Alors que la banque helvétique est dans la tourmente, son principal actionnaire a expliqué mercredi qu'il n'augmenterait pas sa participation.
La déclaration du président de la Saudi National Bank a fait dévisser l’action du Credit Suisse, déjà fortement sous pression ces derniers jours. La réputation de Credit Suisse a été ternie par une série de scandales ces dernières années. [Credit Suisse](/story/credit-suisse-admet-des-faiblesses-susbtantielles-liees-au-controle-interne-375913017132), la [Saudi National Bank](/story/lentree-de-larabie-saoudite-au-capital-de-la-banque-est-approuvee-837861341753), ne va «absolument pas» soutenir [la banque](/story/la-direction-renonce-a-ses-bonus-et-le-president-a-sa-paie-917779009907) en montant davantage au capital, a expliqué son président Ammar al-Khudairy, dans une interview à Bloomberg TV.
La banque suisse est en difficulté à la suite de propos tenus par son actionnaire principal. Le prix de l'action a passé une barre symbolique.
La SNB s’était alors engagée à hauteur de 1,5 milliard, raflant 9,9% du capital-actions de la banque avec cette opération. Le président de SNB, Aammar Al Khudairy, a exclu tout nouveau soutien à la banque aux deux voiles en difficulté, évoquant notamment des questions réglementaires et statutaires. L’action Credit Suisse s’installait sous la marque des deux francs mercredi en fin de matinée, après avoir pour la première fois de son histoire crevée ce plancher symbolique.
L'action du Credit Suisse réduisait fortement ses pertes à une heure de la clôture de la Bourse de Zurich, après avoir effacé près d'un...
Mais certains actionnaires ont fini par jeter l'éponge à l'image de la société d'investissement américaine Harris Associates, longtemps son plus gros actionnaire, qui avait révélé la semaine passée avoir entièrement vendu sa participation dans la banque. Elle est vraiment trop importante pour qu'on la laisse couler", a-t-il insisté. Les Saoudiens ont volé au secours de Credit Suisse en entrant dans son capital en novembre. La banque nationale saoudienne détient une participation de 9,8%. Perçue comme le maillon faible du secteur bancaire en Suisse, la banque Credit Suisse a vu le cours de son action perdre jusqu'à 30% pour toucher un nouveau plancher historique à 1,55 francs suisses (CHF) malgré les tentatives de son président, Axel Lehmann, de rassurer. "Ce sujet est du ressort des autorités suisses. Une banque "très solide"Cette chute vertigineuse du titre - la banque valait à peine plus de 7,3 milliards de CHF en termes de capitalisation boursière en milieu d'après-midi ce 15 mars - a commencé après des déclarations du président de la Banque nationale saoudienne, le premier actionnaire de Credit Suisse. La plus simple tient à des questions "règlementaires", a-t-il précisé. Mais le premier actionnaire de Credit Suisse, la Saudi National Bank, ne compte "absolument pas" investir davantage dans la banque suisse pour "plusieurs raisons", a expliqué Ammar al-Khudairy, son président. Dans un entretien le 15 mars avec l'agence Reuters, Ammar al-Khudairy s'est pourtant dit "très content" du programme de restructuration de Credit Suisse, estimant qu'il s'agit d'une banque "très solide". Il doit être réglé par elles", a affirmé devant le Sénat la Première ministre française, précisant que le ministre français des Finances Bruno Le Maire "aurait un contact avec son homologue suisse dans les prochaines heures". Ça n'est "pas un sujet", a-t-il déclaré, soulignant que la banque s'appuie sur de "solides ratios financiers", sans toutefois parvenir à rassurer les marchés.
L'action Credit Suisse a lourdement chuté mercredi, s'installant sous la marque des deux francs, à un nouveau plus bas historique.
Lanterne rouge incontestée, Credit Suisse a chuté de 24,24% à 1,697 franc (plus bas historique en clôture), avec un nouveau plus bas historique en séance à 1,55 franc. Le principal actionnaire de Credit Suisse, le saoudien Saudi National Bank (SNB), a ainsi exclu mercredi un nouveau soutien à la banque zurichoise en difficulté. Mardi, Credit Suisse avait reconnu dans son rapport annuel continuer à lutter contre les sorties de liquidités, qui ont ralenti mais sans que la tendance s'inverse. La banque a depuis continué d'accumuler les revers. SNB s'était alors engagée à hauteur de 1,5 milliard, raflant 9,9% du capital-actions de la banque avec cette opération. En France, la Première ministre Elisabeth Borne a demandé aux autorités suisses de régler les problèmes de l'établissement de la Paradeplatz. L'institut d'émission mettra "en cas de besoin" des liquidités à disposition du groupe. Ces sociétés sont chahutées suite à la faillite de la Sillicon Valley Bank (SLB) qui a eu lieu la semaine passée", a-t-il expliqué mercredi dans Forum. Cette chute s'inscrit dans le contexte d'un mouvement généralisé d'aversion aux risques touchant les titres bancaires, écrivent les analystes de Capital Economics dans un commentaire. Depuis le début de l'année, la nominative a perdu 38,4%. "A ce stade on n'a pas d'éléments qui nous disent que Credit Suisse n'est pas solvable. Si tous les clients vont vider leurs comptes courant, Credit Suisse pourrait subir une crise de liquidités, ce qui n'est pas totalement une banqueroute".
L'action Credit Suisse a lourdement chuté mercredi, dans un marché alimenté par les craintes pour le secteur bancaire. Le principal actionnaire du groupe ...
