Les Perséides - l'une des plus belles pluies d'étoiles filantes de l'année - sont de retour en août. Pour observer le spectacle depuis Paris, ...
Toutefois, il est recommandé de quitter la ville pour une observation optimale. Si les conditions météorologiques le permettent, jusqu’à 200 étoiles filantes pourront être vues en une heure. Les Perséides font pleuvoir chaque été des milliers d’étoiles filantes dans notre ciel.
Au cours de la nuit du vendredi 12 au samedi 13 août, également marquée par la Super lune de l'esturgeon - la dernière du genre pour cette année 2022 -, les ...
Certains chanceux, éloignés de la pollution lumineuse, pourront pleinement observer ce spectacle. Les météores, issus des débris de la comète Swift-Tuttle, dont le dernier passage date de 1992, et qui naviguent à une vitesse folle de 58km/s, seront principalement visibles au cours de la nuit, aux alentours de 3h du matin (heure de Paris). "Pour observer les étoiles filantes des Perséides, le mieux est de se tourner vers le Nord-Est et d'observer une large portion de ciel autour de la constellation de Persée", indique Stelvision, site spécialisé sur l’observation spatiale. Au cours de la nuit du vendredi 12 au samedi 13 août, également marquée par la Super lune de l’esturgeon - la dernière du genre pour cette année 2022 -, les amateurs de ciel étoilé et d’astronomie pourront également assister à un autre spectacle céleste. Car au cours de la nuit prochaine, sera atteint le pic des Perséides, une pluie d’étoiles filantes qui a lieu annuellement durant l’été. Près d’une centaine de météores par heure pleuvront alors dans le ciel.
Les Perséides atteignent leur pic au lendemain d'une « Super Lune ». Il sera donc plus difficile d'observer les étoiles filantes, rapporte « Futura ».
Malgré la présence de la Lune, les Perséides ne disparaissent pas et restent visibles jusqu'au 22 août. Pour en profiter, il faut plutôt opter pour une nuit où notre astre sera moins dérangeant, notamment autour du 19 août lorsque la Lune entre dans son dernier quartier. Le pic des Perséides ne sera pas gâché pour autant, il faudra simplement se contenter d'un peu moins d'étoiles filantes. Le grand soir est arrivé pour les passionnés d'astronomie ce vendredi 12 août. L'essaim de météorites des Perséides atteint son pic pendant la nuit, l'occasion d'admirer jusqu'à 100 étoiles filantes par heure.
Mais si vous habitez une grande ville, le mieux est d'en sortir. La pollution lumineuse causée par les lampadaires, les panneaux publicitaires ou les enseignes ...
Cette pluie d’étoiles vient au départ de la Comète 109P/Swift-Tuttle. Cette dernière prend 133 ans pour faire le tour du Soleil et a été vue pour la dernière fois en 1992. Elle risque donc d’altérer (un peu) votre visibilité pour observer la pluie d’étoiles filantes. L’été offre généralement les conditions idéales pour ce genre d’événement, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en haut de l’article, mais cette année, la fête pourrait être gâchée par une super lune.
Le spectacle des Perséides illuminant notre ciel cette nuit devrait être gâché en partie par une super Lune trop brillante pour une bonne observation.
Et si vous ne deviez pas pouvoir observer assez d’étoiles filantes, profitez d’admirer la Lune. Elle devait être magnifique! La lune devrait se lever vers 21 h 35 et se coucher vers 7 h 45, selon MeteoNews, donc elle sera gênante toute la nuit. Et il y en a beaucoup en Suisse romande, puisque cette année de très nombreuses communes participent au Projet Perséides et éteignent tout ou partie de leur éclairage public.
Dans la nuit de ce vendredi à samedi, des milliers d'étoiles filantes vont faire leur entrée dans l'atmosphère. Un spectacle visible à l'oeil nu, ...
"Cela fera se contracter vos pupilles du fait de la luminosité de l’écran et vous raterez alors quelques Perséides, il faut environ 15 minutes pour retrouver sa vision nocturne", explique-t-on sur son site internet. "La lune pourrait éventuellement être problématique, mais elle ne restera pas dans le champ de vision toute la nuit. Une pluie d'étoiles filantes dans le ciel à observer.
Les Perséides, traditionnelle pluie d'étoiles filantes estivale, connaîtront leur pic cette nuit. Voici quelques conseils pour ne pas manquer une miette du ...
«Notre sujet du moment, c'est logiquement les Perséides, sachant qu'au planétarium, on peut éteindre la lune et donc très bien voir le phénomène», fait savoir Julien Laigle. L'établissement possède également un émetteur-récepteur permettant d'observer les étoiles filantes diurnes en direct. Mais ne courrez pas vers votre spot d'observation à la nuit tombée... En effet, le soir, Persée est encore très basse à l'horizon. Pour assister au plus beau des spectacles, il faudra attendre deux ou trois heures du matin. C'est l'été, il fait bon, on est en vacances, alors on a le temps d'aller dehors et de faire plein de vœux!» «Ce que je suggère, c'est de choisir un spot d'observation qui permet d'avoir la lune vraiment cachée derrière une colline ou un arbre, pour avoir les yeux à l'ombre de la lune, ce qui permettra de voir plus de météores.» Si vous connaissez la Grande Ourse, Persée se trouve juste à côté. C'est vraiment dans cet endroit-là du ciel que vous verrez des étoiles filantes.» Et pour celles et ceux qui ont besoin d'un coup de pouce supplémentaire, les applications Sky Walk ou Stellarium vous aideront à vous orienter. Il faut ensuite orienter son regard vers un endroit précis: la constellation de Persée. C'est de cette dernière que les Perséides ont hérité de leur nom. «Pour la trouver, ce n'est pas trop difficile. «Avec la lune, on verra moins d'étoiles, c'est clair.» Ainsi, seules les étoiles les plus lumineuses seront visibles. Il est d'abord primordial de se rendre dans un endroit très sombre», souligne Julien Laigle. Pour cela, direction idéalement le nord du Luxembourg, où la pollution lumineuse des villes est plus faible. Pour celles et ceux qui n'auraient pas suivi, les Perséides, ce sont avant tout un gros nuage de poussières laissé derrière elle par la comète Swift Tuttle. «Cette comète d'un diamètre de 26km met 133 années à faire le tour du soleil. Pour ne rien louper du spectacle, quelques précautions s'imposent tout de même.