Aus Protest gegen den Tod der 22-jährigen Mahsa Amini in Teheran haben bekannte Iranerinnen ihre Haare abgeschnitten.
Die Regierung in Teheran und die Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger umzusetzen. Am Wochenende gab es in der Hauptstadt Teheran Demonstrationen an einer Universität und vor dem Spital, in dem sie verstorben war. Der Enkel des früheren Obersten Führers Khomeini schreibt auf Instagram, die Nachricht vom Tod Aminis verletze die Gefühle der Gesellschaft.
En Iran, la mort de Masha Amini, arrêtée trois jours plus tôt à Téhéran par la police des moeurs et de la vertu, suscite un immense mouvement de colère.
Pour calmer le pays, le président Ebrahim Raïssi, qui a eu une conversation téléphonique dimanche soir avec la famille Amini, a demandé l'ouverture d'une enquête "jusqu'à la clarification de la situation" - le chef du bureau du médecin légiste de Téhéran a déclaré samedi à la télévision d'État que les enquêtes sur la cause du décès de la jeune femme étaient en cours mais qu'elles prendraient trois semaines. Un parti politique réformateur, Etemad Melli, réclame quant à lui l'annulation de la loi sur le hijab obligatoire et la suppression de la police des mœurs. L'organisation [Human Rights Watch](https://www.hrw.org/news/2022/09/16/woman-dies-custody-irans-morality-police) dénonce les discriminations et les violences institutionnelles à l'égard des femmes dans le pays. Des images qui ne suffisent pas à convaincre dans un pays où l'opinion est habituée aux manipulations de tous ordres. En juillet, une femme battue en garde à vue dans les mêmes circonstances, avait du être emmenée à l'hôpital pour une hémorragie interne, avant de présenter ses excuses à la télévision publique. Ces dernières années, le pouvoir judiciaire a d'ailleurs exhorté la population à dénoncer les femmes qui ne portent pas correctement leur voile. Le cinéaste Asghar Farhadi, lauréat de deux Oscars dit quant à lui : "Mahsa est aujourd'hui plus vivante que nous, car nous sommes endormis, sans réaction face à cette cruauté sans fin, nous sommes complices de ce crime". Samedi 17 septembre, le jour de ses obsèques dans sa ville natale de Saqqez, au Kurdistan, des femmes enlèvent leur voile et l'agitent en criant au-dessus des têtes. [#Mahsa_Amini](https://twitter.com/hashtag/mahsa_amini?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Ehashtag) est devenu viral, avec près de 2,8 millions de tweets. La police, au contraire, prétend qu'elle est victime d’une crise cardiaque au quartier général de la police. Ensuite, tout est plus flou : des témoins assurent qu'à peine montée dans la fourgonnette, Mahsa est frappée par les agents... [Mahsa Amini](https://www.radiofrance.fr/franceinter/iran-cinq-questions-sur-la-mort-de-mahsa-amini-jeune-femme-arretee-par-la-police-des-moeurs-9268070) avait 22 ans, des lèvres rouges cerise sur un joli sourire moqueur.
"Grundlos" nennt die Polizei in Teheran den Vorwurf, Mahsa Amini sei durch Polizeigewalt gestorben. Aus Solidarität mit der Toten schneiden sich Iranerinnen ...
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In Teheran stirbt eine 22-Jährige, nachdem sie von der Sittenpolizei wegen ihres falsch sitzenden Hijabs festgenommen wird. Der Fall sorgt international für ...
Die Regierung in Teheran und die Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger umzusetzen. Auch vor dem Krankenhaus in Teheran, in dem die junge Frau nach drei Tagen im Koma gestorben war, hatten sich Menschen zuvor versammelt. Mit den im Internet geteilten Videos und Fotos wollten die Frauen ihre Solidarität mit der jungen Frau ausdrücken, die im Iran nach ihrer Verhaftung durch die Moralpolizei ins Koma gefallen und am Freitag gestorben war. Die iranische Journalistin und Aktivistin Masih Alinejad twittert ein Video, in dem Dutzende Frauen ihre Kopftücher verbrennen. Amini war am Dienstag durch die Religionspolizei wegen ihres "unislamischen" Outfits festgenommen worden. In Teheran stirbt eine 22-Jährige, nachdem sie von der Sittenpolizei wegen ihres falsch sitzenden Hijabs festgenommen wird.
Der Tod von Mahsa Amini bewegte die Welt. Die 22-jährige Iranerin wurde in Teheran von der Moralpolizei festgehalten, offenbar, weil sie keinen Hijab trug.
