Die NASA will am Montag mit "Artemis 1" zum ersten Mal seit fast 50 Jahren wieder eine Rakete zum Mond schicken. Es könnte die amerikanische Raumfahrt ins ...
Herbie Hancock wird die Nationalhymne spielen und der Star-Cellist Yo-Yo Ma mit dem Philadelphia Orchestra "America the Beautiful" performen. Gelingt er, könnte das die amerikanische Raumfahrt ins tiefe Weltall befeuern - misslingt er, könnte das das Ende der NASA-Ambitionen für lange Zeit sein. Mit "Artemis 3" sollen frühestens 2025 wieder Menschen den Mond betreten - unter ihnen die erste Frau und die erste Person of Colour. Auch die Auswirkung der kosmischen Strahlung auf den menschlichen Körper soll hier genauer erforscht werden, bevor Menschen zum Mars geschickt werden. Und die Amerikaner wollen nicht nur einfach zurück zum Mond - sie nennen das "Artemis"-Programm eine "Moon to Mars mission", eine "Mond-zu-Mars-Mission". Mit "Artemis 2" sollen 2024 zum ersten Mal seit 1972 Astronauten wieder in der Mondumlaufbahn kreisen.
Es ist soweit: Heute Nachmittag soll die lange erwartete Artemis-1-Mission starten – eine Mondumrundung, die als Generalprobe für die bemannte Rückkehr.
Bei dieser Mission werden zwei Astronauten mit einem Landemodul auf die Mondoberfläche hinabfliegen und landen. Erstmals werden dann vier Menschen in der Orionkapsel zum Mond fliegen und diesen auf einer ähnlichen Flugbahn wie Artemis-1 umrunden. Anschließend zündet die Raumkapsel ihre Antriebsdüsen, um in einen elliptischen Orbit um den Mond einzuschwenken. Die Landestelle liegt unweit der kalifornischen Küste im Pazifik. Diese tragen verschiedene kleine Messinstrumente und Sensoren, mit denen sie unter anderem die Mondoberfläche und die Strahlung, Teilchen und Magnetfelder zwischen Erde und Mond untersuchen. Denn erstmals werden die eigens von der NASA für die Mondmissionen entwickelte Trägerrakete Space Launch System (SLS) und die in Europa konzipierte und gebaute Orionkapsel gemeinsam zum Mond fliegen, ihn umrunden und wieder zur Erde zurückkehren. Der „Moonikin“ getaufte Pilotendummy wird neben Sensoren für Strahlung, Vibration und Druckkräften auch den Raumanzug testen, den die Astronauten später in kritischen Missionsphasen tragen. Die Orionkapsel hat nun genügend Schub erhalten, um alleine weiter zum Mond zu fliegen. Nach dem Start wird die SLS-Trägerrakete das Orionmodul innerhalb von wenigen Minuten bis auf gut 36.000 Kilometer pro Stunde beschleunigen. [„Helga“ und „Zohar“](https://www.scinexx.de/dossier/helga-fliegt-zum-mond/) sind nur Rumpfdummys, deren Materialien denen des weiblichen Körpers nachempfunden sind – denn bei den nächsten Artemis-Flügen werden erstmals auch Astronautinnen zum Mond fliegen. Der Countdown und Start werden sowohl Sie übertrifft selbst die legendäre Saturn-V der Apollo-Missionen.
Orion heißt das Raumschiff, das die Rakete ins All bringt, um den Mond zu umrunden. Es trägt auch das Logo der europäischen Raumfahrtagentur Esa. Josef ...
Marty hat bei der Mondmission 1969 die Elektronik der Kapsel getestet. Also warten jetzt alle gespannt auf den Raktenstart in die neue Raumfahrt Ära. Die leistungsstärkste Rakete der Welt. Sie werden allerdings nur um den Mond herumfliegen und erst bei Artemis 3 werden Astronauten neue Fußabdrücke auf dem Mond hinterlassen. Es soll eine Raumstation gebaut werden, das sogenannte Lunar Gateway, das dann dauerhaft um den Mond kreisen soll. Das ist Teil eines Deals mit der Nasa.
Mit einem Raketenstart von Cape Canaveral aus, will die Nasa am Montag zum Erdtrabanten starten - erst einmal unbemannt. Aber bald schon sollen wieder ...
Und der Westen will die Nase vorn haben. Mit einem Raketenstart von Cape Canaveral will die Nasa am Montag zum Erdtrabanten starten – erst einmal unbemannt.
Le lancement de la mission américaine est programmé pour lundi. Sans astronautes à bord, elle a pour objectif principal de tester tous les systèmes ...
Mais il se révèle également crucial pour la propulsion car ce sont ses moteurs qui corrigeront la trajectoire de l’engin lors du voyage et qui lui permettront de s’insérer en orbite lunaire puis d’en ressortir lorsque l’heure du retour aura sonné. Ce ne sera pas encore l’heure du grand spectacle puisque cette mission, qui s’envolera du pas de tir 39B du Centre spatial Kennedy (Floride), ne se posera pas sur la Lune et s’effectuera sans équipage. A commencer par la fusée, un lanceur lourd connu sous le nom de Space Launch System (SLS), lointain successeur de la Saturn-5 du programme Apollo.
