxor, attentats du 11 septembre 2001... «Samedi, sur mes ordres, les États-Unis ont mené à bien une frappe aérienne sur Kaboul, en Afghanistan, qui a tué l'émir d'al-Qaida, Ayman al-Zawahiri», a-t-il lancé lors d'une courte allocution depuis la Maison-Blanche, ajoutant que «justice a été rendue et ce dirigeant terroriste n'est plus».

[VIDÉO] ▶️ Le chef d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, a été tué par un tir de drone américain, à Kaboul, en Afghanistan. Sorti sur le balcon de sa maison, ...

La précision est telle que l'individu est neutralisé sans dégâts collatéraux", a indiqué Alain Rodier, directeur adjoint du Centre français de recherche sur le renseignement. C'est du ciblage de très haut niveau. Il semblerait qu'(Ayman al-Zawahiri) ait été haché menu", a détaillé le militaire. Une prouesse rendue possible par l'utilisation d'une arme, dont l'existence n'a jamais été confirmée par les États-Unis : le missile Hellfire R9X "flying ginsu", du nom d'une marque américaine de couteaux inspirés du Japon. "C'est une espèce d'étoile ninja qui en arrivant sur la cible la découpe en rondelles. La véritable particularité de ce missile top secret est qu'il ne délivre pas de charge explosive au bout", a expliqué sur LCI, mardi 2 août, le général Nicolas Richoux, ancien commandant de la 7e brigade blindée. Cette version modifiée du missile américain "délivre (six) lames" qui se déploient avant l'impact, sans effet de souffle.

Joe Biden a annoncé lundi soir la mort du chef d'Al-Qaïda, l'Egyptien Ayman al-Zawahiri, tué dans la nuit de samedi à dimanche en Afghanistan par une frappe ...

Cette annonce intervient près d'un an après le chaotique retrait d'Afghanistan des forces américaines, qui avait permis aux talibans de reprendre le contrôle du pays vingt ans après. Ayman al-Zawahiri était l'un des terroristes les plus recherchés au monde et les Etats-Unis promettaient 25 millions de dollars pour tout renseignement permettant de le retrouver. "Samedi, sur mes ordres, les Etats-Unis ont mené à bien une frappe aérienne sur Kaboul, en Aghanistan, qui a tué l'émir d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri", a lancé le président américain, qui s'exprimait depuis la Maison Blanche. "Justice a été rendue et ce dirigeant terroriste n'est plus", a ajouté Joe Biden.

Le Canada, les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite et Israël ont salué l'assassinat du leader islamiste, ce week-end, alors que la France n'a pas encore réagi.

Les forces de la liberté vous traduiront en justice», a-t-il tweeté en fin de matinée. La mort d’Ayman al-Zawahiri survient en terre afghane, dans un pays que les troupes américaines n’étaient pas censées fouler, selon les accords de Doha conclus en 2020 avec les talibans. La mort d’Ayman al-Zawahiri, abattu au cœur de Kaboul par un tir de drone, ce week-end, a suscité de vives réactions dans la communauté internationale.

Les États-Unis auraient tué le chef d'Al-Qaïda à Kaboul au moyen d'un mystérieux missile à lames sans explosif. Un succès du renseignement américain.

Ayman al-Zawahiri, seit dem Tod Osama bin Ladens Chef der Al-Kaida, ist tot. 21 Jahre nach den Anschlägen vom 11. September 2001 versteckte er sich bei den ...

September 2001 versteckte er sich bei den Taliban in Afghanistan 21 Jahre nach den Anschlägen vom 11. Elf Jahre stand sein Nachfolger unbehelligt an der Spitze der Organisation.

Aiman al-Zawahiri führte Al Qaida, und er war auch das Gesicht des Niedergangs des Terrornetzwerks. Sein Leben endete nun auf einem Balkon in Kabul.

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Dans la capitale afghane, les habitants du quartier de Sherpur où a été tué le chef d'Al-Qaida oscillent entre choc.