Sie habe „plötzlich ein Problem mit dem Herzen“ gehabt und sei „sofort mit der Unterstützung der Polizei und der Notdienste ins Krankenhaus gebracht worden“. Mit den im Internet geteilten Videos und Fotos wollten die Frauen ihre Solidarität mit der jungen Frau ausdrücken. Das islamische Kopftuch ist im Iran seit kurz nach der Islamischen Revolution verpflichtend. Die Moralpolizei wacht über die strenge Einhaltung der Kleidungsvorschriften für Frauen, darunter die Kopftuchpflicht. Zwischen der Festnahme und der Einlieferung ins Krankenhaus vergingen nach den Angaben des Bruders nur zwei Stunden. Ihr Schicksal beschäftigte die Menschen in aller Welt: Der 22 Jahre alten Mahsa Amini aus dem Iran wurden offenbar die strengen Moralvorstellungen in ihrem Land zum Verhängnis.
Amini war am Dienstag durch die Religionspolizei wegen ihres "unislamischen" Outfits festgenommen und auf eine Polize...
Amini war am Dienstag durch die Religionspolizei wegen ihres "unislamischen" Outfits festgenommen und auf eine Polizeiwache gebracht worden. Nach Polizeiangaben bekam sie dort Herzprobleme. Mit den im Internet geteilten Videos und Fotos wollten die Frauen ihre Solidarität mit der jungen Frau ausdrücken, die im Iran nach ihrer Verhaftung durch die Moralpolizei ins Koma gefallen und am Freitag gestorben war.
Plusieurs manifestations ont eu lieu en Iran après la mort d'une jeune fille de 22 ans, détenue par la police des mœurs. Pour protester contre un régime ...
La police de Téhéran s’était défendue vendredi, affirmant « qu’il n’y avait pas eu de contact physique » entre les agents et la victime. « De nombreux manifestants sont convaincus que Mahsa est morte sous la torture », a souligné lundi l’agence Fars. « Plusieurs personnes ont été arrêtées par la police », a encore indiqué Fars.
Une jeune Iranienne, dans le coma après avoir été arrêtée à Téhéran par la police des mœurs, est décédée vendredi. L'Iran, sous le choc depuis, ...
Dans un communiqué, la police de Téhéran a confirmé le décès, affirmant « qu'il n'y avait pas eu de contact physique » entre les agents de police et la jeune femme. Cependant, ces deux dernières décennies, de plus en plus de femmes à Téhéran et dans d'autres grandes villes laissent des mèches de cheveux, voire plus, dépasser de leur voile. « La prétendue “police des mœurs" à Téhéran l'a arrêtée arbitrairement trois jours avant sa mort en vertu des lois abusives, discriminatoires et dégradantes du pays sur le port du voile. « Les circonstances qui ont conduit au décès suspect durant sa détention de la jeune femme de 22 ans, Mahsa Amini, dont des accusations de torture et d'autres mauvais traitements, doivent faire l'objet d'une enquête criminelle », a réagi l'ONG Amnesty International. [l'unité spéciale de la police chargée d'appliquer les règles](https://www.elle.fr/Societe/News/Les-Iraniennes-traquees-par-la-police-a-cause-de-leur-tenue-2712048) vestimentaires strictes pour les femmes, dont l'obligation de se couvrir les cheveux. « Malheureusement, elle est morte et son corps a été transféré à l'institut médicolégal », a indiqué vendredi la télévision d'Etat.
La province iranienne du Kurdistan est en grève ce lundi pour protester contre la mort vendredi d'une jeune femme après son arrestation par la police des ...
Les partis politiques kurdes ont donc appelé à la grève générale ce lundi dans une région aux velléités indépendantistes, particulièrement contrôlée par le régime. Même rassemblement à Sanandaj, la capitale de la province du Kurdistan. Samedi, lors de son enterrement à Saqqez, dans la province du Kurdistan, au nord-ouest du pays, les femmes ont retiré leurs voiles dans une foule scandant « À mort la dictature ».
Les forces de sécurité iraniennes ont dispersé à coups de gaz lacrymogènes une manifestation dans le nord-ouest du pays et procédé à "plusieurs ...
Lundi, Amjad Amini, le père de la victime, a déclaré à Fars qu'il "n'accepte pas ce que (la police) lui a montré" car, selon lui, "la vidéo a été coupée". Ces informations ont été démenties par le père de la victime, qui assure que sa fille était "en parfaite santé". "Environ 500 personnes se sont rassemblées à Sanandaj, capitale de la province du Kurdistan, et ont crié des slogans contre les responsables du pays", a rapporté Fars.
VIDEO. En Iran, la mort de Mahsa Amini, après son arrestation par la police des mœurs souvent critiquée pour ses méthodes violentes, secoue le pays depuis ...
