La grève aux TPG n'est pas encore terminée ce mercredi, que déjà les syndicats annoncent la reconduction du mouvement jeudi. De nouvelles discussions ont ...
Une nouvelle collaboration pour lier la science aux défis futurs de la guerre et à la sécurité internationale sera elle menée avec le Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP) et l'Université de Columbia. Pour autant, le GESDA ne "pourra être utile" face à un conflit comme celui en Ukraine, "alors qu'aucune volonté politique" de ne pas recourir à la science comme une "arme" n'est observée, selon M. Les juridictions "s'occupent de plus en plus de crimes plus anciens mais il faut éviter que la justice ait trop de retard après les conflits". Le logo de l'organisation a été décliné en plusieurs oeuvres associés à des défenseurs de la justice internationale. Le radar a été élargi cette année à dix nouvelles thématiques et en atteint près d'une trentaine comme l'intelligence artificielle (IA) avancée, l'augmentation des capacités de l'être humain, l'éco-régénération ou la diplomatie scientifique. Ils vont du quantique à la décarbonation de la société. La situation actuelle, avec la guerre en Ukraine et les crises alimentaires et énergétiques, "est une bonne raison" d'avoir une entité comme le GESDA, estime M. Le Vestiaire social et les Colis du coeur, qui distribue des denrées alimentaires et des produits de première nécessité, prévoient d'emménager, à terme, dans un nouveau bâtiment commun. Ce nouveau dispositif devra permettre d'accélérer la mise à disposition de cette technologie à tous, notamment ceux qui oeuvrent dans le monde pour atteindre les Objectifs du développement durable (ODD). Ironie du sort, c'est un jour de grève des transports que le Conseil d'Etat a présenté son projet de loi pour développer son réseau de tramways. "Vu le manque d'effectifs dans la détention, c'est tous les jours service minimum", a déploré Marc Baudat, de l'Union du personnel du corps de police. Le Conseil d'Etat a soumis au Grand Conseil un projet de loi de 25 millions pour réaliser trois axes supplémentaires.
Le trafic des bus et des trams genevois a été perturbé mercredi matin par une grève des employés des TPG / 12h45 / 1 min. / hier à 12:45.
La question de l'indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social aux TPG. Selon la direction des TPG, 200 véhicules étaient en service sur le réseau aux alentours de 09h30. Le mouvement a réuni environ 400 personnes sur les différents sites mercredi matin, note le Syndicat du personnel des transports (SEV).
Des arrêts de bus clairsemés, des trams qui passent au compte-goutte: ce mercredi matin un peu avant 8h, la place Bel-Air, à Genève, avait des airs de ...
N'ayant rien pu obtenir de la direction, les grévistes des Transports publics genevois ne travailleront pas non plus demain.
À la suite de cela, les employés grévistes ont voté à une large majorité de reconduire leur grève ce jeudi. «La grève est reconduite à plus de 90% des membres SEV et transfair réunis sur les dépôts de Bachet, de Jonction et En Chardon en milieu d’après-midi, ont communiqué les syndicats. Lors de leur mouvement de grève ce mercredi, les syndicats ont pu rencontrer la direction des Transports publics genevois.
Fâchés par l'absence de propositions de la direction, les employés syndiqués des TPG ont décidé à plus de 90% de re.
Partie des environs de la gare Cornavin avec un millier de personnes, elle va rejoindre la place Neuve, en passant par les Rues-Basses. La question de l’indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social aux TPG. «Vu le manque d’effectifs dans la détention, c’est tous les jours service minimum», a déploré Marc Baudat, de l’Union du personnel du corps de police. Le Cartel exige aussi le versement de la prochaine annuité, supprimée à trois reprises ces dix dernières années. Le Cartel exige une indexation des salaires de 3%. Selon eux, le service minimum, mis en place par l’entreprise mercredi, «a davantage péjoré la situation qu’il ne l’a améliorée», tant pour les usagers que pour le personnel.
C'est l'absence de propositions de la direction pour sortir du conflit qui justifierait la prolongation de ce mouvement de protestation.
C'est d'autant plus regrettable sachant que les collaboratrices et les collaborateurs des TPG ont déjà bénéficié en 2022 d'une revalorisation salariale composée des mécanismes salariaux, d'une prime et d'une indexation partielle.» Le patron des Infrastructures goûte peu à ses prolongations: «Les TPG sont un établissement public autonome et le Conseil d'Etat n'entend pas intervenir dans sa gestion du personnel, réagit Serge Dal Busco. Tant pour les usagers que pour le personnel.»
Jeudi 15 h 30, le haut-parleur posé devant le dépôts des Transports publics genevois (TPG) à la Jonction a craché la nouvelle: à une très large majorité, ...
