Papst Franziskus ruft bei seinem Weihnachtssegen "Urbi et Orbi" Kriegsparteien auf der ganzen Welt zu Frieden auf.
Die lateinischen Worte bedeuten übersetzt "der Stadt und dem Erdkreis". Voraussetzung für den Erhalt des Segens ist, dass die jeweilige Schuld durch Beichte, Kommunionempfang und Gebete sowie Werke der Buße schon getilgt ist. Damals galt Rom als Inbegriff der Stadt (urbs) schlechthin und als Mittelpunkt des Erdkreises (orbis). Der Papst bat um Unterstützung für den Libanon, die Sahelzone, Jemen, Myanmar und Iran. Franziskus ermunterte die Gläubigen, an das Gesicht des neugeborenen Jesus in der Krippe zu denken. Vom Balkon der Petersdoms in Rom aus klagte das Oberhaupt der Katholiken am ersten Weihnachtsfeiertag, "dass, während uns der Friedensfürst geschenkt wird, weiterhin Winde des Krieges eiskalt über die Menschheit hinweg wehen".
Die Kriege in der Ukraine und anderswo auf der Welt überschatten Weihnachten. Papst Franziskus fleht, die Not leidenden Menschen - allen voran die Kinder ...
In der Christmette hatte der Papst gesagt: "Macht- und geldhungrige Menschen verzehren in der Welt sogar ihre Nächsten, ihre Brüder und Schwestern. In diesem Jahr habe man "einen schrecklichen Anstieg der Gewalt auf palästinensischen Straßen gesehen, mit einer Totenzahl, die uns um Jahrzehnte zurückwirft". "Wir sehen, dass die Gewalt offenbar unsere Hauptsprache, unsere primäre Art der Kommunikation geworden ist", sagte er während seiner Ansprache in der katholischen Katharinenkirche neben der Geburtskirche. Die Kriege in der Ukraine und anderswo auf der Welt überschatten Weihnachten. Auch die Feierlichkeiten im Heiligen Land erinnerten wieder an die Zeit vor der Pandemie. Er erkenne im Gesicht des neugeborenen Jesus in der Krippe "die Gesichter der Kinder, die sich in allen Teilen der Welt nach Frieden sehnen", sprach Franziskus vom Balkon des Petersdoms.
Papst Franziskus hat in Rom den traditionellen Weihnachtssegen "Urbi et Orbi" gespendet. In seiner Weihnachtsbotschaft forderte er ein Ende des Krieges in ...
Die Formel "der Stadt und dem gesamten Erdkreis" geht auf die antiken Römer zurück. Gläubige aus aller Welt versammeln sich auf dem Petersplatz in Rom, um den Segen Urbi et Orbi zu erhalten. Denn, sagte Franziskus, der Krieg in der Ukraine habe die Situation weiter verschlimmert. Der Papst rief dazu auf, die Ukraine zu unterstützen - und Frieden zu schaffen. In seiner Weihnachtsbotschaft forderte er ein Ende des Krieges in der Ukraine und Solidarität für alle Notleidenden. Besonders ging Franziskus auf den Konflikt in der Ukraine ein.
Papst Franziskus hat zu Weihnachten den traditionellen Segen "Urbi et Orbi" gespendet. Bei seiner Ansprache ging er auf den Krieg in der Ukraine und andere ...
Schließlich rief der Papst dazu auf, an Weihnachten "nicht die vielen Flüchtlinge und Vertriebenen zu vergessen, die auf der Suche nach Trost, Wärme und Nahrung an unsere Türen klopfen". Konkret erwähnte er den Krieg in Syrien, die Gewalt im Heiligen Land und sagte: "Bitten wir den Herrn, dass dort, in dem Land in dem er geboren wurde, der Dialog und die Suche nach gegenseitigem Vertrauen zwischen Israelis und Palästinensern wiederaufgenommen werden." Er rief dazu auf, den Leidenden in der Ukraine "mit konkreten Gesten der Solidarität zu helfen".
Der Pontifex sprach vor Tausenden auf dem Petersplatz. Im Fokus stand der Krieg in der Ukraine und der Ruf nach Frieden.