Dans la capitale afghane, une explosion de plus ou de moins ne fait aucune différence. Personne n’a posé de question jusqu’à l’annonce lundi soir, par le président américain Joe Biden, que la cible de cette attaque n’était autre que l’ancien chirurgien égyptien Ayman al-Zawahiri – successeur d’Oussama ben Laden à la tête d’Al-Qaïda et l’un des terroristes les plus recherchés au monde. Il est dimanche, tout le monde a entendu mais Kaboul se réveille comme si rien ne s’était produit. Dans la capitale afghane, les habitants du quartier de Sherpur où a été tué le chef d’Al-Qaida oscillent entre choc et incrédulité tandis que les talibans se refusent à tout commentaire

Lange stand Aiman al-Zawahiri im Schatten von Osama Bin Laden. Doch er war der Mann, der dem islamistischen Terror in den neunziger...

Zawahiri war fortan lediglich der Stellvertreter von Bin Laden, bis dieser am 2. Er war einer jener Araber, die Ende der Achtzigerjahre dem Aufruf Bin Ladens folgten, in Afghanistan die sowjetische Armee zu bekämpfen und zu vertreiben. Und die Region am Hindukusch war auch der Ort gewesen, an dem der ägyptische Arzt einst mit Osama Bin Laden die Grundlagen für die Neuausrichtung des militanten Islamismus gelegt hatte.

Der sprenggläubige Führer der weltweit operierenden Al-Qaida verstarb gestern Morgen in Kabul. Ein Rückblick auf das bewegte Leben des Terrorfürsten.

Anlässlich des todernsten (sic!) Themas ist die Satire meiner Ansicht nach grenzwertig. An der Vita dieses Islamisten sieht man, dass es keineswegs soziale Mißstände und Armut sind, die Muslime radikal werden lassen. @ Peter Mielcarek: Der Vorteil ist, dass man gar nicht beweisen kann, ob der Getötete Al-Zawhiri ist.

Les États-Unis auraient tué le chef d'Al-Qaïda à Kaboul au moyen d'un mystérieux missile à lames sans explosif. Un succès du renseignement américain.

L'Égyptien Ayman Al Zawahiri, qui avait pris la tête d'Al-Qaida en 2011 après la mort d'Oussama Ben Laden, a été tué dans la nuit du samedi 30 au dimanche ...

Reste qu’en deux décennies de lutte contre le terrorisme, les États-Unis et leurs alliés n’ont pas réussi à en éradiquer le terreau, lié à des problèmes politiques dans plusieurs régions du monde. C’est une des conclusions d’un récent rapport du Conseil de sécurité : Al-Qaida a un peu repris le dessus au sein du mouvement djihadiste par rapport à l’ État islamique, après les récentes défaites de ce dernier. Ces groupes veulent conquérir leur propre pays et affichent parfois quelques ambitions régionales, comme les chebabs au Kenya et en Éthiopie.

Aiman al-Zawahiri war der Strippenzieher der Terrororganisation Al-Kaida. Dass die Amerikaner ihn in einer Villa eines Taliban-Funktionärs aufspürten, ...

einmalig 8,90 € 8,90 € mtl., September 2001 eines der Flugzeuge in die Türme des World Trade Centers in New York flog.

Mathieu Guidère, professeur des universités, chercheur et expert du terrorisme, revient pour « 20 Minutes » sur la mort du chef d'Al-Qaida.

Car dans la région, comme dans de nombreuses autres, Al-Qaida s’est progressivement effacée en faveur de l’EI qui se place comme le « véritable étendard du terrorisme » dans le pays. Or, souligne Mathieu Guidère, « le terrorisme a horreur du vide : quand vous affaiblissez une organisation, vous contribuez mécaniquement à en renforcer une autre ». Par conséquent, « elles vont probablement se concentrer sur du terrorisme local et non plus global », décrypte Mathieu Guidère. « Le commandement central d’Al-Qaida est quasiment décimé » et la mort de son chef préfigure « probablement la fin de la maison mère de l’organisation ». D’autant que Ben Laden a été tué en 2011 et le numéro 3 de l’organisation en 2020. Il avait pris la tête d’Al-Qaida en 2011, après la mort d’Oussama Ben Laden, tué par un commando américain au Pakistan. Introuvable depuis plus de dix ans, il était considéré comme l’un des cerveaux des attentats du 11-Septembre, qui ont fait près de 3.000 morts aux Etats-Unis.

