Ehrengast Steven Spielberg schenkt der Berlinale einen großen Moment. Und führt mit „The Fabelmans“ zum persönlichen Kern seines Werks.
Man könnte auch bei einem der unzähligen Momente beginnen, um die Steven Spielberg die Filmgeschichte bereichert hat. [Berlinale](/thema/Berlinale) entgegennahm, könnte man auf sein titanisches Privatvermögen von geschätzten rund vier Milliarden US-Dollar verweisen - aber wir sind hier schließlich nicht beim Manager Magazin. Um zu ermessen, wie groß der Filmemacher ist, der am Donnerstag den Goldenen Bären für sein Lebenswerk auf der
Demnächst läuft Steven Spielbergs „Die Fabelmans” in den deutschen Kinos an und wird sicher auch bei den Oscars eine Rolle spielen.
Zu einem früheren Zeitpunkt wurde [Cary Joji Fukunaga](/personen/248428.html) („True Detective”) als Regisseur an Bord geholt. [Stanley Kubricks](/personen/520.html) begrabenes Filmprojekt „ [Napoleon](/serien/11988.html)” als Serie wiederzubeleben, und tatsächlich wurden bereits erste Schritte für eine Umsetzung unternommen. Mit „ [Die Fabelmans](/kritiken/255726.html)” läuft am 9. Wie Spielberg dieses Mammutwerk in eine siebenteilige HBO-Serie verwandeln will, ist noch nicht bekannt. Für sein Lebenswerk erhielt Spielberg bei den Filmfestspielen nicht nur den Bären, sondern auch minutenlange Standing Ovations. [Steven Spielberg](/personen/471.html) kommt man zur Zeit einfach nicht vorbei – und zwar aus gutem Grund!
Der große Hollywood-Regisseur erhielt bei den Internationalen Filmfestspielen in Berlin den Preis für sein Lebenswerk und bekam dazu auch eine umfangreiche ...
Ich will weiter lernen und entdecken und mir selbst und manchmal auch Ihnen einen gehörigen Schrecken einjagen“, sagte der Regisseur bei der Entgegennahme des Preises. „Andere Länder, auch mein eigenes, können viel von der mutigen Entschlossenheit des deutschen Volkes lernen, zu handeln, um zu verhindern, dass Faschisten die Macht ergreifen.“ „Ich bin ein wenig beunruhigt, wenn man mir sagt, dass ich schon ein ganzes Leben gelebt haben soll, denn ich bin noch nicht fertig und will weiterarbeiten. Die Juden nennen das Reparieren und Wiederherstellen der Welt Tikkun Olam.“ [Steven Spielberg](https://www.rollingstone.de/artists/steven-spielberg/) erhielt am Dienstag (21. Aber sein Lebenswerk ist nicht nur sein Werk.
Ans Aufhören denkt Steven Spielberg auch mit 76 Jahren nicht. Auf der Berlinale erhält der Starregisseur dennoch schon mal die Auszeichnung für sein ...
Die Ehrung habe für ihn eine ganz besondere Bedeutung, "weil ich ein jüdischer Regisseur bin. Spielberg wiederum sagte mit Blick auf die Auszeichnung für das Lebenswerk in seiner Rede, er sei "ein wenig beunruhigt, wenn mir gesagt wird, dass ich ein ganzes Leben gelebt habe - weil ich noch nicht fertig bin und weiter arbeiten möchte". "Er gräbt seit Jahrzehnten die Vergangenheit um, um zu sehen, was das für die Gegenwart bedeutet", verglich Bono zudem den Regisseur mit dessen historischen Figuren. Ich muss zu einigen dieser früheren Gruselfilme zurückkehren, aber das ist eine andere Geschichte." Es ist sein Leben, seine Familie." "Aber sein Lebenswerk ist nicht nur seine Arbeit.
Ce 22 février sort en salles "The Fabelmans", le film autobiographique de Steven Spielberg. Le cinéaste américain raconte comment son enfance lui a donné ...
