La French

Look, maquillage, coiffure... Même en hiver, il est important pour vous d'être à la pointe des tendances. Pourquoi pas être à la mode jusqu'au bout de...

Cette année, les « nail artists » et autres prothésistes ongulaires dévoilent la manucure « blizzard french », inspirée du froid et de la clareté de la neige. C'est ce que nous laisse croire Tom Bachik, « nail artist » de stars - il a réalisé la manucure inspirée de Swarowski pour Selena Gomez, à l'occasion de la cérémonie des Golden Globes - sur son compte Instagra (@tombachik). Si les inspirations « nail art » (la beauté des ongles) ne manquent pas sur les réseaux sociaux, nous avons découvert celle à adopter impérativement cet hiver.

Seine kurzfristige Absage für die Australian Open war für die lokalen Fans eine grosse Enttäuschung. Jetzt plant Nick Kyrgios in Paris wieder dabei zu sein.

[Australian Open](/sport/australian-open) [Grand Slam](/sport/grand-slam) [Kalender](/news/kalender) [Nick Kyrgios](/sport/nick-kyrgios) [French Open](/sport/french-open) [Saisonauftakt in Australien](https://www.nau.ch/sport/tennis/australian-open-jetzt-spricht-camila-giorgi-uber-betrugs-vorwurfe-66396066) sämtliche Turnierteilnahmen [absagen musste](https://www.nau.ch/sport/tennis/nick-kyrgios-verzichtet-kurzfristig-auf-start-beim-united-cup-66379898). «Es ist ein [Grand Slam](https://www.nau.ch/sport/grand-slam) und daher auf jeden Fall etwas, dass ich spielen will,» fügte er an.

Les start-up françaises ont amassé 16 % de financements en plus par rapport à 2021. Une prouesse qui leur permet de passer devant leurs voisines allemandes.

[d'après le dernier rapport du fons de capital-risque Atomico](https://www.lesechos.fr/start-up/ecosysteme/start-up-europeennes-400-milliards-partis-en-fumee-en-2022-1886580) . Cette initiative intervient alors que les deux pays s'efforcent d'approfondir leur coopération en matière de défense dans un contexte de tensions indo-pacifiques croissantes.](https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/qu5mzzf) [C'est 16 % de plus qu'en 2021 - une année déjà exceptionnelle](https://www.lesechos.fr/start-up/ecosysteme/avec-116-milliards-en-2021-la-french-tech-explose-son-record-de-fonds-leves-1379509) - et un nouveau record.

Avec 17 % de progression par rapport à 2021, la France tire son épingle du jeu vis-à-vis de l'Allemagne et du Royaume-Uni.

La région francilienne rassemble à elle seule : 74 % des sommes levées, soit 10,030 milliards d’euros (contre 9,288 milliards d’euros en 2021) et 64 % des opérations en 2022. Non loin derrière, nous retrouvons le secteur des logiciels et services informatiques avec 218 opérations enregistrées pour 2,961 milliards d’euros levés (contre 108 opérations pour 2,161 milliards d’euros en 2021). Comme chaque année, le Royaume-Uni est en tête du podium avec 27,46 milliards d’euros levés et 1 607 opérations, malgré le Brexit et les tensions sociales rencontrées cette année. Assez loin derrière, la région des Hauts-de-France a levé 9,79 millions d’euros en 2022 (7 % des investissements en valeur) puis la région Auvergne-Rhône-Alpes avec 6 % des investissements en valeur (8,41 millions d’euros). Une nouvelle fois cette année, le secteur des Services Internet est le plus attractif de la French Tech avec 143 opérations enregistrées pour 2,993 milliards d’euros levés (contre 304 opérations pour 2,161 milliards en 2021). [son baromètre annuel du capital-risque](https://www.ey.com/fr_fr/news/2023/01/barometre-ey-du-capital-risque-2022-une-annee-contrastee) en France, pour 2022.

Financement : Après avoir connu une croissance extrêmement rapide des investissements en 2021, les start-ups françaises ont dû faire preuve de prudence ...