Ancien chirurgien ophtalmologue égyptien, il a pris la tête du réseau terroriste après la mort d'Oussama Ben Laden en 2011.

Au cours du procès collectif, Zawahiri est apparu comme le chef des accusés et a été filmé en train de dire à la cour : "Nous sommes des musulmans qui croyons en notre religion. La guerre ne fait que commencer". La campagne menée par le groupe pour renverser le gouvernement et instaurer un État islamique dans le pays au milieu des années 1990 a entraîné la mort de plus de 1 200 Égyptiens. Zawahiri a pris la tête du Jihad islamique égyptien après sa réapparition en 1993, et a été l'un des principaux artisans d'une série d'attentats perpétrés par le groupe contre des ministres du gouvernement égyptien, dont le Premier ministre, Atif Sidqi. Dans les années qui ont suivi les attentats, Zawahiri est devenu le porte-parole le plus en vue d'Al-Qaida, apparaissant dans 16 vidéos et bandes audio en 2007 - quatre fois plus que Ben Laden - alors que le groupe tentait de radicaliser et de recruter des musulmans dans le monde entier. Zawahiri était numéro deux - derrière Ben Laden - sur la liste des 22 "terroristes les plus recherchés" annoncée par le gouvernement américain en 2001 et sa tête était mise à prix pour 25 millions de dollars.

Der Drohnenschlag gegen ihren Chef vereitelt die globalen Ansprüche des Terrornetzwerkes. Doch ein neuer Anführer könnte auf ein großes Attentat setzen.

Experten werten den US-Schlag gegen Zawahiri deshalb als „Totenglocke“ für den globalen Anspruch der Terrororganisation. Die al-Qaida-Führung dürfte an Einfluss verlieren, lokale Gruppen im Nahen Osten und Afrika werden gestärkt. Gefährlich bleibt al-Qaida trotzdem. Dann feuerte eine amerikanische Drohne eine Rakete auf ein Haus in einem Nobelviertel der afghanischen Hauptstadt Kabul ab. Mit Stolz verkündete US-Präsidenten Joe Biden den Einsatz gegen das Terrornetzwerk: Mit einem „Präzisionsschlag“ sei Aiman al-Zawahiri, Anführer al-Qaidas, getötet worden, sagte Biden in der Nacht auf Dienstag. „Der Gerechtigkeit wurde Genüge getan.“ Monatelang war die Aktion laut US-Angaben vorbereitet worden.

L'assassinat du numéro un de la nébuleuse djihadiste par les États-Unis ce dimanche 31 juillet à Kaboul devrait être sans effet sur...

Après Abdallah Azzam et Oussama ben Laden, la troisième tête fondatrice de l'hydre, de l'organisation, est tombée. Amélie Myriam Chelly : Tout à fait. Et surtout à la concurrence macabre de l'État islamique. Il convient aussi de rappeler que c'est Ayman al-Zawahiri qui a scéllé la séparation avec Al-Qaida en Irak, le futur État islamique. Il va évidemment être remplacé, ce qui ne signifie pas forcément un affaiblissement. Après Abdallah Azzam et Oussama ben Laden, la troisième tête fondatrice de l'hydre est tombée

Dem Erfinder Aiman al Zawahiri war die Führung über den globalen Dschihad längst entglitten. Die Ideologie des Terrors überdauert ihn...