Tout comme les Dents de la mer, le succès sera tel que plusieurs suites sortiront, la première réalisée par Steven Spielberg puis d’autres réalisateurs. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Et à la musique ? Un excellent résumé des Dents de la mer, marqué par la musique de John Williams : mythique, angoissante, immédiatement reconnaissable ... Et cette histoire d'une amitié entre un garçon et une créature venue de l'espace remporte immédiatement tous les suffrages. On parle d’un "film miracle", d’un "conte de fées de l’an 2000".
Wo aber lassen sich Kristen Stewart, Sean Penn, Steven Spielberg, Cate Blanchett oder gar Boris Becker blicken? Welcher Film sorgt für Furore, und was sind die ...
Steven Spielberg a confié qu'il travaillait sur un projet d'adaptation en série télévisée d'un scénario original de Stanley Kubrick sur Napoléon, ...
Rien que de recréer ces scènes, ça a été très dur", a-t-il confié. [Steven Spielberg](/culture/cinema/sorties-de-films/the-fablemans-la-jeunesse-de-steven-spielberg-racontee-par-lui-meme-dans-un-biopic-cinephile_5662613.html) a confié qu'il travaillait sur un projet d'adaptation en série télévisée d'un scénario original de Stanley Kubrick sur Napoléon, dans ses tiroirs depuis des années. Kubrick, décédé en 1999, n'est jamais venu à bout de son propre projet de biopic de Napoléon.
Avant la 95e cérémonie des Oscars, retour sur l'œuvre de Steven Spielberg à la lumière de “The Fabelmans”, en lice dans sept catégories.
Spielberg injecte donc son propre schéma dans le film et règle un compte amer avec la trahison maternelle, qui se remarie avec un proche du père et fonde même un nouveau foyer, que Frank ne peut que contempler envieusement à travers une fenêtre, un soir de Noël, dans l’une des dernières scènes, et la plus déchirante. The Fabelmans reprend par le détail l’événement le plus traumatique pour Spielberg : le divorce de ses parents, survenu alors qu’il n’était certes plus un enfant (19 ans), mais qui laissa sur sa vie et sur son cinéma une marque indélébile. Il offre en tout cas un codex incroyablement précieux à faire dialoguer avec toute l’œuvre qui le précède, hantée par les motifs qui prennent ici forme : un train électrique, une nuit de Noël, un candélabre à sept branches… Dans ce film oublié mais pas si mineur, Spielberg opère une démystification agressive de l’idée de foyer : le luxe aristocratique dans lequel grandit l’enfant est insupportable d’indécence comparée à l’extrême pauvreté des Shanghaïen·nes, et fait aussi l’effet d’une ridicule illusion, appelée à prendre de plein fouet la réalité de la guerre. I., projet légué par Kubrick avant sa mort, et qui reprend le thème du “vrai petit garçon” de Pinocchio en l’adaptant à un enfant androïde doué de sentiments indestructibles envers sa mère. Il peut s’en trouver un autre, comme un certain extraterrestre égaré sur Terre, qui est, selon Joseph McBride (biographe de Spielberg), un sosie du réalisateur (décrit comme un enfant longiligne et rachitique aux très grands yeux – il ne manque que le doigt lumineux). Jeune réalisateur, Spielberg en tire une figure soit absente (dans E.T., où il n’est jamais mentionné), soit en fuite, en particulier dans un de ses films les plus personnels, Rencontres du troisième type. Dans les années 2000, le père devient pour de bon le héros de son œuvre. Des êtres que, désormais, il faut sauver – à l’instar du soldat Ryan, qui n’est certes plus un bébé mais dont la mission de sauvetage est d’abord la prolongation d’une protection parentale (elle permettra à une mère de ne pas perdre tous ses enfants). Mais The Fabelmans est bien entendu le film qui parachève ce mouvement : à travers le personnage autofictionnel de Sammy Fabelman, Spielberg y met à nu le récit familial qu’il n’a eu de cesse de projeter dans ses films. Sous la surface du très grand spectacle, entre les lignes de ses films politiques et historiques, le cinéaste n’a jamais parlé que d’une chose : sa maison et ses parents. The Fabelmans rend plutôt justice à Arnold Spielberg, qui trouve en Paul Dano un avatar certes dysfonctionnel, mais moins que ceux par lesquels le réalisateur a pu par le passé évoquer la figure paternelle.
