La fondatrice de la principale agence d'influenceurs est régulièrement prise à partie par Booba, mais aussi par des milliers d'internautes.
Une attitude dénoncée par Magali Berdah, qui estime avoir contacté personnellement Twitter et Instagram, sans obtenir de réponse. Pour identifier les auteurs de messages haineux ou de menaces, la police doit obtenir l’adresse IP des internautes les ayant envoyés. Pendant près de 45 minutes, elle a souhaité évoquer le harcèlement en ligne, mais aussi les menaces de mort. “Aujourd’hui, cet homme qui se présente en lanceur d’alerte est un harceleur. Celle qui a récemment fait l’objet d’un reportage de France 2 Une donnée dont seules les plateformes disposent.
Alors que Booba dénonce les pratiques commerciales trompeuses de la société de Magali Berdah, celle qui est considérée comme la papesse des influenceurs ...
[VIDÉO] ▶️ La bataille médiatico-judiciaire entre Magali Berdah et Booba se poursuit. Ce mercredi matin, la papesse des influenceurs avait convoqué la ...
- 10 - 7 - 6 - 4 - 3 - 2 - 1 On a regardé le premier journal du "Média"](/culture/different-vraiment-on-a-regarde-le-premier-journal-du-media-tv-insoumis-gauche-2076081.html)Publié le 16 janvier 2018 à 9h21 [Espagne : une candidate de "Big Brother" accuse un participant de l'avoir violée sous l'œil des caméras](/culture/espagne-une-candidate-de-big-brother-carlota-prado-accuse-un-participant-de-l-avoir-violee-sous-l-oeil-des-cameras-2139012.html)Publié le 29 novembre 2019 à 16h40 [Kim Kardashian, le nouveau poil à gratter du système judiciaire américain](/culture/kim-kardashian-le-nouveau-poil-a-gratter-du-systeme-judiciaire-americain-2134600.html)Publié le 15 octobre 2019 à 18h28 "Je n’ai rien à cacher ", a-t-elle conclu. Comme l'a rappelé son avocat, tout a commencé le 17 mai "lorsqu'un compte Twitter suivi par près de six millions de personnes et administré par qui vous savez bien, a publié des extraits de procès-verbaux avec des infos personnelles de Magali Berdah", a déclaré Me Antonin Gravelin-Rodriguez, faisant référence au célèbre rappeur sans jamais le nommer. En ce qui me concerne, je reste debout et je ne me tairai pas", a expliqué l'agente des influenceurs, avant de fondre en larmes. Le 6 septembre, le [parquet de Grasse a ouvert une enquête](/justice-faits-divers/plainte-du-rappeur-booba-la-justice-ouvre-une-enquete-sur-les-pratiques-de-la-societe-shauna-events-agence-d-influenceurs-de-magali-berdah-2232069.html), confiée au commissariat d'Antibes, sur la seule première infraction.
Depuis dimanche, l'écosystème des influenceurs est au cœur de l'actualité après une longue enquête de « Complément d'enquête », diffusée sur France 2.
», « les Marseillais » et « les Ch’tis ». Malgré toute la gravité de l’affaire, une séquence tournée sur le plateau de « Complément d’enquête », après la diffusion du film, a particulièrement marqué les internautes. « Sorry si j’ai pas swipe à droite, j’ai une tendinite au bras », peut-on lire sur le compte Twitter de Tinder France. « Pas de salade d’accueil ce midi pour cause de tendinite », ironise Buffalo Grill. et « la Villa des cœurs brisés ». Magali Berdah est érigée en « papesse de la téléréalité » ou « patronne des influenceurs ». De cette rancœur, Booba est alors parti en croisade sur les réseaux sociaux contre les influenceurs qu’il appelle désormais des « influvoleurs ». Interrogée par nos confrères de France 2, Magali Berdah botte en touche parlant d’un « taux d’imperfection et d’une marge d’erreur très petite » sur la promotion de la contrefaçon au sein de Shauna Events. La montre, censée être de la maison d’horlogerie de luxe Richard Mille, lui aurait été prêtée par « un pote », selon les propos du rappeur dans une interview auprès du Lors de la dernière campagne présidentielle, Magali Berdah s’offre même une vidéo avec les plus gros candidats où elle s’improvise porte-parole de « madame tout-le-monde qui ne comprend pas, qui ne vote pas, qui est en rupture avec la politique ». « L’Obs » fait le point sur les enjeux, les protagonistes et les problématiques d’un univers très lucratif. Depuis dimanche, l’écosystème des influenceurs est au cœur de l’actualité après une longue enquête de « Complément d’enquête », diffusée sur France 2.
Trois jours après la diffusion d'un numéro de « Complément d'enquête » consacré au business des influenceurs, Magali Berdah, à la tête de Shauna Events, ...