Die Summe in der EU eingefrorener russischer Vermögenswerte ist stark gestiegen – allein Belgien hat 50,5 Milliarden Euro gesperrt. Nicht mehr der „nahe Feind“, also die Regime in der islamischen Welt selbst, sollten bekämpft werden. Vielmehr erklärte er dem „fernen Feind“ den Krieg. Der Westen und insbesondere die Vereinigten Staaten sollten getroffen werden. Auch konnte er nicht verhindern, dass mit dem Islamischen Staat eine noch brutalere dschihadistische Version herangewachsen ist. Zawahiri hat diese Dezentralisierung des Terrors nicht aufgehalten. Gruppen spalteten sich ab, und sie legten nicht mehr ihm gegenüber einen Treueid ab.

Lange stand Aiman al-Zawahiri im Schatten von Osama Bin Laden. Doch er war der Mann, der dem islamistischen Terror in den neunziger...

In Ägypten war zu der Zeit mit den Terrorgruppen al-Dschihad al-islami und Gamaat al-islamiya bereits die Saat einer neuen gewaltbereiten Ideologie aufgegangen: die des dschihadistischen Salafismus. Sie forderte, mit Gewalt eine Ordnung herzustellen, die an die angeblich glorreiche Frühzeit des Islams anknüpfen solle. Oktober 1981 war der erste Höhepunkt dieser Terrorwelle. Es war dann Zawahiri, der in Afghanistan diese Terrorideologie entscheidend weiterentwickeln sollte. Er war einer jener Araber, die Ende der Achtzigerjahre dem Aufruf Bin Ladens folgten, in Afghanistan die sowjetische Armee zu bekämpfen und zu vertreiben. Um diese Zeit begegneten sich mutmaßlich Zawahiri und Bin Laden zum ersten Mal. Zawahiri war zuvor in Ägypten aus dem Gefängnis entlassen worden. Und die Region am Hindukusch war auch der Ort gewesen, an dem der ägyptische Arzt einst mit Osama Bin Laden die Grundlagen für die Neuausrichtung des militanten Islamismus gelegt hatte. Zawahiri war fortan lediglich der Stellvertreter von Bin Laden, bis dieser am 2.

Pour Damien Ferré, fondateur de l'agence Jihad Analytics, spécialisée dans l'analyse du djihad mondial, la mort du leader d'Al-Qaida, tué par un drone ...

ANALYSE - Dans la hiérarchie du «commandement central» de la mouvance djihadiste, cet ancien des forces spéciales égyptiennes est celui qui devrait en ...

Plusieurs noms circulent pour relever le défi de l’après-Zawahiri à la tête d’une organisation largement décentralisée, dont la puissance n’est plus aussi importante qu’il y a vingt ans. Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois La répétition, ces dernières années, des fausses rumeurs sur la mort du chef d’al-Qaida Ayman al-Zawahiri a probablement permis à la direction de la mouvance djihadiste de préparer sa succession.

L'élimination de celui qui en était le chef depuis onze ans porte sans doute un rude coup à Al-Qaïda, mais d'autres groupes djihadistes pourraient profiter ...

Mais à ceux qui doutaient que les États-Unis aient encore la volonté de s’attaquer aux principaux terroristes en Afghanistan, l’assassinat d’Al-Zawahiri apporte une réponse claire. Le principal prétendant est un autre Égyptien. Ancien colonel de l’armée égyptienne et, comme Al-Zawahiri, membre du Djihad islamique égyptien, affilié à Al-Qaïda, Saif al-Adel est lié aux attentats à la bombe de 1998 contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya, qui ont fait d’Al-Qaïda une menace djihadiste mondiale. Il convient cependant de remarquer qu’il a fallu onze mois aux États-Unis pour frapper leur première cible de grande valeur en Afghanistan sous le régime des talibans. Mais toute ambiguïté concernant le plan de succession d’Al-Qaïda pourrait entraîner une remise en question de l’autorité du nouveau chef, ce qui pourrait fracturer davantage le mouvement. Un haut responsable de l’administration Biden a déclaré à l’Associated Press qu’au moment de sa mort, Al-Zawahiri continuait à exercer une « direction stratégique » et était considéré comme un personnage dangereux. Cet assassinat ciblé a eu lieu près d’un an après que les troupes américaines ont quitté l’Afghanistan après des décennies de combats dans ce pays.

