NBA - La nouvelle recrue des Sixers a connu la vie dans la rue, puis la G-League, avant de se faire une place dans la grande ligue.
0.7 0.7 0.7 0.7 Je suis prêt à bosser et peu importe si c’est un contrat de deux ans, pas garanti… « Je ne suis pas satisfait avec les papiers, les contrats. Je veux mettre ma famille à l’abri et je ne veux pas être seulement de passage dans la ligue. Il m’a appelé pour me dire qu’il avait un accord avec les Sixers et pour me demander si j’étais motivé. J’ai dit oui. Donc quand je suis arrivé en NBA, c’était comme un énorme soulagement, comme si on m’enlevait 1000 kilos de mes épaules. C’est dur d’être en NBA, mais c’est plus dur encore d’y rester. J’essaie de trouver des solutions pour aller en cours et pour manger, mais je suis aussi inquiet pour moi. Certains joueurs NBA ont des parcours plus difficiles que les autres. « Mon amour pour ce sport m’a aidé à traverser tout ça, ainsi que ma famille.
Was für eine wunderbare Entdeckung: Weitgehend unbemerkt hat Netflix mit der polnischen Auftragsproduktion "Queen Sylwester kehrt zurück" vor wenigen Wochen ...
Und dass er dabei so viele queerfeindliche Menschen in Polen aufregen möge. Geschrieben wurden "Queen Sylwester kehrt zurück" vom isländischen Filmemacher Árni Ólafur Ásgeirsson, der Polen gut kennt, weil er dort studierte. Die Geschichte von "Queen" entspinnt sich auf mehreren Ebenen - gesellschaftlich, wirtschaftlich und sehr persönlich - und macht so aus einer zunächst einmal oft gesehenen "Fish out of Water"-Prämisse, doch etwas Besonderes. Und ähnliches gilt eben auch für seine Rolle: Dass die LGBTIQ+-Community keine moderne Erscheinung sondern Historie hat, spiegelt sich in Hauptfigur Sylwester so wunderbar. Das liegt am besonderem Stil und Spiel - und weil sie an sich ein mutiges Unterfangen für eine polnische Serie ist. Zwischen Lebensfreude und Abschiedsschmerz steigt die polnische Netflix-Serie atmosphärisch ein wie ein stilvoll gealtertes SpinOff von "Emily in Paris".