Le ministre de l’Intérieur iranien a également déclaré que « Mahsa avait apparemment des problèmes physiques antérieurs » et « avait subi une opération au cerveau à l’âge de 5 ans ». « Si ce sont des musulmans, que Dieu fasse de moi un infidèle », a lancé Sardar Azmoun, attaquant iranien du Bayer Leverkusen. Ce lundi 19 septembre, 500 manifestants ont été dispersés avec des gaz lacrymogènes au cours d’un rassemblement dans la ville de Sanandaj, au nord-ouest du pays. De nombreuses images de femmes retirant leur hijab et le faisant tournoyer au-dessus de la foule ont été mises en ligne. Sur Twitter, le hashtag #Mahsa_Amini en persan comptait près de 1,5 million de tweets dimanche midi. Des hommes se sont également rasé la tête, en soutien au mouvement.
Arrêtée à cause de son voile mal mis, Mahsa Amini est tombée dans le coma au commissariat. Elle est morte trois jours plus tard dans un hôpital de Téhéran, ...
» La mort de la jeune femme survient alors que la controverse enfle sur les pratiques de cette police des mœurs qui patrouille dans les rues et veiller sur l’application des règles islamiques. Présentant « ses condoléances à la famille », il promet « une enquête spéciale » afin de « clarifier toutes les dimensions » de cette affaire. D’autres manifestations ont eu lieu tout au long du week-end dans les villes kurdes, notamment dans la capitale de la province, Sanandaj. Ce que confirme un habitant de la capitale de la province. À l'échelle nationale, de nombreuses personnalités publiques, de stars du cinéma aux sportifs, ont exprimé leur indignation sur les réseaux sociaux. « Ce n’était pas la violence policière qui m’a le plus surpris mais la présence impressionnante de femmes, raconte un habitant de Sanandaj via WhatsApp. Le préfet de police de Téhéran, évoquant « un malaise » dans le commissariat, affirme « qu’il n’y a pas eu de contact physique » entre les agents de police et la jeune femme. Une version contestée par les témoins que Marianne a pu contacter, notamment ceux qui se trouvaient dans le fourgon de police et dans la salle du commissariat. La jeune fille est originaire de la ville kurde de Saqqez, dans le nord-ouest du pays. Malgré les restrictions et coupures momentanées d’Internet, les vidéos de l'évènement ont fait le tour des réseaux sociaux. Ses funérailles dans sa ville natale ont donné lieu à des manifestations tout au long du week-end, violemment réprimées par les forces de sécurité. L’annonce de son décès devient aussitôt virale sur les réseaux et émeut toute une partie de la population.
Depuis vendredi 16 septembre, la mort de Mahsa Amini, 22 ans, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs, provoque une vive colère en Iran.
Ce tragique événement survient alors que la police des mœurs, qui patrouille dans les lieux publics pour vérifier l’application de la loi sur le foulard et d’autres règles islamiques, est de plus en plus contestée en Iran. "Nous appelons les femmes et les hommes du monde entier à faire preuve de solidarité", a de son côté assuré Masih Alinejad, journaliste et militante politique d’origine iranienne, qualifiant par ailleurs la mort de Mahsa Amini de "meurtre barbare" dans un tweet. Selon l’agence de presse Fars, la foule aurait scandé "Mort au dictateur", en référence au Guide suprême, l’ayatollah Khamenei. Et pour cause, cette jeune femme de 22 ans est morte, vendredi 16 septembre, trois jours après son arrestation par la police des mœurs à Téhéran. D’un côté, plusieurs témoins affirment qu'à peine montée dans le fourgon, Mahsa Amani a été tabassée par les agents, tandis que de l’autre, les forces de l’ordre assurent que cette dernière a été victime d’une crise cardiaque une fois dans leurs locaux. La mort de Mahsa Amini, 22 ans, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs, provoque une vive colère en Iran.
Vor drei Tagen starb die 22 Jahre alte Mahsa Amini im Polizeigewahrsam im Iran. Menschen gehen auf die Straße, um ihre Wut und Trauer auszudrücken.
Die konservative Zeitung "Keyhan", die als Stimme der Hardliner gilt, und andere Politiker der Regierung stützten die Version. Die Klinik, in der die 22-Jährige behandelt wurde, hatte nach ihrem Tod in einem inzwischen gelöschten Post bei Instagram geschrieben, dass Amini bereits bei der Aufnahme am Dienstag hirntot gewesen sei. Die Polizei und auch die Regierung von Präsident Ebrahim Raisi sind seit dem Tod Aminis und der landesweiten Kritik in Erklärungsnot. [Polizei](/thema/Polizei)gewahrsam sind im [Iran](/thema/Iran) wieder Menschen in mehreren Städten auf die Straßen gegangen. Im Iran und international hatte der Fall große Anteilnahme und Bestürzung ausgelöst. Im Norden der Hauptstadt waren nach Angaben von Augenzeugen Polizei und Sicherheitskräfte mit einem massiven Aufgebot auf den Straßen.
Les médias iraniens ont annoncé le début d'une grève générale dans plusieurs villes pour protester contre le meurtre brutal de Mahsa Amini, une Kurde de 22 ...