Lokale Ableger des Terrornetzwerks verüben in Afrika regelmäßig Anschläge. Wie attraktiv die „Marke“ Al-Qaida künftig sein wird, hängt...

Aber wie das Beispiel von Al-Schabab zeigt, ist auch Al-Qaida nach wie vor aktiv. Es sind aber vor allem die Ableger Al-Qaidas, von denen in den vergangenen Jahren konkrete Gefahr ausgegangen ist. Der kurze Zeit später im Streit von Al-Qaida geschiedene „Islamische Staat“ (IS) macht diese Unterscheidung nicht mehr – im Gegenteil gehört es zur Ideologie der streng sunnitischen Gruppe, auch und gerade diejenigen Muslime anzugreifen, die sie als nicht rechtgläubig erachtet. Die Umtriebe von Al-Schabab verdeutlichen, wie der Dschihad, für den Al-Qaida steht, heute geführt wird. Erst ein Dreivierteljahr später, im Februar 2012, schwor der Anführer von Al-Schabab dann al-Zawahiri die Treue; zuvor hatte die Gruppe klargestellt, dass sie in ihren Aktionen muslimische Opfer zu vermeiden versuchen werde. Die letzte spektakuläre Attacke, die auf das Konto von Al-Qaida geht, ist erst zwei Wochen her.

Die gezielte Tötung des Al-Qaida-Chefideologen stärkt die Position von US-Präsident Joe Biden. Aber dahinter versteckt sich auch eine schlechte Nachricht.

Biden braucht daher dringend gute Nachrichten. Was er nicht braucht, ist eine Parteifreundin, die durch Asien irrlichtert und im Alleingang dafür sorgt, dass Biden in den kommenden Wochen vor allem damit zu tun hat, das Verhältnis zu China zu reparieren. In dem Anschlag auf Zawahiri versteckte sich auch eine schlechte Nachricht. Dass die Geheimdienste der USA ihn in Kabul aufspürten, heisst nichts anderes, als dass die Taliban weiter enge Bande zu al-Qaida pflegen, obwohl sie im Abkommen von Doha, das den amerikanischen Abzug aus Afghanistan regelte, zugesichert hatten, diese Kontakte abzubrechen. Nun sinken die Benzinpreise seit Wochen, das Investitionspaket ist auf wundersame Weise wiederauferstanden, und auch wenn das Töten eines Menschen in der Regel nicht zu den guten Nachrichten gehört, kann Biden das im Fall von Zawahiri mit Recht als solche verkaufen. Es ist allerdings nicht die Aufmerksamkeit der freundlichsten Art. Im Raum steht nämlich vor allem die Frage: Was in aller Welt soll das gerade jetzt? Innenpolitisch ist es ihm in der vergangenen Woche gelungen, seine Partei hinter einem bedeutenden Investitionsprogramm in Umwelt und Infrastruktur zu vereinen. Die Inflation stieg auf immer neue Höhen, die Benzinpreise erreichten Rekordwerte. Das Investitionspaket war tot.

Die gezielte Tötung des Al-Qaida-Chefideologen stärkt die Position von US-Präsident Joe Biden. Aber dahinter versteckt sich auch eine schlechte Nachricht.