Steven Spielberg a transformé Hollywood avec "Les Dents de la mer", inventant le blockbuster moderne. Son flair et son talent n'ont pas failli depuis.
Le film est bien accueilli par la critique et recevra sept Oscars, dont ceux de meilleur film et de meilleur réalisateur en 1994. Deuxième film de Spielberg sur la Seconde Guerre mondiale, Il faut sauver le soldat Ryan s’inspire d’une histoire vraie, comme La Liste de Schindler. Le film évoque en noir et blanc la Shoah, depuis le ghetto de Cracovie jusqu’aux camps de la mort, sous les yeux de Schindler, de son employé juif, et du sous-lieutenant SS Amon Göth qui deviendra commandant du camp de concentration de Płaszów. Le film révèle au public Liam Neeson (Schindler) et Ralph Fiennes (Göth), leur ouvrant ainsi la carrière qu’on leur connaît depuis, au côté de Ben Kingsley, déjà acteur aguerri. Magnifiquement photographié par Vilmos Zsigmond (parmi les plus belles nuits du cinéma), lyrique sur le musique de John Williams avec ses cinq notes pentatoniques ancrées dans la mémoire de tous les spectateurs, le film est une montée en puissance jusqu'au climax. Il laissera pour la première fois sa place de réalisateur sur la série à James Mangold (Logan, Le Mans 66), pour le cinquième opus de la franchise : Indiana Jones et le cadran de la destinée, attendu en France le 23 juin 2023. Le phénomène s’est épuisé dans les années soixante pour renaître en 1975 avec l’adaptation du best-seller de Robert Scheckley Jaws (Les Dents de la mer en français) par Steven Spielberg. Le sujet adapte l'histoire vraie de l’industriel allemand Oskar Schindler qui sauva quelque 1 200 Juifs de la déportation et de l’extermination durant la Seconde Guerre mondiale. Le film adapte un scénario de Melissa Mathison, ex-épouse d’Harrison Ford, qui écrira plusieurs films sur l’enfance (L’Etalon noir, L’Indien du placard, Le BGG). On connaît la suite : quatre films et un cinquième en tournage, ainsi qu’une série (Les Aventures du Jeune Indiana Jones qui prépare sa deuxième saison). En 1977, Star Wars confirme la révolution que connaît Hollywood depuis Les Dents de la mer, avec le retour des films de genre. Dans la foulée, une kyrielle de films s’orientent vers l’espace (Alien, Le Trou noir, Star Trek, le film…).
Steven Spielberg wurde am Dienstag bei der Berlinale mit dem Goldenen Ehrenbären für sein Lebenswerk ausgezeichnet. Den Preis überreichte ihm überraschend ...
Die Ehrung habe für ihn eine ganz besondere Bedeutung, "weil ich ein jüdischer Regisseur bin. Es ist sein Leben, seine Familie." "Aber sein Lebenswerk ist nicht nur seine Arbeit.
Le film "The Fabelmans" de Steven Spielberg sort ce mercredi au cinéma. Cette sortie marque l'anniversaire des 50 ans de collaboration et d'amitié entre ...
Steven Spielberg a annoncé le développement d'une série adaptée du film abandonné Napoléon du non moins mythique réalisateur Stanley Kubrick pour la chaîne ...
Stanley Kubrick envisageait alors un tournage dans plusieurs pays du monde et des séquences avec plus de 40 000 figurants. Malheureusement, le cinéaste est décédé en 1999 avant de le voir aboutir. Cette adaptation de Napoléon est dans le viseur du réalisateur depuis de nombreuses années et était à l'origine prévue en long-métrage. Napoléon est sans doute l'un des films abandonnés les plus célèbres de l'histoire du cinéma. Eh bien, ne rêvez plus, car le premier vient d'annoncer qu'il adaptera le Napoléon du second sous forme de série pour la chaîne HBO. Cette mini-série sera produite par Spielberg lui-même, en coopération avec Christiane Kubrick, veuve du réalisateur, et Jan Harlan (Barry Lyndon, Full Metal Jacket, Eyes Wide Shut).
Steven Spielberg s'essaye à l'autobiographie. Le résultat est à la fois un portrait familial bouleversant et une ode à la lumière.
