La mort de la jeune femme après son arrestation par la police des mœurs suscite l'indignation dans la République is.
A nouveau ce lundi, la police iranienne a nié être responsable de ce décès, parlant d’un «incident». C’est là qu’elle a été arrêtée mardi dernier par la police des mœurs pour tenue «inappropriée». Mahsa Amini était venue de la province du Kurdistan, dans le nord-ouest de l’Iran, pour visiter la capitale, Téhéran.
Des femmes iraniennes marchent dans le centre-ville de Téhéran, en Iran, en avril 2018. © Vahid Salemi/ AP.
Mais ce sont les accusation portées par de nombreux manifestants à la suite du décès de Mahsa Amini. Après l’arrestation, les versions divergent quant aux conditions de détention des femmes. "C’est un organe chargé de remettre les femmes sur le droit chemin”, explique Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran de 2016 à 2019 et auteure de Portraits de Téhéran. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de hurlements à l’extérieur dans les vidéos”, raconte Sarah Saidi. “À partir du moment où vous êtes dans le camion, c’est fini pour vous. Depuis les Iraniennes ont pris l’habitude de vivre dans la crainte de rondes de la police, dans des camionnettes identifiables à leur bandeau vert au milieu. Si vous sortez de la maison, vous vous couvrez complètement." Pour faire face, les femmes ont développé des techniques pour échapper à leur arrestation. Les femmes rentraient à l’heure. À l’avant, les hommes conduisent. Le geste est fort, à l’image de la vague de colère qui gagne le pays cette semaine à la suite de la mort d’une jeune femme de 22 ans, Mahsa Amini. C’est là où elle fait le plus de rafles.
Aus Protest gegen den Tod der 22-jährigen Mahsa Amini in Teheran haben sich die Menschen in mehreren iranischen Städten zu Demonstrationen versammelt.
Die Regierung in Teheran und die Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger umzusetzen. Nach Angaben von Augenzeugen waren Polizei und Sicherheitskräfte in der Stadt mit einem massiven Aufgebot auf den Strassen unterwegs. Die Polizei ging teils mit Wasserwerfern und Schlagstöcken gegen die Menschenmengen vor.
Die 22-Jährige war wegen »unangemessener Kleidung« festgenommen worden – und in Haft gestorben. Nun tragen viele Iranerinnen und Iraner ihre Wut über das ...
Die Polizei erklärte, es habe keinerlei «körperlichen Kontakt» zwischen ihr und den Polizeibeamten gegeben. Der Vater des Opfers, Amjad Amini, machte deutlich, dass er die Erklärungen der Polizei nicht akzeptiere. «Dies ist ein unglücklicher Zwischenfall», sagte er. Amini war am Dienstag vergangener Woche in Teheran wegen «des Tragens unangemessener Kleidung» festgenommen worden und unter noch ungeklärten Umständen auf der Polizeiwache zusammengebrochen und später im Krankenhaus gestorben. «Sie haben Slogans gegen die Verantwortlichen des Landes gerufen», berichtete Fars. In einem von der Agentur veröffentlichten kurzen Video ist zu sehen, wie Frauen mit zurückgezogenem Schleier rufen: «Tod der Islamischen Republik».
Vor drei Tagen starb die 22 Jahre alte Mahsa Amini im Polizeigewahrsam im Iran. Nun sind viele Menschen auf die Straßen gegangen, um ihre Trauer, ...
Die konservative Zeitung "Keyhan", die als Stimme der Hardliner gilt, und andere Politiker der Regierung stützten die Version. Die Polizei und auch die Regierung von Präsident Ebrahim Raisi sind seit dem Tod Aminis und der landesweiten Kritik in Erklärungsnot. Die Polizei wies erneut jegliche Schuld am Tod der jungen Frau zurück. "Es ist gesetzlich nun mal unsere Aufgabe, Frauen an die Kleidervorschriften zu erinnern", so der Polizeichef. Die junge Frau war am vergangenen Dienstag nach ihrer Festnahme durch die Religionspolizei ins Koma gefallen und am Freitag in einem Krankenhaus gestorben. Im Iran und international hatte der Fall Aminis große Anteilnahme und Bestürzung ausgelöst.
En Iran, le sort de Mahsa Amini, morte après avoir été arrêtée à Téhéran par la police des moeurs, secoue le pays entier. Quelques jours après son décès, ...