Biden braucht daher dringend gute Nachrichten. Was er nicht braucht, ist eine Parteifreundin, die durch Asien irrlichtert und im Alleingang dafür sorgt, dass Biden in den kommenden Wochen vor allem damit zu tun hat, das Verhältnis zu China zu reparieren. In dem Anschlag auf Zawahiri versteckte sich auch eine schlechte Nachricht. Dass die Geheimdienste der USA ihn in Kabul aufspürten, heisst nichts anderes, als dass die Taliban weiter enge Bande zu al-Qaida pflegen, obwohl sie im Abkommen von Doha, das den amerikanischen Abzug aus Afghanistan regelte, zugesichert hatten, diese Kontakte abzubrechen. Nun sinken die Benzinpreise seit Wochen, das Investitionspaket ist auf wundersame Weise wiederauferstanden, und auch wenn das Töten eines Menschen in der Regel nicht zu den guten Nachrichten gehört, kann Biden das im Fall von Zawahiri mit Recht als solche verkaufen. Es ist allerdings nicht die Aufmerksamkeit der freundlichsten Art. Im Raum steht nämlich vor allem die Frage: Was in aller Welt soll das gerade jetzt? Innenpolitisch ist es ihm in der vergangenen Woche gelungen, seine Partei hinter einem bedeutenden Investitionsprogramm in Umwelt und Infrastruktur zu vereinen. Die Inflation stieg auf immer neue Höhen, die Benzinpreise erreichten Rekordwerte. Das Investitionspaket war tot.

L'Egyptien a dédié son existence à la «guerre sainte», de la tentative d'assassinat contre Moubarak en 1995 aux attentats du 11 Septembre.

Il commence une carrière de chirurgien, dans la tradition de sa famille égyptienne qui compte plusieurs médecins, y compris deux de ses tantes, respectivement gynécologue et dermatologue de renommée dans la capitale. «C’est aussi en prison qu’il s’impose véritablement comme le leader … D’autres mouvements se multiplient, y compris les plus radicaux, dont le Jihad islamique égyptien. C’est par un membre de ces groupes que Sadate est assassiné en octobre 1981.

La présence du chef d'Al-Qaida en plein Kaboul a révélé la proximité persistante entre les nouveaux maîtres de l'Afghanistan et l'organisation terroriste, ...

Mardi, sur la route principale qui mène au site de la frappe, quelques militaires talibans, guettant tout passage, sont sur les nerfs. Conclu en 2020 dans le but d’un retrait total des Américains d’Afghanistan, cet accord oblige les talibans à faire en sorte que le territoire afghan ne redevienne pas un refuge pour les terroristes. Le quartier Sherpur, dans le centre de Kaboul, est inaccessible depuis mardi 2 août, au matin.

Il est étonnant que certains criminels aient au départ choisi des métiers aux valeurs humanistes, tel celui de médecin. C'est le cas de Ayman al-Zawahiri, ...

Son grand-père maternel était quant à lui président de l'université du Caire, et ancien ambassadeur. Ayman al-Zawahiri, numéro un d'Al-Qaïda, depuis la mort d'Oussama Ben Laden, était chirurgien de formation. Les politiques de prévention santé en France affichent des résultats médiocres. Le budget alloué est légèrement inférieur à celui de la moyenne... Alors continuez à en envoyer par milliers" raconte BFM TV. Le quatrième axe de la mission Braun consacré à la libération du temps médical suggère de réfléchir à des « moyens de lutter résolument contre les... D’après les recherches de BFM TV il est issu d’une famille de hauts dignitaires égyptiens. Son père est en pharmacologie.

Lange stand Aiman al-Zawahiri im Schatten von Osama Bin Laden. Doch er war der Mann, der dem islamistischen Terror in den neunziger...

Zawahiri war fortan lediglich der Stellvertreter von Bin Laden, bis dieser am 2. Er war einer jener Araber, die Ende der Achtzigerjahre dem Aufruf Bin Ladens folgten, in Afghanistan die sowjetische Armee zu bekämpfen und zu vertreiben. Und die Region am Hindukusch war auch der Ort gewesen, an dem der ägyptische Arzt einst mit Osama Bin Laden die Grundlagen für die Neuausrichtung des militanten Islamismus gelegt hatte.

Nun soll ein Österreicher Al-Qaida interimistisch übernehmen - mit Alexander Schallenberg steht bereits der passende Kandidat ante portas.