Après avoir été harcelé dans un bus pour avoir porté des "vêtements inappropriés", Rashno a été arrêté et torturé par les forces de sécurité. En ce sens, les médias sociaux sont devenus une plateforme importante permettant à des centaines de femmes de montrer leur rejet des politiques misogynes du gouvernement iranien. sont les slogans à l'origine des protestations suscitées par la mort d'Amini dans diverses régions d'Iran, qui a durci les codes vestimentaires pour les femmes depuis la prise de pouvoir de l'actuel président, le religieux Ebrahim Raisi. Se couper les cheveux ou brûler le voile islamique sont quelques-uns des actes que les femmes enregistrent et publient pour protester contre ce crime brutal. Cette loi sur le hijab et la chasteté interdit, par exemple, la publication de photos de femmes non voilées sur Internet. Des manifestations sont également prévues dans le centre de Téhéran et à l'Université de technologie Sharif. Après la "séance de rééducation", la jeune Iranienne a été contrainte d'avouer son "crime" à la télévision d'État. Iran International ajoute que des commerçants de Yavanrud et de Kermanshah, dans l'ouest du pays, ont également rejoint la grève. La jeune femme, originaire du Kurdistan iranien, a été victime d'une crise cardiaque à la suite des coups et des tortures qu'elle a subis au poste de police. Bien que des frappes aient également été signalées dans la province d'Azerbaïdjan occidental, notamment à Urmia, Bukan et Piranshahr. Après plusieurs jours de protestations dans différentes parties du pays, certaines localités ont entamé une grève générale, rapporte Iran International. Après plusieurs heures de détention et d'exposition à une "séance de rééducation", Amini a été transportée à l'hôpital, où elle est arrivée sans signes vitaux.
Proteste nach dem Tod einer jungen Frau – Irans Regierung ist in Erklärungsnot · Eine iranische Zeitung mit dem Titelbild von Mahsa Amini, die nach ihrer ...
Händler und Geschäftsleute hatten in den mehrheitlich kurdischen Gebieten zu einem Generalstreik aufgerufen, um damit gegen den gewaltsamen Tod von Mahsa Amini zu protestieren. Der Vorfall hat in zahlreichen iranischen Städten Empörung und Trauer ausgelöst. Drei Tage später starb die 22-jährige Mahsa Amini.
Depuis la mort de Mahsa Amini, le pays se révolte contre les méthodes brutales de la police des mœurs et le port imposé du hijab.
Tandis que le quotidien Iran, journal du gouvernement, accuse les réformateurs « d’exploiter les émotions du peuple en utilisant un incident malheureux pour monter la nation contre le gouvernement et le président ». « Le Coran empêche clairement les fidèles d’utiliser la force pour imposer les valeurs qu’ils considèrent comme religieuses et morales », a-t-il estimé. Pour le journal Kayhan, « le volume de rumeurs et de mensonges soulevés après la mort de Mahsa a considérablement augmenté ». Le cinéaste Asghar Farhadi, lauréat de deux Oscars du meilleur film étranger, a observé que « Mahsa est aujourd’hui plus vivante que nous » car « nous sommes endormis, sans réaction face à cette cruauté sans fin, nous sommes complices de ce crime ». « Des images de Saghez, où les gens sont descendus dans la rue aujourd’hui après les grèves qui ont eu lieu dans toute la ville suite au meurtre de #MahsaAmini. Le journal modéré Jomhouri Eslami met lui en garde contre la « fracture sociale » provoquée par le « comportement violent » des policiers. Sur les réseaux sociaux, des femmes ont décidé de soutenir Masha Amini en se coupant les cheveux et en brûlant leur hijab. « Les forces de répression du régime iranien tirent des gaz lacrymogènes dans les maisons des gens et tentent désespérément d’écraser les protestations. Deux jours après son arrestation, elle est tombée dans le coma, à cause d’un « problème cardiaque soudain », selon la police de Téhéran qui assure qu’il n’y a eu « aucun contact physique » entre la police et Mahsa Amini. Sur Twitter, certains d’entre eux ont publié des vidéos de rues vides et de magasins fermés. Mahsa Amini, une jeune Iranienne de 22 ans, est [décédée ce vendredi 16 septembre](https://www.huffingtonpost.fr/international/article/en-iran-mahsa-amini-meurt-apres-son-arrestation-par-la-police-des-m-urs_207889.html) après son arrestation par la police des mœurs, organe largement décrié pour ses méthodes violentes. Parce que son voile était mal mis, Mahsa Amini a reçu des « instructions » sur les règles vestimentaires.
Drei Tage nach dem Tod der 22-jährigen Mahsa Amini im Polizeigewahrsam sind im Iran wieder Menschen in mehreren Städten auf die Strassen gegangen.