Le décollage doit avoir lieu à 14 h 33, heure de Paris, depuis la Floride. La mission Artemis-1 doit marquer le lancement du programme américain de retour ...
Puis, au bout d’environ 1 h 30, une dernière poussée de l’étage supérieur mettra la capsule sur le chemin de la Lune, qu’elle mettra plusieurs jours à atteindre. La prochaine date de décollage possible est le 2 septembre. Les femmes représentent 30 % des effectifs en salle de lancement - contre une seule à l’époque d’Apollo 11. Du haut de ses 98 mètres, la fusée orange et blanche SLS ne pourra pas décoller en cas de pluie ou d’orages. La météo est à 80 % favorable pour un lancement à l’heure, au début de la fenêtre de tir qui s’étend sur deux heures. La capsule Orion, testée ici sans équipage, sera propulsée jusqu’en orbite autour de la Lune, afin de vérifier que le véhicule est sûr pour de futurs astronautes.
Aufbruch zum Mond. Am Montag, 29.8.22, testet die Nasa die größte Rakete der Welt. Wann ist der Start und wo ist er live zu verfolgen?
Die Astronauten sollen zwischen 30 und 60 Tagen auf der Raumstation bleiben. Artemis 3 ist die erste Etappe des Programms, bei der Astronauten auf dem Mond landen sollen - und das am Südpol. Die früher im Rahmen des Apollo-Programms der Nasa zum Mond gebrachten Astronauten waren nahe des Äquators gelandet. Die Nasa hat das Unternehmen SpaceX von Elon Musk damit beauftragt, eine Mondlandefähre für Artemis 3 zu bauen. Die Orion-Kapsel soll den Mond umkreisen und sich ihm bis auf 100 Kilometer nähern. Eine Landung auf dem Mond ist für dann noch nicht geplant. Mit der „Artemis“-Mission sollten eigentlich bis 2024 wieder US-Astronauten auf dem Mond landen, erstmals auch eine Frau. Vier Astronauten sollen mit dem Raumfahrzeug „Orion“ in die Mondumlaufbahn gebracht werden, wo zwei von ihnen dann auf ein Landegefährt umsteigen. Die „Artemis“-Mission der Nasa soll am Montag, 29.8.2022, ab 14.33 Uhr MESZ, zu dem unbemannten Flug zum Mond aufbrechen. Die „Orion“-Kapsel soll nach rund 40 Tagen wieder im Pazifik landen. Der Mensch soll wieder zum Mond fliegen. Fast 50 Jahre nach der letzten bemannten Mondmission startet ein neuer Traum für Flüge zum Mond in eine heiße Phase.
La capsule Orion sera propulsée jusqu'en orbite autour de la Lune à 14h33 (heure suisse), marquant le lancement du programme américain de retour sur le ...
«Nous ne voulons pas que la Chine y aille et dise «c’est notre territoire», a-t-il dit. Puis, au bout d’environ 1h30, une dernière poussée de l’étage supérieur mettra la capsule sur le chemin de la Lune, qu’elle mettra plusieurs jours à atteindre. Mais avant cela, se rendre sur la Lune est aussi stratégique, face aux ambitions de nations concurrentes, notamment la Chine. La prochaine date de décollage possible est le 2 septembre. La NASA souhaite ensuite lancer environ une mission par an. «Mais on n’est pas en position pour y aller» et «il faut aller répéter nos gammes sur la Lune». Au lieu d’astronautes, des mannequins ont pris place à bord, équipés de capteurs enregistrant vibrations et taux de radiations. La capsule Orion, testée sans équipage, sera propulsée jusqu’en orbite autour de la Lune, afin de vérifier que le véhicule est sûr pour embarquer des astronautes. Celles-ci devaient se poursuivre durant plusieurs heures, jusqu’à avoir rempli la fusée de plus de trois millions de litres d’hydrogène et d’oxygène liquides. Du haut de ses 98 mètres, la fusée orange et blanche SLS ne pourra pas décoller en cas de pluie ou d’orages. La mission Artémis doit décoller ce lundi 29 août. Interrogé pour savoir s’il avait ses chances de décoller vers la Lune lors de la prochaine mission, Thomas Pesquet a répondu «la 2 non, mais à partir de la 3, l’Europe aura voix au chapitre».
La capsule Orion sera propulsée sans équipage jusqu'en orbite autour de la Lune, afin de vérifier que le véhicule est sûr pour de futurs astronautes --dont la ...