Er bat Gott, «den Verstand jener zu erleuchten, die die Macht haben, die Waffen zum Schweigen zu bringen und diesem sinnlosen Krieg ein sofortiges Ende zu setzen. «Unser Blick möge die Gesichter unserer ukrainischen Brüder und Schwestern aufnehmen, die dieses Weihnachten im Dunkeln, in der Kälte oder weit weg von ihrem Zuhause erleben – aufgrund der Zerstörung, die zehn Monate Krieg verursacht haben», sagte Franziskus. Danach spendete er den zigtausenden Menschen auf dem Petersplatz und allen Christen, der Stadt und dem Erdkreis den Segen «Urbi et Orbi».
Der russische Angriffskrieg in der Ukraine und andere Konflikte überschatten das Weihnachtsfest auch im Vatikan. Vor tausenden Gläubigen auf dem Petersplatz ...
Bätzing forderte Menschen in Deutschland auf, auf dort lebende Menschen aus der Russland und der Ukraine zuzugehen. Der russische Angriffskrieg in der Ukraine und andere Konflikte überschatten das Weihnachtsfest auch im Vatikan. Der Vorsitzende der Deutschen Bischofskonferenz, Georg Bätzing, forderte, einen Weg zum Frieden zwischen Ukrainern und Russen zu suchen.
Le pape François, très ému par les guerres et les conflits dans le monde, a célébré samedi la messe de la nuit de Noël en la basilique Saint-Pierre de R...
Nées de revendications sur les droits des femmes, les manifestations ont provoqué l'arrestation d'environ 14 000 personnes depuis mi-septembre, d'après l'ONU, et 469 manifestants ont été tués, estime l'organisation Iran Human Rights (IHR), basée à Oslo. «Toute guerre provoque la faim et utilise la nourriture elle-même comme une arme, en empêchant sa distribution à des populations qui souffrent déjà», a déploré le jésuite argentin, invitant à s'engager «pour que la nourriture ne soit qu'un instrument de paix.» Le pape François a appelé dimanche à «faire taire les armes» en Ukraine, en proie à une «guerre insensée», lors de son traditionnel message de Noël au Vatican au cours duquel il a de nouveau évoqué la «troisième guerre mondiale».
Dans son message de Noël lu avant de donner sa bénédiction à la Ville et au monde, le Pape François a dénoncé une nouvelle fois la guerre en Ukraine ...
Et de se demander : «qui écoute la voix de l’Enfant ?». François nous invite ainsi à suivre la voix de Jésus qui a ouvert «le passage d’un monde fermé, opprimé par les ténèbres de l’inimitié et de la guerre, à un monde ouvert, libre de vivre dans la fraternité et dans la paix». Puisqu’il frappe à la porte de notre cœur, lui «enfant sans défense», qui «naît dans le froid, pauvre parmi les pauvres», «laissons-nous envelopper par la lumière», «surmontons la torpeur du sommeil spirituel et les fausses images de la fête qui nous font oublier celui qui est le fêté», exhorte le Pape.
Premier théâtre de la « troisième guerre mondiale » en cours, selon le pape François : l'Ukraine. Pour ce pays dont il a parlé à plus de cent reprises depuis le ...
« Toute guerre – nous le savons – provoque la faim et utilise la nourriture elle-même comme une arme, en empêchant sa distribution à des populations qui souffrent déjà », a ajouté le pape. Il a aussi cité Haïti dont la population, a souligné le pape « souffre depuis si longtemps ». [ dont il a parlé](https://www.la-croix.com/Religion/Guerre-Ukraine-pourquoi-pape-Francois-sinquiete-dun-risque-descalade-2022-11-16-1201242377) à plus de cent reprises depuis le début de la guerre, le pape a prié Jésus, « prince de la paix », d’« éclairer l’esprit de ceux qui ont le pouvoir de faire taire les armes et de mettre fin immédiatement à cette guerre insensée ! « Jésus lui-même est notre paix », a insisté le pape. Alors même que les alertes aériennes retentissaient à Kiev et dans plusieurs autres villes du pays, le pape a lancé, depuis la fameuse fenêtre du fronton de la basilique Saint-Pierre, un appel à la paix très inquiet, alors que « les vents de la guerre continuent à souffler le froid sur l’humanité ». Un appel dont il a presque immédiatement constaté les limites, alors que ses propres encouragements passés au cessez-le-feu ou à la trêve, par exemple à l’occasion de Noël, ont toujours semblé résonner dans le vide.
