EuroBasket 2022 - L'intérieur des Pelicans est sacré MVP de la compétition européenne après le succès de l'Espagne en finale. Lorenzo Brown, Dennis Schröder ...
Et si c’est son frère Juancho qui a été élu MVP du dernier match, avec ses 27 points à 7/9 de loin, c’est bien Willy Hernangomez qui a décroché le trophée de MVP de la compétition, des mains de Dirk Nowitzki. L’intérieur des Pelicans aura ainsi été la principale menace offensive de la Roja durant cette campagne, avec 17.2 points de moyenne à 64% de réussite au tir.
Sept ans ont passé, la plaie n'est pas refermée. Le 18 septembre 2015, en finale de l'EuroBasket, celui dont l'on tait le nom depuis cet évènement a ...
Trois coups d’épaule sur Vincent Poirier, en déséquilibre sous le cercle, et les deux genoux de Willy Hernangomez à hauteur de tête. Ce petit mètre est en réalité la pire chose qu’il soit arrivé à la France depuis Magali Berdah et le Rentre dans le Cercle de 47Ter. Dans la foulée, et « sans aucun lien avec le résultat », la maire de Berlin annonce un accord de jumelage entre la capitale allemande et Villeneuve D’Ascq. Un run 20 à 5 appuyé par l’excellent banc de la Roja, et un Rudy Fernandez auteur de trois fautes offensives sur un seul drive, pour aucune de sifflée. Pas franchement en vue dans ce 3e quart-temps (un seul fadeaway sur Moustapha Fall), Willy Hernangomez sort de sa boîte sur les dix dernières minutes et choque l’Europe entière : 21 points à 8/11 au tir, 5 rebonds offensifs ressentis comme 74, et le scalp d’un Rudy Gobert dépassé par la polyvalence de son vis-à-vis. L’image de la rencontre ? Mais voilà, une fois la tempête des premières minutes passées, Rudy décide de laisser un petit mètre à Willy Hernangomez pour ne pas se faire surprendre sous le coup d’un premier pas dévastateur. Le plus inquiétant n’est pas forcément l’équilibre de la rencontre, que l’on attendait disputée au coude à coude, mais bien la grinta dents serrées/regard noir d’un Willy Hernangomez (trop) en jambes, mobile et disponible en transition. Sur la compète, l’intérieur espagnol n’en est « qu’à » 17.6 points et 6.8 rebonds de moyenne. Deux possession espagnoles et déjà un premier avertissement, Willy Hernangomez enchaîne – beaucoup trop facilement – bras roulé et « Dream Shake » sur Gobert, portant son scoring perso à 4 points en 39 secondes de jeu. Une soirée noire à ranger dans la pire catégorie la concernant, et l’appréhension continue de revivre une tornade similaire à la tristement fameuse Pau Gasol. Nous n’avons pas de pression, je pense que le travail est déjà fait.
Titrée, forcément l'Espagne rafle aussi des récompenses individuelles. C'est Willy Hernangomez qui est élu MVP de la compétition, lui qui a tourné à 17.2 ...
- Willy Hernangomez - Lorenzo Brown - Rudy Gobert
L'Espagnol Willy Hernangomez (2,09 m, 28 ans) a été élu MVP de l'EuroBasket. Le pivot des New York Pelicans a tourné en 6 matches à 17,2 points et 6,9 rebonds.
Auteur d'un EuroBasket exceptionnel, Willy Hernangomez a été élu MVP de la compétition. Le pivot est accompagné dans le cinq majeur de l'Euro par son ...
Le pivot des Pélicans a marqué cet EuroBasket de sa patte et s’est fendu de 17,2 points, 6,9 rebonds et 1 passe décisive sur l’ensemble de la compétition avec une pointe à 27 points en quarts de finale face à la Finlande. Auteur d’un EuroBasket exceptionnel, Willy Hernangomez a été élu MVP de la compétition. Le meneur espagnol Lorenzo Brown a été élu MVP de l'EuroBasket.
Face à un Juan Hernangómez incroyable, les Bleus ont chuté face à l'Espagne (76-88) ce dimanche à l'occasion de la finale de l'Eurobasket 2022.
Heureusement, Vincent Poirier et Okobo redonnaient un second souffle à la France en sortie de banc pour rester en vie (57-66). avant un bon réveil juste avant la pause grâce à un 11-0 (37-47) ! Les Bleus étaient de retour à 3 unités ! A la rue, la France évitait un naufrage complet grâce à deux paniers à trois points d’Elie Okobo. De son côté, Evan Fournier (23 points), même limité par ses fautes, a souvent relancé les siens. Et même individuellement, la sélection ibérique a pu compter sur un Juan Hernangómez en feu : 27 points, 5 rebonds.
Le pivot espagnol est sacré meilleur joueur du tournoi, Rudy Gobert fait lui partie du meilleur cinq de la compétition.
Ils sont accompagnés dans le cinq majeur de l’EuroBasket 2022 par le meneur de l’Allemagne, Dennis Schröder, le meilleur marqueur de l’épreuve Giannis Antetokounmpo (29.3 points par rencontre) et finalement par Rudy Gobert, le pivot de l’Equipe de France. Pas de Luka Doncic donc, éliminée avec la Slovénie en quart de finale par la Pologne. Sergio Scariolo, l’entraîneur de l’Equipe d’Espagne, est peut-être le plus gros atout de la Roja, qui retrouve le toit de l’Europe (comme en 2009, 2011 et 2015) malgré un effectif largement affaibli par rapport à ses plus belles années, au point qu’elle avait dû naturaliser le meneur américain Lorenzo Brown en urgence, en amont de la compétition, pour remplacer les blessés Ricky Rubio et Sergio Llull.
Comme Tony Parker, Nando De Colo et Boris Diaw avant lui, Rudy Gobert a été élu dans l'équipe type d'un Eurobasket.
Le tout donne donc une équipe type bien sexy, sans Luka Doncic ni Nikola Jokic, brillants mais éliminé en quart de finales. Le meneur aura été très bon, à l’image de sa finale, en alternant scoring et distribution. Si Juancho Hernangomez est incontestablement le MVP de la finale de l’Eurobasket 2022 remportée par l’Espagne (88-76) dimanche soir, c’est bien son frangin Willy Hernangomez qui a été nommé MVP de la compétition.
Ça y est, l'EuroBasket 2022 est officiellement terminé et les récompenses individuelles commencent à tomber. Tout juste vainqueur du tournoi avec l'Espagne, ...
16/6/4 d’entrée contre la Bulgarie, 14/7 pour enchaîner face à la Géorgie, 18 pions dans la tête de la Belgique, un bon gros double-double à 14 points et 13 rebonds contre le Monténégro, et enfin 15/7 pour clôturer lors de la frayeur face à la Turquie. Avec 17,2 points et 7 rebonds de moyenne à 64% de réussite au tir, Willy a tout simplement terminé meilleur scoreur et rebondeur de l’Espagne. Tout au long de la compétition, l’Espagnol a évolué à un niveau hyper solide et qu’on n’attendait pas forcément, tirant la Roja de plus d’un mauvais pas.