[Internet](/news/internet) [Koma](/news/koma) [Tod](/news/tod) Sie war am Dienstag während eines Familienbesuchs in Teheran von der Sitten- und Religionspolizei wegen ihres [«unislamischen» Outfits festgenommen](https://www.nau.ch/news/ausland/iran-mann-uberfahrt-zwei-frauen-wegen-unislamischer-outfits-65979459). Die Polizei wies am Montag erneut jegliche Schuld am Tod der jungen Frau zurück. An mehreren Orten riefen die Teilnehmer der Proteste: «Wir fürchten uns nicht, wir sind alle zusammen». In der Stadt Diwandareh sollen unverifizierten Berichten zufolge auch Schüsse gefallen sein. In Teheran kamen am Montag Studierende zusammen, um ihre Wut über den Vorfall auszudrücken, wie die Tageszeitung «Sharg» berichtete.
La mort de la jeune femme après son arrestation par la police des mœurs suscite l'indignation dans la République is.
A nouveau ce lundi, la police iranienne a nié être responsable de ce décès, parlant d’un «incident». C’est là qu’elle a été arrêtée mardi dernier par la police des mœurs pour tenue «inappropriée». Mahsa Amini était venue de la province du Kurdistan, dans le nord-ouest de l’Iran, pour visiter la capitale, Téhéran.
Des femmes iraniennes marchent dans le centre-ville de Téhéran, en Iran, en avril 2018. © Vahid Salemi/ AP.
Mais ce sont les accusation portées par de nombreux manifestants à la suite du décès de Mahsa Amini. Après l’arrestation, les versions divergent quant aux conditions de détention des femmes. "C’est un organe chargé de remettre les femmes sur le droit chemin”, explique Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran de 2016 à 2019 et auteure de Portraits de Téhéran. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de hurlements à l’extérieur dans les vidéos”, raconte Sarah Saidi. “À partir du moment où vous êtes dans le camion, c’est fini pour vous. Depuis les Iraniennes ont pris l’habitude de vivre dans la crainte de rondes de la police, dans des camionnettes identifiables à leur bandeau vert au milieu. Si vous sortez de la maison, vous vous couvrez complètement." Pour faire face, les femmes ont développé des techniques pour échapper à leur arrestation. Les femmes rentraient à l’heure. À l’avant, les hommes conduisent. Le geste est fort, à l’image de la vague de colère qui gagne le pays cette semaine à la suite de la mort d’une jeune femme de 22 ans, Mahsa Amini. C’est là où elle fait le plus de rafles.
Die 22-Jährige war wegen »unangemessener Kleidung« festgenommen worden – und in Haft gestorben. Nun tragen viele Iranerinnen und Iraner ihre Wut über das ...
Die Polizei erklärte, es habe keinerlei «körperlichen Kontakt» zwischen ihr und den Polizeibeamten gegeben. Der Vater des Opfers, Amjad Amini, machte deutlich, dass er die Erklärungen der Polizei nicht akzeptiere. «Dies ist ein unglücklicher Zwischenfall», sagte er. Amini war am Dienstag vergangener Woche in Teheran wegen «des Tragens unangemessener Kleidung» festgenommen worden und unter noch ungeklärten Umständen auf der Polizeiwache zusammengebrochen und später im Krankenhaus gestorben. «Sie haben Slogans gegen die Verantwortlichen des Landes gerufen», berichtete Fars. In einem von der Agentur veröffentlichten kurzen Video ist zu sehen, wie Frauen mit zurückgezogenem Schleier rufen: «Tod der Islamischen Republik».
Die iranische Polizei nimmt eine junge Frau wegen ihres »unislamischen« Outfits fest – kurz darauf ist sie tot. In Teheran gehen Tausende auf die Straße, ...
»Es ist gesetzlich nun mal unsere Aufgabe, Frauen an die Kleidervorschriften zu erinnern«, sagte der Polizeichef der Hauptstadt, Hussein Rahimi, nach Angaben der Nachrichtenagentur Mehr. Im Netz kursiert entgegen der offiziellen Version eine andere Darstellung der Ereignisse, die zu Aminis Tod geführt haben sollen. Iran muss aufhören, Gewalt gegen Frauen anzuwenden, die ihre Grundfreiheiten ausüben«, sagte der Sprecher: »Für Mahsas Tod muss Rechenschaft abgelegt werden.« [Teheran](https://www.spiegel.de/thema/teheran/) von der Sitten- und Religionspolizei wegen ihres »unislamischen« Outfits festgenommen und auf eine Polizeiwache gebracht worden. Der Sicherheitsrat verurteilte die Festnahme der 22-Jährigen. Nach Angaben von Augenzeugen waren Polizei und Sicherheitskräfte in der Stadt mit einem massiven Aufgebot auf den Straßen unterwegs.