Le principal actionnaire de Credit Suisse, le saoudien Saudi National Bank (SNB), a ainsi exclu mercredi un nouveau soutien à la banque zurichoise en difficulté. La banque, spécialisée dans le financement des jeunes pousses, ne parvenait plus à faire face aux retraits massifs de ses clients, principalement des acteurs de la tech, et ses ultimes tentatives de lever de l'argent frais n'ont pas abouti. Mardi, Credit Suisse avait reconnu dans son rapport annuel continuer à lutter contre les sorties de liquidités, qui ont ralenti mais sans que la tendance s'inverse. "Credit Suisse s'est pris un crochet gauche et droit en peu de temps", ont illustré les experts d'Activtrades dans une note. En France, la Première ministre Elisabeth Borne a demandé aux autorités suisses de régler les problèmes de l'établissement de la Paradeplatz. L'action Credit Suisse a lourdement chuté mercredi, dans un marché alimenté par les craintes pour le secteur bancaire.
L'action Credit Suisse a pour la 1ère fois de son histoire réalisé une incursion sous les 2,00 francs. Le titre lâchait à l'approche de 11h00 10,5% à 1,99 ...
Le principal actionnaire de Credit Suisse, le saoudien Saudi National Bank (SNB), a ainsi exclu mercredi un nouveau soutien à la banque zurichoise en difficulté. Mardi, Credit Suisse avait reconnu dans son rapport annuel continuer à lutter contre les sorties de liquidités, qui ont ralenti mais sans que la tendance s'inverse. Depuis le début de l'année, la nominative a perdu 39,4%.
La dégringolade faisait suite aux propos du président de SNB, l'actionnaire principal de Credi Suisse, excluant un soutien supplémentaire.
Le numéro deux bancaire suisse, qui a sombré en bourse mercredi, a annoncé jeudi avant l'aube qu'il allait faire un.
Les investisseurs s’inquiètent, en plus, du risque de contagion après la faillite de la banque américaine SVB. Ce même jour, le titre du numéro deux bancaire suisse a chuté de 24,24% à la clôture. «Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer le Credit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d’apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes», a déclaré le directeur général du groupe bancaire zurichois, Ulrich Koerner, cité dans le communiqué.
L'action Credit Suisse s'envolait jeudi matin à l'ouverture de la Bourse suisse, le titre bondissant de 32,59% à 2,25 francs, après le soutien apporté par ...
Jérôme Schupp espère que cela sera suffisant, tout en expliquant que Credit Suisse n'a pas besoin de l'argent de la BNS. Début février, Credit Suisse avait dévoilé une perte nette de 7,3 milliards de francs pour l'exercice 2022 et avait prévenu s'attendre encore à une perte avant impôts "substantielle" en 2023. "Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique. Ce même jour, le titre du numéro deux bancaire suisse a chuté de 24,24% à la clôture. Tôt jeudi matin, Credit Suisse a annoncé qu'il allait emprunter jusqu'à 50 milliards de francs à la Banque nationale suisse (BNS). "Ces mesures constituent une action décisive pour renforcer Credit Suisse alors que nous poursuivons notre transformation stratégique afin d'apporter de la valeur à nos clients et aux autres parties prenantes", a déclaré le directeur général du groupe bancaire zurichois Ulrich Körner, cité dans un communiqué.
Suivez ici les principales informations sur la situation de la banque Credit Suisse, au lendemain de son effondrement en Bourse.
Le titre Credit Suisse a ouvert sur un solide rebond jeudi matin à la Bourse suisse, après le soutien apporté par la Banque nationale suisse (BNS) à ...
Credit Suisse avait, parallèlement, annoncé une série d’opérations de rachat de dette pour environ 3 milliards de francs. "Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique. Le principal actionnaire de Credit Suisse avait exclu mercredi un nouveau soutien à la banque zurichoise en difficulté. «Le spectre d'une nouvelle faillite comme celle (de la banque d'affaires américaine) Lehman plane» sur les marchés, a-t-il estimé. L'établissement zurichois a, parallèlement, annoncé une série d'opérations de rachat de dette pour environ 3 milliards de francs. Le gouvernement se réunit ce jeudi pour faire le point sur la situation de la deuxième banque du pays.
Le titre Credit Suisse a ouvert sur un solide rebond jeudi matin à la Bourse suisse, après le soutien apporté par la Banque nationale suisse (BNS) à l' ...
Credit Suisse avait, parallèlement, annoncé une série d’opérations de rachat de dette pour environ 3 milliards de francs. "Le Credit Suisse satisfait aux exigences en matière de capital et de liquidités imposées aux banques d'importance systémique. Le principal actionnaire de Credit Suisse avait exclu mercredi un nouveau soutien à la banque zurichoise en difficulté. «Le spectre d'une nouvelle faillite comme celle (de la banque d'affaires américaine) Lehman plane» sur les marchés, a-t-il estimé. L'établissement zurichois a, parallèlement, annoncé une série d'opérations de rachat de dette pour environ 3 milliards de francs. Le gouvernement se réunit ce jeudi pour faire le point sur la situation de la deuxième banque du pays.
L'action de Credit Suisse, qui avait atteint un plus bas historique mercredi, a fortement rebondi jeudi après le soutien de la Banque nationale suisse.
La BNS s’était alors dite prête à laisser Credit Suisse accéder à des liquidités «en cas de besoin». Pour arrêter le mouvement de panique, Credit Suisse a annoncé en pleine nuit qu’elle allait faire appel à la BNS pour emprunter jusqu’à 50 milliards de francs, afin de «renforcer de manière préventive» ses liquidités. [50 milliards de francs](/story/credit-suisse-emprunte-50-milliards-de-francs-a-la-banque-centrale-313168762403) lancée par la Banque nationale suisse (BNS).