Je ne peux pas accepter que cela soit confié à une personne qui attise la haine sur les réseaux sociaux », a insisté l’agente, promettant une transparence totale sur son activité dédiée aux placements de produits polémiques. Au total, onze plaintes et compléments de plaintes ont été déposés entre mai et août dans ce dossier, « pour harcèlement et délits connexes ». « Je ne me tairai pas », a-t-elle insisté, avant de fondre en larmes. Des violences en lien avec la campagne de harcèlement dont elle est victime, juge-t-elle. « On ne peut pas être considéré dans la presse comme un lanceur d’alerte quand on est un harceleur », a lancé Magali Berdah. Un conflit amplifié par les commentaires de nombreux fans de l’artiste et des voix critiques du monde de la téléréalité, épinglé à plusieurs reprises pour ses arnaques.
Victime de cyberharcèlement depuis des mois de la part de Booba et de nombreux internautes, l'agente Magali Berdah a tenu une conférence de presse à Paris ...
Consciente pour autant qu’il existe « un réel danger et des dérives depuis longtemps » dans le secteur de l’influence, elle tient à rappeler sa détermination à ce que le métier d’influenceur soit « régulé ». Le commissariat d’Antibes, ville où est immatriculée la société de l’agente, est chargée de l’enquête. « Nous sommes sereins quant à l’issue de cette procédure judiciaire », a-t-il cependant ajouté. S’ensuivent alors des « centaines de messages d’injures en tout genre, jusqu’à un par minute, même la nuit », rapporte-t-il. Magali Berdah a reçu plus de 100 000 messages de haine, la visant elle ou ses proches. Une enquête est ouverte par le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris le 1er juin.
D'après son avocat, Magali Berdah et ses proches ont reçu plus de 100.000 messages de haine ces quatre derniers mois.
[une enquête ce lundi](https://www.20minutes.fr/justice/4000995-20220912-justice-ouvre-enquete-pratiques-shauna-events-societe-magali-berdah) pour « pratiques commerciales trompeuses » contre Shauna Events, à la suite de la plainte formulée par Booba. « Aujourd’hui, que le combat de régulation des influenceurs puisse être incarné par un individu qui commet du cyberharcèlement, c’est un problème pour nous », assure Maître Antonin Gravelin-Rodriguez. La plainte mentionne également un « système alimenté par la passivité des réseaux sociaux et particulièrement Instagram et Snapchat utilisés par les influenceurs pour promouvoir les arnaques ». D’après l’avocat, « l’auteur du raid numérique » a envahi toute la sphère privée de Magali Berdah. Enfin, une plainte pour diffamation a été déposée en juillet, ainsi qu’une dernière le 12 septembre après la divulgation des informations sur la conférence de presse par le rappeur Booba. C’en était sûrement trop pour la patronne de Shauna Events, qui a décidé de convoquer la presse ce mercredi pour rendre public « tous les éléments de l’affaire de cyberharcèlement par Booba dont elle est victime depuis 4 mois ». « Cette semaine a accentué le harcèlement dont est victime Magali Berdah ». Le problème, c’est que ce 1v1 s’est rapidement transformé en une sombre histoire de cyberharcèlement « en meute » dont la patronne de l’agence d’influenceurs Shauna Events dit être victime. « Cela fait deux tweets par jour et a engendré plus 100.000 messages de haine à l’encontre de Magali Berdah ou de ses proches », compte Me Antonin Gravelin-Rodriguez, qui se souvient également de l’organisation de « la Berdah gate week », mi-juillet. Le Pôle national de la haine en ligne (PNHL) se saisit directement de l’affaire. « Il n’a en aucun cas été question de placement de produits à ce moment-là », rappelle Me Antonin Gravelin-Rodriguez. [le rappeur Booba](https://www.20minutes.fr/dossier/booba) et Magali Berdah - la papesse de l’influence - qu’il n’est plus utile de présenter.
La papesse des influenceurs Magali Berdah a qualifié mercredi à Paris lors d'une conférence de presse le rappeur Booba de « harceleur qui se dit lanceur ...
Connectez-vous pour ne plus voir ce message](//crm.timesofisrael.com/fr/sign-in) Ce qui se passe est très grave, ça se fait aux yeux de tous. Sans jamais le nommer, Mme Berdah a lancé au sujet du rappeur, natif de Boulogne-Billancourt : « Cet homme qui se dit lanceur d’alerte est un harceleur.
La manageuse d'influenceurs a tenu une conférence de presse au cours de laquelle elle a qualifié le rappeur Booba de harceleur.
"Cet homme qui se dit lanceur d’alerte (c'est ainsi que Booba s'était désigné dans l'entretien avec Libération, ndlr) est un harceleur", a lancé Magali Berdah, dénonçant une situation "très grave" qui a lieu "aux yeux de tous". "Le combat pour protéger nos enfants (des dérives des réseaux sociaux, ndlr) ne peut pas être porté par un homme qui attise la haine sur les réseaux sociaux et ailleurs", a poursuivi Magali Berdah, les larmes aux yeux. Non pas pour discuter de [ses propos, devenus viraux](https://www.dhnet.be/lifestyle/people/2022/09/13/jai-une-tendinite-au-bras-la-patronne-des-influenceurs-moquee-son-expression-devient-virale-UVGP4NIRNVAKJBNNF65YJ25ERA/), dans l'émission Complément d'enquête, mais bien pour dénoncer les pratiques du rappeur Booba, qu'elle accuse de harcèlement.