Aus Protest gegen den Tod der 22-jährigen Mahsa Amini in Teheran haben sich die Menschen in mehreren iranischen Städten zu Demonstrationen versammelt.
Die Regierung in Teheran und die Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger umzusetzen. Nach Angaben von Augenzeugen waren Polizei und Sicherheitskräfte in der Stadt mit einem massiven Aufgebot auf den Strassen unterwegs. Die Polizei ging teils mit Wasserwerfern und Schlagstöcken gegen die Menschenmengen vor.
Die 22-Jährige war wegen »unangemessener Kleidung« festgenommen worden – und in Haft gestorben. Nun tragen viele Iranerinnen und Iraner ihre Wut über das ...
Die Polizei erklärte, es habe keinerlei «körperlichen Kontakt» zwischen ihr und den Polizeibeamten gegeben. Der Vater des Opfers, Amjad Amini, machte deutlich, dass er die Erklärungen der Polizei nicht akzeptiere. «Dies ist ein unglücklicher Zwischenfall», sagte er. Amini war am Dienstag vergangener Woche in Teheran wegen «des Tragens unangemessener Kleidung» festgenommen worden und unter noch ungeklärten Umständen auf der Polizeiwache zusammengebrochen und später im Krankenhaus gestorben. «Sie haben Slogans gegen die Verantwortlichen des Landes gerufen», berichtete Fars. In einem von der Agentur veröffentlichten kurzen Video ist zu sehen, wie Frauen mit zurückgezogenem Schleier rufen: «Tod der Islamischen Republik».
Die 22-Jährige war wegen »unangemessener Kleidung« festgenommen worden – und in Haft gestorben. Nun tragen viele Iranerinnen und Iraner ihre Wut über das ...
Die Polizei erklärte, es habe keinerlei «körperlichen Kontakt» zwischen ihr und den Polizeibeamten gegeben. Der Vater des Opfers, Amjad Amini, machte deutlich, dass er die Erklärungen der Polizei nicht akzeptiere. «Dies ist ein unglücklicher Zwischenfall», sagte er. Amini war am Dienstag vergangener Woche in Teheran wegen «des Tragens unangemessener Kleidung» festgenommen worden und unter noch ungeklärten Umständen auf der Polizeiwache zusammengebrochen und später im Krankenhaus gestorben. «Sie haben Slogans gegen die Verantwortlichen des Landes gerufen», berichtete Fars. In einem von der Agentur veröffentlichten kurzen Video ist zu sehen, wie Frauen mit zurückgezogenem Schleier rufen: «Tod der Islamischen Republik».
Frankreich hat sich bestürzt über den Tod einer jungen Frau in iranischem Polizeigewahrsam geäußert.
In der Hauptstadt Teheran gingen am Abend wieder tausende Menschen auf die Straße. Die 22-Jährige war vergangenen Dienstag in Teheran von der Sitten- und Religionspolizei wegen ihrer angeblich unislamischen Kleidung festgenommen worden. Die Umstände müssten aufgeklärt werden.
Frankreich hat sich bestürzt über den Tod einer jungen Frau in iranischem Polizeigewahrsam geäußert.
In der Hauptstadt Teheran gingen gestern Abend wieder tausende Menschen auf die Straße. Die 22-Jährige war vergangenen Dienstag in Teheran von der Sitten- und Religionspolizei wegen ihrer angeblich unislamischen Kleidung festgenommen worden. Die Umstände müssten aufgeklärt werden.
En Iran, le sort de Mahsa Amini, morte après avoir été arrêtée à Téhéran par la police des moeurs, secoue le pays entier. Quelques jours après son décès, ...
Le jour du décès de la jeune femme, la télévision d’État a même diffusé une courte vidéo de surveillance montrant une femme présentée comme Mahsa Amini s’effondrer dans les locaux de la police après une discussion avec une policière. « La situation de Mahsa Amni est un exemple d’un crime intentionnel. En visite à Téhéran avec sa famille, Mahsa a été arrêtée le 13 septembre pour « port de vêtements inappropriés » par la police des moeurs, parce qu’elle ne portait pas son voile correctement. En Iran, le sort de Mahsa Amini, morte après avoir été arrêtée à Téhéran par la police des moeurs, secoue le pays entier. Alors que des foules prennent d’assaut les rues depuis samedi, la police rejetait à nouveau lundi toute responsabilité dans ce décès. Elle aurait ensuite « soudainement souffert d’un problème cardiaque ».
Heftige Proteste in Iran und in den sozialen Medien nach dem Tod von Mahsa Amini, die nach Inhaftierung durch die Sittenpolizei in Haft kollabierte und ...