Doch schon bei der ersten Sitzung leistet sich Sch’allah’nberg, wie der österreichische Diplomat nun genannt wird, seinen ersten Fauxpas. Ein wütendes Mitglied platziert einen Koran auf seinem Tisch und wirft Schallenberg vor, dass er diesen nicht kenne. Die Botschaft war damals schon klar: Hilfe, ich bin überfordert, holt mich hier raus, ich will zurück nach Wien zu einem Lachsbuffet und meinen teuren Lieblingsflaschen – Dom Pérignon, Roederer Cristal und Gernot Blümel.“ Doch eine US-Drohne setzte dem Aufstieg des charismatischen Politstars ein jähes Ende. Nun soll ein Österreicher die gebeutelte Organisation interimistisch übernehmen – mit Alexander Schallenberg steht bereits der passende Kandidat ante portas.

Haroro J. Ingram, chargé de recherche principal au Programme sur l'extrémisme de l'Université George Washington, Andrew Mines, chargé de recherche principal ...

La planque elle-même appartenait à un collaborateur de haut rang de Sirajuddin Haqqani, un terroriste recherché par les États-Unis et un haut dirigeant taliban. Le retrait américain d’Afghanistan en août 2021 a suscité des interrogations quant à la capacité des États-Unis à maintenir la pression sur Al-Qaïda, l’État islamique au Khorassan et les autres djihadistes présents dans le pays. Le principal prétendant est un autre Égyptien. Ancien colonel de l’armée égyptienne et, comme Al-Zawahiri, membre du Djihad islamique égyptien, affilié à Al-Qaïda, Saif al-Adel est lié aux attentats à la bombe de 1998 contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya, qui ont fait d’Al-Qaïda une menace djihadiste mondiale. Et lorsqu’une erreur de frappe d’un drone américain a tué sept enfants, un travailleur humanitaire employé par les États-Unis et d’autres civils l’automne dernier, cette stratégie a fait l’objet d’un examen approfondi. Cette frappe aurait impliqué une surveillance à long terme du leader d’Al-Qaïda et de sa famille, et des discussions approfondies au sein du gouvernement américain avant de recevoir l’approbation présidentielle. Joe Biden affirme que l’élimination d’Al-Zawahiri n’a pas fait d’autres victimes. Il convient cependant de remarquer qu’il a fallu onze mois aux États-Unis pour frapper leur première cible de grande valeur en Afghanistan sous le régime des talibans. Mais toute ambiguïté concernant le plan de succession d’Al-Qaïda pourrait entraîner une remise en question de l’autorité du nouveau chef, ce qui pourrait fracturer davantage le mouvement. Un haut responsable de l’administration Biden a déclaré à l’Associated Press qu’au moment de sa mort, Al-Zawahiri continuait à exercer une « direction stratégique » et était considéré comme un personnage dangereux. Le successeur d’Al-Zawahiri ne sera que le troisième dirigeant du mouvement depuis sa création en 1988. Apporter de l’aide à Al-Zawahiri constituait une violation de l’accord de Doha de 2020, en vertu duquel les talibans avaient accepté de « ne pas coopérer avec des groupes ou des individus menaçant la sécurité des États-Unis et de leurs alliés ». Les circonstances de l’attaque suggèrent que si les États-Unis veulent mener des opérations efficaces « au-delà de l’horizon » en Afghanistan, ils ne peuvent pas compter sur le soutien des talibans. Cet assassinat ciblé a eu lieu près d’un an après que les troupes américaines ont quitté l’Afghanistan après des décennies de combats dans ce pays. Tout porte à croire qu’Al-Qaïda en tant que mouvement mondial survivra à la mort d’Al-Zawahiri, tout comme elle a survécu à celle de Ben Laden. Le réseau a connu un certain nombre de succès récents. Les talibans, ses alliés de longue date, ont réussi à prendre le contrôle de l’Afghanistan avec l’aide d’Al-Qaïda dans le sous-continent indien – une filiale qui étend actuellement ses opérations au Pakistan et en Inde. Pendant ce temps, les groupes affiliés sur le continent africain – du Mali et de la région du lac Tchad à la Somalie – demeurent une menace, certains s’étendant au-delà de leurs zones d’opérations traditionnelles.