Loin derrière se classent les régions Hauts-de-France (7,3 % des investissements en valeur, 4 % en volume) et Auvergne-Rhône-Alpes (6,2 % en valeur et 11 % en volume). Au total, les start-ups franciliennes ont capté 74 % des montants levés (soit plus de 10 Md€) et 64 % des opérations en 2022 (468 opérations). Il rappelle ainsi que « les valorisations de la série A ont chuté de 50 %, tandis que celles de la série C ont baissé de 60 % par rapport à leurs sommets de la fin de l'année 2021. De belles levées de fonds (en fonds propres) ont animé l’année : [Qonto (486 M€ levés)](https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-fintech-francaise-qonto-leve-un-montant-record-de-486-meteuro-85405.html), Ecovadis (478 M€), [Back Market (450 M€)](https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-back-market-leve-450-meteuro-et-devient-licorne-francaise-85406.html), suivies de près par [Content Square (393 M€)](https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-telex-contentsquare-leve-589-meteuro-google-gele-ses-recrutements-pour-2-semaines-samsung-compte-investir-200-md$-au-texas-87464.html) et [Exotec (293 M€).](https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-logistique-exotec-leve-335-m$-pour-developper-ses-robots-autonomes-85474.html) Les volumes ont reculé de 14 % mais en valeur, le pays n’a rien à envier à la France avec pas moins de 27,46 Md€ récoltés. « Outre-Rhin, les montants levés ont en effet chuté de 38 % pour s’élever à 10,04 Md€ » soutient EY. Sur la troisième marche du podium 2022 se placent les fintech avec 2,34 Md€ (+7 %). KPMG France, qui vient de publier les [résultats de son étude annuelle Tech Insights](https://home.kpmg/fr/fr/home/insights/2023/01/tech-insights-2022.html), indique que « les opérations d’investissement ont été principalement initiées par des fonds de capital risque (46 %) et des fonds de private equity (23 %) ». Toutefois, les investissements du second semestre 2022 sont en baisse pour la première fois depuis 2017 : seulement 5,09 Md€ contre 6,43 en 2021, pour davantage d’opérations (373 contre 368 sur la même période – soit une baisse de 21 %). [baromètre 2022 du capital-risque en France](https://www.ey.com/fr_fr/fast-growing-companies/barometre-ey-du-capital-risque-les-resultats-annuels) que 8,4 Md€ ont été levés sur le premier semestre. Cela représente une augmentation de 17 % en valeur mais une baisse de 6,25 % en volume par rapport à 2021 (784 opérations). [Cette année-là, près de 12 Md$ (11,57 Md€) ont été levés](https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-french-tech-s-envole-avec-11-6-mds-eteuro-leves-en-2021-85468.html) par les start-ups françaises.

Si les start-up françaises ont réussi à lever plus de fonds qu'en 2021, le tableau est en réalité contrasté. Après un démarrage sur les chapeaux de roues, ...

