Femme et fille d'un opposant politique, elles ont été arrêtées le 13 septembre à leur domicile et croupissent depuis derrière les barreaux de la tristement ...
[…] Nous souhaitons notamment nous enquérir de leurs conditions de détention et de leur état de santé.» Les demandes de visite sont, pour l’instant, restées sans réponse. Dans ce courrier, il précise par ailleurs que Jeannine a survécu à un cancer, qu’elle est actuellement en rémission et doit réaliser des tests médicaux réguliers et qu’Ana et son compagnon ont tous deux des problèmes de santé nécessitant un suivi et des prises de médicaments. Fin septembre, l’ambassadrice de l’Union européenne a été déclarée persona non grata par le gouvernement nicaraguayen et sommée de quitter le pays. [depuis les manifestations de 2018 réprimées dans le sang](https://www.liberation.fr/planete/2018/07/12/au-nicaragua-la-lutte-anti-ortega-continue-dans-le-sang_1666162/) par le dictateur Daniel Ortega et sa femme [Rosario Murillo](https://www.liberation.fr/planete/2014/05/25/nicaragua-la-diablesse-et-le-president_1026430/) sans qu’une nouvelle salve de détentions arbitraires n’ait lieu. Alerté par ces dernières de la descente de police en cours le 13 septembre, Javier Alvarez a fui vers le Costa Rica voisin, comme plus de 100 000 Nicaraguayens depuis 2018. Ils sont [plus de 200 à croupir actuellement dans les prisons nicaraguayennes](https://www.liberation.fr/international/une-farce-judiciaire-le-nicaragua-entame-une-serie-de-proces-politiques-20220204_BBPOPHY66JHBJLPGJA66C2N7CU/).
« Vive inquiétude pour Jeannine et Carolina Horvilleur, mes cousines, otages de l'État policier du Nicaragua » a écrit sur Twitter dans la nuit de mercredi à ...
Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris. Rien d’étonnant : réduire notre empreinte écologique suppose des mesures de justice et une redéfinition des besoins qui vont à l’encontre du logiciel macroniste. État des lieux des pays par lesquels ces exilés transitent.