Le promoteur immobilier et collectionneur d'art genevois Thierry Barbier-Mueller est décédé mardi soir d'un arrêt cardiaque à l'âge de 62 ans.
"Ce sera un attrait supplémentaire pour les entreprises", a indiqué le PLR Cyril Aellen. Sur ces huit semaines, six doivent être obligatoirement prises par le parent qui ne bénéficie pas de l’assurance maternité et deux semaines sont négociables entre les deux parents. "Ce texte est une tromperie", a déclaré la rapporteuse de première minorité Jocelyne Haller, députée d'Ensemble à gauche. Si l'Allemagne devait entrer en conflit, Berlin "n'aurait pas de temps à perdre pour négocier des autorisations avec la Suisse, pour les munitions qu'elle lui a déjà achetées", avertit l'ambassadeur. D'autres cantons attendent cette décision", a relevé le député PDC Bertrant Buchs, rapporteur de majorité. . Le souverain devra se prononcer sur cette modification de la constitution. Glättli, les déclarations des présidents du PLR ou du Centre expliquant que les Verts doivent attaquer un siège socialiste sont une manoeuvre politique, "pour faire oublier" que le PLR est "surreprésenté" au Conseil fédéral. Il note aussi que la Confédération helvétique contribue à la reconstruction de l'Ukraine. Et "si nous dépassons à nouveau Le Centre en octobre, alors c'est lui qui devrait nous donner son siège, si l'on s'en tient à la formule magique". Le mudac à Lausanne en présente actuellement 211 dans le cadre de l'exposition "A Chair and You" à voir jusqu'au 26 février. Et l'écologie reste le souci numéro un des Suisses, ajoute-t-il, citant le baromètre de l'UBS. "Si on regarde toutes les élections cantonales depuis 2019, notre parti est celui qui a le plus gagné de sièges.
Le promoteur immobilier et collectionneur d'art genevois Thierry Barbier-Mueller est décédé mardi à l'âge de 62 ans, à la suite d'un arrêt cardiaque, ...
"Peu attiré par le faste et les soirées mondaines, Thierry Barbier-Mueller a bâti sa collection de manière personnelle et intime", indique le mudac dans un communiqué qui lui rend hommage. Le Genevois était aussi un passionné d'art, comme une grande partie de sa famille. Dans un message adressé aux collaborateurs du groupe immobilier, deux des filles de Thierry Barbier-Mueller, qui étaient en train de reprendre le flambeau de l'entreprise familiale, soulignent son "énergie débordante", "sa créativité multiforme" et "ses idées foisonnantes".
Personnalité genevoise, le collectionneur d'art et promoteur immobilier Thierry Barbier-Mueller est décédé mardi so.
Le Genevois vient de disparaître. Il faisait partie d'une troisième génération d'amateurs d'art. Lui s'intéressait au design et à l'art contemporain.
Il est ainsi permis de se demander quelles directions l’amateur de la troisième génération (il en existe déjà autour de lui de la quatrième!) aurait prises dans le futur. Il savait qu’avec Marie et Valentine, la transition pouvait s’opérer en douceur à la SPG. Mais ce n’était pas le cas de Jean-Paul, avec qui tout devenait flamboyant. Devant des immeubles SPG de moyen standing se refusant à la banalité architecturale, le promoteur avait voulu un art contemporain de qualité. Installé à Dallas, Gabriel s’était mis au Japon des samouraïs, à qui il a depuis dédié avec son épouse Ann un musée. Il y avait la génération formée du grand-père Josef Müller (2) et de la grand-tante Gertrud Dübi-Müller. Il fallait toujours de la place supplémentaire à ce boulimique. Il n’avait sans doute pas été facile à Thierry de se trouver un thème de prédilection. Mon but n’est pas ici de parler de la Société Privée de Gérance (SPG), que Thierry dirigeait depuis 2002. Il s’agissait de marquer le départ de Laurence Mattet, qui avait dirigé l’institution privée pendant des décennies. Le collectionneur avait fourni les œuvres, Bob Wilson comme metteur en scène et sans doute un financement. Très en verve, le geste large, l’orateur avait élégamment parlé aux nombreux assistants de «la fille que leur père Jean-Paul n’avait jamais eue.» Puis ce furent les bavardages et les retrouvailles.
Le promoteur est mort le 24 janvier d'un arrêt cardiaque. Il avait 62 ans.
Il nous avait fait l’honneur de choisir le Mudac pour présenter à la lumière sa collection d’exception. La conseillère d’Etat vaudoise Nuria Gorrite a rendu hommage à Thierry Barbier-Mueller sur Twitter: «Une grande tristesse à l’annonce de son décès soudain. «Il a franchi le pas de la présenter au public après plus de 20 ans», peut-on lire sur le site, qui précise que l’expo se terminera le 26 février.
Le promoteur et collectionneur d'art contemporain genevois a fait un arrêt cardiaque mardi soir à l'âge de 62 ans.
«Ce qui primait pour lui c’était l’originalité, la manière dont le designer appréhendait la chaise comme un objet de recherche formelle, de matériau et de qualité esthétique. Il était très attaché à ce canton et avait un réel souci de bien faire», confirme-t-il. Pourtant, après des années de discrétion absolue, le collectionneur avait franchi le pas. Parallèlement à ses activités professionnelles, Thierry Barbier-Mueller avait hérité de la passion familiale pour l’art. Dans un message adressé aux collaborateurs, ces dernières ont souligné «son énergie débordante, son état de mouvement continu, sa créativité multiforme et ses idées foisonnantes», a relevé le «GHI». Il a présidé la Chambre de 2007 à 2009 et a été membre du comité pendant de longues périodes. Il avait la capacité à s’élever au-dessus du débat afin de chercher l’intérêt public des Genevois.» Il essayait de comprendre ce que voulait son interlocuteur afin de trouver une solution.» «C’était un promoteur soucieux du développement territorial de Genève. «De mon point de vue, c’était un intellectuel qui avait des réflexions très pointues sur un certain nombre de thématiques comme l’écologie. Le secrétaire général de la Chambre genevoise immobilière (CGI), Christophe Aumeunier, indique que le comité de la CGI est bouleversé. Le départ soudain de celui qui était devenu un des plus gros acteurs du secteur immobilier en Suisse romande laisse le milieu sous le choc.
La figure genevoise s'en est allée à l'âge de 62 ans, à la suite d'un arrêt cardiaque.
Passionné par l'art, Thierry Barbier-Mueller a rassemblé une impressionnante collection d’art contemporain. De retour à Genève en 1984, il rejoint la Société Privée de Gérance (SPG) fondée en 1960 par son père, Jean Paul Barbier-Mueller. Depuis l'an 2000, il était à la tête du groupe immobilier SPG-Rytz, acteur majeur du secteur immobilier en Suisse romande.
Thierry Oppikofer, directeur-rédacteur en chef du «Journal de l'immobilier», évoque le souvenir de son ami défunt.