On en revient à Platon et à la beauté de ses illusions, qui ont tout autant de valeur que la vérité. Il est magnifique de voir Spielberg dépeindre frontalement le divorce de ses parents (qui résonne dans une bonne partie de sa filmographie), mais The Fabelmans est avant tout une chronique, qui s’attarde sur les saynètes d’une jeunesse cabossée, ponctuée de vexations, de regards tendres et d’actes d’amour maladroits. Il y a une évidence dans le cinéma de Spielberg, une virtuosité du cadrage et du découpage typique d’un artiste qui pense par l’image, comme s’il s’agissait de sa langue maternelle.
Im Rahmen der Berlinale hat US-Botschafterin Amy Gutmann in die Botschaft am Pariser Platz geladen. Ehrengast Steven Spielberg schaut kurz vorbei.
Der Ehrengast steht freudig-gerührt neben der Botschafterin und alle im Raum warten gespannt auf die Rede der Filmlegende. Vielen Dank.“ In ihrer Rede betont sie die wichtige Zusammenarbeit zwischen der deutschen und der amerikanischen Filmindustrie. Im Anschluss an ihre Rede spricht der ukrainische Botschafter Oleksij Makejew zu den Geladenen, und ein ukrainischer Frauenchor trägt durch seine musikalische Begleitung zu einem gelungenen Abend bei. Die schwere Metallglastür geht auf und Steven Spielberg tritt in das mit einem roten Teppich ausgelegte Foyer. Plötzlich wurde die Nervosität groß: „He’s coming“, wird der Botschafterin zugerufen. Weil die deutsch-amerikanische Filmfreundschaft eine große Rolle spielt, hat am Dienstagabend die US-Botschafterin [Amy Gutmann](https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/deutsch-amerikanische-geschichte-neues-aus-der-us-botschaft-in-berlin-die-mission-der-amy-gutmann-li.271906) zum exklusiven Abend in die US-Botschaft am Pariser Platz eingeladen.
... © Storyteller Distribution Co. / The Fabelmans : Paul Dano, Mateo Zoryon Francis-DeFord et Michelle Williams. il y a 15 minutes• Temps de lecture 3 min.
; à quoi sert l'art en général et le cinéma en particulier ? Il y a aussi la mère qui tente d'élever ses enfants comme il faut, elle qui sent que plus ne rien ne va dans son monde et que la folie pointe le bout de son nez. Bien au-delà d'être un pur récit autobiographique, il y a dans cette histoire, une première déclaration d'amour au cinéma avec quelques réflexions : ça veut dire quoi réaliser un film ?
Berlin – Regisseur Steven Spielberg wurde bei der Berlinale gerade mit dem Ehrenbären für sein Lebenswerk geehrt, sein neuer Film "Die Fabelmans" kommt ...
In Berlin sprach er auch über sein neues Projekt: Er will Stanley Kubricks Epos "Napoleon" als Serie drehen, geplant ist die siebenteilige Miniserie über den französischen Kaiser für HBO, Berlin – Regisseur Steven Spielberg wurde bei der Berlinale gerade mit dem Ehrenbären für sein Lebenswerk geehrt, sein neuer Film "Die Fabelmans" kommt demnächst in die Kinos. Steven Spielberg nimmt sich für HBO Kubricks "Napoleon"-Epos vor
Steven Spielberg vient de révéler qu'il travaille sur l'adaptation en minisérie d'un scénario original sur Napoléon, signé Stanley Kubrick.