In Sulaimaniyya im irakischen Kurdistan verbrannten Frauen ihre Schleier und verteilten Flyer mit dem Foto der jungen Kurdin aus Iran, die am 16. Auch im Ausland gab es Proteste in Solidarität mit Mehsa Amini. Am Montagabend riefen in der Hejab-Straße (persisch für "muslimischer Schleier") im Zentrum von Teheran "mehrere hundert Menschen Slogans gegen die Behörden, einige von ihnen legten ihren Hidschab ab", wie die Nachrichtenagentur Fars berichtet. In Teheran und in Maschdad im Nordosten des Iran haben weitere Menschen - vor allem Frauen - aus Solidarität mit Mehsa (oder Mahsa) Amini protestiert. Die in Iran populäre 49-Jährige erklärt, das Schicksal von Mehsa Amini hätte auch ihre Tochter oder sie selbst treffen können. Der iranische Innenminister Ahmad Vahidi argumentierte am Samstag, dass "Mahsa offenbar frühere Probleme hatte" und dass sie "im Alter von fünf Jahren eine Gehirnoperation hatte".
Des affrontements ont opposé lundi la police à des manifestants dans plusieurs villes iraniennes après la mort de la jeune femme détenue par la police des ...
Mais c’est le gouvernement de Raisi qui a ordonné une vigilance accrue de la police des mœurs au cours des derniers mois”, rappelle-t-elle. [à la chaîne kurde Rudaw](https://www.rudaw.net/english/middleeast/iran/19092022) que sa fille avait été “battue à l’intérieur d’un véhicule de la police alors qu’elle était détenue, ce qui a entraîné sa mort prématurée”. Mort de Mahsa Amini : la presse réformatrice iranienne tire à boulets rouges sur la police des mœurs](/une/la-une-du-jour-mort-de-mahsa-amini-la-presse-reformatrice-iranienne-tire-a-boulets-rouges-sur-la-police-des-m-urs) “La jeunesse se réveille alors qu’elle s’était réfugiée dans l’indifférence, un mécanisme d’autodéfense”, note Mahnaz Shirali. “D’autres images montrent aussi des manifestations dans la capitale, où des femmes enlèvent leur foulard et crient ’mort au dictateur’ - un chant souvent utilisé en référence au guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei”, souligne le média britannique. Les autorités iraniennes n’ont toutefois pas communiqué sur ces décès et la mort de ces manifestants n’a pas été vérifiée, précise le site israélien.
Une porte-parole du Haut-Commissariat, Ravina Shamdasani, a précisé que, selon certaines informations « deux à cinq personnes [avaient] été tuées », lors de ...
[Twitter ](https://twitter.com/faureolivier/status/1571974376370601985)« pour Mahsa Amini et pour toutes les autres femmes qui rêvent de liberté et d’égalité ». Elle est décédée vendredi à l’hôpital après trois jours passés dans le coma. Leur combat est le nôtre », a écrit Yaël Braun-Pivet sur Elle a ajouté que la police avait « tiré à balles réelles » et fait usage de gaz lacrymogène. », a interrogé le député. Il est celui de toutes ces femmes qui se lèvent aujourd’hui au nom de leur liberté.
Das ZDF verteidigt das Kopftuchtragen und wirft einem Nutzer trotz berechtigter Kritik sogar Rassismus vor.
Die Polizei im Iran ist nur ein Instrument“, so Mansour zu BILD. Frauen und Männer skandierten bei der Beerdigung von Amini in der Stadt Saghes „Tod dem Diktator“. Der Tod von Mahsa Amini (22) im Iran erschüttert die Welt. Aber für das ZDF ist eine berechtigte Kritik am Kopftuch in diesem Zusammenhang eine „Diffamierung von Kopftuchtragenden“, die „antimuslimischen Rassismus reproduziert“. Die Antwort ist ein riesiger Skandal voller Menschenverachtung.“ Diese Argumentation des ZDF-Teams hält Islamismus-Experte Ahmad Mansour (46) gegenüber BILD für skandalös: „Kritik am Kopftuch als patriarchalisches Symbol und Instrument der Unterdrückung ist nicht rassistisch und nicht antimuslimisch!
Le jeune femme de 22 ans avait été interpellée pour "port de vêtements inappropriés" et suite à un coma est morte à l'hôpital.
Le président iranien Ebrahim Raisi a demandé l'ouverture d'une enquête et s'est engagé à poursuivre l'affaire lors d'un appel téléphonique avec la famille d'Amini. En Iran, le code vestimentaire oblige les femmes à se couvrir les cheveux en public. Arrêtée le 12 septembre car son voile ne cachait pas suffisamment ses cheveux, Mahsa Amini, 22 ans, est tombée dans le coma et décédée quelques jours après à Téhéran où elle était en déplacement.
Der Tod der Iranerin Mahsa Amini hat eine Empörungswelle ausgelöst. Im Iran sind Tausende auf die Straßen gegangen, um ihre Wut auszudrücken.