Ce que nous commençons avec ce décollage lundi n'est pas un sprint de court terme mais un marathon de longue durée, pour ramener le système solaire, et au-delà, dans notre sphère", a déclaré avec aplomb Bhavya Lal, administratrice associée à la Nasa.Après cette première mission, Artémis 2 emportera en 2024 des astronautes jusqu'à la Lune, sans y atterrir. Nous voulons aller sur le pôle sud (de la Lune, NDLR), là où sont les ressources", notamment de l'eau sous forme de glace, a détaillé M. Des microsatellites seront également déployés pour aller étudier la Lune, ou encore un astéroïde.Des caméras embarquées permettront de suivre ce voyage de 42 jours au total.La capsule s'aventurera jusqu'à 64.000 km derrière la Lune, soit plus loin que tout autre vaisseau habitable jusqu'ici.Un échec complet de la mission serait dévastateur pour une fusée au budget faramineux (4,1 milliards par lancement, selon un audit public) et en retard de plusieurs années (commandée en 2010 par le Congrès américain pour une date initiale de décollage en 2017)." Cette mission emporte les rêves et les espoirs de beaucoup de gens", a déclaré ce week-end le patron de la Nasa Bill Nelson avant d'ajouter: "Nous sommes dorénavant la génération Artémis".Le décollage doit avoir lieu à 08H33 (12H33 GMT) depuis l'aire de lancement 39B du centre spatial Kennedy.La météo est à 80% favorable pour un lancement à l'heure, au début de la fenêtre de tir qui s'étend sur deux heures. La Nasa espérait rattraper ce retard par la suite.Signe des temps, la première femme directrice de lancement à la Nasa, Charlie Blackwell-Thompson, donnera le "go" final. La mission Artémis 1 doit marquer le lancement du programme américain de retour sur la Lune, qui doit permettre à l'humanité d'ensuite atteindre Mars, à bord du même vaisseau.La capsule Orion sera propulsée sans équipage jusqu'en orbite autour de la Lune, afin de vérifier que le véhicule est sûr pour de futurs astronautes --dont la première femme et la première personne de couleur qui marcheront sur la surface lunaire." La Nasa souhaite ensuite lancer environ une mission par an.Le but: établir une présence humaine durable sur la Lune, avec la construction d'une station spatiale en orbite autour d'elle (Gateway), et d'une base à la surface.Là, l'humanité doit apprendre à vivre dans l'espace lointain et développer toutes les technologies nécessaires à un aller-retour vers Mars.Un voyage de plusieurs années qui pourrait avoir lieu "à la fin de la décennie 2030", selon Bill Nelson.Mais avant cela, se rendre sur la Lune est aussi stratégique, face aux ambitions de nations concurrentes, notamment la Chine." "Nous ne voulons pas que la Chine y aille et dise +c'est notre territoire+", a-t-il dit. "Nous voulons aller sur le pôle sud (de la Lune, NDLR), là où sont les ressources", notamment de l'eau sous forme de glace, a détaillé M. Celles-ci devaient se poursuivre durant plusieurs heures, jusqu'à avoir rempli la fusée de plus de trois millions de litres d'hydrogène et d'oxygène liquides. Puis, au bout d'environ 1h30, une dernière poussée de l'étage supérieur mettra la capsule sur le chemin de la Lune, qu'elle mettra plusieurs jours à atteindre. Du haut de ses 98 mètres, la fusée orange et blanche SLS ne pourra pas décoller en cas de pluie ou d'orages.
Nach mehreren Jahrzehnten startet an diesem Montag erstmals wieder ein US-Raumschiff zum Mond. Es ist Teil der Mission Artemis‑1.
„Diese Reise – unsere Reise – beginnt mit Artemis‑1.“ Für den Nasa-Chef ist die Mission erst der Anfang. Auch „Orions“ Rückflug ist rekordverdächtig: Das Raumschiff soll schneller und heißer als je zuvor zur Erde zurückkehren. Große Dinge, die Menschen vereinen; Dinge, die der Menschheit nützen. Das Raumschiff Orion wird an der Spitze der stärksten Rakete der Welt ins All starten. So gelangt das Raumschiff in eine rückläufige Umlaufbahn, die rund 64.000 Kilometer am Erdtrabanten vorbeiführt. „Das ist ein beispielloser Vertrauensbeweis der Nasa in die Fähigkeiten unserer Industrie und Deutschland als Partner“, sagte Walther Pelzer, Leiter der Deutschen Raumfahrtagentur. Mehrere Wochen soll das Raumschiff „Orion“ den Mond umkreisen, zur Erde zurückkehren und schließlich am 10. Denn weitere Mondmissionen sollen folgen: Ende 2023 ist die zweite Artemis-Mission geplant – dann erstmals mit echten Astronautinnen und Astronauten an Bord. Es war die Crew der „Apollo 17“-Mission – Eugene Cernan, Ron Evans und Harrison „Jack“ Schmitt –, die im Dezember 1972 ein letztes Mal ihre Fußspuren auf dem staubigen Erdtrabanten hinterließ. Angetrieben wird die „Orion“-Kapsel vom sogenannten European-Service-Modul, kurz ESM, gebaut in Deutschland. Dann wird die 98 Meter hohe Schwerlastrakete SLS (Space Launch System), mit dem Raumschiff „Orion“ an Bord, vom Kennedy Space Center in Florida abheben. Dem Ort, an dem schon die Apollo-Missionen begonnen haben.