[biopic](https://leclaireur.fnac.com/article/245571-tahar-rahim-incarnera-charles-aznavour-dans-un-biopic-annonce-en-2024/) sous la forme d’une mini-série. David Hemmings et [Jack Nicholson](https://leclaireur.fnac.com/article/80960-un-prologue-inedit-de-shining-publie-en-france-pour-la-premiere-fois/) auraient dû interpréter le rôle principal à différents moments de sa vie, et [Audrey Hepburn](https://leclaireur.fnac.com/article/59960-le-realisateur-de-call-me-by-your-name-va-realiser-un-biopic-sur-audrey-hepburn/) aurait prêté ses traits à Joséphine, sa femme. [Steven Spielberg](https://leclaireur.fnac.com/selection/cp53902-le-top-des-meilleurs-films-de-steven-spielberg/) s’apprête à donner vie à un scénario écrit par [Stanley Kubrick](https://leclaireur.fnac.com/article/90772-ne-ratez-surtout-pas-la-retrospective-stanley-kubrick-a-la-cinematheque-francaise/) en 1961. Je l’ai eu en tête toute ma vie, ça a infusé dans tous mes films, tous mes films sont personnels et beaucoup sont sur la famille, mais rien n’est aussi personnel que The Fabelmans », a-t-il affirmé lors de cette même conférence de presse. Autobiographique en de nombreux aspects, le film revient sur l’histoire d’un enfant qui, alors que ses parents se séparent, voit naître en lui une vocation de cinéaste. [2001 : L’Odyssée de l’Espace](https://www.fnac.com/a10398751/2001-l-odyssee-de-l-espace-William-Sylvester-DVD-Zone-2?Origin=leclaireur) (1968), Stanley Kubrick avait mené d’importantes recherches sur l’empereur français, et prévoyait de tourner son long-métrage en Europe, entre la France, le Royaume-Uni et la Roumanie.
CHRONIQUE. De « Duel » à « The Fabelmans », tous les films du réalisateur américain ont fait l'objet d'une critique dans le quotidien.
Le 29 janvier 1976, le quotidien du soir titre [« Un succès extra-cinématographique »](https://www.lemonde.fr/archives/article/1976/01/29/jaws-et-les-peurs-americaines_2956832_1819218.html) et souligne le talent inhabituel de Spielberg dans cette histoire de requin blanc terrorisant les nageurs d’une station balnéaire de la côte Est des Etats-Unis. « La mise en scène de Steven Spielberg joue sur le dépouillement, la rigueur, sur une certaine froideur terriblement efficace, écrit la journaliste [Colette Godard](https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/01/01/colette-godard-critique-de-theatre-au-monde-est-morte_6156251_3246.html). [Sugarland Express, le deuxième essai](https://www.lemonde.fr/archives/article/1974/05/14/trois-journees-au-festival-maitrise-de-carlos-saura-declin-de-ken-russell_3088529_1819218.html) du cinéaste, un « film déconcertant, intelligent, intéressant », et une « mise en scène éblouissante ». [cette adaptation d’une nouvelle de Richard Matheson](https://www.lemonde.fr/archives/article/1973/04/16/duel_2545275_1819218.html) mettant en scène un automobiliste poursuivi par un vieux camion-citerne, prend d’emblée la mesure du talent singulier et précoce du cinéaste. « C’est naturellement dans l’action, constate Jean de Baroncelli, qu’éclatent les qualités du jeune cinéaste : rigueur de la mise en scène, précision des détails, sens du rythme. Cela ne fait pas partie du film autobiographique de Steven Spielberg, The Fabelmans, sur les écrans depuis le 22 février, mais le réalisateur américain de 76 ans peut se prévaloir d’être apparu pour la première fois dans les colonnes du Monde il y a cinquante ans, à l’âge de 26 ans.
Le scénario sur lequel travaille Steven Spielberg a été écrit par Stanley Kubrick en 1961.
[projet](https://www.vanityfair.fr/actualites/article/steven-spielberg-et-son-epouse-donnent-un-million-de-dollars-a-des-organisations-humanitaires-en-ukraine) inachevé de son aîné, décédé en 1999 : en 2001, le blockbuster A.I. [Joséphine de Beauharnais](https://www.vanityfair.fr/savoir-vivre/story/josephine-de-beauharnais-vetements-argent-amants-les-folles-passions-de-limperatrice/11983). » Pour poursuivre cette épopée, [Steven Spielberg](https://www.vanityfair.fr/culture/article/qui-veut-acheter-la-marionnette-originale-det) travaille aujourd'hui aux côtés de Christiane Kubrick, la veuve du réalisateur et son frère, Jan Harlan. Cinquante ans plus tard, [Steven Spielberg](https://www.vanityfair.fr/dossier/steven-spielberg) reprend le flambeau. [Stanley Kubrick](https://www.vanityfair.fr/dossier/stanley-kubrick) l'appelait « le plus grand film jamais réalisé ». « Nous sommes en train de monter une grande production » consacrée à [Napoléon Bonaparte](https://www.vanityfair.fr/savoir-vivre/story/que-reste-t-il-de-napoleon/13891), a-t-il annoncé lors d'une conférence de presse en marge de la [Berlinale 2023](https://www.vanityfair.fr/people/galerie/berlinale-2023-les-plus-beaux-looks-des-stars-sur-le-tapis-rouge).