Passer du [Next 40](https://www.lesnumeriques.com/pro/next-40-french-tech-120-que-faut-il-retenir-de-la-nouvelle-promotion-n175887.html), l’indice des jeunes pousses les plus prometteuses, au CAC 40, c’est le prochain défi majeur qui attend la French Tech pour les prochaines années. [10 licornes à la Bourse de Paris d’ici 2025](https://www.lesnumeriques.com/pro/french-tech-le-gouvernement-veut-propulser-10-licornes-a-la-bourse-de-paris-a-d-ici-2025-n197507.html), dont deux valorisées au moins 5 milliards d’euros. 14 milliards d’euros, c’est donc ce qui sépare encore la French Tech de l’écosystème britannique, soit plus du double des fonds levés par les start-up tricolores en 2022. À l’échelle européenne, la France repasse devant l’Allemagne, qui a vu les fonds levés par ses start-up chuter de 38 % pour s’élever à 10 milliards d’euros, contre 16,2 milliards en 2021. [2021](https://www.lesnumeriques.com/pro/french-tech-des-levees-de-fonds-record-pour-les-start-up-en-2021-n174973.html) (11,6 milliards), selon [le baromètre EY du capital-risque en France](https://www.ey.com/fr_fr/fast-growing-companies/barometre-ey-du-capital-risque-les-resultats-annuels). [des méga-levées de fonds](https://www.lesnumeriques.com/pro/back-market-coiffe-qonto-au-poteau-pour-devenir-la-licorne-francaise-la-mieux-valorisee-n174211.html) (486 millions d’euros pour Qonto, 450 millions d’euros avec Back Market…), les opérations d'envergure se sont raréfiées par la suite. Quant à la plus forte progression, elle est à mettre au crédit de la cleantech, avec une hausse spectaculaire de 172 % des investissements pour 2,1 milliards d’euros levés. Certes, Doctolib a bien réussi à boucler un tour de table de 500 millions d’euros, mêlant equity et dette, pour devenir la licorne française [la mieux valorisée](https://www.lesnumeriques.com/pro/doctolib-licorne-francaise-la-mieux-valorisee-apres-une-levee-d-un-demi-milliard-d-euros-n178449.html) (5,1 milliards d’euros), et Alan a levé [183 millions d’euros](https://www.lesnumeriques.com/pro/french-tech-alan-valorise-2-7-milliards-d-euros-apres-une-nouvelle-levee-de-fonds-n182207.html). La deuxième partie de l’année s’est révélée bien plus délicate à négocier pour l’écosystème, avec à peine 5,1 milliards d’euros levés, soit 3,3 milliards de moins qu’au premier semestre. La barre symbolique des 25 licornes ayant été franchie, l'exécutif a fixé de nouveaux objectifs ambitieux pour la French Tech. Si les start-up françaises ont réussi à lever plus de fonds qu'en 2021, le tableau est en réalité contrasté. 2022 restera l’année du passage à la maturité pour la French Tech.

Malgré un deuxième semestre 2022 en baisse de 21% par rapport à 2021, les sta...

Les experts consultés par La Tribune anticipent tous que 2022 marquera le pic des levées de fonds de la French Tech. Les cleantech gagnent la 4è place avec 2 milliards d'euros levés (contre 764 millions d'euros seulement en 2021). Car si la France se paie le luxe d'un nouveau record et sauve les apparences en affichant une progression globale sur quasiment tous les indices -sauf les nouvelles licornes, 8 en 2022 contre 11 en 2021-, l'Hexagone s'appuie totalement sur l'exceptionnel premier semestre (8,4 milliards d'euros, +63% sur un an), qui fait office de cache-sexe pour un deuxième semestre beaucoup moins reluisant (5,1 milliards d'euros, -21%). La plus grosse levée européenne est à mettre au crédit de la startup britannique The Access Group, qui a récolté 1,2 milliard d'euros pour son logiciel professionnel. C'est à la fois le signe de la force et de la profondeur de notre écosystème d'innovation, et aussi la conséquence d'amortisseurs de crise plus efficaces en France qu'ailleurs en Europe. Mais la baisse de 15% du nombre des tours d'amorçage montre que les choses deviennent plus difficiles à la base. Le montant des levées supérieures à 100 millions d'euros chute même de 65% en Allemagne, et de 22% pour le Royaume-Uni, alors qu'il progresse d'un quart en France. D'après CB Insights, les montants levés en 2022 dans le monde ont chuté de 35%, à 415 milliards de dollars, avec un deuxième semestre cataclysmique marqué par une chute de 62% sur un an. Cela peut paraître anecdotique au premier abord, mais le nombre d'opérations se tasse surtout pour l'amorçage, c'est-à-dire les levées de fonds inférieures à 10 millions d'euros. Le nouveau record établi en 2022 est donc davantage une anomalie qu'une résistance pérenne aux facteurs de crise pour la France. En 2022, les startups tricolores ont battu leur record de 2021, qui lui-même doublait les montants de 2019 et 2020 : 13,5 milliards d'euros exactement, D'après EY, les montants levés au Royaume-Uni ont baissé de 15% en 2022 et ceux en Allemagne ont carrément chuté de 38% sur l'année.