Die Regierung unter Präsident Raisi und religiöse Hardliner im Parlament versuchen seit Monaten, die islamischen Gesetze strenger anwenden zu lassen. Nicht nur im Iran, auch über die Landesgrenzen hinaus löste Aminis Schicksal große Anteilnahme und Bestürzung aus. Zuletzt schwanden auch die Aussichten auf eine Wiederbelebung des Was genau danach geschah ist unklar, jedenfalls fiel Amini ins Koma und starb am Freitag in einem Krankenhaus. Alleine in der Hauptstadt Teheran kamen am Montagabend [Tausende Menschen](/nachrichten/heute-journal/proteste-iran-sittenpolizei-100.html) zusammen, um den Tod von Mahsa Amini anzuprangern. [Tod einer 22-jährigen Frau](/nachrichten/panorama/tod-iranerin-polizei-kopftuch-100.html) im Polizeigewahrsam sind Iranerinnen und Iraner im ganzen Land auf die Straße gegangen, um Aufklärung zu fordern.
À l'origine de cette colère : le décès de Mahsa Amini, une jeune femme tombée dans le coma après son arrestation pour "port de vêtements inappropriés" le 13 ...
- 10 - 8 L'arrivée du conservateur Ebrahim Raïssi au pouvoir, en 2021, n'a pas amélioré la condition des femmes en Iran. Lutter contre "l'immoralité", en rapportant à la police "le mauvais port du voile, les nuisances sonores, le harcèlement des femmes et le non-respect du port du voile dans les voitures". - 7 "La police des mœurs surveille l’ensemble de la population féminine, soit 40 millions de femmes et de filles. Après l'élection, en 2013, du président Hassan Rohani, modéré, la police des mœurs a largement disparu des rues. Le milieu de la décennie 1980 voit le développement d'une politique coercitive pour généraliser le "bon hijab". Depuis la révolution iranienne de 1979, c'est elle qui veille à la stricte application de la loi dans les rues. Les femmes doivent en effet se couvrir les cheveux en public à partir de l'âge de sept ans. Des manifestations ont essaimé lundi en Iran, notamment à Téhéran, où une foule de plusieurs dizaines de personnes a crié "mort à la République islamique". Mais aussi la rancœur grandissante au sein de la population vis-à-vis de la police des mœurs.
Nach dem Tod einer jungen Iranerin in Haft kommt es im Land zu Protesten. Die 22-jährige Mahsa Amini war in Teheran von der Sittenpolizei festgenommen ...
Doch es ist völlig unklar, ob sie den Forderungen nachkommen, oder ob sie – wie in der Vergangenheit – die Proteste mit aller Brutalität niederschlagen wird. Die Menschen wollen aber auch mehr Freiheiten. Das gilt wohl nicht unbedingt für die ländlichen Gebiete, für die Städte und Metropolregionen wohl tendenziell aber schon. Doch seit dem Frühsommer schreitet die Sittenpolizei in solchen Fällen massiv ein. In der Nacht auf Dienstag wurden nach Angaben einer Kurdenorganisation mehrere Menschen getötet oder verletzt. Wie stark die Proteste sind, weiss ARD-Korrespondentin Karin Senz.
Plusieurs dizaines d'Iraniens de Suisse ont manifesté sur la Place des Nations après le décès d'une jeune femme, Mahsa Amini, détenue en Iran.
Près de 180 cas de torture attribués à deux entités du renseignement vénézuélien ont été identifiés au total par les trois enquêteurs depuis le début de la crise politique au Venezuela, mais le chiffre est probablement plus important. C'est le chef du "Parlement" autoproclamé de la région de Lougansk, Denis Mirochnitchenko, qui a annoncé le premier les dates du scrutin mardi. Non seulement les responsables ne sont pas poursuivis, mais ils sont promus par le chef de l'Etat. Dans son nouveau rapport publié mardi à Genève, la Mission internationale d'établissement des faits, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU mais est mandatée par le Conseil des droits de l'homme, dénonce un climat d'impunité presque totale. Seuls quelques cas, mais attribués à des responsables de rang moins élevé, ont été abordés par les autorités judiciaires nationales. "Le Donbass rentre à la maison !" Pouchiline a aussi exhorté le président russe Vladimir Poutine à rapidement annexer la région après le référendum. Ils se tiendront aussi dans les zones sous occupation russe dans la région de Kherson (sud). Peu après, le chef de la région voisine de Donetsk, Denis Pouchiline, a annoncé un référendum aux mêmes dates. Les autorités ont affirmé qu'elle est décédée naturellement mais les données médicales et les témoignages montrent le contraire, a aussi dit la porte-parole. Denis Olivennes avait annoncé en juillet être à la recherche de 15 millions d'euros pour Libé. Des indications laissent penser qu'elle a été frappée à la tête avec un bâton, puis lancée contre un véhicule par les policiers.