Aurélie Lelong, du Syndicat du personnel des transports (SEV), a fustigé la direction des TPG, «inflexible», qui «n’entend pas son personnel». «Du fric pour le service public», pouvait-on lire sur une pancarte brandie par un manifestant. Tôt ce matin, je me suis rendu avec ma voiture sur l’un des sites décidés par la direction pour récupérer un bus déplacé mardi soir et stationné en périphérie urbaine, raconte l’employé, qui a souhaité rester anonyme. Un des quelques chauffeurs TPG qui ont accepté de conduire un bus en dépit de la grève raconte une matinée contrastée. Face à la crise, le personnel réclame une indexation pleine des salaires et une prime de 500 francs, contre une demi-indexation et 400 francs proposés par les TPG. Mercredi 15h30, le haut-parleur posé devant le dépôt des Transports publics genevois (TPG) à la Jonction a craché la nouvelle: à une très large majorité, les employés ont reconduit pour ce jeudi la grève qui a déjà fortement perturbé le réseau mercredi.
Au second jour de la grève des transports publics, un service minimal n'est plus garanti.
Aucune ligne de bus et aucune ligne de trolleybus n’est actuellement desservie sur le réseau urbain», indiquent les TPG jeudi matin. Et de préciser que «huit trams ont pu sortir sur le réseau ce matin. Il n’y a presque plus aucun bus ou tram qui circulent dans le centre-ville et un service minimum n’est plus garanti.
La grève aux Transports publics genevois (TPG), entamée mercredi, se poursuit jeudi. De 350 à 400 employés au minimum prennent part aux piquets de grève ...
La question de l’indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social aux TPG. Cet engagement représente 1,6 million de francs non prévus au budget de l’entreprise, indique la direction des TPG. Un numéro vert livre des informations sur l’état du réseau en plus de canaux de communication habituel.
Après une première grève suivie par plus de 500 conducteurs mercredi, les syndicats des transports publics genevois (TPG) ont voté la poursuite du mouvement ...
Lors d’une réunion de crise ce matin, la direction aurait fait une proposition, dont la teneur reste inconnue, aux syndicats. Davantage que ce que la direction propose: indexer les salaires de 0,6% dès septembre et accorder une prime de 400 francs. Après une première grève suivie par plus de 500 conducteurs mercredi, les syndicats des transports publics genevois (TPG) ont voté la poursuite du mouvement jeudi.
La grève aux Transports publics genevois (TPG), entamée mercredi, se poursuit jeudi. De 350 à 400 employés au minimum prennent part aux piquets de grève ...
La question de l’indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social aux TPG. Un numéro vert livre des informations sur l’état du réseau en plus de canaux de communication habituel. De 350 à 400 employés au minimum prennent part aux piquets de grève devant les quatre dépôts de l’entreprise, selon les syndicats.
Une partie du personnel de l'Etat de Genève et des Transports publics genevois (TPG) est en grève mercredi. Les grévistes réclament une indexation pleine et ...
La question de l'indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social aux TPG. Selon la direction des TPG, 200 véhicules étaient en service sur le réseau aux alentours de 09h30. Les grévistes réclament une indexation pleine et entière de leurs salaires.
La grève aux Transports publics genevois a pris fin jeudi après une proposition de la direction des TPG de réindexer les salaires à 1,2%, ...
La question de l'indexation des salaires pour 2022 a été le détonateur du conflit social. Le personnel a obtenu la pleine indexation demandée de 1,2%, mais à une échéance différente, à partir du 1er janvier 2023. Jeudi, suite à l'accord trouvé en fin de matinée entre grévistes et TPG, le trafic va reprendre progressivement à partir du début d'après-midi, a confirmé le Syndicat du personnel des transports (SEV).
Les employés des Transports publics ont obtenu une indexation «satisfaisante» de leur salaire. Dans la foulée, les grévistes ont voté la fin de leur ...
La direction a tenu à présenter «ses excuses à la clientèle pour les désagréments causés». L’offre de la direction des Transports publics genevois (TPG) était «présentable» pour les syndicats, elle a été jugée «satisfaisante» par les employés en grève depuis mercredi. Les employés des Transports publics ont obtenu une indexation «satisfaisante» de leur salaire.
Les employés ont jugé satisfaisante l'offre de la direction des TPG. Bus et tram vont rouler à nouveau.
La direction des TPG s’est dite «satisfaite de la fin du mouvement social. Ils y ont renoncé et acceptent la proposition de 400 francs de la direction. Elle présente ses excuses à sa clientèle pour les désagréments causés.»