Actuellement à la Berlinale, Steven Spielberg a annoncé préparer une série basée sur le scénario de Stanley Kubrick pour son « Napoléon ».
Beaucoup se demandent comment Spielberg va pouvoir ajouter sa marque de fabrique à ce qui est à la fois une étude de la figure complexe qu'était Napoléon et une fresque grandiose. Projet monumental, considéré comme l'un des plus grands films jamais réalisé, « Napoléon » s'annonce comme un nouveau défi pour Steven Spielberg qui devra réussir à restituer le scénario original, finalisé en septembre 1969. Cette future adaptation, qui ne devrait pas voir le jour avant de nombreuses années, s'annonce pour ce passionné une aventure qui ne manquera pas de prestige. L'affinité du cinéaste avec le scénario reste une évidence, d'autant qu'il ne s'agit pas du premier projet abandonné de Stanley Kubrick qu'il veut porter à l'écran. S'il avait déjà évoqué, il y a plus d'une dizaine d'années, l'envie de s'attaquer à ce monument, Steven Spielberg avait jusqu'ici mis « Napoléon » de côté. D'autant plus que les épopées historiques sont passées de mode.
À travers son histoire familiale, le réalisateur américain ausculte les ressorts de son art et de sa psyché.
Il faudra le temps du film pour que n’advienne, sous les images, la vérité intime de ce moment, une vérité déchirante pour celui qui filme, celui qui montre, celui qui regarde. On a vraiment cette impression que The Fabelmans boucle un système avec un film qui à la fois additionne et creuse le cinéma de Spielberg. C’est un peu ce que le film fait au cinéma de Spielberg, il le déchire et regarde ce qu’il y a en dessous. DeMille qui convoque avec elle les tout débuts du cinéma et un autre train arrivant en gare de La Ciotat -, mais aussi à la filmographie de Spielberg lui-même. Le film, co-écrit avec le scénariste et dramaturge Tony Kushner, ouvre sur la première sortie de Sammy au cinéma en 1952. Il partage ceci dit avec le film de Chazelle une ambition de référencement - certes plus subtile - à l’histoire du cinéma en général - avec cette citation première de Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B.
Überreicht wurde der Preis an den 76-jährigen Regisseur von ET, Indiana Jones, Schindlers Liste und Shoah von einem seiner Fans - von Superstar Bono. Nach ...
Es erzählt die Kindheit in einer orthodoxen jüdischen Familie - und die große Liebe eines Jugendlichen zum Film. Und Spielberg bekam für sein sehr persönliches Werk einen Golden Globe für die „Beste Regie“. Bereits seit 1999 hatte der Regisseur darüber nachgedacht, einen Film über seine eigene Jugend zu drehen - über die Erziehung und die Scheidung seiner Eltern Leah und Arnold Spielberg und das Familienleben in Phoenix im US-Bundesstaat Arizona.
Im Berlinale-Wettbewerb zeichnen sich die ersten Favoriten ab – es sind nicht die deutschen Filme. Mit Steven Spielberg wurde ein Großer der Branche geehrt.
Steven Spielberg a reçu hier soir un Ours d'or d'honneur, soit la plus prestigieuse récompense décernée lors du festival de Berlin.
Joaquin Phoenix dans la peau de Napoléon Ier sur le tournage du film de Ridley Scott Joaquin Phoenix en mars 2022 dans la peau de Napoléon Ier sur le tournage ...
Ce dernier, décédé en 1999, souhaitait adapter au cinéma le destin de l'empereur des Français mais n'est jamais venu à bout de son projet de biopic. "Nous sommes en train de monter une grande production", a expliqué le réalisateur ce 21 février lors d'une conférence de presse à la 73e édition du festival international du film de Berlin. Steven Spielberg a confirmé travailler à un projet de mini-série sur Napoléon Ier.