Bayern

À 21 ans, Alphonso Davies s'apprête à disputer la saison la plus importante de sa jeune carrière. Avec son club, le Bayern Munich, « Fonzy » voit grand et ...

Le 23 novembre, il disputera le premier match de Coupe du monde de sa carrière face à la Belgique. « Je me sens bien dans ce club, a poursuivi Davies. En tant que joueur, tout y est réuni pour s’épanouir. Au niveau du jeu, nous prenons beaucoup de plaisir et nous avons encore beaucoup d’appétit, même si nous avons remporté les dix derniers championnats. À présent, il espère que son corps va le laisser en paix afin de pouvoir enchaîner les matchs tous les trois jours cet automne, avec un calendrier très chargé au programme. Je me sens en pleine forme physique et mentale et prêt à relever tous ces défis. » À mes yeux, il est même le numéro un. Auteur d’une bonne préparation lors notamment d’une tournée d’une semaine à Washington et à Green Bay, aux États-Unis, où il a été le joueur munichois le plus sollicité par les médias locaux, il monte incontestablement en puissance, comme l’atteste sa performance aboutie lors de la reprise du championnat à Francfort (6-1), vendredi dernier. C’est un joueur rapidement devenu indispensable au Bayern. Il est aussi un combattant qui a su forcer son destin en montrant énormément de courage et d’abnégation. » Il vise d’abord un nouveau titre de champion d’Allemagne, qui serait le 11e consécutif pour les Bavarois, et son quatrième personnel. Éliminé dès les quarts de finale par la modeste équipe espagnole de Villareal au printemps, le plus titré des clubs allemands vise le Graal continental le 10 juin 2023 à Istanbul. Nous voulons désormais le onzième. Notre envie de vaincre est toujours aussi forte. Il aura été absent pendant quasiment quatre mois (de janvier à avril) à cause d’une inflammation du muscle cardiaque consécutive à sa COVID-19 contractée fin janvier. Aujourd’hui, je suis soulagé et heureux de pouvoir de nouveau exercer mon métier. »

Le Bayern Munich s'est tranquillement imposé 2 - 0 grâce à des buts de Musiala et Muller face à Wolsfburg à l'Alianz Arena.

À noter l’entrée de Mathys Tel. Le Bayern s’impose sans forcer et garde la tête de la Bundesliga, de son côté, Wolfsburg n’a récolté qu’un point en deux journées. Il faut donc patienter jusqu’à la demie-heure de jeu pour voir Jamal Musiala donner l’avantage aux Bavarois grâce à une jolie frappe depuis l’entrée de la surface. Le Bayern Munich s’est tranquillement imposé 2 - 0 grâce à des buts de Musiala et Muller face à Wolsfburg à l’Alianz Arena.

Wolfsburg s'est incliné 2-0 dimanche sur la pelouse du Bayern Munich dans le cadre de la deuxième journée du championnat d'Allemagne.

Il a laissé sa place pour les dix dernières minutes au Français Mathys Tel. Le groupe est plus étoffé que l’an passé et il enchaîne les bonnes prestations. Il veut toujours apprendre et s’améliorer, il est bien élevé. J’ai déjà dit que je n’ai pas grand-chose à faire.

Die Torfabrik des FC Bayern liefert auch ohne den Polen. Warum sein Abschied mehr Chance als Risiko ist – und Julian Nagelsmann der grosse Gewinner.

Mit ihren spektakulären und befreiten Auftritten hat die Mannschaft bereits gezeigt: Lewandowskis Abschied ist mehr Chance als Risiko für die Bayern. Musiala kann sich entfalten und verschiebt die Grenzen seines riesigen Potenzials aktuell immer weiter nach oben – mit vier Pflichtspieltreffern ist er momentan Bayerns Toptorschütze. Auch Gnabry, dem Nagelsmann nun den Wunsch nach einer Versetzung auf eine zentralere Position erfüllen kann, blüht auf. Und das ohne Lewandowski, der in der vergangenen Saison noch mit 50 Pflichtspieltreffern die personifizierte Torgarantie der Bayern war. Er interpretiert die Torjägerrolle anders, lässt sich häufig ins Mittelfeld fallen, kreiert selbst Chancen. Ob der nur 1.74 Meter grosse Senegalese ähnlich viele Treffer wie sein Vorgänger (1.85 Meter) erzielen kann, bleibt noch abzuwarten. Neuzugang Sadio Mané und Serge Gnabry bilden stattdessen ein Sturmduo. Dahinter wirbeln aktuell Jungstar Jamal Musiala und Thomas Müller. In dieser Konstellation wirkt Bayerns Offensive wie entfesselt – von den Zwängen, die ein derart dominanter Stürmer wie Lewandowski einer Mannschaft auferlegt. Die grosse Frage lautet noch immer, wie die Bayern es schaffen werden, ihren Toptorjäger zu ersetzen.