Le jour du décès de la jeune femme, la télévision d’État a même diffusé une courte vidéo de surveillance montrant une femme présentée comme Mahsa Amini s’effondrer dans les locaux de la police après une discussion avec une policière. « La situation de Mahsa Amni est un exemple d’un crime intentionnel. En visite à Téhéran avec sa famille, Mahsa a été arrêtée le 13 septembre pour « port de vêtements inappropriés » par la police des moeurs, parce qu’elle ne portait pas son voile correctement. En Iran, le sort de Mahsa Amini, morte après avoir été arrêtée à Téhéran par la police des moeurs, secoue le pays entier. Alors que des foules prennent d’assaut les rues depuis samedi, la police rejetait à nouveau lundi toute responsabilité dans ce décès. Elle aurait ensuite « soudainement souffert d’un problème cardiaque ».
Alleine auf dem zentralen Boulevard Keschawars in Teheran kamen am Montagabend Hunderte Demonstranten zusammen, wie die iranische Nachrichtenagentur Fars ...
Die Polizei weist die Vorwürfe entschieden zurück. Die 22-Jährige war am vergangenen Dienstag nach ihrer Verhaftung durch die Religionspolizei ins Koma gefallen und am Freitag im Krankenhaus gestorben. Nach Angaben von Augenzeugen waren Polizei und Sicherheitskräfte in der Stadt mit einem massiven Aufgebot auf den Strassen unterwegs. Die Proteste sollten auch am Abend fortgesetzt werden. Alleine auf dem zentralen Boulevard Keschawars in Teheran kamen am Montagabend Hunderte Demonstranten zusammen, wie die iranische Nachrichtenagentur Fars berichtete. Der Grossteil der Proteste war jedoch friedlich.
Aus Protest gegen den Tod der 22-jährigen Mahsa Amini in Teheran haben bekannte Iranerinnen ihre Haare abgeschnitten.
Die Regierung in Teheran und die Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger umzusetzen. Am Wochenende gab es in der Hauptstadt Teheran Demonstrationen an einer Universität und vor dem Spital, in dem sie verstorben war. Der Enkel des früheren Obersten Führers Khomeini schreibt auf Instagram, die Nachricht vom Tod Aminis verletze die Gefühle der Gesellschaft.
Arrêtée à cause de son voile mal mis, Mahsa Amini est tombée dans le coma au commissariat. Elle est morte trois jours plus tard dans un hôpital de Téhéran, ...
» La mort de la jeune femme survient alors que la controverse enfle sur les pratiques de cette police des mœurs qui patrouille dans les rues et veiller sur l’application des règles islamiques. Présentant « ses condoléances à la famille », il promet « une enquête spéciale » afin de « clarifier toutes les dimensions » de cette affaire. D’autres manifestations ont eu lieu tout au long du week-end dans les villes kurdes, notamment dans la capitale de la province, Sanandaj. Ce que confirme un habitant de la capitale de la province. À l'échelle nationale, de nombreuses personnalités publiques, de stars du cinéma aux sportifs, ont exprimé leur indignation sur les réseaux sociaux. « Ce n’était pas la violence policière qui m’a le plus surpris mais la présence impressionnante de femmes, raconte un habitant de Sanandaj via WhatsApp. Le préfet de police de Téhéran, évoquant « un malaise » dans le commissariat, affirme « qu’il n’y a pas eu de contact physique » entre les agents de police et la jeune femme. Une version contestée par les témoins que Marianne a pu contacter, notamment ceux qui se trouvaient dans le fourgon de police et dans la salle du commissariat. La jeune fille est originaire de la ville kurde de Saqqez, dans le nord-ouest du pays. Malgré les restrictions et coupures momentanées d’Internet, les vidéos de l'évènement ont fait le tour des réseaux sociaux. Ses funérailles dans sa ville natale ont donné lieu à des manifestations tout au long du week-end, violemment réprimées par les forces de sécurité. L’annonce de son décès devient aussitôt virale sur les réseaux et émeut toute une partie de la population.
Proteste nach dem Tod einer jungen Frau – Irans Regierung ist in Erklärungsnot · Eine iranische Zeitung mit dem Titelbild von Mahsa Amini, die nach ihrer ...
Händler und Geschäftsleute hatten in den mehrheitlich kurdischen Gebieten zu einem Generalstreik aufgerufen, um damit gegen den gewaltsamen Tod von Mahsa Amini zu protestieren. Der Vorfall hat in zahlreichen iranischen Städten Empörung und Trauer ausgelöst. Drei Tage später starb die 22-jährige Mahsa Amini.