Durant sa traditionnelle bénédiction Urbi et Orbi, le pape François est revenu sur de nombreuses situations de guerres ou de conflits aux quatre coins du ...
Bethléem nous montre la simplicité de Dieu qui se révèle non pas aux sages et aux savants mais aux petits, à ceux dont le cœur est pur et ouvert (cf. Chers frères et sœurs, aujourd’hui comme hier, Jésus, la vraie lumière, vient dans un monde malade d’indifférence qui ne l’accueille pas (cf.Jn 1, 11) mais qui le rejette au contraire comme cela arrive à de nombreux étrangers, ou bien qui l’ignore comme nous le faisons trop souvent avec les pauvres. En ce jour où il est bon de se réunir autour de la table dressée, ne détournons pas le regard de Bethléem, qui signifie “maison du pain”, et pensons aux personnes qui souffrent de la faim, en particulier les enfants, alors que, chaque jour, de grandes quantités de nourriture sont gaspillées et que l’on dépense des ressources pour les armes. En ce jour, prenant exemple sur le Prince de la Paix, engageons-nous tous, et en premier lieu ceux qui ont une responsabilité politique, pour que la nourriture ne soit qu’un instrument de paix. Que le Seigneur nous rende prêts à des gestes concrets de solidarité pour aider ceux qui souffrent, et qu’il éclaire l’esprit de ceux qui ont le pouvoir de faire taire les armes et de mettre fin immédiatement à cette guerre insensée ! Et nous devons constater, en effet, avec tristesse que les vents de la guerre continuent à souffler le froid sur l'humanité, bien que le Prince de la Paix nous soit donné. Par son incarnation, sa passion, sa mort et sa résurrection, Il a ouvert le passage d'un monde fermé, opprimé par les ténèbres de l'inimitié et de la guerre, à un monde ouvert, libre de vivre dans la fraternité et dans la paix. Que la lumière du Christ illumine la région du Sahel où la coexistence pacifique des peuples et des traditions est brisée par des affrontements et des violences. Ces fardeaux nous empêchent d'aller à Bethléem, ils nous excluent de la grâce de Noël et nous ferment l'accès au chemin de la paix. Et nous pensons à la Terre Sainte où la violence et les affrontements ont augmenté ces derniers mois, avec des morts et des blessés. Que le Seigneur Jésus, né de la Vierge Marie, apporte à chacun l'amour de Dieu, source de confiance et d'espérance. Comme les bergers de Bethléem, laissons-nous envelopper par la lumière et allons voir le signe que Dieu nous a donné.
Selon Caroline Pigozzi, grand reporter à Paris Match, la bénédiction “Urbi et Orbi” permet de "donner de l'espérance, pour réchauffer le cœur des gens, ...
C'est un ordre qui a toujours suivi et aidé les migrants. Il fait de la haute diplomatie et si on était dans un cirque, on parlerait de voltige. Il faut parler de la charité, de la proximité avec les pauvres notamment.
Unter dem Eindruck der Kriege und Konflikte auf der Welt hat Papst Franziskus in seiner Weihnachtsbotschaft am Christtag die Bedeutung des Friedens betont ...
Der Heilige Vater erinnerte auch an die "vielen Flüchtlinge und Vertriebenen, die auf der Suche nach Trost, Wärme und Nahrung an unsere Türen klopfen". Der 86-jährige Papst erwähnte auch andere Regionen, an anderen Schauplätzen "dieses dritten Weltkriegs", wie Syrien und das Heilige Land. "Jeder Krieg verursacht Hunger und missbraucht die Nahrung als Waffe, indem er ihre Verteilung an eine bereits leidende Bevölkerungen verhindert.